Pour une « petite-tournée »
Jean-Marc vient de mourir et il
aboutit… en enfer !
Il ouvre la porte et en entrant, il
aperçoit son ancien copain Jean-Paul, assis sur une chaise, avec une bouteille
de vodka dans la main et une superbe belle fille nue sur les genoux !
Jean-Marc lui crie : « Hey JP, ça
l’air pas pire ici ! »
Jean-Paul lui répond : « Te fais pas
d’illusions, la bouteille n’a pas de fond et la fille non plus ! »
« – Hé Germaine, sais-tu quelle
est la différence entre un juif, un musulman, un catholique et une auto ?
– Je ne le sais pas. J’ai jamais couché
avec une auto. »
Jean-Paul dit à Jean-Marc :
« – Tu sais plus je vieillis, plus
je deviens fort.
– Ben voyons, vieux con !
– Si, si, je t’assure : À vingt
ans je ne pouvais pas la plier, à 40 ans quelquefois je la pliais, et
aujourd’hui, je la plie quand je veux.
– Et Henry IV en aurait fait un nœud s’il
avait vécu assez longtemps, tout le monde sait ça !
– Tu verras, ça arrivera même à
Gris-veau !
– Celui-là, il a manqué sa vocation de « porno-star »… »
Les mêmes :
« – Ma vue baisse. Je ne sais
pas trop ce qui se passe.
– Rien de mieux que des vacances dans
un camp de nudisme pour régler ton problème.
– Ah oui ! Comment ça ?
– Je ne le sais pas, mais j’ai rarement
vu des nudistes qui portent des lunettes… »
C’est la rentrée au pensionnat de
jeunes filles Sainte-Marie.
La mère supérieure accueille les élèves
avec un petit speech de bienvenue dans lequel elle ne manque pas de rappeler
les principes de la morale religieuse :
« Et pour conclure, je rappelle aux
plus âgées d’entre vous que les facilités de la vie actuelle ne doivent pas
vous empêcher de respecter nos préceptes ! Je veux ici parler du pêché de chair
qui vous conduira en enfer pour l’éternité pour une heure de plaisir ! »
Alors un bras se lève parmi les jeunes
filles :
« Ma mère, comment fait-on pour que
ça dure une heure ? »
La veuve pleure.
Elle pleure à chaudes larmes sur la
tombe de son mari.
Elle hurle de désespoir.
Ses enfants la soutiennent.
« Non. Non. Laissez-moi un
temps, seule avec votre père. »
Puis elle recommence à pleurer.
Un vrai Niagara.
Parfois elle se retourne doucement.
Plus on la regarde, et plus elle
augmente le ton.
« Mon chéri. Mon amour.
Reviens. Reviens-moi ! Je t’aime ! Je t’aime tellement ! »
Soudain, une taupe s’apprêtant à
émerger, fait légèrement bouger la terre dans un coin.
« Mon Dieu, Jean-Charles !
Pas si vite ! Ce que j’en disais, c’était pour rire. Tu sais, je me
débrouille très bien sans toi. Tu as tout le temps. »
Jean-Marc, sur le pas de sa porte,
embrasse sa femme sur le front.
Et il part à toute allure pour ne pas
manquer l’express vers le centre-ville.
« – Chéri, regarde les nouveaux
mariés, en face.
Vois comme ils s’embrassent et se
caressent langoureusement.
Ça ne te tente pas de faire la même
chose ?
– Oui, certainement, mais cette femme,
je ne la connais pas ! »
Jean-Marc va à la confesse et dit
au curé qu’il avait eu une relation avec une femme, ou presque.
Le curé lui dit :
« – Qu’est-ce que vous voulez dire ?
« Ou presque »…
– Voilà, nous nous sommes déshabillés,
on s’est frôlé ensemble puis je me suis arrêté.
– Le fait de se frôler est tout comme
si vous l’aviez mis dedans.
Vous ne devez plus rencontrer cette
femme si ce n’est pas la vôtre.
Pour votre pénitence vous direz cinq
Notre Père et déposerez 50 € dans le tronc des pauvres. »
Jean-Marc sort du confessionnal, va s’agenouiller
sur un banc pour dire ses prières, puis se rend au tronc des pauvres.
Il s’arrête quelques instants, sort un
billet, puis le range et fait quelques pas vers la sortie.
Le curé qui le surveillait s’approche
et lui dit :
« – Vous n’avez pas mis l’argent
dans le tronc des pauvres.
– Ha ? Mais, j’ai frôlé mon 50 €
sur le tronc et comme vous me l’avez dit, c’est tout comme si je l’avais mis
dedans. »
C’était il y a quelques années.
