Alors,
ça chauffe et ça ramollit le neurone.
Tout ça pour vous prévenir que le niveau de notre RDV du vendredi aurait
tendance à baisser : Mais on va se reprendre.
« Quand j’avais 10 ans à l’école,
j'apprenais dans l’ordre les conjonctions de coordination : Mais, ou, et, donc,
or, ni, car.
Avec l’âge j’ai plus de
60 ans et je m'en souviens encore mais… dans le désordre :
Mais, ou, est, donc, mon,
ri, car. »
« – Dis donc, à quoi
reconnaît-on le slip de Dark Vador ?
– À son côté obscur. »
Et tout de suite, quelques « revenues » :
« – Pour les chasseurs, quelle
est la ressemblance entre un chien et un renard ?
– Environ 10 bières. »
« – Quelle est la définition de
la confiance absolue ?
– C’est quand 2 cannibales font un 69. »
« – Papa, quand je suis né qui
m’a donné mon intelligence ?
– Sans doute ta mère
parce que, moi, j’ai encore la mienne ! »
« – Quelle est la différence
entre des brocolis et des crottes de nez ?
– Essayez donc de faire
manger des brocolis à un enfant pour voir… »
Un jeune marié stipule ses « règlements » à sa nouvelle épouse :
« 1°) Je me lève quand je veux
et je vais dormir quand je veux.
2°) Quand je reviens du
boulot, la maison doit être impeccablement propre et mon dîner prêt.
3°) Les week-ends je sors
avec mes copains et je décide de l’heure à laquelle je rentre à la maison, des
questions ? »
Sa nouvelle épouse lui répond que non et lui dit très calmement :
« Moi, je n’ai qu’une seule
règle… Ici on baise tous les soirs à sept heures, que tu sois là ou pas ! »
Au cours d’un jugement pour divorce, le couple se dispute la garde du fils unique.
Au cours d’un jugement pour divorce, le couple se dispute la garde du fils unique.
La mère, très émue, se défend :
« Monsieur le Président … Cet
enfant a été conçu en moi… Cet enfant est sorti de mon ventre… Donc je mérite
de le garder ! »
C’est mon fils, ma bataille, il ne fallait pas qu’il s’en aille et tout ça…
Le juge, tout aussi ému et presque convaincu, laisse la parole au futur
ex-mari.
Celui-ci utilise son côté pragmatique :
« Monsieur le Président je
n’aurai qu’une question : Quand j’introduis une pièce dans un distributeur de
boissons, la canette qui en sort est à moi ou à la machine ? »
Et quelques « nouveautés » :
Un bar avait été construit devant un cimetière.
Le propriétaire avait installé une enseigne qui disait :
« Quoi qu’on dise, quoi qu’on y
fasse, on est mieux ici qu’en face !
»
Lorsque celui qui entretenait le cimetière a vu l’enseigne, il en a
également fait poser une devant le cimetière qui disait :
« Quoi qu’on dise, quoi qu’on
fasse, tous ceux qui sont ici viennent d’en face ! »
« Maman, maman, j’ai vu un
airplane ! J’ai vu un airplane ! »
La maman répond :
« – Mon fils, on dit avion…
– Ok maman, j’avions vu un
airplane. »
Germaine rentre chez elle après avoir fait du shopping et elle entend des
bruits bizarres venant de la chambre à coucher.
Elle se précipite en haut et trouve son mari, Jean-Marc, tout nu, allongé sur le lit, en sueur et tout essoufflé.
« – Mais qu’est-ce qui se passe
ici ?
– Je suis en pleine crise
cardiaque. »
Germaine se précipite en bas pour appeler le SAMU, mais au moment de faire
le numéro, son fils de 4 ans arrive et dit :
« Maman, Maman ! Tante Marie-Jeanne
se cache dans ton armoire et elle est toute nue. »
La dame raccroche brutalement et monte en vitesse dans la chambre, ouvre
la porte de l’armoire violemment et, pour sûr, y trouve sa sœur, complètement nue et recroquevillée par terre.
« Salope ! Mon mari est en
train de crever avec une crise cardiaque et tu joues à cache-cache avec les
enfants ! »
Une petite expérience valant mieux qu’un long discours, un curé décide
qu’une démonstration donnerait plus de poids à son sermon du dimanche.
Pour cela, il met quatre vers de terre dans quatre flacons :
Le premier ver dans un flacon d’alcool.
Le second dans un flacon plein de fumée de cigarette.
Le troisième dans un flacon de sperme.
Enfin le dernier, dans un flacon d’eau bien propre.
À la fin de son sermon, le curé donna les résultats de l’expérience :
« Le ver dans le flacon
d’alcool est mort.
Le second, dans le flacon
plein de fumée de cigarette, est mort.
Le troisième, dans le
flacon de sperme, est mort.
Le dernier, dans le
flacon d’eau bien propre, a survécu. »
Le curé demande alors à l’assemblée :
« Quels enseignements pouvons-nous
retirer de cette démonstration ? »
On entend alors la voix de Jean-Marc,
du fond de l’église :
« Tant qu’on boit, qu’on fume et
qu’on baise, on n’aura pas de vers ! »
Le lendemain de leur mariage, un dimanche, le nouveau marié dit à sa jeune
épouse :
« Ma mère m’a toujours dit
qu’avant d’aller à la messe, on a le devoir de faire l’amour. »
Et ils le font.
En revenant du service religieux, le mari dit :
« D’après mon père, on a le
devoir de faire l’amour avant le déjeuner. »
Et ils le font à nouveau.
Le soir avant de préparer le dîner :
« D’après mon oncle, on a le
devoir de faire l’amour avant le dîner. »
Et ils le font à nouveau.
Au moment de se coucher pour dormir, il dit :
« Mon grand-père disait qu’on
avait le devoir de faire l’amour le soir. »
Et ils le font une fois de plus.
Ils finissent par s’endormir et le lendemain matin, au réveil, le mari dit
:
« Ma tante dit qu’on doit
toujours commencer la semaine en faisant l’amour. »
Et ils le font encore une fois.
Dans le courant de la matinée, l’épouse croise une collègue au travail qui
lui dit :
« – Comment ça se passe avec
ton nouveau mari ?
– Et bien écoute…Comment
dire… Ce n’est pas vraiment un intellectuel... Mais il est issu d’une
excellente famille ! »
Un prêtre catholique, un prédicateur baptiste et un rabbin qui sont amis
dans le civil, se retrouvent chaque semaine pour prendre un café.
Un jour, ils se lancent un défi et décident que chacun ira dans les bois
pour tenter de convaincre un ours de se convertir à leur religion.
Sept jours plus tard, ils se réunissent au domicile du rabbin pour
discuter de leurs expériences.
Le prêtre, qui avait un bras en écharpe, portait des béquilles et des
bandages sur le torse et les bras, commença :
« Je suis allé dans les bois et
quand j’ai trouvé un ours, j’ai commencé à lui lire de mon catéchisme. L’ours
ne voulait pas m’écouter et m’a agressé sauvagement. Alors j’ai pris ma
bouteille d’eau bénite et je l’ai arrosé et… il est devenu aussi doux qu’un
agneau. L’évêque va venir la semaine prochaine pour lui donner la première
communion et la confirmation. »
Puis ce fut le tour du révérend protestant qui arriva sur une chaise
roulante avec un bras et une jambe dans le plâtre :
« J’ai trouvé un ours et j’ai
commencé à lui lire les Saintes paroles de Dieu. Alors il a m’a frappé et nous
nous sommes battus. Nous avons lutté jusqu’au bas de la colline où se trouvait
un ruisseau. Alors je l’ai baptisé dans l’eau et il est devenu doux comme un
agneau. Nous avons passé le reste de la journée à faire l’éloge de Jésus. Alléluia
! »
Enfin le rabbin qui était couché dans son lit, le corps recouvert de
bandages et sous perfusion prend la parole avec difficulté :
« En y repensant, je me demande
si je n’ai pas eu tort de commencer par la circoncision… »
Un clochard arrive devant le palais de l’Élysée et gare son vélo.
Aussitôt un policier de service arrive et lui dit :
« Vous ne pouvez pas laisser
votre vélo ici. Vous êtes devant le palais présidentiel. Ici passent, le
président, les ministres, les députés, les sénateurs et de nombreuses
personnalités ! »
L’ivrogne le toise de la tête aux pieds et lui répond :
« T’inquiète pas, mon gars :
Je vais mettre un cadenas ! »
Jean-Marc rentre à la maison avec sa petite
fille qu’il vient tout juste de prendre à l’école.
