Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 16 février 2020

Votre sexe, décidément, ça intéresse la « science » !

Ils en causent au lieu d’en faire…
 
Ils devraient parce qu’ils viennent de découvrir que ça fait scientifiquement paraître « plus jeune ».
Avoir une activité sexuelle régulière contribuerait à être plus jeune que son âge selon le neuropsychologue britannique David Weeks, neuropsychologue à l’hôpital d’Édimbourg (Écosse), qui a mené sa petite enquête.
À ses yeux, le principal moyen de sembler plus jeune, c’est de pratiquer une activité physique régulière, loin devant les poudres et crèmes de perlimpinpin que s’étalent sur la caouane la plupart des dames !
Et, à défaut, la deuxième solution, certes un peu moins efficace mais pas inutile non plus, c’est d’avoir en moyenne trois rapports sexuels par semaine !
Pas plus, m’interroge-je ?
 
Et de rajouter que contrairement aux idées reçues, parmi les êtres vivants, le sexe n’est pas uniquement pratiqué dans le but de se reproduire. De nombreux bestiaux s’octroient des « parties de plaisir » en dehors des périodes de fécondité. Mais l’homme et la femme sont quand même un des champions en la matière.
Puisque la femme peut se reproduire qu’une fois par mois, l’homme doit rester avec elle pour éviter qu’un rival ne prenne sa place, et entretenir des rapports réguliers pour avoir une chance de procréer les jours favorables.
Ce qui se traduit par de nombreux essais infructueux, surtout à l’heure de la contraception généralisée.
 
En parallèle, il ne faut pas négliger l’aspect santé et bien-être de la chose. Car l’orgasme régulier, procurerait des bénéfices réels pour la survie. La jouissance libère des endorphines, antidouleurs naturels, bien utiles contre la migraine par exemple (Mesdames, voyez donc jusqu’où il faut aller pour se soigner le crâne !).
À raison de deux éjaculations par semaine, l’homme diminuerait ses risques de mortalité de moitié, selon une étude galloise de 1997.
Pour les femmes, se faire caresser les seins pourrait aussi limiter les risques de cancer du sein, d’après certaines hypothèses.
Là, je demande à voir…
 
La liste des bienfaits est encore longue. À celle-ci, il faudrait ajouter un élément mis en évidence par l’équipe susmentionnée : Faire paraître plus jeune !
Devant la British Psychological Society, le neuropsychologue vient de brièvement exposer les résultats de ses travaux.
Ont été recrutés 3.500 participants, hommes et femmes de 20 à 104 ans (avec un nombre important de quinquagénaires) qui paraissaient moins âgés que leur état civil ne l’indiquait. Ceux-ci s’installaient dans une salle et étaient interrogés sur de nombreux paramètres de leur vie, aussi bien sur les moments intimes.
Derrière une glace sans tain se tenait un jury composé de six membres, dont la fonction était d’estimer les âges de chacun des participants.
 
Après analyse des entretiens, les auteurs ont remarqué que ceux qui paraissaient les plus jeunes étaient surtout des habitués de l’activité physique. Et le deuxième secret pour faire moins que son âge réel était mis en lumière : Avoir trois rapports sexuels par semaine en moyenne.
Cela permet de donner l’impression d’avoir entre 7 et 12 ans de moins, rien de moins !
Car avoir une plus faible fréquence de rapports sexuels ne procure pas cet avantage, mais au-delà, c’est de la « pure gourmandise » et on ne peut gagner d’années de jeunesse supplémentaires !
Dommage…
 
D’autres critères semblent influencer ce paramètre : Avoir des activités sociales avec des gens de sa génération, être marié avec une personne plus jeune ou, pour les femmes, prendre un traitement hormonal substitutif après la ménopause (tout de même : Un petit crochet pour l’industrie pharmacologique qui paye probablement ses travaux…).
Pour David Weeks, ces résultats le confortent dans l’idée qu’il est bénéfique de pratiquer le sexe durant toute la période adulte, y compris pour les seniors.
Cependant, il reproche à la société de diffuser l’idée qu’il y a un âge où il faudrait s’arrêter (lequel ?).
Or, précise-t-il, « la satisfaction sexuelle est un des contributeurs majeurs à la qualité de vie, se classant au moins aussi haut que les aspects spirituels ou religieux ainsi que d’autres facteurs moraux, donc une attitude plus positive à l’égard de la sexualité des personnes âgées doit être vigoureusement promue ».
Et c’est un scientifique qui vous l’affirme…
L’obsédé…
 
Il n’empêche, on peut se poser plusieurs questions autour de ce sujet.
Une autre étude vient de sortir : Quid entre faire bonne chère et bonne chair ?
Les deux premier « B » de mon régime « 3BF »
Bouffer ou baiser ?
Or, on ne le sait pas assez, mais dans ce combat, 36 % des « Gauloisiens » ont choisi le camp du plaisir des papilles alors qu’ils sont légèrement moins nombreux à préférer les sensations d’un orgasme (30 %).
Étonnant mais c’est ce que rapporte très sérieusement ce mois-ci une étude Ifop menée du 15 au 17 janvier dernier pour le livreur de repas « Just Eat » auprès d’un échantillon de 1.011 personnes âgées de 18 ans et plus.
 
