Une véritable traînée de poudre !
Le « Warp Drive » : Le ministère de la
défense US a rendu public un rapport sur le voyage supra-luminique !
Je rigole lourdement.
Avec « MacDo-Trompe », avec « Poux-Tine »,
avec « l’empereur XI », on est en plein retour de guerre-froide et sa
course aux armements.
Le dernier envoie un engin pour explorer la face cachée
de la Lune et le fait savoir, le second expose à qui veut l’entendre que ses « indurtiels »
vont mettre en place un missile anti-aérien (le S 500) capable de « démonter
les boulons » de n’importe quel drone (et autre avion. Au passage, je ne
te vous raconte pas le coût du missile tiré pour abattre une cible de
trois-francs-six-sous…), même furtif, même hypersonique, à 500 km de distance,
le premier ne pouvait pas faire moins que de montrer ses muscles.
Une stratégie qui parfois fonctionne (la guerre commerciale qui n’aura probablement pas lieu) parfois ne fonctionne pas (la Corée ?).
Une stratégie qui parfois fonctionne (la guerre commerciale qui n’aura probablement pas lieu) parfois ne fonctionne pas (la Corée ?).
De quoi s’agit-il ? D’une série d’études
concernant des technologies aérospatiales avancées, et notamment une étude
rendue publique concernant la distorsion spatio-temporelle (« Warp Drive »)
afin d’effectuer des voyages supra-luminiques.
Le « Faucon millénium » de Han Solo, ça vous
rappelle quoi ?
Vous ne le savez peut-être pas, mais il s’agit seulement d’une « hypothèse-mathématique »
émise il y a plus de deux décennies.
Mais qui désormais est prise au sérieux.
Car la possibilité d’utiliser l’énergie noire et les
dimensions supplémentaires pour distordre l’espace est évoquée, même si selon le
physicien Sean Carroll, ces technologies ne pourraient être effectives avant au
moins un millier d’années.
En fait, du temps où je régatais, c’est un peu comme l’histoire
des coques dégoulinantes de flotte ou des coques-sèches : Comment aller plus vite à
la voile dans des conditions données ? En réduisant la résistance aux
frottements de la coque dans l’écoulement de l’eau le long d’elle-même (qu’on
souhaitait « laminaire » le plus loin possible vers la poupe, d’où l’optimisation
des profils des voiliers, voire la solution de l’hydrofoil) en emportant avec
elle une « couche adhérente » de flotte (frottement eau/eau,
insensible, on ne sait pas la calculer) ou non ?
Dans le premier cas, le voilier emporte « son eau
avec lui », dans le second (les coques sèches), il évacue la couche
laminaire le plus vite possible…
Comme rien n’est jamais parfait en mécanique des
fluides, aucune des deux solutions n’a eu le dessus et les surfeurs continuent
de « farter » leurs planches.
Sur un 40 pieds, ça n’a rien d’évident : On a
laissé pisser au fil du temps.
Ceci dit, on a ainsi appris qu’à la fin du mois d’août
2008, l’US Department of Defense a embauché plusieurs dizaines de chercheurs
afin d’explorer des pistes technologiques ultra-avancées pour l’aérospatiale,
incluant des méthodes de propulsion et de camouflage inédites.
Deux chercheurs, le physicien Richard K. Obousy
(Icarus Interstellar) et l’astrophysicien Eric W. Davis (consultant à la NASA) ont
rendu un rapport de 34 pages le 2 avril 2010, intitulé « Warp drive, énergie sombre et manipulation des dimensions
supplémentaires ».
Et c’est celui-ci qui vient d’être rendu public par la
Defense Intelligence Agency (DIA qui n’a rien à voir avec la drogue).
Ce n’est pas la première fois qu’Obousy travaille sur
le voyage par distorsion spatiale. Depuis les années 2000, il a publié un
certain nombre d’études concernant la faisabilité d’un tel moyen de
déplacement. Les auteurs du rapport suggèrent que les scientifiques ne seraient
pas si loin d’appréhender les dimensions supplémentaires et la nature de
l’énergie noire (suspectée être à l’origine de l’accélération de l’expansion de
l’univers).
