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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 2 février 2020

Toujours l’orgasme sexuel !

Et après, on va dire que c’est encore moi l’obsédé !
 
Mais non ! Les scientifiques les plus sérieux sont également captivés par ce qu’ils appellent le « fossé orgasmique »…
En effet, ils ont constaté (comme beaucoup de « pratiquants ») qu’il existe une disparité flagrante entre les hommes et les femmes !
Ce n’est pas nouveau…
Or, en étudier les causes et d’une façon générale l’orgasme en soi, n’est pas chose facile.
Au Canada (Université Concordia sise à Montréal), ils ont fait profession de rechercher les intimes soubresauts de la « psychologie du comportement sexuel ». Et en disent qu’ils s’intéressent « en particulier » à la « controverse » entourant l’orgasme clitoridien, par opposition à l’orgasme vaginal.
Érudits, ces gens-là…
 
Ils ont même publié une synthèse de la documentation sur l’état actuel des connaissances et les différents points de vue concernant ce « phénomène » chez … la femme.
Effectivement, la caractérisation de l’orgasme féminin fait l’objet de débats depuis plus d’un siècle. Bien que les scientifiques aient une idée de ce en quoi consiste un orgasme, il existe encore une bonne part d’incertitude concernant la façon dont il se produit.
Ce qui nécessite encore plus d’argent et de neurones « en marche » pour lever doutes et mystères, vous pensez bien : Que ne sacrifierait-on pas pour le bonheur de « nos dames-bien-aimées » (et adulées) ?
 
Et ils découvrent (ou confirment) que l’orgasme compte parmi les rares phénomènes qui surviennent à la suite de l’interaction simultanée et hautement complexe de plusieurs mécanismes physiologiques et psychologiques !
Non mais… stupéfiant, n’est-ce pas ?
Il existe d’ailleurs peut-être des raisons évolutives expliquant pourquoi les hommes sont plus enclins à atteindre rapidement l’orgasme durant les relations sexuelles, alors que ce n’est pas toujours le cas de « nos dames ».
Toutefois, ils reconnaissent qu’une partie du problème réside probablement dans la chambre à coucher…
Des qui n’ont jamais essayé sur une plage déserte ou au fond d’un bois, voire dans un champ de « hautes-herbes » ou sur une meule de foin…
 
En effet, d’après eux et avec une grande perspicacité du phénomène, chaque personne a ses préférences quand il est question de pratiques sexuelles. Ils notent cependant que nous avons tous un point en commun : « Nous savons ce que c’est d’avoir un orgasme, ou de ne pas en avoir. Il peut nous arriver d’avoir un rapport sexuel sans atteindre l’orgasme, et c’est tout à fait normal. »
Ah ?
En effet, les gens peuvent avoir des relations sexuelles pour différentes raisons.
Personnellement, je n’en vois qu’une, mais comme vous le savez, je n’ai qu’un seul neurone en état de marche (qui dicte sa loi à tout le reste), celui du « nerf-honteux ».
« Il reste toutefois que de nombreuses études ont montré que les femmes atteignent l’orgasme moins souvent que les hommes durant une relation sexuelle. »
Ah ça… !
 
À titre d’exemple, lors d’un sondage d’envergure nationale mené aux États-Unis pour un orgasme rapporté par une femme, les hommes en ont déclaré trois !
Les hommes hétérosexuels ont dit avoir fréquemment, ou toujours, atteint l’orgasme au cours d’une relation intime, soit 95 % du temps.
Cette disparité semblait moins grande chez les personnes homosexuelles et bisexuelles, alors que 89 % des hommes homosexuels, 88 % des hommes bisexuels, 86 % des lesbiennes et 66 % des femmes bisexuelles ont dit atteindre l’orgasme durant les rapports sexuels.
Pôvres bêtes !
Mais qu’est-ce qui peut expliquer ce « fossé orgasmique » ?
 
Les recherches montrent que le type de relation que nous entretenons avec notre partenaire y est pour quelque chose. Ainsi, dans le cas d’une personne engagée dans une relation à long terme, le fossé aura tendance à se réduire, tandis qu’il sera plutôt porté à se creuser dans le cas d’une relation sexuelle occasionnelle.
Ainsi, les femmes engagées dans une relation durable disent atteindre l’orgasme à une fréquence élevée, jusqu’à 86 % du temps, tandis que celles qui privilégient les relations sexuelles occasionnelles mentionnent avoir un orgasme 39 % du temps seulement.
Logique…
Soulignons par ailleurs que les femmes hétérosexuelles atteignent souvent et facilement l’orgasme par la masturbation…
Simple, quoi…
 
De même, plus le partenaire a une connaissance approfondie des organes génitaux féminins (en particulier du clitoris), plus les probabilités que la femme ait des orgasmes fréquents sont élevées. Enfin, et surtout, les répondants ont signalé que le type de stimulation le plus fiable pour atteindre l’orgasme chez la femme est le sexe oral.
Forcément, quoique…
Car en fait ils ignorent toujours pourquoi il existe un tel écart entre les rapports sexuels occasionnels et les relations à long terme.
Probablement qu’une partie de la réponse réside dans la façon dont nous communiquons nos désirs et nos attentes sur le plan sexuel, ainsi que dans notre attitude à l’égard du plaisir sexuel, tout simplement…
 
