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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 11 juin 2018

« Jupiter » m’énerve au plus haut point

Et ça n’a rien à voir avec ses dernières déclarations !

Ce qui m’agace, c’est que, comptes-tenus des derniers développements des « Mac-RondLeaks » qui ressortent plus d’un an après son élection, je suis contraint d’aller rechercher le post du huitième chapitre prévu pour le samedi 28 juillet prochain (Le logiciel « BBR » de la CISA) de l’opus de cet été (Ultime récit – suite) pour intégrer les informations qui envahissent soudainement le PAG (Paysage Audiovisuel Gauloisien).
Si j’ai une sainte horreur, c’est d’avoir à « retoucher » un post déjà « ficelé » et mis en ligne !
Vous ne savez pas combien…
C’est pénible.

Mais revenons au fond : On nous bassine depuis presqu’une semaine sur l’analyse des dépenses et recettes des comptes de campagne du bonhomme.
C’est d’ailleurs assez curieux et pour une double raison :
1 – Les comptes ont été définitivement validés par la commission en charge de les vérifier (ce qui entraîne la prise en charge – partielle – par vos impôts) et sauf plainte (qui a d’ailleurs été déposée par les « Républicains-Démocrates ») on ne reviendra pas dessus : Une affaire classée.
De toute façon, les « corrections » déjà établies, n’entrainera ni leur invalidation, ni la nullité du scrutin…
2 – La « charge » est menée par « Médiapart » et « Le Monde » (dont vous savez combien je les porte tous les deux dans mon cœur) qui ont été les deux principaux artisans de la déconfiture de « Fifi-le-souteneur » et du « P.Soce » pour ouvrir, sur ordre, un  boulevard à « Jupiter ».
Avouez que la démarche qui consiste à brûler ses idoles a de quoi intriguer même un esprit obtus comme le mien.
Ceci dit, l’offensive est confirmée quand on suit les « affaires » de « Col-Air » (le « secret-ère » du patron élyséen) et ses potentiels « conflits d’intérêt »…
Où va-t-on ?

Et pourtant, je sais bien au moins autant que vous, que « Pleine-Aile » ne supporte pas d’avoir un président élu avec seulement 18 % des votants.
Et il voudrait quoi au juste ? Qu’on lui laisse désigner le vainqueur à lui tout seul ?
C’est un gros facho, dans cette hypothèse-là… ou me trompe-je ?
La constitution et les règles électorales ne lui conviennent pas qu’il faudrait en changer rien que pour lui plaire. Et pour les remplacer par quoi de mieux ?
Pas de réponse à espérer : Il n’en sait probablement rien lui-même.

Ceci dit, on a une vision un peu plus précise de la « mécanique-jupitérienne », même si c’est un peu tard (même moi j’ai eu du retard à l’allumage, sauf sur « Beau-Raie-L’eau » que personne n’a encore relevé) : C’était avant qu’il fallait le dire.
Notez que c’est une enquête de la cellule investigation de « Trance-info » (une radio d’État) d’où la matière est sortie : Encore plus curieux…
Loin d’être une « Fake-News » : Comme quoi, je ne serai pas censuré sur ce post…
Et qu’est-ce que ça dit ? Bé que certains rabais conséquents ont échappé à la vigilance de l’autorité de contrôle.

Bobino le 6 février 2017, le Théâtre Antoine le 8 mars. Point commun des deux salles : Leur propriétaire, Jean-Marc Dumontet. Facture : 3.000 alors que le tarif de base avec « accessoires obligatoires » vaut 13.000 euros TTC.
Le même a également mis une autre de ses salles à disposition le 17 janvier 2017 : Le Grand Point Virgule, mais cette soirée n’a pas été considérée comme un événement de campagne.
La Bellevilloise le 2 mai 2017. Tarif de la location : 1.200 euros.
Prix nettement plus avantageux que pour « Deux-Noix-Âme-Mont », facturé 4.838,40 euros le 20 mars 2017. Et encore, celui-ci ne s’est pas vu offrir les « packs son et vidéo » comme pour « Jupiter ».
La Mutualité : Remise globale de l’ordre de 26 % sur le total de la facture émise après le meeting du candidat « MacRond » le 12 juillet 2016. Pour rappel, le 2 juillet 2016, 10 jours avant « Jupiter », « Les Républicains-démocrates » avait tenu leur conseil national à La Mutualité avec une remise de 12 %. Au total, pour une occupation comparable de la Mutualité, LR a donc payé 37.000 euros de plus que l’équipe de « Jupiter ».
Lyon : Le 7 septembre 2016, les militants « d’En Marche-même-pas-en-rêve » dans le Rhône sont invités à un rassemblement festif, avec apéro et tout-ça, sur une péniche à Lyon autour du futur « sinistre de l’intérieur », alors maire de la ville, président de la métropole, premier soutien de « Jupiter » et « frangin-trois-points » à jour de sa cotisation. « La Plateforme », une péniche, est privatisée pour l’occasion. Total de la facture : 996 euros TTC là où la seule location de la salle a coûté 785 euros HT, alors que les prix pratiqués avoisinent plutôt généralement les 3.000 euros la soirée. La simple location de la péniche est proposée à… 2.925 euros. Et de plus la facture de l’apéro des « marcheurs » de Lyon comporte une « remise commerciale » de 1.100 euros, autrement dit la ristourne accordée est donc supérieur au montant total de la facture !

