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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 15 juin 2018

Quelques nouveautés !

De Jean-Marc, naturellement…


De garde à la récréation, une institutrice affolée appelle l’infirmière de l’école :
« – Jeannine ! Jeannine ! Le petit Jean-Marc a avalé du sable et du ciment. Qu’est-ce que je dois faire ?
– Surtout, ne le faite pas boire ! »


Le professeur demande au petit Jean-Marc :
« – Peux-tu me nommer un animal qui s’attache facilement à l’homme ?
– Oui, monsieur, une sangsue. »


L’autre jour, la voisine de Jean-Marc et Germaine arrive en courant dans le hall de l’entré de leur immeuble.
Elle sautait de joie !
Ils ne savaient pas pourquoi, mais sans nous poser de question le couple se met à sauter avec elle !
« – J’ai une bonne nouvelle !
– Bien, de quoi s’agit-il ? »
Elle arrête de sauter, et toute essoufflée, annonce qu’elle est enceinte !
C’est ce qu’elle désirait depuis un long moment.
Elle est félicitée et Jean-Marc et son épouse lui disent qu’ils sont très heureux pour elle.
« – Il y a plus…
– Comment cela ?
– Il n’y a pas qu’un bébé, nous allons avoir des jumeaux ! »
Étonnés qu’elle puisse le savoir si tôt dans sa grossesse, Germaine lui demande comment elle a su.
Et elle répond :
« C’est facile, j’étais allée m’acheter un test de grossesse, un emballage de deux, et les deux tests étaient positifs  » !


Il est écrit dans la bible qu’Adam était l’homme le plus heureux au monde et que jamais un autre homme ne sera aussi heureux que lui.
Des scientifiques ont entrepris une recherche exhaustive afin de déterminer la source de son bonheur.
Cette recherche devait durer plusieurs mois et les budgets étaient votés. Or, elle s’arrêta nette après quelques heures seulement.
Savez-vous pourquoi ?
Un des scientifiques s’est aperçu qu’Adam n’avait pas de belle-mère…


L’homme est recommandé pour toutes les femmes en général. Il est très efficace dans la plupart des cas de mélancolie, de découragement, d’anxiété, d’irritabilité, de mauvaise humeur et d’insomnie.
DOSAGE ET POSOLOGIE :
L’homme peut être utilisé facilement deux ou trois fois par semaine et même plus. Si les symptômes ne disparaissent pas rapidement, la dose peut être augmentée à volonté.
L’homme peut aussi être utilisé de manière externe ou interne selon les besoins.
PRÉSENTATION :
L’homme est offert en plusieurs formats destinés à répondre aux différents besoins et goûts : Mini, Midi, Maxi et même Méga.
PRÉCAUTIONS IMPORTANTES :
Conserver l’homme hors de portée des amies, sœurs, voisines, collègues et autres personnes souriantes et bien intentionnées qui peuvent endommager le produit.
Manipuler avec soin : L’homme explose facilement sous la pression, en particulier en association avec l’alcool. Il est également déconseillé de l’utiliser immédiatement après les repas.
EFFETS SECONDAIRES :
L’utilisation inappropriée de l’homme peut entraîner la grossesse ou un excès de jalousie. L’utilisation concomitante d’autres produits de la même espèce peut aussi provoquer des vertiges, de la fatigue chronique et, dans les cas extrêmes, des crises de nerfs.
L’utilisation excessive de l’homme peut par ailleurs produire des douleurs dans les hanches ou l’abdomen, des entorses, des raideurs musculaires, des blessures de divers types et sensations… diverses…
DATE D’EXPIRATION :
Le numéro de lot et la date de fabrication apparaissent sur la carte d’identité et la carte de crédit.
Notez que l’homme existe sur le marché en plusieurs marques de contrefaçon dont l’effet est totalement opposé, c’est-à-dire qu’en plus de ne pas être efficace dans le traitement, il aggrave les symptômes et empire la situation.
INSTRUCTIONS GÉNÉRALES :
Lors de l’ouverture du paquet, dans tous les cas ne jamais afficher un air déçu. Cela va immédiatement influencer très négativement sa qualité et son efficacité. Un air très heureux, ébloui ou apeuré produit à chaque fois un impact très positif sur son bon fonctionnement.
Pour l’activer, le port d’un décolleté, une petite remarque suggestive, des petits bisous sur le cou ou de légers mouvements lascifs du buste ou du postérieur suffisent généralement.
Recharger les batteries trois fois par jour : Déjeuner, dîner et souper. Plus que cela peut provoquer des effets indésirables tels le sommeil, l’épuisement, ou des troubles érectiles.
L’encourager souvent pour le garder en bon état.
GARANTIE :
L’homme n’a pas de garantie. Tous les modèles sont sujets à des défauts d’usine comme critiquer, se plaindre, boire beaucoup, laisser des serviettes humides sur le lit et des chaussettes sales sous le lit, manger de l’ail et des oignons, oublier les dates d’anniversaire, ronfler.
Il peut être avantageux de renouveler le modèle lorsque le fonctionnement est trop altéré.