Ils ne le savent pas encore : Elle existe, mais
n’est pas là où on la cherche…
« Le contrôle de
ces dimensions spatiales supplémentaires pourrait permettre de manipuler
technologiquement la densité de l’énergie noire et pourrait aboutir au
développement de technologies de propulsion exotiques ; notamment le ‘‘Warp
drive’’. Des voyages entre les planètes de notre système solaire ne prendraient
alors que quelques heures plutôt que des années, et des voyages vers les
systèmes stellaires locaux ne prendraient que quelques semaines plutôt que des
centaines de milliers d’années ».
On peut toujours faire de jolis rêves…
Cependant, Sean Carroll, physicien théoricien spécialiste de l’énergie noire et de la relativité générale au Caltech, se montre moins optimiste et plus nuancé. « Ce sont des morceaux et des pièces de physique théorique habillés comme s’ils étaient vraiment reliés à de potentielles applications dans le monde réel, alors que ce n’est pas le cas. Ce n’est pas pour autant quelque chose de fou ou un discours de Maharishi affirmant que nous allons utiliser l’énergie spirituelle pour voler, c’est de la vraie physique. Mais ce n’est pas quelque chose qui pourra être utilisé en ingénierie à court terme, et peut-être même probablement jamais ».
Cependant, Sean Carroll, physicien théoricien spécialiste de l’énergie noire et de la relativité générale au Caltech, se montre moins optimiste et plus nuancé. « Ce sont des morceaux et des pièces de physique théorique habillés comme s’ils étaient vraiment reliés à de potentielles applications dans le monde réel, alors que ce n’est pas le cas. Ce n’est pas pour autant quelque chose de fou ou un discours de Maharishi affirmant que nous allons utiliser l’énergie spirituelle pour voler, c’est de la vraie physique. Mais ce n’est pas quelque chose qui pourra être utilisé en ingénierie à court terme, et peut-être même probablement jamais ».
Ah bon ? Ô déception, Ô rage, Ô désespoir !
Il nous faut revenir aux origines pour comprendre : Les études
concernant la distorsion spatiale proviennent d’un document militaire
concernant l’évaluation technologique des menaces extérieures, c’est-à-dire un
document aidant l’armée américaine à évaluer et prédire les nouvelles technologies
développées par les pays/organisations « ennemis », y compris celles de nature
tout à fait théorique. Et cette étude-là s’inscrit également dans une série de
rapports sur les technologies avancées destinés au Programme d’Application de
l’Aérospatiale Avancée et des Systèmes d’Armement.
Ce programme incluait notamment le Programme sur
l’Identification des Menaces de l’Aviation Avancée (destiné notamment à évaluer
les événements d’objets volants non-identifiés [les OVNIs], rapportés par le
personnel militaire).
C’est que ça met toujours en ébullition le neurone des
Ufologues (et autres « (f)Ummistes ») ces choses-là…
Les Ovnis, il y en a tellement dans notre ciel, qu’on
en arrive à ne même plus les distinguer d’avec de vraies machines humaines – c’est
pour ça qu’on les observe et on les guette – et que de toute façon personne ne
comprend comment ils peuvent venir de si loin (car c’est forcément plus loin
que la gare Saint-Charles), provoquant une peur panique (c’est un des effets recherchés) des technologies
extra-terrestres « plus avancées ».
En fait, ces observations existent depuis une
demi-dizaine de milliers d’années, et ça fait des décennies qu’on « écoute »
les improbables signaux venus de l’espace, alors que des milliers d’appareils
détectent « tout ce qui bouge » dans notre système solaire, sans que
la civilisation des humains n’ait pu encore être détruite…
J’ai bien une autre solution pour expliquer ce paradoxe,
mais ça ne convient à personne…
Revenons à notre sujet : Les auteurs de
l’étude font appel à diverses notions physiques bien établies dans la
communauté scientifique, parmi lesquelles l’énergie noire, la relativité
générale et la déformation géométrique de l’espace-temps, l’énergie quantique
du vide et l’effet Casimir, ainsi que la théorie M, la théorie unifiant les 5
théories des super-cordes et prédisant l’existence de 7 dimensions
supplémentaires qu’une technologie comme le « Warp drive » pourrait
exploiter.
La combinaison de ces différentes notions permet
d’aboutir, selon eux, à une propulsion supra-luminique. « Si l’on souhaite maintenir l’idée réaliste de l’exploration
interstellaire dans le délai d’une vie humaine, alors un véritable changement
de paradigme concernant la propulsion spatiale est nécessaire », expliquent
les auteurs.
Oui, là, pas de doute.
Jusque-là, les meilleurs auteurs de science-fiction
(et autres futurologues) utilisent la cryogénisation pour garder une « unité d’action » de
leur récit, mais c’est du flanc : L’eau contenue dans notre corps l’exploserait
irrémédiablement comme d’une bouteille d’eau en verre mise dans un congélateur…
Pour faire « plus-vrai », l’étude inclut un
tableau comportant différentes destinations et les temps de voyage théorique
vers celles-ci en utilisant la distorsion spatiale, afin de voyager à 100 fois
la vitesse de la lumière dans le vide. Selon les auteurs, le « Warp drive »
pourrait fonctionner en manipulant l’énergie noire de manière à dilater une
dimension supplémentaire, qui formerait alors une grosse bulle dans laquelle
évoluerait un gros engin spatial dans lequel seraient enfermés un équipage et
ses passagers, tout aussi naturellement que dans un avion.
Une telle bulle pourrait contenir un vaisseau ou un
volume de 100 m3.
Une contraction de l’espace-temps en avant du vaisseau
et une dilatation à l’arrière, pourraient ainsi permettre de propulser
l’ensemble bulle-vaisseau dans une sorte de « tube d’espace-temps », sans
techniquement dépasser la vitesse de la lumière.
Idée assez géniale en soi : C’est l’histoire du
voilier « mouillé » qui se promène sur son parcours olympique entre
trois bouées avec « sa bulle d’eau » collée à sa coque…
Grâce à la métrique d’Alcubierre, en contractant
l’espace-temps à l’avant d’un vaisseau et en le dilatant à l’arrière, le voyage
supra-luminique deviendrait alors possible.
Sean Carroll rappelle heureusement qu’il ne s’agit pas
là d’une idée démente mais bien d’un véritable concept physique développé par
le physicien mexicain Miguel Alcubierre en 1994 : La métrique d’Alcubierre.
Cette dernière implique une déformation ondulatoire de l’espace-temps, qui se
contracte dans une direction et se dilate dans une autre, à l’opposé.
« Vous ne pouvez
pas aller plus vite que la lumière, mais vous pouvez imaginer distordre
l’espace-temps et donner l’impression que vous voyagez à une vitesse supra-luminique
» explique Carroll. « Si vous souhaitez
rejoindre Alpha Centauri par exemple, vous pouvez vous demander : puis-je
distordre l’espace-temps et me retrouver à côté d’Alpha Centauri afin que cela
me prenne des jours plutôt que des dizaines de milliers d’années ? La réponse
est oui, vous pouvez théoriquement le faire ».
Mais selon Carroll, les auteurs exagèrent leur
analyse. « Il y a quelque chose appelé « Warp
drive », il y a des dimensions supplémentaires, l’effet Casimir (dans
le vide absolu, deux objets se repoussent avec une puissance supérieure à celle
de la gravitation) et, l’énergie sombre
tous sont de véritables concepts physiques. Mais il n’y a aucune chance pour
que quelqu’un de notre époque ou des 1.000 prochaines années construisent
quelque chose en rapport direct avec ces concepts, que ce soit pour des
questions de défense ou pour d’autres raisons ».
