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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 20 mai 2022

Les ridicules de Jean-Marc

C’est l’histoire d’un homme…
 
… nouvellement marié, qui arrive à la maison alors que sa femme est toute heureuse de lui avoir préparé un bon souper. Elle s’empresse de terminer les derniers préparatifs (bonne bouteille de vin, chandelles, etc.)
Mais le mari a autre chose en tête.
Il prend sa femme dans ses bras, monte dans la chambre et tralalalala.
Le souper reste là.
Le lendemain soir, la même chose se produit.
Et ainsi de suite pendant une semaine…
Le huitième soir, le mari arrive à la maison et voit sa femme assise sur la cuisinière.
Alors il lui demande :
« Mais qu’est-ce que tu fais là ? » Elle lui répond :
« C’est simple, je réchauffe ton souper. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul philosophent devant une bière en terrasse et se posent parfois de « colles ».
« – Sais-tu pourquoi un astronaute doit s’enfermer pendant une semaine dans une chambre noir avec une femme…
– Non !
– C’est pour s’habituer à parler dans le vide…
– Elle est con, celle-là ! »
 
« – Quelle différence y-a-t’il entre 365 capotes et un pneu ?
– Je sais ! 365 condoms, c’est une “GOOD YEAR” ! »
 
« – Quel est le comble de la paresse ?
– Je sais : Se marier avec une femme déjà enceinte ! »
 
« Il n’y a pas de femmes frigides ! Ce sont les mauvaises langues qui disent ça. »
 
C’est l’histoire de la Mère supérieure du couvent, réveillée de bonne humeur, décide de faire le tour des cellules.
« – Bonjour Sœur Marie-Josèphe, je vous trouve très bien aujourd'hui et ce que vous tissez est très joli !
– Merci ma Mère, vous aussi vous êtes très bien, mais je pense que vous vous êtes levée du mauvais côté ! »
 
« – Quelle est la différence entre un livre et une femme ?
– Je ne vois pas…
– Le livre se commence par l’introduction et se finit par l’index. »
 
C’est l’histoire de trois gays se couchent dans une tente…
Au petit matin, l’un des 3 raconte aux autres qu’il a rêvé qu’on lui caressait le zizi.
Le deuxième s’exclame que lui aussi a rêvé à ça !
Celui qui a dormi au milieu dit :
« Moi j’ai rêvé que je faisais du ski de fond… »
 
Une Ukrainienne, qui a quitté son pays pour venir habiter la Pologne, devait absolument rejoindre sa mère aux USA.
Elle se rend donc au bureau de télégramme, va voir le caissier, et lui dit :
« – Mon bon monsieur, comment ça coûte pour envoyer un télégramme aux USA ?
– Environ 250 zlotys, madame.
– Oh non, c’est cher ! Je n’ai pas l’argent nécessaire mais je dois absolument parler à ma mère ! Je ferai n’importe quoi !
– N’importe quoi ? Hum hum !… »
Alors le caissier fit signe à l’ukrainienne de le suivre dans l’arrière-boutique. Il enleva son pantalon et dit à la jeune fille :
« Mettez-vous à genoux (ce qu’elle fait) et faites ce que vous avez à faire ! »
La femme s’approche, s’approche encore, prit le membre » dans ses mains, ouvrit la bouche et l’approche…
« Maman, maman, tu m’entends ? »
 
Jean-Paul demande à Jean-Marc ce qu’il pense des femmes en général et la conversation aboutie sur les femmes qui sont corpulentes…
« Une grosse femme, c’est comme une pantoufle… On est bien dedans, mais ce n’est pas une raison pour sortir avec elle. »
 
De Marilyn Monroe : « Le sexe fait partie de la nature, j’obéis à la nature ! »
 
De Germaine, épouse de Jean-Marc : « Beaucoup de femmes ont des fantasmes sexuels. Moi je les réalise ! »
Réplique de Jean-Marc : « Moi aussi je les réalise… Je suis né pour ça ! »
 
« Le plus grand crime peut-être de la société, c’est d’avoir rendu l’amour honteux. »
 
De Sharon Stone : « Si vous avez un vagin et des idées, ça donne un mélange d’enfer ! »
 
Sur la plage privée d’un hôtel, un client a sorti de la mer un gamin qui se noyait et a pratiqué sur lui la respiration artificielle.
En remerciement, les pompiers locaux lui ont remis une médaille de sauvetage, qu’il arbore chaque jour, pendue autour de son cou.
Agacée, une dame l’interpelle :
« – Monsieur, certes vous avez sauvé un enfant, mais je trouve indécent de porter depuis cet objet qui ne prouve seulement que vous avez, une fois dans votre vie, fait preuve d’un acte de courage !
– Dans ce cas, madame, votre mari devrait retirer son alliance, non ? »
 