Germaine arrive au bureau et lance :
« Youpi ! Je suis enceinte ! »
Ses collègues se lèvent, l’embrassent
et la félicitent.
« – Qui est le père ?
– Je ne sais pas. Si le p’tit arrive
par devant, c’est Jean-Marc.
Si c’est par derrière, c’est Jean-Paul ! »
Une jolie fille est assise dans un bar
et veut surtout avoir la paix.
Jean-Marc, toujours en chasse l’approche
et avec tout son charme dans le but de passer un bout de soirée avec elle, la
drague.
« – Puis-je vous payer une
consommation et passer un moment avec vous, ma demoiselle ?
– Non, tu vas me parler d’autos, ça ne
m’intéresse pas.
Tu vas me parler de sport, ça ne
m’intéresse pas.
Tu vas me parler de sexe, ça ne
m’intéresse pas. »
Jean-Marc retourne auprès de Jean-Paul
pour finir sa bière et lui raconte les circonstances de son râteau.
Jean-Paul a une idée et tente sa chance
au bout d’une demi-heure.
Il va voir la demoiselle et lui dit :
« – Pardon ma demoiselle, vous êtes
très jolie. Pourrais-je vous parler d’alimentation ?
– Ah oui : Ça, ça m’intéresse !
– Eh ben, mange d’la m… »
Jean-Marc et Jean-Paul discutent :
« – Pourquoi dit-on que les femmes
ont des pouvoirs surnaturels ?
– Aucune idée. D’ailleurs ce n’est pas
vrai…
– Si ! Et c’est parce qu’elles arrivent
à faire lever une chose sans la toucher. »
Une « revenue » :
Le Commodore Haddock, un pilote est à
bord de son avion en plein vol.
Ne sachant pas que les micros de la
cabine des passagers étaient ouverts, il dit à son co-pilote, tout en s’étirant
:
« Ah, j’aimerais ça prendre un
bon café en me faisant faire une pipe ! »
L’hôtesse, ayant réalisé que tous les
passagers avaient entendu le pilote, et de peur qu’il ne dise autre chose, se
dirige rapidement vers la cabine de pilotage. Un passager lui dit en passant :
« Mamzelle, n’oubliez pas le café !
»
Dans « l’originale », il y a
bien des années de ça, Haddock fait son annonce aux passagers que tout va bien
et oublie de fermer son micro quand il dit : « Bon, maintenant, un
petit-café et après je tente ma chance avec la petite hôtesse qui est à l’arrière ! »
L’hôtesse en question se précipite vers
l’avant de l’appareil et Jean-Marc l’intercepte : « Hé, pas
tout de suite ! Il a dit qu’il prendrait un café avant de vous sauter ! »
Encore une ?
C’est Jean-Marc qui se promène
au bord d’un lac, tout à coup il voit quelqu’un qui se débat dans l’eau en
criant « HELP ! HELP ! »
Alors il lui crie :
« Espèce de corniaud ! T’aurais
mieux fait d’apprendre à nager au lieu d’apprendre l’anglais ! »
Une autre :
Superman, après une longue journée à
chasser les criminels les plus dangereux, et les plus terrifiants, décide de
prendre un drink avant d’aller se coucher.
Il appelle Spiderman, mais celui-ci
n’est pas disponible.
Superman fait une série d’appels, mais
ce n’est pas sa soirée, tous ses amis sont occupés.
Il décide alors de faire un tour dans
le ciel de New-York, pour prendre de l’air.
Lorsqu’il passe au-dessus du manoir de
Wonder-Woman, il décide d’aller la saluer.
Il atterri sur sa terrasse, il regarde
par la fenêtre, elle est nue, sur son lit, langoureusement étendue, on dirait
qu’elle est en plein délire érotique.
Il pousse la porte, et
wabadabouuuuuuuuuuuuuuuu ! Ouahhhh ! Superman se déchaîne !
Vite, comme un lapin.
Son « affaire » terminée, il
s’envole aussitôt en lâchant un cri digne de Tarzan !
« Mais qu’est-ce qui se passe
ici ? » demande Wonder-Woman ?
« Je ne sais pas »,
répond l’Homme invisible, « mais j’ai le cul en feu ! »
Dans l’originale, Wonder-Woman était
nue sur sa terrasse, étendue au soleil, les jambes bien écartées…
Les solutions
de la semaine dernière :
« Elle est conquise par cet admirable
sauté de bites ! »
« Ah, les gros mecs… »
« Ce ministre ne veut pas qu’on
l’encule dans la voiture ! »
Série de la semaine :
« Ah, les populations du Cap…
Grande question ! »
« Jean-Marc entra
alors dans le flou. »
« Papy est gras, qu’on se le
dise ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
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