Parce
qu’elle reste irrésistible !
Je ne sais même pas combien de fois
elle a fait le tour de la planète avant de « me revenir », mais elle
n’a pas pris une ride (=> pas la moindre modification ou la trace d’un
quelconque « enrichissement »)
À cause de la stérilité du mari, les Dupont ne pouvaient pas avoir d’enfants
et ils décidèrent un jour de faire appel à un père de substitution pour
agrandir la famille.
Le jour où le père de substitution devait arriver, Monsieur Dupont
(Jean-Gabriel) embrassa sa femme et dit : « Je m’en vais. Le type sera bientôt là et je préfère ne pas voir ça. »
Une demi-heure plus tard, par hasard, un photographe de bébés faisant du
porte-à-porte sonne à la porte en espérant pouvoir vendre ses services.
« – Bonjour Madame, je viens
pour …
– Oh non, pas besoin
d’explication. Je vous attendais.
– Vraiment ? », demande le photographe.
« – Très bien. Vous savez donc
que je suis un spécialiste des bébés ?
– C’est ce que mon mari
et moi avons espéré. Entrez donc et prenez un siège. »
Après un moment,
rougissante, elle demande :
« – Eh bien, où
commençons-nous ?
– Remettez-vous en à moi.
Habituellement, j’essaye deux fois dans la baignoire, une sur le canapé et
éventuellement deux sur le lit. Parfois, le sol du salon c’est sympa aussi.
– Vous pouvez vraiment
faire ça où : baignoire, sol du salon ? Pas étonnant que ça n’ait pas marché
pour Jean-Gabriel et moi…
– Madame, aucun de nous
ne peut garantir un bon résultat à chaque fois. Mais si nous essayons plusieurs
positions et que je prenne six ou sept angles, je suis certain que vous serez
satisfaite des résultats.
– Mais ça fait beaucoup
de … », s’étrangla
Madame.
« – Madame, selon ma méthode,
un homme doit prendre son temps. Je pourrais entrer et sortir en 5 minutes mais
vous seriez déçue, j’en suis sûr.
– Je ne savais pas », dit-elle tranquillement.
Le photographe ouvrit sa sacoche et sortit un album de photos de bébés.
« – Celui-ci a été fait sur le
toit d’un bus à Berlin.
– Oh, mon Dieu ! », s’exclama-t-elle, triturant
son mouchoir.
« – Et pour ces jumeaux, ça s’est
passé exceptionnellement bien quand vous considérez combien ça pu être
difficile pour la mère.
– Elle a eu des
difficultés ? », demanda l’épouse.
« – J’en ai bien peur. J’ai
finalement dû l’emmener au jardin du Luxembourg pour faire correctement le
boulot. Les gens se sont agglutinés sur 4 ou 5 rangs, se poussant pour avoir la
meilleure vue.
– 4 ou 5 rangs ? », demanda-t-elle, les yeux
écarquillés d’étonnement.
– Oui », répondit le photographe, « et pendant plus de 3 heures. La mère criait
et hurlait sans arrêt. J’avais du mal à me concentrer. Quand il a commencé à
faire sombre, j’ai pu enfin commencer. Et puis, quand les écureuils ont
commencé à mordiller mon équipement, j’ai juste eu le temps de le remballer. »
Madame Jean-Gabriel se penche en avant :
« – Vous voulez dire que les
écureuils mâchèrent votre… hum… équipement ?
– Exact. Bon, madame, si
vous êtes prête, je vais installer mon trépied et nous pourrons commencer.
– Votre trépied ?
– Oh oui, j’ai besoin
d’utiliser un trépied pour maintenir mon CANON. Il est vraiment trop gros pour
que je puisse le tenir longtemps… Madame ? Madame ? Oh mon Dieu, elle s’est
évanouie ! »
Pas mal, n’est-ce pas… ?
Un jeune garçon pose la question suivante à son père :
« – Dis-moi papa. Pour qu’elle
raison as-tu épousé maman ?
– Ah, toi aussi tu te le
demandes », de répondre Jean-Marc.
Une petite prière pour la Fête des Pères (à retenir) :
« Seigneur,
Faites en sorte que cette
année nous ayons des vêtements pour habiller les pauvres dames qui sont dans
l’ordinateur de papa.
Ainsi soit-il ! »
Un curé se réveille un matin et trouve un énorme verrat mort dans son
jardin.
Ne sachant comment l’animal s’est retrouvé là, ni comment s’en
débarrasser, il téléphone au maire de la commune, un laïc reconnu pour son
anticléricalisme.
