Et vous ne savez pas combien !
L’autre jour j’apprends par hasard que vos
« agri-kuls » bloquaient les dépôts de raffinerie d’essence (le bon
diesel de vos « tas-de-boue-à-roulettes ») au motif que « Total-grou-pire-pétrolier »
avait reçu la permission de raffiner aussi de l’huile, non pas d’olive, mais de
palme !
Il faut dire que l’huile de palme, ça n’a aucun goût.
Alors que l’huile d’olive, même dans un savon ou un steak-grillé, c’est
incomparable…
En fait, tout cela est plus
« subtil » : Il s’agit de protester vertement contre leur « sinistre »
(dont ce n’est pas le dossier de compétence-première) contre le CETA suite du
« mort-né » Tafta.
Mort, parce qu’avec « Trompe » qui y va de
ses taxes sur tout ce qui vient d’ailleurs (un vrai « populiste » à
lui tout seul, au point de se faire jeter du G7), ce traité n’est pas prêt de
voir le jour : Des années de négociation « secrètes » payées
avec vos impôts jetées aux ordures…
Les meks, ils n’ont rien compris.
On s’en contrecogne des problèmes d’huile « à qualité
égale » : Ils devraient plus s’inquiéter des
« écololos-bobos » et autres « végans » (végétariens,
végétaliens) qui, parce que le marxisme-gôchisant est mort (en fait, parce
qu’il n’a plus rien à apporter : La nationalisation d’une économie
libérale telle que celle de la « Gauloisie-des-droits-de-l’homme »
d’inspiration libérale sinon libertaire est achevée ou en voie de l’être et
qu’il n’y a plus de « modèle-up-to-date » à conquérir [cf. la mort du
PCF et celle du « P.soce »]) et qu’il s’agrège, coopère désormais
avec d’autres formes « d’anti-tout ».
N’importe quoi faisant l’affaire.
Comme disait l’autre, les « idéologies des
loosers », dépassés par leur époque, laissés sur le quai du train qui est déjà
loin…
Ceux-là prétendent souvent vivre « sans Dieu ni
maître », c’est pourquoi ces héritiers spirituels de Blanqui, Lénine, Mao
et de Marx, passent leur vie-militante à faire des leçons de morale aux autres
et n’ont de cesse de vouloir imposer leurs préceptes à la Terre entière alors
qu’ils feraient mieux de bosser un peu, juste pour voir ce que c’est, à défaut
d’aller jeter un coup d’œil sur ce que le propose le Califat islamiste…
Avant, il y a longtemps, dans un autre millénaire,
c’était surtout durant le prêche de la messe dominicale (ou shabbat voire le
vendredi de prière) que l’on avait droit à un sermon sensé remettre les brebis
égarées dans le droit chemin. Aujourd’hui, c’est tous les jours qu’on vous
explique qu’il ne faut pas manger de viande, ne pas manger trop gras, top salé,
trop sucré, qu’il faut trier ses déchets, ne pas rouler en diesel, craindre plus
que tout le nucléaire …
Il est vrai qu’aujourd’hui, plus trop de monde ne va à
la messe le dimanche midi. Encore un peu à la synagogue (mais c’est surtout
pour se montrer), beaucoup plus dans les prêches de rue. Et pour cause, le grand
Karl (Marx, pas Groucho) l’a établi : La religion, c’est l’opium du Peuple.
C’était soi-disant l’outil idéal (c’est le cas de le dire…) avec
lequel le bourgeois aliénait le prolétaire.
Une rapide discussion sur la religion avec un esprit
critique éclairera le sujet : Elle commencera toujours par des éléments
rationnels affichant le manque de preuves de l’existence d’une ou de plusieurs
divinités (les fakes-news
invérifiables par quelques journaleux accrédités mais absents ce jour-là) et se
clôturera par cette démonstration définitive : Si il y a un Dieu qui sait tout,
voit tout, connait tout… alors l’Histoire est déjà écrite et donc la liberté
n’existe pas.
Bon ça, c’est mon côté « papiste-rebelle ». La
liberté et le divin seraient incompatibles.
Le côté « papiste-catéchèse » me laisse
penser qu’en réalité, si Dieu existe, Il a fait l’homme à son image
(complètement ratée quand on voit tous ces meks en culottes courtes courir à 22
après le même ballon avec des airs-supérieurs), mais en tout cas
« libre ».