Les femmes, quant à elles, sont 48 % à choisir la bonne chère tandis que 43 % des hommes portent les faveurs pour l’autre… chair.
Et après elles s’étonnent de grossir…
La nourriture ? Un ingrédient sensuel pour pimenter un ébat, elle peut bel et bien avoir un rapport avec le sujet abordé par « Just Eat » : 31 % des personnes interrogées ont par exemple déjà dégusté leur plat de façon sexy pour exciter leur partenaire.
Ainsi 38 % des « Gauloisiens » confient avoir déjà utilisé des aliments pour faire l’amour : Une habitude même pour la moitié des jeunes âgés de 25 à 49 ans, les coquins !
Mais, ce n’est pas toujours une affaire gagnante puisque 9 % des sondés avouent avoir déjà vécu une expérience catastrophique : Attention à la température du chocolat…
Au rayon des produits préférés pour faire l’amour, la chantilly reste incontournable (58 %), devant le champagne (32 %) et le chocolat (30 %). Certains ont de l’imagination et n’hésitent pas à utiliser des bonbons (10 %) ou même… des sushis (3 %) !
Mais, il n’y a pas que les couples qui ont le monopole du sexe gourmand : Un Gauloisien sur dix a déjà pensé à utiliser un aliment pour assouvir un plaisir solitaire.
Ah oui ?
Ce serait une nouvelle tendance, car 20 % des 18-24 ans y ont déjà eu recours.
Mais lequel donc ?
Une bonne vieille pizza ou seulement un cassoulet ?
 
Ah mon avis, il est possible qu’il ne s’agisse pas de cela.
D’ailleurs, une troisième étude vient de tomber (parce que bon, la Saint Valentin vient de passer et on se demande quid des « esseulés »).
En 2019, la masturbation solitaire (ou non) reste l’objet de nombreux questionnements, principalement en raison d’un manque d’éducation à la sexualité. Pourtant, cette pratique est une partie inhérente d’un développement sexuel sain, et peut contribuer à l’épanouissement sexuel.
Tant que certaines limites ne sont pas dépassées, nous précise-t-on…
 
L’onanisme, en principe solitaire, peut toutefois trouver sa place au sein du couple si le désir s’en fait sentir.
Selon le Petit-Larousse illustré, la masturbation est « l’excitation manuelle des organes génitaux externes dans le but de provoquer le plaisir sexuel ».
On appelle ça aussi la « PMS » (Pompe Manuelle de Sécurité) dans certains milieux.
Mais cette définition est quelque peu désuète depuis l’essor des sex-toys, et ne tient pas compte de la diversité des masturbations (qui ne sont pas forcément externes), mais la visée reste la même : Encore et toujours le plaisir sexuel !
 
En 2017, un sondage Ifop nous avait révélé que 95 % des hommes et 74 % des femmes se sont déjà masturbés au cours de leur vie.
Et ces chiffres ne cessent d’augmenter depuis les premières statistiques, apparues il y a une cinquantaine d’années : En effet, en 1970, seulement 19 % des femmes mais déjà 73 % des hommes avouaient s’être adonnés à la masturbation (solitaire).
La même année, un autre sondage Ifop dévoilait que 49 % des « Gauloisiennes » et 47 % des « Gauloisiens » utilisaient des sex-toys là où 10 ans plus tôt ils n’étaient que respectivement 9 % et 10 % : Un marché en forte progression…
Si le plaisir solitaire s’est répandu au sein de la société, il est souvent mal compris, voire tabou.
Malgré l’évolution des mœurs, 45 % des femmes n’auraient jamais dit à leur partenaire qu’elles « se caressaient » !
 
La masturbation est-elle le signe d’une insatisfaction sexuelle ? Non.
S’il s’avère que les « Gauloisiennes » s’étant déjà masturbées sont plus nombreuses à ne pas être satisfaites de leur vie sexuelle, la comparaison avec d’autres pays montre que cette corrélation est trompeuse : En effet, en « Gauloisie-de-la-luxure », trois quarts des femmes « se sont touchées » au cours de leur vie, tandis que ce chiffre grimpe à 91 % pour les Pays-Bas.
Or, les Bataves sont notoirement davantage épanouies au lit, paraît-il.
Précisément, une enquête Ifop a mis en lumière que seulement 24 % des Hollandaises sont insatisfaites de leur vie sexuelle, contre 31 % des « Gauloisiennes ».
 