La clé pour atteindre l’objectif ultime – avoir du plaisir – serait de savoir ce que votre partenaire et vous-même désirez, et comment vous satisfaire mutuellement.
Par conséquent, toute éducation sexuelle incomplète ou biaisée – qui omet le fait que la sexualité ne concerne pas uniquement la reproduction ou les MST, mais inclut aussi le plaisir – nuirait tant aux hommes qu’aux femmes.
Qu’ils avancent-ils…
Moâ, je n’en ai pas eue : J’ai appris tout seul !
En fait j’ai découvert (très tôt), c’est qu’il s’agit du des passe-temps favoris des adultes.
Et ces « scientifiques-là » de conclure que tenter d’empêcher les rapports sexuels aujourd’hui ne fera qu’augmenter la probabilité que de futures générations s’y adonnent encore plus.
Tant mieux, du moment que c’est entre « adules consentants » !
Sauf qu’elles en sauront encore moins sur la façon d’en tirer un maximum de satisfaction.
Elles trouveront toutes seules au fil du temps…
 
Il n’empêche, les femmes atteignent l’orgasme moins souvent que les hommes, c’est un fait affligeant.
Face au « fossé orgasmique », votre première réaction sera peut-être de pointer du doigt et de rejeter le blâme sur autrui : Les attitudes culturelles, la religion, la société, le système d’éducation, votre ex., etc. Néanmoins, toute personne un tant soit peu rationnelle conviendra que le fossé orgasmique est un « phénomène multifactoriel ».
Quand il est question de votre propre intimité, les statistiques ne pèsent pas lourd dans la balance.
En effet, dans une chambre « à coucher » (la bien-nommée…), il n’y a que vous et votre ou vos partenaires, et c’est tout ce qui compte.
Il n’est pas possible de créer ni de déclencher d’orgasme chez autrui : On ne pourrait seulement que le rendre plus facile à atteindre, plus agréable et plus satisfaisant pour le (ou les) partenaire(s) !
Belle découverte « scientifique », n’est-ce pas ?
 
« Même si vous avez une bonne idée de ce qu’aime votre partenaire au lit, il reste que les goûts varient considérablement d’une personne à l’autre. Par conséquent, comprendre ce que votre partenaire désire – comment, quand, où et pendant combien de temps – requiert de l’ouverture, une confiance mutuelle et surtout, une bonne communication. »
Je ne dirai pas mieux…
Ces éléments clés acquis sont peut-être les ingrédients qui manquent dans beaucoup de relations, tant occasionnelles qu’à long terme, finalement.
Nous pourrions toutes et tous faire preuve de plus d’ouverture et d’humilité, et reconnaître qu’avec une bonne attitude et la bonne personne pour nous renseigner, il est possible de rendre la chose meilleure.
 
En effet, vos prouesses sexuelles et vos habiletés à satisfaire votre partenaire s’améliorent forcément avec de la pratique. Et il va sans dire que la vie sexuelle devrait se bonifier après des expériences négatives.
Finalement, ils reconnaissent qu’il y a très peu de choses en ce monde dont tous et toutes peuvent profiter, et l’orgasme en fait partie. « Rappelez-vous que le plaisir sexuel ne réside pas dans l’atteinte du sommet de la montagne, mais dans le chemin emprunté pour s’y rendre. »
Arf…
Alors, que peut-on faire ?
Parler, faire preuve de confiance et porter attention à son partenaire.
Mais c’est déjà nouer des liens qui transcendent la simple relation sexuelle, n’est-ce pas !
Un « truc » vieux comme le monde, ça…
 
Et ils insistent : La notion de satisfaction revêt différentes significations selon les personnes. « Ce qui importe vraiment reste ce que vous et votre partenaire désirez. Briser le plafond de verre de l’orgasme est un effort d’équipe. La sexualité est agréable – et chacun et chacune a des choses à apprendre sur le sujet. »
 
Je vais vous dire : Quand on balance des banalités pareilles, des lieux-communs si insipides, je ne sais pas si ça mérite vraiment le terme de « recherches scientifiques ».
Mais bon, c’est de l’impôt canadien, alors je m’en contre-tamponne le coquillard (et les roubignoles) avec démesure !
Ça valait quand même la peine de vous le faire savoir (à défaut de savoir-faire).
De toute façon, je me suis toujours méfié de ceux qui en parlent : En général, ils ne font qu’étaler leurs insondables carences à défaut de faire correctement.
Surtout sur ces sujets…
 
Dommage,
Mais bonne fin de week-end tout de même à toutes et à tous !
Et bonne « chevauchées fantastiques » aux unes et aux autres…
 
I3

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