Et
ça n’a rien à voir avec ses dernières déclarations !
Ce qui m’agace, c’est que, comptes-tenus des derniers développements des
« Mac-RondLeaks » qui ressortent plus d’un an
après son élection, je suis contraint d’aller rechercher le post du huitième
chapitre prévu pour le samedi 28 juillet prochain (Le logiciel
« BBR » de la CISA) de l’opus de cet été (Ultime récit – suite) pour
intégrer les informations qui envahissent soudainement le PAG (Paysage
Audiovisuel Gauloisien).
Si j’ai une sainte horreur, c’est d’avoir à « retoucher » un
post déjà « ficelé » et mis en ligne !
Vous ne savez pas combien…
C’est pénible.
Mais revenons au fond : On nous bassine depuis presqu’une semaine sur
l’analyse des dépenses et recettes des comptes de campagne du bonhomme.
C’est d’ailleurs assez curieux et pour une double raison :
1 – Les comptes ont été définitivement validés par la commission en charge
de les vérifier (ce qui entraîne la prise en charge – partielle – par vos
impôts) et sauf plainte (qui a d’ailleurs été déposée par les
« Républicains-Démocrates ») on ne reviendra pas dessus :
Une affaire classée.
De toute façon, les « corrections » déjà établies, n’entrainera
ni leur invalidation, ni la nullité du scrutin…
2 – La « charge » est menée par « Médiapart » et
« Le Monde » (dont vous savez combien je les porte tous les deux dans
mon cœur) qui ont été les deux principaux artisans de la déconfiture de
« Fifi-le-souteneur » et du « P.Soce » pour ouvrir, sur
ordre, un boulevard à
« Jupiter ».
Avouez que la démarche qui consiste à brûler ses idoles a de quoi
intriguer même un esprit obtus comme le mien.
Ceci dit, l’offensive est confirmée quand on suit les
« affaires » de « Col-Air » (le « secret-ère » du
patron élyséen) et ses potentiels « conflits d’intérêt »…
Où va-t-on ?
Et pourtant, je sais bien au moins autant que vous, que
« Pleine-Aile » ne supporte pas d’avoir un président élu avec
seulement 18 % des votants.
Et il voudrait quoi au juste ? Qu’on lui laisse désigner le
vainqueur à lui tout seul ?
C’est un gros facho, dans cette hypothèse-là… ou me trompe-je ?
La constitution et les règles électorales ne lui conviennent pas qu’il
faudrait en changer rien que pour lui plaire. Et pour les remplacer par
quoi de mieux ?
Pas de réponse à espérer : Il n’en sait probablement rien lui-même.
Ceci dit, on a une vision un peu plus précise de la
« mécanique-jupitérienne », même si c’est un peu tard (même moi
j’ai eu du retard à l’allumage, sauf sur « Beau-Raie-L’eau »
que personne n’a encore relevé) : C’était avant qu’il fallait le dire.
Notez que c’est une enquête de la cellule investigation de « Trance-info »
(une radio d’État) d’où la matière est sortie : Encore plus curieux…
Loin d’être une « Fake-News » :
Comme quoi, je ne serai pas censuré sur ce post…
Et qu’est-ce que ça dit ? Bé que certains rabais conséquents ont
échappé à la vigilance de l’autorité de contrôle.
Bobino le 6 février 2017, le Théâtre Antoine le 8 mars. Point commun des
deux salles : Leur propriétaire, Jean-Marc Dumontet. Facture : 3.000 alors
que le tarif de base avec « accessoires obligatoires » vaut 13.000
euros TTC.
Le même a également mis une autre de ses salles à disposition le 17
janvier 2017 : Le Grand Point Virgule, mais cette soirée n’a pas été
considérée comme un événement de campagne.
La Bellevilloise le 2 mai 2017. Tarif de la location : 1.200 euros.
Prix nettement plus avantageux que pour « Deux-Noix-Âme-Mont »,
facturé 4.838,40 euros le 20 mars 2017. Et encore, celui-ci ne s’est pas vu
offrir les « packs son et vidéo » comme pour « Jupiter ».
La Mutualité : Remise globale de l’ordre de 26 % sur le total de la
facture émise après le meeting du candidat « MacRond » le 12 juillet
2016. Pour rappel, le 2 juillet 2016, 10 jours avant « Jupiter », « Les
Républicains-démocrates » avait tenu leur conseil national à La
Mutualité avec une remise de 12 %. Au total, pour une occupation comparable de
la Mutualité, LR a donc payé 37.000
euros de plus que l’équipe de « Jupiter ».
