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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 1 juin 2018

Les sélectionnées de la semaine

De Jean-Marc et ses « redites »

« – Moi  », dit le proprio d’un motel, « je fais tout notre marketing autour des lunes de miel.
– Ah oui, pourquoi?
– Parce qu’avant, on recevait plein de jeunes qui faisaient un ram dam épouvantable. En plus ils démolissaient tout.
– Et maintenant ?
– Avec la lune de miel, on ne les entend plus. Ils baisent nuit et jour. C’est la paix totale. »

À l’école, la maitresse demande aux élèves d’écrire un événement inhabituel qui leur est arrivé récemment.
Plus tard, elle demande à quelques élèves de lire leur texte.
Maxime se lève et commence :
« – La semaine dernière, papa est tombé dans le puits au fond du jardin…
– Doux Jésus ! » s’exclame la maitresse. « Il va bien au moins ?
– Je suppose… Depuis hier, il a arrêté d’appeler à l’aide… »

« J’étais assise dans la salle d’attente pour mon premier rendez-vous avec un nouveau dentiste, quand j’ ai remarqué que son diplôme était accroché sur le mur. Il y était inscrit son nom, et je me suis soudain remémoré un grand brun portant ce nom. Il était dans ma classe de lycée quelques 40 ans auparavant, et je me demandais si cela pouvait être le même garçon pour qui j’avais craqué à l’époque. Quand je suis entrée dans la salle de soins, j’ai immédiatement écarté cette pensée de mon esprit. Cet homme grisonnant, dégarni et le visage marqué de profondes rides était bien trop vieux pour avoir été mon amour secret … Quoique … Après qu’il eut examiné ma dent, je lui ai demandé si il était allé au lycée de Lavoisier »
« Oui », m’a-t-il répondu
« Quand avez-vous été diplômé ? », ai-je demandé.
« 1959. Pourquoi cette question ? », répondit-il.
« Eh bien vous étiez dans ma classe ! » me suis-je exclamé.
Et alors cet affreux vieux petit crétin de fils de pute m’a demandé :
« Vous étiez prof de quoi ? » »

Un jockey a eu un accident de voiture mortel et sa femme vient l’identifier à la morgue.
Le légiste soulève le 1er drap, la femme dit :
« Non, ce n’est pas lui. »
Il soulève le 2ème drap :
« Non, c’est toujours pas lui. »
Le médecin soulève le 3ème drap :
« Non, c’est encore pas lui. »
Enfin, il soulève un 4ème drap :
« Oui, c’est lui ! Mon pauvre petit jockey de mari, jamais dans les trois premiers ! »

Tous les jours, un gars entrait dans un bar à dix-huit heures précises, commandait trois cognac, les buvait à son aise, payait et s’en allait, sans mot dire. Ce manège dura plusieurs mois. Jusqu’à ce que, intrigué, le barman lui pose l’inévitable question du pourquoi de ces trois verres à la fois.
« Eh bien, jusqu’il y a peu, j’avais deux amis avec qui j’avais l’habitude de boire un cognac tous les jours à dix-huit heures. Au fil des années, c’était devenu un rituel. Mais depuis peu, l’un d’entre eux est parti en mission diplomatique en Irak et l’autre s’est mis en tête de traverser l’Alaska à vélo. Mais je continue notre petit cérémonial, qui me fait penser à eux. »
Ému par une si belle amitié qui se joue des frontières, le barman lui offre une tournée. Et ce manège dure, dure, jusqu’au moment où, la mine déconfite, notre gentleman entre dans le bar, s’assied au zinc et commande deux cognac.
Le barman, toujours ému aux larmes, s’exécute et présente ses condoléances.
« Qu’est-ce qui vous prend ? » lui demande l’autre.
« – Bien, je crois comprendre qu’un de vos amis est décédé, puisque vous ne m’avez demandé que deux cognac.
– Mais non, je suis allé hier à ma première réunion des Alcooliques Anonymes.
C’est moi qui ai arrêté de boire ! »

