De
Jean-Marc et ses « redites »
« – Moi », dit le proprio d’un motel,
« je fais tout notre marketing autour des lunes de miel.
– Ah oui, pourquoi?
– Parce qu’avant, on
recevait plein de jeunes qui faisaient un ram dam épouvantable. En plus ils
démolissaient tout.
– Et maintenant ?
– Avec la lune de miel,
on ne les entend plus. Ils baisent nuit et jour. C’est la paix totale. »
À l’école, la maitresse demande aux élèves d’écrire un événement
inhabituel qui leur est arrivé récemment.
Plus tard, elle demande à quelques élèves de lire leur texte.
Maxime se lève et commence :
« – La semaine dernière, papa
est tombé dans le puits au fond du jardin…
– Doux Jésus ! » s’exclame la maitresse. « Il va bien au moins ?
– Je suppose… Depuis
hier, il a arrêté d’appeler à l’aide… »
« J’étais assise dans la salle
d’attente pour mon premier rendez-vous avec un nouveau dentiste, quand j’ ai
remarqué que son diplôme était accroché sur le mur. Il y était inscrit son nom,
et je me suis soudain remémoré un grand brun portant ce nom. Il était dans ma
classe de lycée quelques 40 ans auparavant, et je me demandais si cela pouvait être
le même garçon pour qui j’avais craqué à l’époque. Quand je suis entrée dans la
salle de soins, j’ai immédiatement écarté cette pensée de mon esprit. Cet homme
grisonnant, dégarni et le visage marqué de profondes rides était bien trop
vieux pour avoir été mon amour secret … Quoique … Après qu’il eut examiné ma
dent, je lui ai demandé si il était allé au lycée de Lavoisier »
« Oui »,
m’a-t-il répondu
« Quand avez-vous
été diplômé ? », ai-je demandé.
« 1959. Pourquoi
cette question ? », répondit-il.
« Eh bien vous étiez
dans ma classe ! » me suis-je exclamé.
Et alors cet affreux
vieux petit crétin de fils de pute m’a demandé :
« Vous étiez prof de
quoi ? » »
Un jockey a eu un accident de voiture mortel et sa femme vient l’identifier
à la morgue.
Le légiste soulève le 1er drap, la femme dit :
« Non, ce n’est pas lui. »
Il soulève le 2ème drap :
« Non, c’est toujours pas lui. »
Le médecin soulève le 3ème drap :
« Non, c’est encore pas lui. »
Enfin, il soulève un 4ème drap :
« Oui, c’est lui ! Mon pauvre
petit jockey de mari, jamais dans les trois premiers ! »
Tous les jours, un gars entrait dans un bar à dix-huit heures précises,
commandait trois cognac, les buvait à son aise, payait et s’en allait, sans mot
dire. Ce manège dura plusieurs mois. Jusqu’à ce que, intrigué, le barman lui
pose l’inévitable question du pourquoi de ces trois verres à la fois.
« Eh bien, jusqu’il y a peu, j’avais
deux amis avec qui j’avais l’habitude de boire un cognac tous les jours à
dix-huit heures. Au fil des années, c’était devenu un rituel. Mais depuis peu,
l’un d’entre eux est parti en mission diplomatique en Irak et l’autre s’est mis
en tête de traverser l’Alaska à vélo. Mais je continue notre petit cérémonial,
qui me fait penser à eux. »
Ému par une si belle amitié qui se joue des frontières, le barman lui
offre une tournée. Et ce manège dure, dure, jusqu’au moment où, la mine
déconfite, notre gentleman entre dans le bar, s’assied au zinc et commande deux
cognac.
Le barman, toujours ému aux larmes, s’exécute et présente ses
condoléances.
« Qu’est-ce qui vous prend ? »
lui demande l’autre.
« – Bien, je crois comprendre
qu’un de vos amis est décédé, puisque vous ne m’avez demandé que deux cognac.
– Mais non, je suis allé
hier à ma première réunion des Alcooliques Anonymes.
C’est moi qui ai arrêté
de boire ! »
Ce chef de produits irascible et intransigeant tapait sur les nerfs de ses
collaborateurs directs.
Un jour qu’il s’était absenté, toute l’équipe des cadres supérieurs se
réunit dans son bureau pour comploter dans son dos.
Malheureusement pour eux, la secrétaire du chef de produits venait de le
biper dans sa voiture pour un rendez-vous surprise avec le président, et la
future victime était sur la route du retour…
Dans cinq minutes, il allait surprendre le groupe des comploteurs !