Le maire décroche, et après que le curé lui ait expliqué son problème,
s’exclame :
« Mais monsieur le curé,
pourquoi m’embêtez-vous avec cette histoire de cochon ? Après tout, c’est
votre métier d’enterrer les morts. »
Le curé se fâche tout rouge :
« Peut-être avez-vous raison
Monsieur le maire, mais je vous appelais surtout parce que je trouvais normal et
de mon devoir d’avertir les proches du défunt. »
Une dame est avec sa fille au cinéma.
La projection est commencée depuis quelques minutes lorsque la jeune fille
se penche vers sa mère et lui murmure à l’oreille :
« – Maman, il y a le type à
côté de moi qui me tripote…
– Le salaud ! Change de
place avec moi. »
Elles échangent leurs fauteuils. Et un quart d’heure plus tard, la mère se
tourne vers son voisin en lui disant :
« Allons, monsieur ! Vous
n’allez quand même pas bouder pendant tout le film. »
Le PDG d’une startup internet va enfin prendre ses premières vacances
depuis plus de deux ans.
Il n’emmène ni son ordinateur portable, ni son PDA, ni son téléphone
mobile.
C’est l’heure du dernier briefing à ses collaborateurs :
« Bon les gars, il va falloir
vous débrouiller sans moi. Je compte sur vous pour ne pas me pourrir mes
vacances. Si quelque chose de vraiment grave arrivait, vous pourrez toujours
m’envoyer un message sur le fax de l’hôtel, et surtout, vous m’en dites le
moins possible ! »
L’équipe promet de tout faire pour ne pas gâcher les vacances du boss et
ils se disent au revoir.
Après douze heures d’avion, le jeune patron arrive enfin à l’hôtel vêtu de
sa chemise hawaiienne et de son bermuda.
Dans le hall de l’hôtel, le concierge lui transmet aussitôt un fax qui dit
ceci :
« Problème grave survenu une
heure après votre départ. Comptez sur nous pour tout faire pour éviter la
faillite de la société. Bonnes vacances !
»
Les belles vacances…
Encore une revenue mais « délocalisée »…
Moïse et Sarah, propriétaires d’une PME s’envolent pour des vacances au Mexique.
Malheur, leur avion s’écrase dans l’Atlantique.
Ils réussissent à s’agripper à un radeau de sauvetage et, seuls
survivants, commencent à ramer au milieu des flots quand Sarah demande à Moïse
:
« – Dis, Moïse, avant de
partir, tu as payé la TPS et la TVQ ?
– Mais enfin Sarah mais
tu es complètement folle. On s’en fout de la TPS et la TVQ ! On est au
milieu de l’océan, garde ton énergie pour ramer… »
Sarah hausse les épaules, se tait, et continue de ramer.
Un peu plus loin, ils s’échouent sur une île. Moïse fait le tour de l’île.
Personne. Il revient, désespéré.
Sarah lui redemande :
« – Dis, Moïse, avant de
partir, tu as payé la TPS et la TVQ ?
– Mais enfin Sarah tu as
une insolation, lâche-moi avec tes taxes ! On est sur une île déserte, essaye
plutôt de faire du feu pour attirer les navires. »
Là-dessus un navire croise l’île au loin, Moïse se met à hurler pour
attirer l’attention mais rien à faire, le navire passe bien trop loin, Moïse se
met à pleurer et Sarah lui demande encore une fois :
« Dis-moi, Moïse, la vérité, tu
as payé la TPS et la TVQ ? »
Il explose !
« Mais je m’en fous de tes
taxes. NON je ne les ai pas payés avant de partir, si tu veux savoir ! »
Et Sarah, toute souriante et ravie…
« Aaaah, mais alors t’inquiète
pas, ils finiront bien par nous retrouver, va… »
L’originale date d’il y a une vingtaine d’année, sise en
Normandie (Calvados), de la part des gars de la CGPME-locale que je fréquentais
alors. Et il s’agissait de « petits-patrons » tombés au milieu du
pacifique et de l’Urssaf départementale à la mauvaise réputation… locale !
« Mon pote me délaisse. Aurais-tu
un parfum qui sente l’ordinateur, Infree ? »
À l’occasion de son passage à Paris pour sa visite traditionnelle du Salon
de l’Agriculture, un paysan plutôt rustaud décide de se payer un bon gueuleton
dans un restau chic de la capitale.
Le serveur vient ensuite prendre la commande et un peu plus tard, il lui
amène les plats commandés.
