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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 28 février 2020

On se moque, on se moque…

Humour noir ?
 
C’est un homme de couleur (sahélien) qui entre à la pharmacie :
« – Mossieu le phamacien, je voudais des potège amo…
– C’est quoi des potège amo ? » demande le pharmacien.
« – Mais tu sais, ce que tu mets su le péni quand tu fais l’amo…
– Ah, tu veux dire des condoms, dans la troisième rangée à droite. »
Le gars se sert, paye et s’en va…
Un peu plus tard, un deuxième « sahélien » entre dans la pharmacie.
« – Mossieu le phamacien, je voudais des potège amo…
– Dans la troisième rangée à droite. »
Le gars se sert, paye et s’en va.
Un troisième (sahélien) entre dans la pharmacie.
« Mossieu le phamacien, je voudais des codons »
Enfin quelqu’un qui sait ce qu’est des condoms, se dit l’apothicaire-diplômé.
« Dans la troisième rangée à droite. »
Le gars y va et revient, dépité.
« – Mais Mossieu le phamacien, je ne veu pas des potège amo, je veu des codons pou mes souliers. »
 
Puisque nous sommes dans une officine pharmaceutique :
Un homme entre dans la même pharmacie pour acheter un condom et sort en riant hystériquement.
Le pharmacien pense qu’il est un peu fou.
Mais il n’y a pas de loi qui empêche les fous d’acheter des condoms.
Le jour suivant, l’homme en question revient, toujours pour acheter un condom et quitte la pharmacie toujours en riant.
Cela commence à piquer la curiosité du pharmacien :
« Qu’est qu’il y a de drôle à acheter un condom ? »
Alors il appelle son assistant et lui dit :
« Si jamais cet homme revient, je veux que tu le suives pour savoir où il va. »
Le jour suivant, l’homme rieur est de retour.
Il s’achète un condom et sort, toujours en riant.
Le pharmacien demande à son assistant de le suivre.
Une heure plus tard, l’assistant est de retour.
« L’as-tu suivi, où est-ce qu’il va comme ça, en riant ? » demande le pharmacien.
L’assistant répond : « Chez vous. »
Ça vaut celle du coiffeur de Jean-Marc qui lui demande dans combien de temps un fauteuil sera libéré. Le gars lui répond « une heure » et Jean-Marc se repointe le lendemain avec la même question pour avoir la même réponse.
Ainsi de suite pendant plusieurs jours…
 
Jean-Marc drague :
« – Mademoiselle, j’ai l’impression de vous avoir déjà vu quelque part ?
– Exact. C’est pourquoi je n’y retourne plus ! »
 
Le même :
« – Mademoiselle, est-ce que vous croyez dans l’amour dès le premier regard, ou dois-je vous approcher quelques fois encore ?
– Non. Revenez. Essayez… et passez votre chemin. »
 
Encore lui :
« – Mademoiselle, est-ce que je peux vous téléphoner ?
– Oui, mon numéro est dans le bottin téléphonique.
– Mais je ne connais pas votre nom.
– Pas de problème, lui aussi est dans le bottin téléphonique. »
 
Variante :
« – Mademoiselle, j’ai l’impression de vous avoir déjà vu quelque part ?
– Exact. Je suis téléphoniste à la Clinique du Nord sur les maladies vénériennes. »
 
Une « revenue » de loin :
Conseil informatique pour les nuls :
Avant de modifier la version d’un logiciel qui sert, au cours de votre vie quotidienne, il faut toujours s’assurer que la nouvelle version soit compatible et sans bogues.
Voici l’histoire de Jean-Paul, un ami de Jean-Marc, qui a choisi de changer dernièrement de version.
– Il a changé son programme PETITE AMIE 12.4 pour ÉPOUSE 1.0. Malheureusement, il s’est rapidement rendu compte que ce programme accaparait une partie importante des ressources du système et laissait peu de place pour les autres applications.
– À son grand étonnement, il a aussi vu son nouveau programme créer des sous-routines appelées ENFANTS 1.0, parasites bruyants et coûteux, surtout lors de la première année bien évidemment, tous ces petits problèmes n’étaient pas précisés sur la boite d’emballage ou dans la notice d’utilisation du logiciel ÉPOUSE 1.0. D’autres utilisateurs l’avaient toutefois mis en garde qu’il rencontrerait les mêmes incidents.
– De plus, ÉPOUSE 1.0 se lance automatiquement, dès le démarrage de la machine et supervise toutes les autres activités du système.
– Autre point irritant, ce nouveau programme entraîne instantanément la suppression quasi systématique d’autres logiciels tels que SOIRÉES FOOTBALL 4.3, PARTY BEUVERIES 5.7, et SEXE ORGIAQUE 6.9.
Il limite également l’accès à certains jeux tels que MS GOLF et FOOT Sport 2000.
– En installant ÉPOUSE 1.0, l’utilisateur n’a plus aucun contrôle sur les indésirables tels que BELLE-MÈRE 2.5 ou BEAUX-FRÈRES version Bêta.
– De plus le programme semble s’altérer avec le temps et présente des perturbations périodiques à tous les 28 jours.
– Des suggestions ont été transmises aux fournisseurs pour la production éventuelle d’une nouvelle version ÉPOUSE 2.0.
Voici quelques options qu’elle devrait contenir :
1. Une icône « Arrête de me rappeler »,
2. Une icône « Minimise » pour placer en tâche de fond,
3. Un bouclier permettant de désinstaller le logiciel à tout moment sans perte de mémoire, d’argent et d’autres ressources (erreur de divorce),
4. Une option « Promiscuité » permettant de réactiver les fonctions sexuelles abandonnées lors du passage de PETITE AMIE 12.4 à ÉPOUSE 1.0,
– Attention ! ÉPOUSE 1.0 contient un bogue non référencé.
Si vous essayez d’installer MAÎTRESSE 1.1 avant de désinstaller ÉPOUSE 1.0, cette dernière effacera de votre disque MY MONEY avant de s’effacer elle-même.
– Dans ce cas, MAÎTRESSE 1.1 refusera de s’installer dû à des ressources de système insuffisantes.
Pour éviter ce désagrément, il est recommandé d’essayer d’installer MAÎTRESSE 1.1 sur un autre système que celui qui abrite ÉPOUSE 1.0.
– Méfiance MAÎTRESSE 1.1 peut aussi contenir des virus susceptibles d’affecter le fonctionnement d’ÉPOUSE 1.0.
– Plusieurs ont décidé d’éviter tous ces problèmes associés à ÉPOUSE 1.0 en restant sur PETITE AMIE 2.0.
Néanmoins, ils ont quand même rencontré quelques ennuis. Par exemple :
1. Il n’est pas possible d’installer PETITE AMIE 2.0 par-dessus PETITE AMIE 1.0.
Il faut d’abord obligatoirement désinstaller PETITE AMIE 1.0.
De plus, le programme d’installation fonctionne mal et laisse des traces de l’application précédente dans le système (mobilier cassé et sous-vêtements oubliés).
2. Un autre point faible, toutes les versions de PETITE AMIE envoient régulièrement des messages à l’utilisateur qui lui vantent les mérites de l’utilisation du logiciel ÉPOUSE 1.0 à long terme.
Vous voilà prévenus…
 