Lyon : Le 7 septembre 2016, les militants « d’En Marche-même-pas-en-rêve »
dans le Rhône sont invités à un rassemblement festif, avec apéro et tout-ça, sur
une péniche à Lyon autour du futur « sinistre de l’intérieur », alors
maire de la ville, président de la métropole, premier soutien de
« Jupiter » et « frangin-trois-points » à jour de sa
cotisation. « La Plateforme », une péniche, est privatisée pour
l’occasion. Total de la facture : 996 euros TTC là où la seule location de
la salle a coûté 785 euros HT, alors que les prix pratiqués avoisinent plutôt
généralement les 3.000 euros la soirée. La simple location de la péniche est
proposée à… 2.925 euros. Et de plus la facture de l’apéro des « marcheurs »
de Lyon comporte une « remise commerciale » de 1.100 euros, autrement
dit la ristourne accordée est donc supérieur au montant total de la facture !
« Eurydice » est un partenaire de la première heure pour « Jupiter »
dont le directeur commercial sera embauché à l’Élysée après l’élection. Or, une
« remise exceptionnelle » de 2.900 euros a été accordée pour le meeting
d’Arras du 26 avril 2017. En réalité la remise globale accordée au candidat est
bien supérieure : Par exemple, une remise de 100 % est appliquée au
candidat « MacRond » pour la location de deux vidéoprojecteurs. Un « geste
commercial » de 4.400 euros. Le montant global des remises pour ce seul
meeting d’Arras s’élève à plus de 22.000 euros pour une prestation totale
facturée 61.521,47 euros HT….
Idem pour le meeting de Nantes : Eurydice aurait appliqué une remise
totale de 15.206,06 euros HT pour une facture de 47.369,62 euros HT.
« NationBuilder », c’est un logiciel « fétiche ». « MacDonald-Trompe »
l’avait utilisé lors de sa campagne des primaires. « Mes-Luches », « Fifi-le-souteneur »
et bien sûr « Jupiter » l’ont également adopté : Une plateforme multitâche
qui permet de gérer un fichier de contacts militants, d’animer un site web ou
d’envoyer des SMS automatiquement.
Proposition commerciale alléchante : 30 % de remise. « En toute transparence c’est le max que je
peux donner » écrit le boss. La facture passe de 74.000 dollars à 52.000
dollars.
Chez Les « Républicains-démocrates », ils ont eu droit à
la remise classique prévue en cas de souscription d’un an : Deux mois gratuits,
soit environ 15 %.
L’équipe de « Mes-Luches » explique elle aussi avoir bénéficié
de ce type de rabais.
La société de design scénique « Giglam and The Imagineers » a,
elle aussi, fait une jolie faveur de « Jupiter ». Une ristourne de 2.617
euros HT sur une facture de 4.743 euros HT (5.691,60 euros TTC) lui est
accordée en février 2017, soit près de 36 % de remise. Son patron est aussi à
la tête de « Moa Consulting », un autre prestataire important de la
campagne de « Jupiter ». Cette société est l’auteur du thème musical
des meetings « d’En Marche-même-pas-en-rêve ».
Désormais, pour défendre l’équipe de campagne du président, le porte-la-parole
du gouvernement interrogé ce 7 juin à la « Radio-fake-Gauloisienne »
sur ces ristournes accordées a encouragé les auditeurs à étudier les emails de
cette campagne hackés par on ne sait qui, et publiés par le site Wikileaks l’an
dernier – ces recherches dans les Macronleaks devant évidemment, selon lui,
prouver que l’équipe n’a commis aucune faute.
Plus de 100.000 messages à se palucher. Même moâ j’y ai renoncé après
avoir essayé deux/trois jours… Ce n’est ni mon métier ni ma tasse de thé…
Et en fouillant un peu plus dans ces archives comme « Benne-Gris-veaux »
vous y invite, on découvre quelques emails concernant le financement de la
campagne, plutôt embarrassants pour le porte-la-parole du gouvernement, comme
d’ailleurs pour l’actuelle chef du service de presse de l’Élysée « Sid-bête-N’dia-dye »,
et pour l’un des conseillers les plus importants du président de la République,
« C’est-Dric-Ô ».
En effet, le 8 mars 2017, l’équipe de campagne s’interroge sur les
chiffres des dons reçus à fournir à la presse. Dans l'email n° 4505, le patron
de la levée des fonds, le banquier « Chris-Dare-Tagnant », communique
les vrais à une poignée de responsables. Selon ses calculs, le montant total de
la collecte s’élève alors à « 9,3
millions d’euros ». Va-t-on révéler ce chiffre-là ?
« Gris-Veaux » écrit alors à « N’dia-dye : « Sitbeth, tu n’avais pas dit qu’on restait
sur 8 millions ? ».