D’ailleurs, au sein du couple hétéro, la masturbation est parfois une source d’appréhension, voire de dégoût. Mais pas forcément.
Chez les « homos », je ne sais pas : Je ne fréquente pas !
Le partenaire pris la main dans le panier peut être vu comme un pervers solitaire.
L’autre personne peut croire qu’elle ne comble pas ses désirs, ou avoir l’impression d'être trompée. Ainsi, les cabinets de sexologues voient régulièrement la détresse des personnes dont le ou la partenaire se font plaisir sans elles.
Apprendre que son ou sa partenaire se masturbe peut porter un coup au couple.
 
Pourtant, le plaisir solitaire ferait partie d’une sexualité normale, et ne démontre ni une insatisfaction ni un désir d’infidélité. Dans cette situation, la meilleure des solutions reste la communication, afin de comprendre les raisons de la masturbation et d’apaiser la personne tourmentée.
Cet acte est présenté comme parfaitement naturel. Voire ordinaire : Ne vous gênez donc pas !
On a même vu un juge le faire au tribunal en plein audience…
Et surtout, c’est non représentatif de l’épanouissement sexuel du couple.
Une personne appréciant la masturbation continuera de la pratiquer, que ce soit en couple ou célibataire, tandis que les personnes n’en raffolant pas seules… n'en raffoleront toujours pas en couple.
Tout simplement.
 
Pour certains « sexologues », il faut aller plus loin. Si votre affection pour la masturbation semble culturelle, s’y adonner serait une aubaine pour l’épanouissement sexuel. En effet, elle permet d’établir un rapport plus réel avec le corps, loin des préjugés et fantasmes que la culture pornographique insuffle.
De là, l’onanisme est une belle opportunité pour le développement d’une sexualité saine : D’une part, il pousse à la découverte de son propre corps. Cela permet de guider plus facilement son ou sa partenaire vers ses zones érogènes favorites, et de lui expliquer comment s’y prendre.
D’autre part, la masturbation peut titiller et réveiller les autres parties de la sexualité. Par exemple, elle fait surgir sans inhibition les fantasmes qui font le plus d’effet. Une fois sortis de leur cachette, ils ne demandent plus qu’à être exploités.
De surcroît, l’autostimulation permet de ne pas « perdre la main » (si on peut dire…), et de ne pas laisser sa libido s’éteindre en période de disette.
Et on vient de le dire, ça vous fera paraître plus jeune, c’est indispensable pour protéger la bonne santé de vos organes, et ça ouvre l’appétit !
 
Toutefois, il arrive que cette pratique pose certains problèmes, notamment via la pornographie. En effet, les films X consommés à l’excès peuvent brouiller la limite entre le réel et l’imaginaire, et perturber le développement de la sexualité. Ils peuvent aussi conduire à l’addiction du plaisir facile.
Quelques clics et l’orgasme est assuré !
Cela, additionné aux angoisses de performance inoculées par l’industrie du sexe, peut amoindrir le désir de rapports sexuels à deux (ou plus).
 
Par ailleurs, l’onanisme au sein du couple peut provoquer des difficultés indirectes. Par exemple, un homme découvrant que sa partenaire se masturbe avec des sex-toys peut remettre ses capacités en question. Et craindre de ne pas être à la hauteur à côté de cet objet infaillible. Tandis qu’une femme a plus souvent peur que son partenaire ait envie d’une autre personne ou ne soit pas comblé par la fréquence de leurs rapports. Ces inquiétudes sont également visibles chez les couples homosexuels, mais dans une plus petite mesure.
 
Pourtant, et heureusement, la « science » confirme que ces appréhensions sont bien souvent infondées. Elles proviennent seulement d’un manque d’information sur les divers pans de la sexualité. Et trouvent leur origine dans une honte culturelle du plaisir non reproductif, instillée par les religions depuis plusieurs siècles qui cherche à capter la sexualité des croyants.
Dépassez-vous donc et libérez-vous !
Mais pensez que la sexualité ne se résume pas seulement à l’appareil génital : On a tous plus ou moins 2 m² d’épiderme à stimuler, pas seulement quelques centimètres carrés (même si ce sont les « plus intenses »).
Et pour ça, n’en déplaisent aux « chercheurs », il vaut mieux être deux.
 
Enfin, je suis content d’être devenu moins kon en découvrant tout ça.
J’aime bien les « scientifiques » quand ils restent des obsédés-sexuels…
Surtout s’ils nous commandent de devenir des bonobos insatiables en nous vantant tout plein de vertus !
 
Bonne fin de week-end à toutes et tous !
 
I3

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire