Tempo
idéal
Là, on sent bien que c’est du « travaillé » au millimètre-près.
Pensez donc, jdueid dernier on annonçait à grand renforts de
« fuites » les meilleures feuilles de
« Tagada-à-la-fraise-des-bois » et la promo-télévisuelle (on va y revenir) qui va avec,
alors que « McDo-Trompe » menaçait le monde entier – et la Syrie – de
ses missiles « plus intelligents-plus beau » que même « que
lui », alors même que « Beau-l’Orée » (un pote à
« Bling-bling ») a fini par se lasser et quitte « Kanal-Plus »,
un « média-influent »…
Remarquable alignement des planètes.
Il ne manquerait plus que « Bouille-gueux » en fasse autant sur
« The-One » et c’est tout une génération qui passerait la main,
devenue totalement inefficace…
C’est exactement le moment où je découvre (et pas seulement moâ, mais pour
l’heure ça n’est pas encore étendu) que les « Maîtres du monde » se
gâchent leur fête.
Il y a des convergences, comme ça, qui ne tiennent décidément pas du
hasard…
Pour les « maîtres du monde », c’est encore
« touffu », pas très clair : Mais ça va « décanter ».
Pensez donc qu’ils ne sont pas tout seuls. Je vous l’avais indiqué dans ce post du 21 novembre dernier : Les « forces noires »
existent. Et elles se précisent au fil du temps dans mon trombinoscope
personnel.
Mais il n’y a pas besoin d’une boule de cristal pour se rendre compte
qu’entre les tensions au Proche-Orient qui amènent les uns à gazer les autres
au nom du principe démocratique de la Liberté des peuples, quelques-uns se
permettant même de déclencher une crise diplomatique forte (expulsions de
diplomates), doublée d’une crise financière (et boursière) en ex-URSS,
justement à coup de poison volatile jusqu’en GB et de « sanctions-économiques »,
le tout après le « Brexit », les élections « ricaines »,
les « Gauloisiennes », les « Teutonnes » et même les
« Ritales » (mais il y en a eu d’autres et jusqu’en Hongrie) où les
peuples ne décident rien de ce qui est prévu qu’ils décident, n’est pas plus
l’effet du hasard.
J’en toucherai un mot dans le prochain « roman d’été » (Ultime
récit-suite), mais déjà se dessine, que dis-je, s’impose le scénario du suivant…
Je ne vais jamais pouvoir en finir !
Il n’empêche, l’Élysée en arrive à organiser, non pas une, mais deux
émissions en « prime-time » où « Jupiter » est censé vous
remettre la piqûre en pleine surchauffe sociale, mécontentements divers
(retraités, cheminots, pilotes, étudiants et même les « baveux »
& magistrats… j’en oublie sûrement), au cours de la même semaine.
Naturellement, avec mon emploi-du-temps de ministre, j’ai loupé la
première des interventions, et je louperai la seconde : De toute façon
« Jupiter » m’énerve avec ses « deux-bagues-aux-doigts »
aux annulaires de chaque main.
Déjà, une, c’est beaucoup pour la vie d’un seul homme, alors deux…
Passons.
Là où j’ai profondément rigolé, c’est le choix d’un des trois
journalistes. Le gars de « The-One » (« JP-Pernod »), je ne
le connais pas. « Boudin » de « Air-C’est-Aime & Baffes-Franches-Modernes »,
pas plus. Vous le savez, moi c’est « Air-Tchi-Tchi » dès que j’ai du wifi à portée.
Tout ce que je sais, c’est que ce sont des nids à
« frangins-trois-points ». Et que dans le tas, il y a des
« bons » et puis d’autres « moins-bons ».
Mais alors qu’il y ait aussi « Plaine-Aile », de « Médiapart »,
dans le tas, je n’ai pas pu faire autrement que d’en rire à gorge-déployée.
Vous vous rendez-compte, un des « tombeurs » de
« Fifi-le-souteneur », un suppôt caché des troupes qui ont porté
« Jupiter » pendant des mois dans l’ombre de venir le flagorner ?