« Eurydice » est un partenaire de la première heure pour « Jupiter » dont le directeur commercial sera embauché à l’Élysée après l’élection. Or, une « remise exceptionnelle » de 2.900 euros a été accordée pour le meeting d’Arras du 26 avril 2017. En réalité la remise globale accordée au candidat est bien supérieure : Par exemple, une remise de 100 % est appliquée au candidat « MacRond » pour la location de deux vidéoprojecteurs. Un « geste commercial » de 4.400 euros. Le montant global des remises pour ce seul meeting d’Arras s’élève à plus de 22.000 euros pour une prestation totale facturée 61.521,47 euros HT….
Idem pour le meeting de Nantes : Eurydice aurait appliqué une remise totale de 15.206,06 euros HT pour une facture de 47.369,62 euros HT.

« NationBuilder », c’est un logiciel « fétiche ». « MacDonald-Trompe » l’avait utilisé lors de sa campagne des primaires. « Mes-Luches », « Fifi-le-souteneur » et bien sûr « Jupiter » l’ont également adopté : Une plateforme multitâche qui permet de gérer un fichier de contacts militants, d’animer un site web ou d’envoyer des SMS automatiquement.
Proposition commerciale alléchante : 30 % de remise. « En toute transparence c’est le max que je peux donner » écrit le boss. La facture passe de 74.000 dollars à 52.000 dollars.
Chez Les « Républicains-démocrates », ils ont eu droit à la remise classique prévue en cas de souscription d’un an : Deux mois gratuits, soit environ 15 %.
L’équipe de « Mes-Luches » explique elle aussi avoir bénéficié de ce type de rabais.

La société de design scénique « Giglam and The Imagineers » a, elle aussi, fait une jolie faveur de « Jupiter ». Une ristourne de 2.617 euros HT sur une facture de 4.743 euros HT (5.691,60 euros TTC) lui est accordée en février 2017, soit près de 36 % de remise. Son patron est aussi à la tête de « Moa Consulting », un autre prestataire important de la campagne de « Jupiter ». Cette société est l’auteur du thème musical des meetings « d’En Marche-même-pas-en-rêve ».

Désormais, pour défendre l’équipe de campagne du président, le porte-la-parole du gouvernement interrogé ce 7 juin à la « Radio-fake-Gauloisienne » sur ces ristournes accordées a encouragé les auditeurs à étudier les emails de cette campagne hackés par on ne sait qui, et publiés par le site Wikileaks l’an dernier – ces recherches dans les Macronleaks devant évidemment, selon lui, prouver que l’équipe n’a commis aucune faute.
Plus de 100.000 messages à se palucher. Même moâ j’y ai renoncé après avoir essayé deux/trois jours… Ce n’est ni mon métier ni ma tasse de thé…
Et en fouillant un peu plus dans ces archives comme « Benne-Gris-veaux » vous y invite, on découvre quelques emails concernant le financement de la campagne, plutôt embarrassants pour le porte-la-parole du gouvernement, comme d’ailleurs pour l’actuelle chef du service de presse de l’Élysée « Sid-bête-N’dia-dye », et pour l’un des conseillers les plus importants du président de la République, « C’est-Dric-Ô ».
En effet, le 8 mars 2017, l’équipe de campagne s’interroge sur les chiffres des dons reçus à fournir à la presse. Dans l'email n° 4505, le patron de la levée des fonds, le banquier « Chris-Dare-Tagnant », communique les vrais à une poignée de responsables. Selon ses calculs, le montant total de la collecte s’élève alors à « 9,3 millions d’euros ». Va-t-on révéler ce chiffre-là ?
« Gris-Veaux » écrit alors à « N’dia-dye : « Sitbeth, tu n’avais pas dit qu’on restait sur 8 millions ? ».
« Oui, tout à fait », répond-elle, « 8 millions et pas 9,3 millions. ».
La même question se pose trois semaines plus tard. La collecte totale réelle est montée à 11 millions d’euros, le don médian étant de 50 euros mais, du fait du grand nombre de très généreux donateurs, le don moyen grimpant, lui, à 250 euros.
Ce qui est un peu plus conforme à mes propres calculs rapportés en décembre.