À force de le dire et de le redire, on finira par en
être convaincu…
Sauf que je serai moins pessimiste que lui, si on remettait les points sur le « i » et résonnait sur ce que l’on sait.
Sauf que je serai moins pessimiste que lui, si on remettait les points sur le « i » et résonnait sur ce que l’on sait.
Carroll indique que le « Warp drive » est
actuellement déconnecté de la réalité physique, car personne ne connaît la
nature de l’énergie noire, ne sait la créer ou encore la stocker. En outre, la
quantité d’énergie noire requise pour faire voyager un volume de 100 m3
vers Alpha Centauri en seulement quelques années est phénoménale.
« Si vous
annihiliez la Terre pour la transformer en pure énergie, cela correspondrait à
la quantité d’énergie qu’il vous faudrait, tout en sachant qu’en réalité, c’est
de l’énergie à pression négative qu’il vous faut, et que personne n’a d’indice
sur comment en produire » explique Carroll.
« C’est vraiment
un discours démesuré, ce n’est pas comme s’il suffisait de dire « Oh, nous
avons besoins de meilleurs transistors ! » ; c’est quelque chose de
complètement en dehors du domaine de la faisabilité ».
Point-barre.
Effectivement, le « Warp drive » nécessite une importante quantité d’énergie noire (énergie à pression négative) pour fonctionner. Or, les physiciens ne connaissent pas encore la nature de l’énergie noire, ni comment la produire ou la stocker. Notez que ce n’est jamais que de l’énergie positive avec un signe négatif devant acquise aux termes de la super-symétrie dont on vérifie les effets tous les jours dans les labos de recherche, mais sans encore être complet.
Et les auteurs sont conscients de l’aspect spéculatif de leur hypothèse et reconnaissent que la quantité d’énergie négative requise est effectivement incroyable. Ils ajoutent, conscients de leurs lacunes, qu’une « compréhension complète de l’énergie noire pourrait prendre encore plusieurs années ».
Pour sûr !
L’étude suggère tout de même qu’une « découverte expérimentale majeure au LHC ou que des développements concrets de la théorie M, pourraient conduire à un véritable bond quantique dans la compréhension de l’énergie noire, et peut-être aider au développement d’innovations technologiques ».
Admettons.
Outre ces lacunes scientifiques actuelles concernant l’énergie noire et la théorie M, le « Warp drive » comprend en lui-même des risques : En effet, la distorsion spatio-temporelle pourrait créer une instabilité à l’allumage du vaisseau et entraîner une perte de contrôle totale. À l’arrêt du vaisseau et de la distorsion, le rayonnement de Hawking pourrait incinérer le vaisseau tout entier.
Enfin, la décélération pourrait transformer les poussières et gaz alentours en particules de haute énergie, à l’origine d’une onde de choc disloquant le vaisseau.
Candidat au suicide « haute-technologique » ?
« C’est possible dans le sens où je ne peux pas exclure l’idée, mais je ne pense pas que ce soit vraiment faisable. Je pense que si nous connaissions mieux la physique, nous dirions simplement « Non, nous ne pouvons pas faire ça » » conclut Carroll à propos du « Warp drive » et des voyages supra-luminiques.
Bref, un rapport pour expliquer aux contribuables « ricains » où passe son pognon, éventuellement pour les rassurer et accessoirement pour faire peuraux soviétiques à « Poux-Tine » et ses missiles « indestructibles ».
Ceci dit, j’ai à vous proposer d’autres explications, d’autant mieux, c’est que ce n’est pas moi qui les ai inventées.
Voyage interstellaire dans la durée d’une vie d’homme ? Simple et elles sont déjà dans les équations de la relativité générale et de la physique quantique : Prendre le temps comme d’une « vraie dimension ». Je veux dire au moins comme l’espace en a trois, pourquoi le temps n’en aurait qu’une (du passé vers futur) ?