La gloire ! Fabuleux…
Vous le savez, ce gars-là, je ne le supporte pas, pour des raisons
personnelles (le traitement de l’assassinat de « mon-Papa-à-moâ »,
celui qui me fait encore frémir quand je l’évoque…), parti bêtement dans une
opération – pas très dangereuse – de nettoyage des juridictions commerciales du
pays, infestées, gangrénées de « frangins-trois-points ».
Ils l’ont abattu… au 7,65 mm, par loges interposées. Pour le faire taire.
Et « Plaine-Aile » de faire un papier « glorieux » sur
le compte du pôvre konnard qui a appuyé sur la détente dans « Libé »,
ce torchon qu’il dirigeait.
Il a fallu ramer, je vous assure (plus de deux ans), pour renverser la
vapeur afin que mon « Papa-à-moâ » ait droit à un procès disons… « normal »…
Depuis, la « chaîne de commandement » qui a conduit à cet assassinat
a été… comment dire ? Passée à la casserole.
Un quart de siècle…
Mais c’est « Marinella-tchi-tchi » qui a rappelé sur
« Air-Thé-Elle » qu’en 1972, le brillant avait aussi écrit un autre
billet, dans la revue Rouge, soutenant « inconditionnellement
» l’assassinat des 11 athlètes israéliens lors des JO de Munich…
« Aucun révolutionnaire ne peut se
désolidariser de Septembre Noir (le groupe terroriste palestinien auteur de
la tuerie, vous n’étiez pas né(e)s, vous ne pouvez pas vous rappeler…). Nous devons défendre inconditionnellement,
face à la répression, les militants de cette organisation », écrivait-il
alors, sous le pseudonyme « Joseph Krasny ».
Depuis, il assume la paternité de l’article, sans même s’excuser. Il le
récuse, mais en ajoutant que ce discours « n’avait
rien d’exceptionnel dans l’extrême gauche de l’époque » (quand on est né
kon, on le reste…), et que désormais il « refuse
l’intimidation qui consiste à taxer d’antisémite toute critique de la politique
de l’État d’Israël » (je le répète : On le reste).
Ça n’a rien à voir bien évidemment : Combien de fois vous ai-je dit
que l’on confondait allègrement, dans ce pays qui est aussi le mien, juifs et
sionistes ?
Et c’est probablement sciemment : Mes potes feujs m’ont toujours dit
que ce sont les sionistes qui tressent la corde qui les pendra !
Ambiance dans les synagogues…
Pour ma part, je constate que « la gôche-de-la-gôche » était
pro-israélienne quand c’était De Gaulle qu’on taxait d’antisémitisme et qu’elle
est devenue pro-palestinienne au fil du temps, contre toute raison sinon
celle de l’opprimé : La preuve, même « Menuet-Valse » part en guerre
contre le terrorisme qu’il impute (un peu rapidement, car c’est bien plus
complexe que ça) au monde mahométan.
Ceci dit, alors qu’on bichonnait les munitions dans les soutes des navires
de guerre (qui quittaient tous leurs ports des fois qu’ils se prennent une
munition bien sentie, mais chez les Russekofs), « Jupiter » a donc
fait son numéro dans un bled perdu de l’Orne, coupé du monde pour être ceinturé
par des cordons de flics postés à bonne distance (2 km).
Pour redire ce qu’on sait déjà :
« Regardez ce qu’il s’est passé
depuis un an : beaucoup de choses. »
C’est un peu un « raccourcis », je l’admets. Et ce n’est pas
très précis.
Syrie ? « Nous avons la
preuve ».
L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) aussi !
Elle confirme la thèse du gouvernement britannique sur l’origine russe de l’agent
innervant utilisé en Angleterre pour empoisonner l’ex-espion russe Sergueï
Skripal et sa fille…
(Le point de démarrage du scénario du roman d’été-2019).
Il a ensuite assuré que Paris prendra ses décisions « en temps voulu », au moment le
« plus utile et efficace ».