Fidèle à ses habitudes, notre campagnard mange avec les doigts, baffre
comme un porc et renverse une bonne partie des aliments qu’on lui apporte sur
la nappe, par terre et aussi sur lui-même…
Vient le moment de l’addition.
Le serveur pensant le culpabiliser sur ses manières lui dit :
« Ah monsieur, quel plaisir de
servir un client comme vous. On peut dire que vous aidez les serveurs à bien
travailler. Par exemple, pas besoin de regarder mes papiers pour vous
récapituler l’addition ; le petit morceau de feuille de salade qui vous reste
coincé sur les dents et le reste de vinaigrette dans votre barbe atteste de
votre choix de hors-d’œuvre, les taches de sauce sur votre cravate sont la
signature du Coq au vin que vous avez pris en plat principal, la forte odeur
qui se dégage de vos mains atteste que vous avez pris du Maroilles en fromage
et le chocolat sur vos manches de chemise montre que vous avez terminé par une
Dame Blanche. »
À ce moment-là, le paysan qui avait écouté le serveur avec un sourire
goguenard acquiesce :
« Ouais, t’as raison mon
gars. C’est exactement ce que j’ai pris… »
Et il ponctue sa phrase d’un gros pet bien gras.
Alors le serveur lui dit :
« Ah merci monsieur, j’avais
oublié votre bière ! »
Une femme et son amant sont dans un petit hôtel tranquillement installés
dans le lit après une petite partie de jambes en l’air.
La femme prise de remords se tourne son amant et lui dit :
« Tu sais, chéri, c’est pas
bien ce que l’on vient de faire là. »
Et Jean-Marc lui répond :
« Tu as raison. Allez, on
recommence et on s’applique cette fois-ci… »
Jean-Marc et Jean-Paul, deux amis, discutent :
« – Tu devrais rencontrer ma
femme. Elle est médium et elle peut me dire l’avenir.
– Ben t’as de la chance,
la mienne elle est extra-large et elle ne me dit plus rien… »
C’est une femme qui est enceinte de son premier enfant.
Elle a rendez-vous chez le gynécologue.
L’examen se passe bien et le bébé semble être, ma foi, d’un fort beau
gabarit.
À la fin de l’examen, la jeune femme demande à son médecin, tout
timidement :
« Docteur, mon mari voulait que
je vous pose une question… rapport à mon état… »
Le toubib la coupe :
« – Je sais, je sais. On me
pose la question tout le temps. Eh bien vous lui répondrez qu’il n’y a aucun
inconvénient pour que vous ayez des rapports sexuels jusque tard dans votre
gestation.
– Non, non… Ce n’est pas
ça du tout docteur. Il voulait savoir si je pouvais continuer à tondre la
pelouse. »
Jean-Paul qui est marié depuis 4 ans avec une ravissante jeune femme,
n’arrive pas à avoir d’enfants.
Il visite son voisin du dessus qui est médecin et qui lui a 4 enfants…
« – Bonjour Docteur, j’ai
besoin d’aide.
– Que puis-je faire pour
vous ?
– Voilà, j’aimerais
savoir comment vous faites pour avoir des enfants, car je n’y arrive pas depuis
4 ans.
– Ben, je fais comme tout
le monde.
– Oui, mais moi cela ne
marche pas. S’il vous plaît, donnez-moi un truc pour avoir des bébés.
– Bon, je vais vous aider.
Il vous faut 3 choses pour y arriver ; 1 – un savon, 2 – du parfum, 3 – un
balai. »
Jean-Paul prend note.
« – Bon, alors, le savon c’est
pour quoi faire ?
– Quand vous voudrez
faire un bébé, vous donnez un bon bain à votre épouse avec le savon.
– Et avec le parfum ?
– Quand elle est bien
lavée et séchée, vous la portez sur votre lit et vous la parfumez…
– Et avec le balai, je
fais quoi avec le balai ?
– Bon, quand elle est
bien lavée, parfumée et prête sur le lit, vous tapez 3 fois au plafond avec le
balai, et j’arrive de suite. »
Une maîtresse d’école téléphone chez un petit garçon et lui demande :
« – Veux-tu me passer ta maman ?
– Maman est dans la salle
de bain.
– Alors, ne la dérange
pas et passe-moi ton papa.
– Lui aussi il est dans
la salle de bain.
– Ah bon ? Est-ce que tu
penses que ça va être long ?
– Oh oui, madame, parce
que tout à l’heure, ils m’ont demandé le tube de vaseline et je leur ai donné
le tube de colle ! »
J’adore…
Allez, bon week-end à toutes et à tous, vous l’avez bien mérité !
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