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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 23 février 2020

Sciences et pilosité

Je ne m’en lasse pas…
 
La recherche « scientifique » cherche encore et toujours à répondre à des questions « importantes » voire fondamentales !
Comme par exemple : Pourquoi les femmes préfèrent les torses imberbes ?
Ou encore pourquoi garder ses cheveux blancs est-il mal vu ?
Bé vous ne savez pas, mais pour ces deux questions, non seulement je ne me les suis jamais posées mais de plus, j’ai une « opinion » inverse…
C’est probablement pour ça que je ne suis pas un « scientifique » !
Je n’ai jamais que des opinions, or, les faits auraient la tête dure…
 
Effectivement, pour la seconde question, cela fait des décennies que ça dure. Dès leur apparition, on mettrait la pression à « nos dames » pour dissimuler ces fils d’argent qui signeraient leur plongée dans la vieillesse.
Absurde : Pourquoi faire son âge serait-il un problème ?
N’a-t-on pas le droit de faire ce que lon veut avec sa chevelure?
Et non, il paraît ce nest pas toujours gagné
 
Les femmes sont vaches entre-elles (et toujours en compétition sur tous les sujets). Pas très compliqué pour trouver la « bonne âme prompte » à leur rappeler que le blanc ne sied pas à leur teint.
La bonne copine qui affirme, sans ciller, que « tu vas prendre dix ans dans la vue ».
Ou le coiffeur qui, en découvrant la mèche dissimulée sous la nuque, propose innocemment : « Vous avez déjà pensé à faire une couleur ? Je vous rassure, ce n’est pour tout de suite, mais je vous préviendrai lorsqu’il sera temps. »
 
Après les pattes-d’oie au coin des yeux, ce sont alors les brushings qui finalement accusent des signes extérieurs de vieillesse. Et si elles testent les reflets blonds, roux, auburn, juste pour le plaisir de changer de tête, à un moment elles pensent ne plus avoir le choix : Quand elles ont des cheveux blancs, « faire une couleur » n’est plus une option mais une injonction sociale !
Le signal qui marque le passage de femme mûre à celui de mamie.
La preuve que nos dames, toutes dopées à la performance, soumises au culte de l’apparence, perdent le contrôle : « L’impératif contemporain étant au jeunisme, les femmes s’efforcent de dissimuler les stigmates de l’âge », constate un ethnologue.
« Celles qui s’autorisent les cheveux blancs ont le plus souvent perdu leur conjoint ou ont des petits-enfants. »
Ah oui… ? « Le plus souvent seulement »… Heureusement, c’est comme les antibiotiques, ce n’est pas automatique.
 
Mais c’est aussi une façon pour elles de revendiquer leur statut d’aïeules qui, après avoir été épouses, mères, veuves et/ou grands-mères, ont renoncé à séduire.
Et que dire alors de ces parfois très jeunes filles qui ont succombé à la mode du « granny chic » et se teignent en gris ?
Pour ces jeunettes, faire vieille n’est plus un problème et espérons que cela ne leur passera pas avec l’âge.
Et toutes ces autres, femmes politiques, artistes, réalisatrices ou romancières, qui défient publiquement l’interdit de vieillir, elles comptent pour du beurre ?
C’est sexy, le blanc…
D’autant que pour les « kouillus », la question ne se pose même pas.
Parce que sur eux, le charme des crinières poivre et sel joue à plein.
Quel que soit l’âge de monsieur, il est irrésistible, et teindre sa toison relèverait quasiment de la faute de goût.
 
Pourquoi tant d’indulgence ?
Parce que l’apparition des premiers fils blancs indiquerait leur passage de l’intrépide jeunesse à l’infinie sagesse et attesterait d’un certain accomplissement !
Rien que ça !
« C’est une preuve de maturité plus qu’un signe de virilité. Car l’homme ne vieillit pas il mûrit. »
Complètement tirée par les cheveux (poivre & sel) : Il a surtout et seulement réussi l’improbable pari de survivre jusque-là, dois-je convenir !
Malgré ses handicaps naturels et sa konnerie-native…
 
Question pilosité masculine, justement, une étude « scientifique » et slovaque remet également les points sur les « i » (et les « barreauté »).
Car la séduction passionne vraiment beaucoup les chercheurs (du moment que c’est avec votre pognon, il n’y a pas de honte).
Après ceux qui tentent de comprendre pourquoi les seins des femmes plaisent tant aux hommes, ceux-là s'intéressaient aux effets des torses masculins poilus ou non sur l’attirance féminine.
Une théorie, dite de « l’évitement des ectoparasites », est ainsi remise en cause par un travail des chercheurs de l’université de Trnava.
 