Le 27 mars 2017, le porte-la-parole du mouvement « jupitérien » et le trésorier de la campagne (et actuel conseiller conjoint du président et du Premier ministre sur les participations publiques, l’agence « Transe-Patrimoine » et les fameux PIA) décident là encore de tronquer la vérité.
Le don moyen ? « On ne communique pas dessus », ordonnent-ils en chœur.
La collecte totale de 11 millions ? « On communique sur 10 », propose le Trésorier. Le porte-la-parole n’est pas d’accord. Pour lui, c’est trop.
Il tranche et ordonne : « Mettre 9 millions d’euros de dons perçus et pas 10 »…
Alors qu’on l’a vu le vrai chiffre est 11 !
Encore un mensonge : Une vraie « Fake-news » officielle.
Fermez le ban.

Tout ceci confirme l’étendue de la « manip ».
Il faut à mon sens distinguer deux périodes : Celle où le candidat est mandaté par quelques-uns pour « couper l’herbe sous les pieds » des « frondeurs », « populistes » et y compris au premier ministre du moment, « Menuet-Valse »  qui n’est plus en odeur de sainteté au palais.
À cette époque-là, il n’y a pas un rond en caisse (il n’y a pas de caisse où puiser, hors les « fonds-propres » et « petites-économies-personnelles » du futur candidat), tout est en devenir, reste « virtuel ».
Et le « sinistre des finances & du numérique » de l’époque use et abuse des largesses du budget de son ministère en « frais de bouche et déplacements » pour nouer les contacts indispensables jusqu’à Las Vegas…
Pas d’argent, donc de grosses ristournes et quelques « coups de pouce » bienvenus.

Deuxième temps : Il a de l’argent à partir du moment où il se déclare « candidat ».
En septembre 2016, une fois sorti du gouvernement, il doit tenir jusqu’en novembre, date à laquelle il est prévu qu’il se désiste pour « Tagada-à-la-fraise-des-bois » contre un mandat de 5 ans à Matignon.
Coût prévisionnel : 8 millions d’euros.
Mais « Gras-Nul-Laid » n’y croit déjà plus et se pose alors un cas de conscience : Risquer de perdre devant « Marinella-tchi-tchi » au second tour (les effets du « dégagisme ») ou saborder le parti « soce »…
Il préfère devenir le dernier des Mohicans en, plus tard, se réservant le droit de savonner la planche à son successeur, le « Président des hyper-riches ».
Et du coup, « Jupiter » est sommé « de prolonger » jusqu’en mai (ça tombe bien, désormais il y croit et pas que lui), à condition de retrouver un peu plus de 8 millions d’euro de financement pour aller au taquet du plafond des dépenses permises, soit environ 17 millions.
Tout cela reste cohérent… en apparence (et conforme à ce que j’ai pu en déduire et affirmer de mon côté).

En apparence seulement : Comment vous expliquez, vous, qu’il y ait eu 8 (9 ou 11 peu importe) millions de recettes pour seulement 16,8 millions d’euros de dépenses sur les deux tours ?
Avait-il une « planche à billets », puisqu’ils n’avaient accès à aucun financement public (il l’a assez dit et redit pour le savoir…) ?
Des crédits bancaires ? On sait que oui : 8 millions et ça fait des comptes ronds.
8 + 8 = 16, et non 16,8, mais 8 + 11 = 19…
D’autant que derrière, il fallait financer les candidats-députés…
Mais là encore, si ça a bien l’apparence de la « cohérence », il subsiste un problème de concordance de date : L’emprunt n’a été annoncé qu’en mars 2017, pas en septembre/octobre 2016.
Alors comment expliquer d’ailleurs qu’il n’y ait eu que 8 millions (9 ou 11, peu importe) en caisse en janvier 2017 ?
À vos commentaires jeunes-gens, car je ne change pas mon « Ultime récit – suite » sans avoir été convaincu au préalable, même si j’attends enfin la suite des « fakes-news » à venir.

De toute façon, j’ai une sainte horreur de retoucher un post déjà programmé (ou en ligne) et fin juillet je ne suis même plus là pour le faire.

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