« Ma grand-mère est tellement bourrée de pilules que quand elle éternue, elle guérit quelqu’un. »


« Lui là, y’est tellement pingre qui parle du nez pour ne pas user son dentier. »


« Chez nous les murs sont tellement minces, que quand j’épluche un oignon, mon voisin se met à pleurer. »


« Mon oncle est tellement hésitant en voiture que les mouches s’écrasent parfois sur la vitre arrière. »


« On est tellement pauvre qu’on fait cuire les saucisses debout pour économiser le beurre ! »


« Paris, ma ville est tellement polluée qu’à tous les matins, le coq ne chante pas… Il tousse ! »


« Mon beau-frère est tellement paresseux qu’il dort debout pour pas avoir besoin de se lever. »


« Mon oncle est tellement grand que quand il se penche pour ramasser quelque chose, il a le temps d’oublier ce que c’est ! »


« Notre entreprise est tellement peu rentable que 80 % des profits proviennent de la machine à café. »


« Mon mek-à-moi parle tellement pas souvent que quand il ouvre la bouche, ça sent le renfermé ! »


« Ma mère se couche tellement tard et se lève tellement tôt qu’elle se croise dans l’escalier. »

« Cette année mon père a fait de la motoneige tellement tard que la chenille de son ski-doo s’est changée en papillon ! »



« Ma chambre est tellement petite qu’on peut pas mettre deux couches de peinture. »


« Y’a tellement de poissons dans le lac près de chez nous qu’y faut les tasser pour prendre une douche »


« Ma grand-mère est tellement vieille que même sur sa carte d’assurance maladie, le soleil est couché. »


« – Comment appelle-t-on un chauffeur de corbillard ?
– Un pilote-décès. »


Après trois jours et trois nuits de bloc et de garde, le pauvre anesthésiste monte enfin dans l’avion qui le conduit au club-med d’Hammamet.
Quelques minutes après le décollage, l’hôtesse passe l’annonce suivante :
« Une anesthésiste est demandé en première classe ».
Trop épuisé pour se sentir utile, il ignore l’appel.
Malheureusement, quelques instants plus tard l’hôtesse renouvelle son appel d’une voix angoissée.
N’écoutant que sa conscience professionnelle, il se présente à l’hôtesse qui le conduit en première classe devant un fauteuil où un homme d’une bonne cinquantaine d’années lit tranquillement son journal.
L’anesthésiste se penche vers lui et lui dit :
« Vous avez un problème monsieur ? »
L’homme le regarde et lui demande :
« – Êtes-vous anesthésiste ?
– Oui, que puis-je pour vous ?
– Bonjour, je suis chirurgien. Pourriez-vous me régler la lumière ? »