Six heures du soir dans le métro.
L’heure de pointe.
Dans un wagon plein à craquer, une femme debout s’écrie :
« – C’est bientôt fini, espèce de dégoûtant ! Vous n’avez pas honte !
– Oh, oh ! Calmez-vous, ma petite dame », répond Jean-Marc, en bleu de travail qui est serré près d’elle.
« Y a maldonne ! Je suis ouvrier chez Renault et je viens de toucher ma paie. Les billets sont dans mon portefeuille et l’appoint, on me l’a fait avec un rouleau de pièces qui est dans la poche de mon pantalon.
Faudrait pas confondre ! »
La jeune femme se tait.
Mais cinq minutes plus tard, elle dit à Jean-Marc :
« Écoutez, Monsieur, vous n’allez tout de même pas me dire que Renault vous a augmenté entre deux stations ? »
 
Depuis deux ans, un homme d'affaires a une histoire extraconjugale avec une italienne.
Un jour, cette dernière lui annonce qu’elle est enceinte.
L’homme ne voulant ruiner ni sa réputation, ni son mariage promet qu’il lui donnera de l’argent si elle retourne vivre en Italie et qu’elle élève l’enfant dans le secret.
Il ajoute qu’il compte subvenir aux besoins de l’enfant jusqu'à sa majorité.
Bouleversée, elle accepte et lui demande comment elle pourra le prévenir que l’enfant est né.
Afin de rester discret, il lui propose de simplement envoyer une carte postale sur laquelle elle écrira « Spaghetti ».
À ce moment-là, il lui enverra de l'argent régulièrement.
À peu près 9 mois plus tard, alors qu’il rentre du travail, sa femme lui dit, un peu perplexe : « Chéri, une carte postale plutôt étrange est arrivée pour toi. »
Sa femme le regarde lire la carte alors qu’il commence à pâlir puis tombe dans les pommes.
Le message sur la carte dit : “Spaghetti, Spaghetti, Spaghetti, Spaghetti, Spaghetti. Trois avec des boulettes de viande et deux sans. Envoie de la sauce en supplément. »
 
Les 12 règles d’or du Club des Fatigués dont font partie Jean-Marc, Jean-Paul (et Dumè) :
1. Sois infatigable au repos.
2. Si tu vois quelqu’un qui cherche à se reposer, aide-le.
3. Rappelle-toi que le travail est sacré, n’y touche pas.
4. Si par hasard tu trouves du travail, avise le bureau des objets trouvés.
5. Ce que tu peux éviter de faire, fais-le faire par un autre.
6. Si l’envie de travailler te prend, assis toi et attend que ça passe.
7. Ne te fatigue même pas à tuer le temps, puisqu’il travaille pour toi.
8. Si par mégarde tu tues le temps, utilise le temps mort pour ne rien faire.
9. Oublie les vieux travaux et laisse les nouveaux devenir vieux.
10. Ne reste pas debout lorsque tu peux t’asseoir, ne reste jamais assis lorsque tu peux t’allonger.
11. Si tu es victime d’une farce, surtout ne marche pas, reste assis.
12. N’écoute pas des histoires à dormir debout.
 
C’est Jean-Marc qui rentre dans une animalerie pour chercher un animal de compagnie.
Il tourne en rond dans la boutique et d’un coup il voit un perroquet qui l’appelle en lui disant « hé viens par ici ».
 
Jean-Marc approche du perroquet et lui dit :
« – Mais tu parles toi ?
– Oui, je parle de tout, et aussi je parle en plusieurs langues. »
D’un coup Jean-Marc regarde le perroquet et il voit qu’il n’a pas de pattes alors il lui demande :
« – Mais tu n’as pas de pattes ? Comment tu fais pour tenir sur ton perchoir ?
– Ben je suis né sans pattes et depuis je tiens avec mon petit zizi mais tu le vois pas il est caché par mes plumes.
– Très bien je t’achète, et j’espère que tu seras un bon compagnon. »
Un mois passe sans problème avec le perroquet puis un soir en rentrant du travail, le perroquet l’appelle en lui disant doucement « pssssst viens voir ici »
Jean-Marc rentre dans le salon et voit que le perchoir est vide alors il dit :
« – Mais tu es où ?
– Là en dessous du canapé.
– Mais qu’est-ce que tu fais là ?
– Écoute ce matin ta femme……
– Bah quoi ma femme ?
– Ben elle a laissée rentrer le facteur et elle était habillée en robe de nuit…
– Et après ?
– Ben il l’a déshabillé puis il l’a allongé sur la table…..
– Et ensuite ????
– Il l’a embrassée sur tout le corps en partant du cou jusqu’à son entre-jambe…
– ET APRÈS TU VAS ME DIRE ENFIN CE QU’IL Y A EU ???????????
– Après je ne sais pas j’ai commencé à bander et puis je suis tombé… »
 