Ce chef de produits irascible et intransigeant tapait sur les nerfs de ses collaborateurs directs.
Un jour qu’il s’était absenté, toute l’équipe des cadres supérieurs se réunit dans son bureau pour comploter dans son dos.
Malheureusement pour eux, la secrétaire du chef de produits venait de le biper dans sa voiture pour un rendez-vous surprise avec le président, et la future victime était sur la route du retour…
Dans cinq minutes, il allait surprendre le groupe des comploteurs !
« – Si il nous attrape dans son bureau, il saura tout de suite ce que l’on s’apprêtait à faire… » hurle le directeur marketing hystérique… « Allez vite, sautez tous par la fenêtre !
– Mais on est au treizième étage ! » reprend le directeur financier affolé.
« – Sautez tous ! » beugle le directeur marketing. « Ce n’est pas le moment d’être superstitieux ! »

Trois amis, un généticien, un avocat et un conseiller matrimonial discutent de l’origine de la vie autour d’un bon repas.
Le généticien parle le premier :
« J’ai consulté mes collègues et lu beaucoup d’ouvrages sur la question ; nous les scientifiques sommes tous d’accord, la vie commence lorsque le spermatozoïde rencontre l’ovule ! »
L’avocat prend la parole :
« Je ne suis pas d’accord. Mon point de vue est celui de la loi, et la loi dit que la vie commence lorsque l’embryon en est au stade de 32 cellules. »
« Hmmm, je crois bien que l’un et l’autre, vous ne soyez dans le faux », lance alors le conseiller matrimonial. « Depuis des années, j’ai rencontré et conseillé des milliers de couples, et j’en suis venu à la conclusion que la vie commence quand vos derniers enfants ont terminé leurs études et que votre chien est enfin mort. »

Un vieux ranger de 80 ans vient voir le toubib local pour se faire une visite médicale.
« – Mais vous êtes dans une santé éclatante pour un vieil homme comme vous !
– C’est parce que je chasse la dinde sauvage. Je suis un grand chasseur.
– C’est sûr que l’exercice, ça aide mais cela ne fait pas tout. À quel âge votre père est-il mort ?
– Qui vous a dit que mon père était mort !
– Hein ? Mais quel âge a-t-il ?
– Il vient d’avoir 100 ans. C’est un chasseur de dinde sauvage. C’est lui qui m’a tout appris. C’est…
– Ok, ok ! Alors à quel âge son propre père est mort ?
– Mais il n’est pas mort lui non plus !
– Non ?
– Il a 118 ans.
– N’allez pas me dire qu’il chasse la dinde sauvage lui aussi.
– Hé non.
– Ha !
– En fait, il était chasseur lui aussi, mais il est obligé de rester auprès de sa nouvelle femme. Il vient juste de se remarier.
– Quoi ? Mais qui voudrait se marier avec un vieux de 118 ans ?
– Oh, vous savez, ce sont les circonstances qui l’ont obligé. »

En prévision d’une pandémie de H1N1 (la grippe du konnard = cochon + canard) on n’est jamais trop prudent…
Donc message à lire jusqu’au bout pour votre protection.
On devrait donc suivre ces conseils …
« Mangez sainement !
Veillez à manger quotidiennement des fruits et des légumes.
Un petit extra en vitamines, et particulièrement en vitamines C, ne peut pas faire de tort.
Maintenez-vous en mouvement.
Parce que bouger aide à construire votre système immunitaire.
Promenez-vous au moins une demi-heure par jour, prenez l’escalier plutôt que l’ascenseur, etc.
Lavez-vous souvent les mains.
Prenez l’air.
Ouvrez portes et fenêtres le plus possible.
Essayez d’éliminer le stress de votre vie courante.
Reposez-vous suffisamment.
OU …
Suivez l’avis du praticien : Pensez.
Quand vous allez pour la piqûre, que font-ils en premier lieu ?
Ils nettoient votre bras avec de l’alcool…
Pourquoi ?
Parce que l’alcool tue les bactéries.
Donc.
Je me promène jusqu’au débit de boissons (promenade !) ;
Je verse du vin dans mon verre (fruits) ;
Du céleri dans mon Bloody Mary (légumes) ;
Je le bois dehors, sur la terrasse (plein air) ;
Je raconte des blagues, je ris … (idéal contre le stress) ;
Puis je tombe endormi (repos) ;
Donc, tout bien considéré …
Tant que tu tiens l’alcool en vue, la grippe n’a pas de prise sur toi !
Ma grand-mère disait toujours, ‘‘Un coup de gnôle dans la gueule vaut mieux qu’une piqûre dans le kul… !’’
À votre santé ! »