Il aurait pu « ne pas faire » ce monde,
l’univers et cette créature absurde qui ne pense qu’à forniquer avec la
« pouliche-pas-à-lui », picoler des demis et éventuellement jouer au
tiercé…
Et qui en souhaitant Le nier (ni Dieu ni maître
signifie que la morale est forcément subjective, l’inverse voulant dire qu’il
existerait un « constructeur » de la morale qui régirait nos vies) ne font que
le recréer sans même sans rendre compte (c’est dire que le
« bug-fondateur » est profond) : Un Dieu ou un maître.
Et du coup même les héritiers spirituels de Blanqui,
de Marx, de Léo Ferré ou de Renaud et quelques autres, passent-ils leur vie à
faire des leçons de morale à tout le monde et n’ont de cesse de vouloir imposer
leurs préceptes à la Terre entière !
Fabuleux de crânerie.
Nous avons tous vu ces vidéos terribles prises dans
des abattoirs et dénonçant les atteintes faites aux animaux : Le « spécisme »,
faire une distinction entre les êtres vivants, relèverait de la même déviance
morale que porter un jugement de valeur sur les êtres humains en fonction de
leur couleur de peau (racisme), leur sexe (machisme), leur orientation sexuelle
(homophobie), leur origine ethnique (anti-Corsu), etc… et donc tuer des animaux
serait condamnable au même titre que tuer des êtres humains.
J’en viens à me demander comment ils arrivent à
concilier la virulente condamnation morale de la mort d’un bébé vache (conçu,
né et élevé pour ça) et la revendication du droit à éliminer les embryons
humains non désirés ? On n’a pas beaucoup vu de « végans » ou « d’écololos-bobos »
tourner de vidéos dans des centres de planning familial ou les « usines à
avorter »…
Moi, je connais (un peu) et je peux témoigner du drame
de « nos dames ».
Certaines ne se reconstruisent pas, d’ailleurs…
tellement c’est lourd.
On peut aussi se demander comment ils arrivent à faire
une distinction entre les végétaux (comestibles) et les animaux (non
comestibles) sans faire appel à quelque chose qui de près ou de loin ne serait
pas du « spécisme ». Les deux ne sont-ils pas des êtres vivants ?
D’ailleurs, on sait que les plantes voient, sentent, entendent et communiquent
entre-elles…
Bref, ce n’est pas le propos : Mes
contradictions, j’ai déjà du mal à assumer, alors celles des autres,
franchement…
Reste que l’élevage produirait des vilains gaz à effet
de serre. Personnellement, je ne comprends pas trop : Le corps d’un animal
étant en grande partie composé de composés carbonés, celui-ci n’est rien d’autre
qu’un puits à carbone !
En effet s’il n’existait pas sous forme de muscles et
de tissus, ce carbone se retrouverait forcément ailleurs, donc très
probablement dans l’atmosphère avant d’avoir été fixé par la photosynthèse des
plantes que l’animal a mangées.
Notez qu’heureusement le gaz carbonique est plus dense
que l’air, sans ça, il faudrait aller chercher du foin à bestiau dans les
hautes altitudes himalayennes…
Le corps humain est probablement une merveilleuse
machine (pas nécessairement « divine ») qui sait elle-même fabriquer
tout ce dont elle a besoin pour fonctionner, s’entretenir, se réparer quand
nécessaire, sauf qu’elle a besoin d’eau (qui la compose aux deux tiers), et de
quelques doses quotidiennes de graisse, de sel, de sucre et de protéine.
Mais ça produit des déchets (étrons, urines et autres
crottes). Notez que sur les 910 millions de tonnes de déchets produits par an
en « Gauloisie-des-poubelles », 23 millions sont des ordures
ménagères dont à peine 20 % est réellement recyclable. Mais vous êtes priés de
faire le tri de vos déchets domestiques même si ça ne concerne donc en fait que
0,5 % des déchets produits à l’échelle du pays : On vous refile des
poubelles spéciales pour ça et on paye même les syndics de copropriétés pour
qu’ils les casent dans vos parties-communes.
Notez également que même pour un des éléments les plus
facilement recyclable, l’aluminium, les emballages triés puis recyclés ne
représentent que 5 % de la consommation annuelle du métal. Quant aux bouteilles
en verre, je n’ai toujours pas compris ce qu’il y avait d’économe en énergie à
faire fondre les bouteilles pour en faire de nouvelles plutôt que de les laver
et de les réutiliser, même si je sais que la chaîne logistique du verre-étoilé
(bouteille de 98 cl) est un enfer financier.
En fait, le recyclage est avant tout une question
industrielle et le tri ménager n’a qu’un impact infinitésimal sur la
consommation de ressources naturelles et la pollution. Mettre votre canette
dans la poubelle de la bonne couleur a quasiment comme seul effet celui de
flatter votre ego de superhéros sauveur de la planète.