Jean-Marc circule sur l’autoroute à vive allure.
Soudain, à sa plus grande surprise, il voit dans son rétroviseur un poulet à 3 pattes qui se rapproche à toute vitesse de lui, puis le dépasse.
Stupéfait, il accélère et parvient avec peine à le suivre.
Après quelques kilomètres, il voit le poulet prendre une sortie d’autoroute.
Jean-Marc continue la poursuite et arrive sur une route nationale.
Le poulet à 3 pattes quitte alors la nationale pour s’immobiliser dans une cour de ferme.
Jean-Marc, suivant le mouvement, s’arrête à son tour dans la cour.
Il voit alors autour de lui tout un élevage de poulets à 3 pattes et un fermier occupé à leur jeter des graines.
Toujours aussi intrigué, Jean-Marc interroge alors ce dernier :
« – Dites-moi… Ils sont à vous tous ces poulets à 3 pattes ?
– Hé oui !
– Mais… Comment se fait-il qu’ils aient trois pattes ?
– C’est simple ! Modification génétique. Comme en général, ce que les gens préfèrent consommer, c’est la cuisse de poulet, on a manipulé les gènes du poulet de manière à ce qu’ils aient 3 pattes. C’est beaucoup plus rentable !
– Et… Ils sont bons vos poulets ?
– On sait pas, on n’est jamais parvenu à en attraper un ! »

« – Quel est le pluriel d’un coca ?
– Des haltères. »
Car un coca désaltère.

« – Comment savoir quand un homme est atteint de la maladie de la vache folle ?
– Quand il commence à tuer les mouches avec sa queue. »

Petit Jean-Claude voit l’auto de son père passer près du parc et se diriger vers le bois.
Curieux, il suit l’auto et voit son père et sa tante Marie-Jeanne dans une « embrassade passionnée »…
Petit Jean-Claude est tout excité et peut à peine se retenir alors qu’il retourne à la maison en courant et commence à raconter à sa mère :
« MAMAN ! MAMAN, J’ETAIS AU PARC ET PAPA ET… ET… »
Sa mère lui dit de ralentir et de reprendre du début, elle veut entendre son histoire. Donc petit Jean-Claude reprend :
« J’étais au parc et j’ai vu l’auto de papa s’en aller vers le bois avec tante Marie-Jeanne. Je suis allé voir et j’ai vu papa donner un gros baiser à tante Marie-jeanne, puis là, il l’a aidé à enlever son chandail, puis après, tante Marie-Jeanne a aidé papa à enlever son slip, puis tante Marie-Jeanne s’est étendue sur le siège, puis Papa… »
À ce moment-là sa mère, contenant sa colère, le coupe et dit :
« Mon petit Jean-Claude, ton histoire est tellement intéressante que tu devrais garder la suite pour l’heure du souper. Je veux voir l’expression dans le visage de papa quand tu vas la raconter. »
Donc, le soir venu, autour de la table, maman demande a petit Jean-Claude de raconter son histoire.
Petit Jean-Claude commence son histoire en décrivant l’auto dans le bois, le déshabillage, étendue sur le siège, et :
« … Puis après, papa et tante Marie-Jeanne ont fait la même chose que maman et oncle Jean-Charles avaient l’habitude de faire quand Papa était en voyage. »

C’est le petit-Jean-Marc dit à sa maîtresse en lui rendant son carnet de notes :
« Je ne voudrais pas vous tracasser, mais ce week-end, papa m’a dit que si je n’ai pas des meilleures notes sur mon bulletin le mois prochain… « Y a quelqu’un qui va se prendre un bon coup de pied quelque part » ! »

Un jeune garçon, Jean-Marc, attend sa mère dans l’auto pendant qu’elle fait les courses au supermarché.
Un homme s’approche de l’auto et lui demande :
« Peux-tu me dire où est le bureau de poste ? »
Tout fier, Jean-Marc répond :
« – C’est juste au bout du chemin. Vous tournez à gauche et vous le verrez tout de suite.
– Merci jeune homme. Je suis le nouveau curé.
– Un curé ?
– Oui, tu ne vas pas à l’Église ?
– Non.
– Tu devrais venir, et je t’enseignerai comment te rendre au ciel.
– Ben voyons donc ! Tu ne sais même pas où se trouve le bureau de poste et tu veux m’enseigner comment aller au ciel ! »

Bon week-end à toutes et à tous : La suite, la semaine prochaine !

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