De
Jean-Marc, naturellement…
De garde à la récréation, une institutrice affolée appelle l’infirmière de
l’école :
« – Jeannine ! Jeannine ! Le
petit Jean-Marc a avalé du sable et
du ciment. Qu’est-ce que je dois faire ?
– Surtout, ne le faite
pas boire ! »
Le professeur demande au petit Jean-Marc
:
« – Peux-tu me nommer un animal
qui s’attache facilement à l’homme ?
– Oui, monsieur, une
sangsue. »
L’autre jour, la voisine de Jean-Marc
et Germaine arrive en courant dans le hall de l’entré de leur immeuble.
Elle sautait de joie !
Ils ne savaient pas pourquoi, mais sans nous poser de question le couple
se met à sauter avec elle !
« – J’ai une bonne nouvelle !
– Bien, de quoi s’agit-il
? »
Elle arrête de sauter, et toute essoufflée, annonce qu’elle est enceinte !
C’est ce qu’elle désirait depuis un long moment.
Elle est félicitée et Jean-Marc et son épouse lui disent qu’ils sont très
heureux pour elle.
« – Il y a plus…
– Comment cela ?
– Il n’y a pas qu’un
bébé, nous allons avoir des jumeaux ! »
Étonnés qu’elle puisse le savoir si tôt dans sa grossesse, Germaine lui
demande comment elle a su.
Et elle répond :
« C’est facile, j’étais allée
m’acheter un test de grossesse, un emballage de deux, et les deux tests étaient
positifs » !
Il est écrit dans la bible qu’Adam était l’homme le plus heureux au monde
et que jamais un autre homme ne sera aussi heureux que lui.
Des scientifiques ont entrepris une recherche exhaustive afin de
déterminer la source de son bonheur.
Cette recherche devait durer plusieurs mois et les budgets étaient votés. Or,
elle s’arrêta nette après quelques heures seulement.
Savez-vous pourquoi ?
Un des scientifiques s’est aperçu qu’Adam n’avait pas de belle-mère…
L’homme est recommandé pour toutes les femmes en général. Il est très
efficace dans la plupart des cas de mélancolie, de découragement, d’anxiété,
d’irritabilité, de mauvaise humeur et d’insomnie.
DOSAGE ET POSOLOGIE :
L’homme peut être utilisé facilement deux ou trois fois par semaine et
même plus. Si les symptômes ne disparaissent pas rapidement, la dose peut être
augmentée à volonté.
L’homme peut aussi être utilisé de manière externe ou interne selon les
besoins.
PRÉSENTATION :
L’homme est offert en plusieurs formats destinés à répondre aux différents
besoins et goûts : Mini, Midi, Maxi et même Méga.
PRÉCAUTIONS IMPORTANTES :
Conserver l’homme hors de portée des amies, sœurs, voisines, collègues et
autres personnes souriantes et bien intentionnées qui peuvent endommager le
produit.
Manipuler avec soin : L’homme explose facilement sous la pression, en
particulier en association avec l’alcool. Il est également déconseillé de
l’utiliser immédiatement après les repas.
EFFETS SECONDAIRES :
L’utilisation inappropriée de l’homme peut entraîner la grossesse ou un
excès de jalousie. L’utilisation concomitante d’autres produits de la même
espèce peut aussi provoquer des vertiges, de la fatigue chronique et, dans les
cas extrêmes, des crises de nerfs.
L’utilisation excessive de l’homme peut par ailleurs produire des douleurs
dans les hanches ou l’abdomen, des entorses, des raideurs musculaires, des
blessures de divers types et sensations… diverses…
DATE D’EXPIRATION :
Le numéro de lot et la date de fabrication apparaissent sur la carte d’identité
et la carte de crédit.
Notez que l’homme existe sur le marché en plusieurs marques de contrefaçon
dont l’effet est totalement opposé, c’est-à-dire qu’en plus de ne pas être
efficace dans le traitement, il aggrave les symptômes et empire la situation.
INSTRUCTIONS GÉNÉRALES :
Lors de l’ouverture du paquet, dans tous les cas ne jamais afficher un air
déçu. Cela va immédiatement influencer très négativement sa qualité et son
efficacité. Un air très heureux, ébloui ou apeuré produit à chaque fois un
impact très positif sur son bon fonctionnement.