Et pourquoi donc ? Seulement parce qu’on ne sait pas ce que c’est que du temps « négatif ». On n’a jamais vu…
Sauf que peut-être, je dis bien « peut-être », le phénomène OVNI : Une technologie humaine qui revient faire des « études » et passer quelques messages, sur son passé.
Quelques indices peuvent le laisser présumer, mais ce ne sont pas des preuves.
Je n’y connais strictement rien, mais « inverser » le sens des équations n’en changent pas pour autant la signification. Si « a » = « b », chez moi, ça veut dire que « b » = « a » (ou alors il s’est passé quelque chose et qu’on ne m’en a rien dit).
Effectivement, le « Warp drive » nécessite une importante quantité d’énergie noire (énergie à pression négative) pour fonctionner. Or, les physiciens ne connaissent pas encore la nature de l’énergie noire, ni comment la produire ou la stocker. Notez que ce n’est jamais que de l’énergie positive avec un signe négatif devant acquise aux termes de la super-symétrie dont on vérifie les effets tous les jours dans les labos de recherche, mais sans encore être complet.
Et les auteurs sont conscients de l’aspect spéculatif de leur hypothèse et reconnaissent que la quantité d’énergie négative requise est effectivement incroyable. Ils ajoutent, conscients de leurs lacunes, qu’une « compréhension complète de l’énergie noire pourrait prendre encore plusieurs années ».
Pour sûr !
L’étude suggère tout de même qu’une « découverte expérimentale majeure au LHC ou que des développements concrets de la théorie M, pourraient conduire à un véritable bond quantique dans la compréhension de l’énergie noire, et peut-être aider au développement d’innovations technologiques ».
Admettons.
Outre ces lacunes scientifiques actuelles concernant l’énergie noire et la théorie M, le « Warp drive » comprend en lui-même des risques : En effet, la distorsion spatio-temporelle pourrait créer une instabilité à l’allumage du vaisseau et entraîner une perte de contrôle totale. À l’arrêt du vaisseau et de la distorsion, le rayonnement de Hawking pourrait incinérer le vaisseau tout entier.
Enfin, la décélération pourrait transformer les poussières et gaz alentours en particules de haute énergie, à l’origine d’une onde de choc disloquant le vaisseau.
Candidat au suicide « haute-technologique » ?
« C’est possible dans le sens où je ne peux pas exclure l’idée, mais je ne pense pas que ce soit vraiment faisable. Je pense que si nous connaissions mieux la physique, nous dirions simplement « Non, nous ne pouvons pas faire ça » » conclut Carroll à propos du « Warp drive » et des voyages supra-luminiques.
Bref, un rapport pour expliquer aux contribuables « ricains » où passe son pognon, éventuellement pour les rassurer et accessoirement pour faire peur
Ceci dit, j’ai à vous proposer d’autres explications, d’autant mieux, c’est que ce n’est pas moi qui les ai inventées.
Voyage interstellaire dans la durée d’une vie d’homme ? Simple et elles sont déjà dans les équations de la relativité générale et de la physique quantique : Prendre le temps comme d’une « vraie dimension ». Je veux dire au moins comme l’espace en a trois, pourquoi le temps n’en aurait qu’une (du passé vers futur) ?
Et pourquoi donc ? Seulement parce qu’on ne sait pas ce que c’est que du temps « négatif ». On n’a jamais vu…
Sauf que peut-être, je dis bien « peut-être », le phénomène OVNI : Une technologie humaine qui revient faire des « études » et passer quelques messages, sur son passé.
Quelques indices peuvent le laisser présumer, mais ce ne sont pas des preuves.
Je n’y connais strictement rien, mais « inverser » le sens des équations n’en changent pas pour autant la signification. Si « a » = « b », chez moi, ça veut dire que « b » = « a » (ou alors il s’est passé quelque chose et qu’on ne m’en a rien dit).