Jean-Marc est installé dans un bar et voit un de ses amis, Jean-Paul, complètement saoul, en train de pleurer seul à sa table.
Il va le voir et lui demande :
« – Hey mon vieux, qu’est-ce qui se passe ?
– J’arrive de chez mon médecin « snif », il m’a prescrit des médicaments que je vais devoir prendre chaque jour pour le reste de ma vie ! »
Jean-Marc, croyant que le problème de son ami était plus grave, tient à le rassurer :
« – Voyons, t’en fais pas avec ça, j’en connais plein de monde qui doivent prendre des pilules pour le reste de leur vie !
– C’est pas ça le problème ; il m’a juste prescrit 10 pilules… »
Notez que le mien, il ne m’en donne que pour 90 jours…


« Oh ! Là ! Là ! » dit l’extralucide, en fronçant les sourcils, « je vois, dans les cartes, une grosse contrariété. Votre percepteur va exiger de vous un énorme rappel d’impôts. »
Jean-Marc s’affole, mais elle le rassure aussitôt :
« Ne vous tracassez surtout pas à ce propos. Vous ne paierez pas cette somme qui vous sera réclamée. Quinze jours avant la date-limite, vous mourrez, écrasé par un bus. »

Dans la même veine :
« Comment appelle-t-on une femme qui sait où se trouve son mari tous les soirs ?
Une veuve… »

Jean-Marc est à l’hôpital avec la tête enveloppée d’un solide pansement.
Son infirmière lui dit :
« – Mon pauvre monsieur, votre femme doit vous manquer !
– D’habitude oui, mais cette fois-ci, elle m’a eu. »

Trois ouvriers du bâtiment, Jean-Marcel, Jean-Jacques et Jean-René, prennent leur pause déjeuner installés sur un échafaudage.
Ils dégustent leurs sandwichs et boivent quelques canettes de bière.
À la suite d’un mouvement soudain de la structure, Jean-René perd l’équilibre, chute et meurt sur le coup.
Les deux survivants se rendent vite compte que c’est à l’un d’entre eux d’aller annoncer l’affreuse nouvelle à la femme de Jean-René.
Jean-Jacques, le rude gaillard de la bande qui ne fait généralement pas dans la dentelle, se propose spontanément :
« Je crois que je serais pas mauvais pour ça… »
Et immédiatement, il se rend au domicile de son défunt ami.
Il revient sur le chantier trois heures plus tard, avec un paquet de canettes de bière :
« – Tiens, j’ai ramené du ravitaillement.
– Mais, tu as bien été voir la femme de Jean-René ? », demande Jean-Marcel angoissé.
« – Ben ouais…
– Et le paquet de canettes, il vient d’où ? », reprend Jean-Marcel.
« – C’est elle qui me l’a donné », rétorque Jean-Jacques.
Jean-Marcel ne comprend pas :
« – C’est quoi l’embrouille ? Tu lui annonces la mort de son mari et elle t’a offert des canettes de bière ? Explique-moi ce qui s’est passé.
– Ben je suis allé là-bas », explique Jean-Jacques. « J’ai sonné, elle m’a ouvert… J’ai dit : ‘‘C’est bien ici qu’habite la veuve de Jean-René ?’’. Elle a répondu : ‘‘Non, non, vous faites erreur, je ne suis pas veuve…’’. Et je lui ai dit : « Je vous parie six bières que si… »

Jean-Marc et Jean-Paul, à la pêche, discutent sur leurs prises.
« – Ben moi j’ai une nouvelle technique, vu que je n’arrivais plus à en attraper un seul, et pourtant je leur avais tout donné, des vers, des vers à soie, des mouches, des larves, tout quoi mais rien…
– Alors, maintenant ?
– Et bien maintenant, je leur file du fric et ils vont s’acheter ce qu’ils veulent. »

Deux flics sont en faction un soir à un carrefour, lorsqu’ils voient arriver une voiture roulant en zigzaguant dangereusement.
Les deux fonctionnaires interceptent le véhicule rebelle et, s’approchant de la voiture, se présentent, conformément au règlement :
« Bonsoir monsieur, Police Nationale ! »
Le mec à l’intérieur, Jean-Marc, complètement bourré, répond par la vitre ouverte :
« Bah tant pis pour ta gueule, t’avais qu’à mieux travailler à l’école ! »

Bonne fin de semaine à toutes et tous !

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