Pour l’activer, le port d’un décolleté, une petite remarque suggestive,
des petits bisous sur le cou ou de légers mouvements lascifs du buste ou du postérieur
suffisent généralement.
Recharger les batteries trois fois par jour : Déjeuner, dîner et souper.
Plus que cela peut provoquer des effets indésirables tels le sommeil, l’épuisement,
ou des troubles érectiles.
L’encourager souvent pour le garder en bon état.
GARANTIE :
L’homme n’a pas de garantie. Tous les modèles sont sujets à des défauts
d’usine comme critiquer, se plaindre, boire beaucoup, laisser des serviettes
humides sur le lit et des chaussettes sales sous le lit, manger de l’ail et des
oignons, oublier les dates d’anniversaire, ronfler.
Il peut être avantageux de renouveler le modèle lorsque le fonctionnement
est trop altéré.
« Ma grand-mère est tellement
bourrée de pilules que quand elle éternue, elle guérit quelqu’un. »
« Lui là, y’est tellement
pingre qui parle du nez pour ne pas user son dentier. »
« Chez nous les murs sont
tellement minces, que quand j’épluche un oignon, mon voisin se met à pleurer. »
« Mon oncle est tellement hésitant
en voiture que les mouches s’écrasent parfois sur la vitre arrière. »
« On est tellement pauvre qu’on
fait cuire les saucisses debout pour économiser le beurre ! »
« Paris, ma ville est tellement
polluée qu’à tous les matins, le coq ne chante pas… Il tousse ! »
« Mon beau-frère est tellement
paresseux qu’il dort debout pour pas avoir besoin de se lever. »
« Mon oncle est tellement grand
que quand il se penche pour ramasser quelque chose, il a le temps d’oublier ce
que c’est ! »
« Notre entreprise est
tellement peu rentable que 80 % des profits proviennent de la machine à café. »
« Mon mek-à-moi parle tellement
pas souvent que quand il ouvre la bouche, ça sent le renfermé ! »
« Ma mère se couche tellement
tard et se lève tellement tôt qu’elle se croise dans l’escalier. »
« Cette année mon père a fait
de la motoneige tellement tard que la chenille de son ski-doo s’est changée en
papillon ! »
« Ma chambre est tellement
petite qu’on peut pas mettre deux couches de peinture. »
« Y’a tellement de poissons
dans le lac près de chez nous qu’y faut les tasser pour prendre une douche »
« Ma grand-mère est tellement
vieille que même sur sa carte d’assurance maladie, le soleil est couché. »
« – Comment appelle-t-on un
chauffeur de corbillard ?
– Un pilote-décès. »
Après trois jours et trois nuits de bloc et de garde, le pauvre
anesthésiste monte enfin dans l’avion qui le conduit au club-med d’Hammamet.
Quelques minutes après le décollage, l’hôtesse passe l’annonce suivante :
« Une anesthésiste est demandé en
première classe ».
Trop épuisé pour se sentir utile, il ignore l’appel.
Malheureusement, quelques instants plus tard l’hôtesse renouvelle son
appel d’une voix angoissée.
N’écoutant que sa conscience professionnelle, il se présente à l’hôtesse
qui le conduit en première classe devant un fauteuil où un homme d’une bonne
cinquantaine d’années lit tranquillement son journal.
L’anesthésiste se penche vers lui et lui dit :
« Vous avez un problème
monsieur ? »
L’homme le regarde et lui demande :
« – Êtes-vous anesthésiste ?
– Oui, que puis-je pour
vous ?
– Bonjour, je suis
chirurgien. Pourriez-vous me régler la lumière ? »
Jean-Marc circule sur l’autoroute à vive allure.
Soudain, à sa plus grande surprise, il voit dans son rétroviseur un poulet
à 3 pattes qui se rapproche à toute vitesse de lui, puis le dépasse.
Stupéfait, il accélère et parvient avec peine à le suivre.
Après quelques kilomètres, il voit le poulet prendre une sortie
d’autoroute.