Encore une « revenue » de très loin :
Un Russe, un Américain et un Français discutent :
« – Nous, en Russie, un homme s’est coupé la main, mais nos spécialistes ont réussi à la lui greffer.
Il peut maintenant travailler et il se cherche un job.
– Nous, les Américains, un homme s’est coupé la jambe et nos médecins ont réussi la greffe.
Il peut lui aussi travailler et il se cherche un job.
– Nous », dit le français, « on a pris un gars qui faisait « capitaine-de-pédalo » dans le civil, on l’a greffé à l’Élysée et depuis tout le monde se cherche un job ! »
 
Encore une autre :
Une ménagère, un comptable et un avocat sont dans la même pièce.
« Combien font 2 + 2 » demande le professeur ?
« – 4 ! » répond la ménagère.
« – Ça peut être 3 ou 5 », dit le comptable. « Il y a différentes façons de voir la situation ».
L’avocat se lève, ferme les rideaux, baisse la lumière…
« Combien voulez-vous que ça fasse ? »
 
Jean-Marc et Jean-Paul
« – À ton avis, combien faut-il d’hommes pour ouvrir une canette de bière ?
– Bé je ne sais pas. Un devrait suffire, non ?
– Grand nigaud !
– Pourquoi tu dis ça ?
– Mais c’est une évidence, voyons ! Aucun bien sûr…
– Comment ça ? Il faut bien l’ouvrir, non ?
– Sa femme devrait l’avoir ouverte pour lui ! »

C’est une après-midi de matchs de rugby du « Top 14 ».
Jean-Marc, un fan de rugby se rend à son fauteuil derrière le banc des joueurs. Sa place coûte une petite fortune.
Bien entendu, il salue ses voisins et remarque que le fauteuil, sur sa gauche, est libre.
« Bon, il est en retard », se dit-il.
Une fois que le match a commencé, il se penche vers son voisin et lui demande si quelqu’un va occuper ce siège vacant.
« – Non. Le fauteuil est vide. Il n’y aura personne.
– Incroyable. Qui peut être assez con pour manquer un tel match ?
– C’est ma femme.
– Oh excusez-moi, monsieur. Elle est malade ?
– Non.
– Elle n’aime pas le rugby ?
– Non. Elle n’a jamais raté un match en 12 ans.
– Alors quoi ?
– Alors elle est morte.
– Ah, Je vous prie m’excuser. C’est terrible : Toutes mes condoléances.
Mais vous n’auriez pas pu trouver quelqu’un d’autre, un ami, un membre de votre famille ou de celle de votre femme ?
– Non. Personne. J’ai bien essayé, mais ils sont tous retenus aux funérailles ».
 
Soyons moins morbide :
C’est l’histoire d’une femme qui jouait au golf.
Tout à coup elle se fait piquer par une abeille.
Toute affolée, elle se précipite vers le « club house » et explique la situation au commis.
Le commis lui demande à quel endroit elle s’était fait piquer !
La femme lui répond :
« Entre le premier et le deuxième trou ! ».
Et le commis de rétorquer sans ciller :
« Vous aviez sûrement une position trop ouverte madame ! »
 
Contrepèteries de la semaine dernière :
 
« Ah les copulations du pape… Grande question ! »
« Jean-Marc enfla alors dans le trou. »
« Papa est gris, qu’on se le dise ! »
 
Celles de la semaine :
« Les propriétaires de Bordeaux ont de magnifiques hôtels ! »
« Ah les incontinences du père… »
« Vous ne le savez pas, mais Superman a une bouille incroyable ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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