La petite fille lui dit :
« Dis papa, je t’ai vu au
bureau avec ta secrétaire. Pourquoi est-ce que tu l’appelles « poupée » ? »
Sentant l’œil noir de sa femme planer au-dessus de lui, Jean-Marc s’explique
:
« – Heu, tu sais ma chérie, ma
secrétaire est quelqu’un qui travaille énormément et qui gère mon emploi du
temps mieux que personne. Tu ne peux pas savoir comment elle tape bien le
courrier et comment elle maîtrise bien l’ordinateur aussi. C’est quelqu’un de
très efficace. C’est pour cela que je l’appelle « Poupée » c’est une façon de
lui montrer ma reconnaissance…
– Oh… Je pensais que c’était comme ma Barbie
car quand on la couche, elle aussi ferme les yeux. »
Jean-Marc commande un petit déjeuner :
« – Deux œufs, svp…
– Et comment vous les
voulez vos œufs ?
– Un à côté de l’autre…
Et deux toasts, mais grillées juste d’un côté. »
La serveuse lui apporte ses toasts, mais Jean-Marc lui dit :
« – Mademoiselle, elles ne sont
pas toastées du bon bord.
– Ha bien, ce n’est pas
grave, je vais vous en faire préparer deux autres.
– Ha », dit-il. « Laissez donc faire, je vais les manger à
l’envers. »
Le directeur de l’hôpital psychiatrique fait son tour hebdomadaire.
Soudain, il aperçoit un malade lavant son canari (brosse dure, savonnette,
etc.).
« Mais, tu vas le faire mourir
! » lui dit-il.
« – Non, non, monsieur le
directeur, je ferai attention !
– Tant pis, je t’aurais
prévenu ! »
Un quart d’heure plus tard le directeur repasse et vois son patient
pleurer.
« – Sniff, il est mort !
– Ah, mais ne t’avais-je
pas prévenu de ne pas le laver ?
– Sniff, c’est pas quand
je l’ai lavé, c’est quand je l’ai essoré en le tordant ! »
Bonne nouvelle : Les laboratoires Pfizer annoncent l’arrivée en
pharmacie de deux nouveaux médicaments qui atténuent les conflits de couple… !
De plus, ils occasionnent très peu d’effets secondaires.
Le « DICOMEL » (Dis comme elle…) et le « LIPUIDOR » (Lis,
puis, dors…)
« – Quel est le comble pour un
fantôme ?
– C’est d’être dans de
beau drap ! »
Coluche et la mode vestimentaire :
« Dans les années 30, il
fallait écarter la culotte pour voir les fesses ; aujourd’hui il faut écarter
les fesses pour voir la culotte… »
Et puis comme c’est l’été et que vous aurez à cœur de ne pas
laissez aller votre neurone, une petite énigme (juste pour le plaisir) :
Un automobiliste roule sur une portion de route entre deux villes
distantes de 100 kilomètres.
À l’aller, il met pile une heure : 100 km/h de moyenne.
Au retour, gêné par les poids lourds sur son chemin et quelques
embouteillages, il met deux heures : 50 km/h.
À quelle allure moyenne a-t-il roulé ?
Simple, non ?
Votre réponse en commentaire, svp.
Bon week-end à toutes et tous !
I3
Bien le bonjoir,
RépondreSupprimerBêtement j'aurais presque pensé 66,6, un peu trop " bête" cet automobiliste.
Plus simplement zéro, il est toujours à son point de départ 3 après :D
Bien considerablement.
Kama
Bonjour Kama !
SupprimerZéro, sûrement pas puisqu'il a fait 200 bornes entre deux !
Il est certes revenu à son point de départ, mais il aurait pu aller encore ailleurs.
Ceci dit, c'est la bonne réponse et "infiniment BRAVO !"
Le "piège" est là : 100 + 50 = 150.
150 divisé par 2 = 75.
Or, il a mis 3 heures pour faire 200 km : 200 / 3 = 66,66 effectivement !
Bon j'arrête de vous embêter tous avec mes "énigmes-débiles" : Vous êtes tous trop forts pour moâ !
Bon week-end à toutes et tous tout de même !
I-Cube