Jean-Marc continue la poursuite et arrive sur une route nationale.
Le poulet à 3 pattes quitte alors la nationale pour s’immobiliser dans une
cour de ferme.
Jean-Marc, suivant le mouvement, s’arrête à son tour dans la cour.
Il voit alors autour de lui tout un élevage de poulets à 3 pattes et un
fermier occupé à leur jeter des graines.
Toujours aussi intrigué, Jean-Marc interroge alors ce dernier :
« – Dites-moi… Ils sont à vous
tous ces poulets à 3 pattes ?
– Hé oui !
– Mais… Comment se
fait-il qu’ils aient trois pattes ?
– C’est simple !
Modification génétique. Comme en général, ce que les gens préfèrent consommer,
c’est la cuisse de poulet, on a manipulé les gènes du poulet de manière à ce
qu’ils aient 3 pattes. C’est beaucoup plus rentable !
– Et… Ils sont bons vos
poulets ?
– On sait pas, on n’est
jamais parvenu à en attraper un ! »
« – Quel est le pluriel d’un
coca ?
– Des haltères. »
Car un coca désaltère.
« – Comment savoir quand un
homme est atteint de la maladie de la vache folle ?
– Quand il commence à
tuer les mouches avec sa queue. »
Petit Jean-Claude voit l’auto de son père passer près du parc et se
diriger vers le bois.
Curieux, il suit l’auto et voit son père et sa tante Marie-Jeanne dans une
« embrassade passionnée »…
Petit Jean-Claude est tout excité et peut à peine se retenir alors qu’il
retourne à la maison en courant et commence à raconter à sa mère :
« MAMAN ! MAMAN, J’ETAIS AU PARC ET PAPA ET… ET… »
Sa mère lui dit de ralentir et de reprendre du début, elle veut entendre
son histoire. Donc petit Jean-Claude reprend :
« J’étais au parc et j’ai vu
l’auto de papa s’en aller vers le bois avec tante Marie-Jeanne. Je suis allé
voir et j’ai vu papa donner un gros baiser à tante Marie-jeanne, puis là, il
l’a aidé à enlever son chandail, puis après, tante Marie-Jeanne a aidé papa à
enlever son slip, puis tante Marie-Jeanne s’est étendue sur le siège, puis
Papa… »
À ce moment-là sa mère, contenant sa colère, le coupe et dit :
« Mon petit Jean-Claude, ton
histoire est tellement intéressante que tu devrais garder la suite pour l’heure
du souper. Je veux voir l’expression dans le visage de papa quand tu vas la
raconter. »
Donc, le soir venu, autour de la table, maman demande a petit Jean-Claude
de raconter son histoire.
Petit Jean-Claude commence son histoire en décrivant l’auto dans le bois,
le déshabillage, étendue sur le siège, et :
« … Puis après, papa et tante
Marie-Jeanne ont fait la même chose que maman et oncle Jean-Charles avaient
l’habitude de faire quand Papa était en voyage. »
C’est le petit-Jean-Marc dit à
sa maîtresse en lui rendant son carnet de notes :
« Je ne voudrais pas vous
tracasser, mais ce week-end, papa m’a dit que si je n’ai pas des meilleures
notes sur mon bulletin le mois prochain… « Y a quelqu’un qui va se prendre un
bon coup de pied quelque part » ! »
Un jeune garçon, Jean-Marc,
attend sa mère dans l’auto pendant qu’elle fait les courses au supermarché.
Un homme s’approche de l’auto et lui demande :
« Peux-tu me dire où est le
bureau de poste ? »
Tout fier, Jean-Marc répond :
« – C’est juste au bout du
chemin. Vous tournez à gauche et vous le verrez tout de suite.
– Merci jeune homme. Je
suis le nouveau curé.
– Un curé ?
– Oui, tu ne vas pas à l’Église
?
– Non.
– Tu devrais venir, et je
t’enseignerai comment te rendre au ciel.
– Ben voyons donc !
Tu ne sais même pas où se trouve le bureau de poste et tu veux m’enseigner
comment aller au ciel ! »
Bon week-end à toutes et à tous : La suite, la semaine prochaine !
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