« Oui, tout à fait »,
répond-elle, « 8 millions et pas 9,3
millions. ».
La même question se pose trois semaines plus tard. La collecte totale
réelle est montée à 11 millions d’euros, le don médian étant de 50 euros mais,
du fait du grand nombre de très généreux donateurs, le don moyen grimpant, lui,
à 250 euros.
Ce qui est un peu plus conforme à mes propres calculs rapportés en
décembre.
Le 27 mars 2017, le porte-la-parole du mouvement « jupitérien »
et le trésorier de la campagne (et actuel conseiller conjoint du président et
du Premier ministre sur les participations publiques, l’agence « Transe-Patrimoine »
et les
fameux PIA) décident là encore de tronquer la vérité.
Le don moyen ? « On ne
communique pas dessus », ordonnent-ils en chœur.
La collecte totale de 11 millions ? « On communique sur 10 », propose le Trésorier. Le
porte-la-parole n’est pas d’accord. Pour lui, c’est trop.
Il tranche et ordonne : « Mettre
9 millions d’euros de dons perçus et pas 10 »…
Alors qu’on l’a vu le vrai chiffre est 11 !
Encore un mensonge : Une vraie « Fake-news » officielle.
Fermez le ban.
Tout ceci confirme l’étendue de la « manip ».
Il faut à mon sens distinguer deux périodes : Celle où le candidat
est mandaté par quelques-uns pour « couper l’herbe sous les pieds »
des « frondeurs », « populistes » et y compris au premier
ministre du moment, « Menuet-Valse »
qui n’est plus en odeur de sainteté au palais.
À cette époque-là, il n’y a pas un rond en caisse (il n’y a pas de caisse
où puiser, hors les « fonds-propres » et « petites-économies-personnelles » du futur candidat), tout est en
devenir, reste « virtuel ».
Et le « sinistre des finances & du numérique » de l’époque
use et abuse des largesses du budget de son ministère en « frais de bouche
et déplacements » pour nouer les contacts indispensables jusqu’à Las
Vegas…
Pas d’argent, donc de grosses ristournes et quelques « coups de
pouce » bienvenus.
Deuxième temps : Il a de l’argent à partir du moment où il se déclare
« candidat ».
En septembre 2016, une fois sorti du gouvernement, il doit tenir jusqu’en
novembre, date à laquelle il est prévu qu’il se désiste pour
« Tagada-à-la-fraise-des-bois » contre un mandat de 5 ans à Matignon.
Coût prévisionnel : 8 millions d’euros.
Mais « Gras-Nul-Laid » n’y croit déjà plus et se pose alors un
cas de conscience : Risquer de perdre devant
« Marinella-tchi-tchi » au second tour (les effets du
« dégagisme ») ou saborder le parti « soce »…
Il préfère devenir le dernier des Mohicans en, plus tard, se réservant le
droit de savonner la planche à son successeur, le « Président des
hyper-riches ».
Et du coup, « Jupiter » est sommé « de prolonger »
jusqu’en mai (ça tombe bien, désormais il y croit et pas que lui), à condition
de retrouver un peu plus de 8 millions d’euro de financement pour aller au
taquet du plafond des dépenses permises, soit environ 17 millions.
Tout cela reste cohérent… en apparence (et conforme à ce que j’ai pu en
déduire et affirmer de mon côté).
En apparence seulement : Comment vous expliquez, vous, qu’il y ait eu
8 (9 ou 11 peu importe) millions de recettes pour seulement 16,8 millions d’euros de dépenses sur les deux tours ?
Avait-il une « planche à billets », puisqu’ils n’avaient accès à
aucun financement public (il l’a assez dit et redit pour le savoir…) ?
Des crédits bancaires ? On sait que oui : 8 millions et ça fait des
comptes ronds.
8 + 8 = 16, et non 16,8, mais 8 + 11 = 19…
D’autant que derrière, il fallait financer les candidats-députés…
Mais là encore, si ça a bien l’apparence de la « cohérence », il
subsiste un problème de concordance de date : L’emprunt n’a été annoncé
qu’en mars 2017, pas en septembre/octobre 2016.
Alors comment expliquer d’ailleurs qu’il n’y ait eu que 8 millions (9 ou
11, peu importe) en caisse en janvier 2017 ?
À vos commentaires jeunes-gens, car je ne change pas mon « Ultime
récit – suite » sans avoir été convaincu au préalable, même si j’attends
enfin la suite des « fakes-news » à venir.
De toute façon, j’ai une sainte horreur de retoucher un post déjà programmé
(ou en ligne) et fin juillet je ne suis même plus là pour le faire.
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