C’est l’histoire de Jean-Marc qui a passé, l’après-midi avec, Jean-Richard, son autre pote de bar.
Il commence à se faire tard. Le pote veut encore payé sa tournée mais Jean-Marc dit à son pote :
« – Ah non ! Il est tard ! Ma femme va m’engueuler en entrant dans la maison !
– Moi, j’ai un truc », lui répond son pote. « J’entre dans la maison sans faire de bruit. Puis, dans la chambre, sous les couvertures, je lui fais l’amour. »
Après que son ami l’ait rassuré, Jean-Marc part chez lui.
Il entre dans la maison, dans la chambre à coucher, puis se glisse sous les couvertures.
Là, c’est la folie !
La femme, les deux jambes en l’air, ils font l’amour comme des déchaînés.
Les ébats terminés, l’homme, content de son coup, se lève pour aller aux toilettes.
Il ouvre la porte et tombe nez à nez avec sa femme, elle lui dit en chuchotant :
« Fait pas de bruit ma mère dort dans notre lit. »
 
Une mère de famille demande à sa fille de 8 ans :
« Ma chérie, pourrais-tu aller me chercher du pain à la boulangerie ? »
La petite fille prend l’argent que sa mère lui donne pour le pain, et s’en va.
Lorsqu’elle revient, elle tient dans une main la baguette, dans l’autre main un billet de 100 euros.
Perplexe, la maman préfère ne faire comme si de rien était, mais le lendemain, elle redemande à sa fille d’aller chercher le pain à la boulangerie, et guette impatiemment le retour de sa fille.
Lorsque celle-ci rentre enfin, elle tient à nouveau la baguette dans une main et un billet, mais cette fois de 200 euros dans l’autre.
Cette fois, la mère ne résiste plus et lui demande :
« – Ma chérie ! Où donc as-tu trouvé tout cet argent ?
– Bah tu vois c’est un groupe de garçons, ils m’ont dit que si je grimpais sur un poteau eh bah ils me donneraient de l’argent.
– Ils t’ont bien eue ma chérie ! Ils voulaient juste voir ta culotte sous ta robe ! » dit la mère en souriant.
« Ah bah alors je les ai bien eus », dit la petite fille en riant, « parce que j’en n’avais pas mis ! »
 
Un touriste Japonais arrive a l’aéroport Charles De Gaulle et prend un taxi pour aller voir le Stade De France.
Sur l’autoroute, il regarde par la vitre arrière et, apercevant une moto qui double, tape sur l’épaule du chauffeur en disant : « Moto Kawazaki, très rapide… Made in Japan ! »
Un peu plus loin sur la route, le touriste tape à nouveau sur l’épaule du chauffeur de taxi et dit : « Là… Auto Toyota, très rapide… Made in Japan ! »
Même s’il est fatiguant, le chauffeur ne dit rien.
Il poursuit sa route jusqu’au stade olympique et débarque son passager :
« Voilà Monsieur, ça vous fera 700 euros ».
Le Japonais stupéfié par le prix remarque : « Hou la la! … Très cher ! »
Et le chauffeur se retourne avec un grand sourire :
« Et oui, compteur très rapide… Made in Japan ! »
 
Un jeunot au volant d’un 4×4 Toyota customisée voit une Rolls se ranger à son côté à un feu tricolore.
Le gars dans le custom demande au chauffeur de la Rolls :
« – Il y a le téléphone dans la voiture ?
– Oui, bien sûr !
– Le wifi ?
– On a internet !
– Et le fax ?
– Nous avons ça aussi !
– La télé ?
– Oui, on la regarde rarement !
– Est-ce que ça peut faire couchette pour deux personnes à l’arrière ? »
… Et là, le feu venant de passer au vert, la grosse Toyota démarre en trombe, laissant le chauffeur de la Rolls sur place, blême d’impuissance.
Dans l’après-midi, le proprio de la Rolls prend rendez-vous avec le garage pour une installation de couchettes à l’arrière de sa voiture.
Une semaine plus tard, il aperçoit le custom 4×4 garé sur un trottoir, les vitres arrière couvertes de buée et de la vapeur s’échappant à l’extérieur.
Le gars à la Rolls s’arrête alors et vient frapper à la vitre :
« Hé là-dedans !… »
Après plusieurs « toc toc », le conducteur du 4×4 sort la tête de l’habitacle, et le chauffeur de Rolls lui dit alors :
« Dites, moi aussi j’ai une couchette pour deux personnes à l’arrière ! »
La réponse du gars au 4×4 :
« Et c’est pour me dire ça que tu me fais sortir de la douche ? »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
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