« – Si il nous attrape dans son
bureau, il saura tout de suite ce que l’on s’apprêtait à faire… » hurle
le directeur marketing hystérique… « Allez
vite, sautez tous par la fenêtre !
– Mais on est au
treizième étage ! »
reprend le directeur financier affolé.
« – Sautez tous ! »
beugle le directeur marketing. « Ce
n’est pas le moment d’être superstitieux ! »
Trois amis, un généticien, un avocat et un conseiller matrimonial
discutent de l’origine de la vie autour d’un bon repas.
Le généticien parle le premier :
« J’ai consulté mes collègues
et lu beaucoup d’ouvrages sur la question ; nous les scientifiques sommes tous
d’accord, la vie commence lorsque le spermatozoïde rencontre l’ovule ! »
L’avocat prend la parole :
« Je ne suis pas d’accord. Mon
point de vue est celui de la loi, et la loi dit que la vie commence lorsque
l’embryon en est au stade de 32 cellules. »
« Hmmm, je crois bien que l’un
et l’autre, vous ne soyez dans le faux », lance alors le conseiller
matrimonial. « Depuis des années,
j’ai rencontré et conseillé des milliers de couples, et j’en suis venu à la
conclusion que la vie commence quand vos derniers enfants ont terminé leurs
études et que votre chien est enfin mort. »
Un vieux ranger de 80 ans vient voir le toubib local pour se faire une
visite médicale.
« – Mais vous êtes dans une
santé éclatante pour un vieil homme comme vous !
– C’est parce que je
chasse la dinde sauvage. Je suis un grand chasseur.
– C’est sûr que
l’exercice, ça aide mais cela ne fait pas tout. À quel âge votre père est-il
mort ?
– Qui vous a dit que mon
père était mort !
– Hein ? Mais quel âge
a-t-il ?
– Il vient d’avoir 100
ans. C’est un chasseur de dinde sauvage. C’est lui qui m’a tout appris. C’est…
– Ok, ok ! Alors à quel
âge son propre père est mort ?
– Mais il n’est pas mort
lui non plus !
– Non ?
– Il a 118 ans.
– N’allez pas me dire
qu’il chasse la dinde sauvage lui aussi.
– Hé non.
– Ha !
– En fait, il était
chasseur lui aussi, mais il est obligé de rester auprès de sa nouvelle femme.
Il vient juste de se remarier.
– Quoi ? Mais qui
voudrait se marier avec un vieux de 118 ans ?
– Oh, vous savez, ce sont
les circonstances qui l’ont obligé. »
En prévision d’une pandémie de H1N1 (la grippe du konnard = cochon +
canard) on n’est jamais trop prudent…
Donc message à lire jusqu’au bout pour votre protection.
On devrait donc suivre ces conseils …
« Mangez sainement !
Veillez à manger
quotidiennement des fruits et des légumes.
Un petit extra en
vitamines, et particulièrement en vitamines C, ne peut pas faire de tort.
Maintenez-vous en
mouvement.
Parce que bouger aide à
construire votre système immunitaire.
Promenez-vous au moins
une demi-heure par jour, prenez l’escalier plutôt que l’ascenseur, etc.
Lavez-vous souvent les
mains.
Prenez l’air.
Ouvrez portes et fenêtres
le plus possible.
Essayez d’éliminer le
stress de votre vie courante.
Reposez-vous
suffisamment.
OU …
Suivez l’avis du
praticien : Pensez.
Quand vous allez pour la
piqûre, que font-ils en premier lieu ?
Ils nettoient votre bras
avec de l’alcool…
Pourquoi ?
Parce que l’alcool tue
les bactéries.
Donc.
Je me promène jusqu’au
débit de boissons (promenade !) ;
Je verse du vin dans mon
verre (fruits) ;
Du céleri dans mon Bloody
Mary (légumes) ;
Je le bois dehors, sur la
terrasse (plein air) ;
Je raconte des blagues,
je ris … (idéal contre le stress) ;
Puis je tombe endormi
(repos) ;
Donc, tout bien considéré
…
Tant que tu tiens
l’alcool en vue, la grippe n’a pas de prise sur toi !
Ma grand-mère disait
toujours, ‘‘Un coup de gnôle dans la gueule vaut mieux qu’une piqûre dans le kul…
!’’
À votre santé ! »
Jean-Marc est installé dans un bar et voit un de ses amis,
Jean-Paul, complètement saoul, en train de pleurer seul à sa table.