En revanche, personne ne s’inquiète du phosphore qu’on
balance au fond des océans (sous la pression des « écololos-bobos »),
alors que c’est
« l’INDISPENSABLE » à la vie !
Et il n’y a en plus que pour 335 années de
consommation à raison de 2g/jour par humain…
Et c’est sans même causer de votre moteur diesel
(celui de votre « tas-de-boue-à-roulettes »). Avant c’était bien,
solide, énergétiquement plus économe, maintenant c’est mal. Il faut dire que
dans l’intervalle, on s’est rendu compte que la demande de gasoil ayant
explosé, le prix hors taxe d’un litre de super a été rattrapé par celui du
litre de gasoil qui n’était auparavant qu’un sous-produit du raffinage de
pétrole.
On s’est aussi rendu compte que le diesel pouvait
facilement passer du statut de carburant pour voiture à celui de carburant pour
dépenses publiques. Mais il fallait bien trouver une bonne raison pour
justifier l’augmentation des taxes et la hausse du prix du diesel.
Donc, donc… le diesel, est devenu tout d’un coup plus
toxique et plus taxé.
Et même cette abrutie de « Sœur-Âne » qui
n’a rien compris des délires de son adjoint « écololo-bobo » aux
transports (« Nage-Ove-ski ») de carrément l’interdire pour que quand
elle aura été virée de son bureau…
Tuer la poule-aux-œufs-d’or, faut-il être
crétin !
Mais il n’y pas que ça : Le nucléaire, c’est très,
très mal !
Quelle planète allons-nous laisser à nos enfants ?
Voulons-nous vraiment une planète radioactive pour les générations futures ?
Bien sûr que non ! Et la meilleure solution pour
éviter cela s’appelle la centrale à charbon, dépolluée et non-nucléaire !
Alors que la fission nucléaire, comme toute réaction chimique
suit pourtant le second principe de thermodynamique (ou principe de Carnot,
énoncé en 1824). L’énergie extraite du combustible nucléaire fait que cette
matière est bien plus inerte avant qu’après.
En fait, il suffirait de mélanger les « déchets
nucléaires » dans les roches dont est extrait le combustible d’uranium et de
tout remettre à sa place pour constater que le résultat est bien moins
radioactif que n’était le gisement de minerai originel.
Remplacez une religion, elle revient au galop et ce
qui est visé par les libertaires « écololos-bobos », c’est que demain
encore, il faudra un État-flic pour contrôler la filière.
Pour des millions d’années… ce qu’ils ne veulent
pas : Ils préfèrent les « no-go-zone », sans flic.
Mais aussi sans radiations, parce que les flics
n’iront pas, naturellement, à moins d’être suicidaire à espérance de
vie-courte…
La morale laïque qui encombre les spots publicitaires
et les magazines et qui vous dépeint le monde rempli d’œuvres diaboliques
tentatrices qu’il faut fuir à tout prix, crée une mythologie qui nous pourrit
la vie, nous détourne des vrais problèmes et des possibles solutions et est
joyeusement instrumentalisée par toute une bande de gourous qui vivent
grassement des peurs des gens au premier rang desquelles il y la peur des
religions, surtout quand celles-ci proviennent de l’étranger et qu’elles nous
sont inconnues.
Y a-t’il pourtant plus à craindre d’une religion, avec
un ordre et donc des responsables identifiables ou d’une pseudo-religion sans
visage, sans responsable, sans contre-pouvoir et qui se faufile insidieusement
dans la société pour imposer sa vision morale coercitive et en décliner
foultitude de lois et de taxes ?
C’est une question : Moâ, avec ce qui me reste à
vivre, je m’en fous, finalement.
Mais revenons à notre sujet : Manger de la
viande, c’est crime contre la planète.
Le bestiau pollue, eutrophise nos rivières à poisson
avec ses excréments, bouffe une quantité de flotte ahurissante, monopolise
quantité de champs agricoles pour son alimentation au détriment des pôvres
affamés de la planète (on nous a tellement fait pleurer avec des images de
gamins victimes de famines abominables générées par des guerres tribales qu’on
s’est bien gardé de neutraliser… suscitant des dons aux œuvres de parrainages,
même qu’un « sinistre-de-la-ville » allait livrer « à dos
d’homme » des sacs de surplus de riz américains sur les plages africaines
avec vos impôts… : Le dénommé « Couche-nerf », pas du tout
instrumentalisé le « french-doctor »).