Le zoologiste britannique Desmond Morris décrit l’Homme comme « le singe nu » selon le titre d’un de ses ouvrages. Ou pourquoi sommes-nous le seul primate à ne pas arborer une toison complète sur l’ensemble du corps ?
Les biologistes cherchent la réponse dans les lois de l’évolution : Pour que l’espèce humaine ait perdu peu à peu ses poils, cela devait procurer un avantage incommensurable.
L'hypothèse dominante consiste donc à penser que les poils, même s’ils réchauffent, favorisent l’installation de parasites tels que des poux, dégradant les conditions de vie.
Très peu pour mesdames qui auraient eu une préférence pour les hommes au torse dégarni (imberbes et chauves), risquant moins de les contaminer.
Même si elles sont pour la plupart dépourvues du « poil d’Hercule » entre les seins.
 
Cette vision des choses, reconnaissons-le, relève davantage de l’empirisme que de la validation scientifique. Alors les slovaques ont voulu tester la théorie.
Leur idée : Si l’attirance pour les torses imberbes est guidée par la volonté de ne pas attraper de parasites, alors elle doit être encore plus prégnante chez les femmes vivant dans des territoires aux nombreuses maladies parasitaires…
Et leur analyse a montré que ce n’est pas tout à fait le cas.
Si nous avions le corps recouvert d’une fourrure, les poux de nos cheveux s’y pavaneraient aussi. Alors, en perdant une grande partie de notre pelage, nous avons limité les risques d’être colonisés par une population de parasites.
Le protocole a fait appel à 344 étudiantes : 161 d’entre elles étaient Turques et les 183 autres avaient la nationalité slovaque.
La Turquie connaît un taux de maladies parasitaires (dengue, paludisme ou schistosomiase) plus élevé que la Slovaquie. Ainsi, les scientifiques peuvent tester l’hypothèse, en partant du principe que les femmes d’Anatolie manifesteraient instinctivement davantage d’intérêt pour un corps masculin sans poil que celles d’Europe centrale.
Ces volontaires avaient pour mission de noter l’attirance que suscitaient chez elles des clichés de torses d’hommes poilus ou non.
Et pour éviter les biais expérimentaux, les auteurs ont demandé aux « mannequins » de se photographier avant puis après s’être rasé la poitrine, de façon à ce que le seul paramètre qui change soit la fourrure pectorale et abdominale.
J’avoue que les miens ont mis tellement de temps à pousser, qu’il ne me viendrait pas à l’esprit de les ôter…
Mais passons.
 
Leurs prédictions originelles n’ont pas été vérifiées. Turques et Slovaques préfèrent dans des taux très similaires (à près de 80 %) les hommes les moins velus. Peu importe les taux de maladies parasitaires, la seule conclusion qui s’affirme, c’est ces femmes-là n’aiment tout simplement pas les poils !
Les auteurs comptaient élargir leur étude et y inclure d’autres populations pour vérifier l’universalité de leur découverte. De précédents travaux avaient par exemple montré que les Camerounaises préféraient les torses bien garnis, à la différence des Chinoises, Néo-Zélandaises ou Californiennes.
Mais cela pourrait être plus complexe encore : D’abord le manque de subventions et ensuite la période du cycle menstruel rentrerait en ligne de compte.
Durant sa phase de fertilité, une femme aimerait davantage les hommes imberbes tandis qu’elle manifesterait plus d’intérêt aux poils le reste du temps.
 
Mais avant de poursuivre plus loin leurs expériences, il est à noter un point un peu bancal : Comme précisé, des scientifiques considèrent la perte de poils comme un avantage adaptatif contre les maladies parasitaires. Et principalement contre les ectoparasites, ceux qui à l’instar des poux, vivent à nos dépens sur la surface de notre corps.
Or, si effectivement les parasitoses sévissent plus en Turquie qu’en Slovaquie, les trois maladies qu’ils spécifient dans leur travail (paludisme, dengue et schistosomiase) sont causées par des endoparasites, dues à des vecteurs retrouvés à l’intérieur du corps.
Dès lors, on voit mal comment ils peuvent invalider l’hypothèse de l’évitement des ectoparasites s’ils ne s’y intéressent pas…
 
Par conséquent, la « science » patauge complétement dans la pilosité, féminine et masculine.
De toute façon, il n’y a qu’à voir les « ritaux » en maillots de bain sur les plages de « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » pour se rendre compte que l’aspect « ours mal-léché » attirent les « ritaliennes » comme un pot de miel le ferait des mouches.
Bon, ça fait un peu « sauvage » sur le fronton et parfois dans « l’envers du décor », ça fait peut-être « viril », mais ça accroche aussi les grains de sable.
Et puis ça sèche moins bien au soleil et les cristaux de sel restent accrochés aux poils jusqu’à les blanchir…
D’ailleurs, pour éviter ces désagréments, leurs dames s’épilent les gambettes.
Jusqu’à la marque du maillot de bain.
Au-delà, je ne sais pas, mais je dois dire qu’un minou tout velu a autant de charme qu’un autre « tout nu »…
 
Bref, on ne sait pas encore tout de tout, mais clairement, un torse imberbe rajeunit.
Alors qu’une tonsure blanchie fait vieillir son propriétaire…
Et puis question « pilosité », les « chercheurs-scientifiques » ne se posent pas la bonne question : Quid du port de la moustache ?
 
Bonnes réflexions de fin de week-end à toutes et tous !
 
I3

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