Il va le voir et lui demande :
« – Hey mon vieux, qu’est-ce
qui se passe ?
– J’arrive de chez mon
médecin « snif », il m’a prescrit des médicaments que je vais devoir prendre chaque jour pour le reste de ma vie ! »
Jean-Marc, croyant que le problème de son ami était plus grave, tient à le
rassurer :
« – Voyons, t’en fais pas avec ça,
j’en connais plein de monde qui doivent prendre des pilules pour le reste de
leur vie !
– C’est pas ça le
problème ; il m’a juste prescrit 10 pilules… »
Notez que le mien, il ne m’en donne que pour 90 jours…
« Oh ! Là ! Là ! » dit l’extralucide, en fronçant les sourcils, « je vois, dans les cartes, une grosse contrariété. Votre percepteur va exiger de vous un énorme rappel d’impôts. »
« Oh ! Là ! Là ! » dit l’extralucide, en fronçant les sourcils, « je vois, dans les cartes, une grosse contrariété. Votre percepteur va exiger de vous un énorme rappel d’impôts. »
Jean-Marc s’affole, mais elle le rassure
aussitôt :
« Ne vous tracassez surtout pas
à ce propos. Vous ne paierez pas cette somme qui vous sera réclamée. Quinze
jours avant la date-limite, vous mourrez, écrasé par un bus. »
Dans la même veine :
« – Comment appelle-t-on une
femme qui sait où se trouve son mari tous les soirs ?
– Une veuve… »
Jean-Marc est à l’hôpital avec la tête
enveloppée d’un solide pansement.
Son infirmière lui dit :
« – Mon pauvre monsieur, votre
femme doit vous manquer !
– D’habitude oui, mais
cette fois-ci, elle m’a eu. »
Trois ouvriers du bâtiment, Jean-Marcel, Jean-Jacques et Jean-René,
prennent leur pause déjeuner installés sur un échafaudage.
Ils dégustent leurs sandwichs et boivent quelques canettes de bière.
À la suite d’un mouvement soudain de la structure, Jean-René perd l’équilibre,
chute et meurt sur le coup.
Les deux survivants se rendent vite compte que c’est à l’un d’entre eux d’aller
annoncer l’affreuse nouvelle à la femme de Jean-René.
Jean-Jacques, le rude gaillard de la bande qui ne fait généralement pas
dans la dentelle, se propose spontanément :
« Je crois que je serais pas
mauvais pour ça… »
Et immédiatement, il se rend au domicile de son défunt ami.
Il revient sur le chantier trois heures plus tard, avec un paquet de
canettes de bière :
« – Tiens, j’ai ramené du
ravitaillement.
– Mais, tu as bien été
voir la femme de Jean-René ? », demande Jean-Marcel angoissé.
« – Ben ouais…
– Et le paquet de
canettes, il vient d’où ? »,
reprend Jean-Marcel.
« – C’est elle qui
me l’a donné », rétorque Jean-Jacques.
Jean-Marcel ne comprend pas :
« – C’est quoi l’embrouille ?
Tu lui annonces la mort de son mari et elle t’a offert des canettes de bière ?
Explique-moi ce qui s’est passé.
– Ben je suis allé là-bas », explique
Jean-Jacques. « J’ai sonné,
elle m’a ouvert… J’ai dit : ‘‘C’est bien ici qu’habite la veuve de Jean-René
?’’. Elle a répondu : ‘‘Non, non, vous faites erreur, je ne suis pas veuve…’’. Et
je lui ai dit : « Je vous parie six bières que si… »
Jean-Marc et Jean-Paul, à la pêche, discutent
sur leurs prises.
« – Ben moi j’ai une nouvelle
technique, vu que je n’arrivais plus à en attraper un seul, et pourtant je leur
avais tout donné, des vers, des vers à soie, des mouches, des larves, tout quoi
mais rien…
– Alors, maintenant ?
– Et bien maintenant, je
leur file du fric et ils vont s’acheter ce qu’ils veulent. »
Deux flics sont en faction un soir à un carrefour, lorsqu’ils voient
arriver une voiture roulant en zigzaguant dangereusement.
Les deux fonctionnaires interceptent le véhicule rebelle et, s’approchant
de la voiture, se présentent, conformément au règlement :
« Bonsoir monsieur, Police
Nationale ! »
Le mec à l’intérieur, Jean-Marc,
complètement bourré, répond par la vitre ouverte :
« Bah tant pis pour ta gueule,
t’avais qu’à mieux travailler à l’école ! »
Bonne fin de semaine à toutes et tous !
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