Pour l’heure, ça patauge « grave », comme il y a 5 ans,
notamment en UK. Mais les « filets de sécurité » sont réactivés :
La ligne directe entre PC Russe et US sur place est redevenue active. Les plans
de batailles sont dévoilés et on laisse du temps aux Syriens pour évacuer les
cibles choisies…
Un peu comme le « Chi » pour le bombardement de la plaine de la
Beeka, dans le temps…
SNCF ? « On a besoin d’un
chemin de fer français fort. C’est bon pour le pays et indispensable
».
« La SNCF de demain ne sera pas
celle d’hier. Si je dis aux jeunes de 25 ans : ‘‘Tu vas être embauché aux mêmes
conditions que mon grand-père’’, cela n’est pas raisonnable ! »
Les pôvres : Ils ne le savent pas encore, mais ce n’est pas une boîte
appelée à se développer. Elle a presqu’atteint son apogée. Les gens découvrent
qu’il y a d’autres moyens de se déplacer et de livrer de la marchandise…
Éducation ? « La base de
notre pays c’est l’école » Il parle de quel pays au juste ? Du
sien ou de celui de tous autres ?
« De la maternelle à l’université,
on change beaucoup de choses, on change tout, comme l’école obligatoire à 3
ans, parce que c’est juste (…). Avec
cette réforme, je m’engage à ce que tous les enfants sachent lire écrire
compter ».
Gag-man !
Si au moins ça pouvait être vrai…
Hôpital ? « On va mettre
plus de moyens ».
« Il y a des situations de très
grand stress quand il y a des urgences saturées. C’est l’un des problèmes les
plus durs. Le système de soins n’est plus assuré comme hier », a-t-il admis.
Oh ?
Et il a détaillé : « Pas mettre
de l’argent sur un système qui n’est plus adapté (…). On doit avoir un système qui permette aux gens de mieux faire leur
travail. Il faut un système où on ne paye pas à l’acte mais plutôt rémunérer au
parcours de soins : être bien accompagné, inciter l’hôpital à une prise en
charge rapide. Il faut réorganiser le système de soins. »
Bon, si même les « actes » ne sont plus payés, ce sera « demain,
on rase gratis », alors ?
Retraites ? « Je n’ai
jamais pris un retraité pour un portefeuille ».
Se voulant pédagogue, il précise : « Vous avez cotisé toute votre vie pour payer la retraite de vos aînés,
c’est un système de solidarité. Votre génération est à la retraite, elle va
vivre beaucoup plus à la retraite. Vous passez dix, quinze ans de plus à la
retraite que vos parents. Mais il y a un chômage de masse. Je veux remettre la
France au travail. Je demande un effort aux actifs mais je veux que le France
paye mieux. »
Vous avez compris la leçon, vous ?
Vous m’expliquerez.
Et puis tant d’autres. Mais je retiens que la limitation de la vitesse à
80 km/h (et oui, il s’occupe de tout) n’est qu’une expérimentation pour 2 ans
avec retour au 90 km/h si « ça n’est
pas efficace ». Alors pourquoi râler, au juste ?
Que la taxe d’habitation sera bien supprimer d’ici 2022 sera compensée « à l’euro près » pour les
collectivités mais sans « nouveaux
impôts ».
Attendez-vous à ce qu’on vous reprenne d’abord d’une main ce qu’on vous
donnera de l’autre… plus tard.
Un peu comme la CSG et les charges sociales…
Et que sur Notre-Dame-des-Landes
et les universités bloquées, ce qui compte c’est de rétablir « l’ordre républicain » face aux « professionnels du désordre ».
la droâte va bicher.
la droâte va bicher.
Mieux : Il n’y aura pas de « diplômes
en chocolat ».
Il a bien raison, déjà qu’on diplôme « flics » des meks qui ne
parlent même pas « la France » le « francilien-natif ».
Mais là où j’ai aimé, c’est qu’il veut développer l'épargne salariale dans
les TPE et PME. Et les « sachants » de déjà mesurer le coût : 440
(petits) millions d’euros pour la « finance-pub-like ».
Les entreprises de moins de 250 salariés qui ont un accord d’intéressement
ne seront plus assujetties au forfait social (inventé par « Bling-Bling »
et confirmé par « Tagada-à-la-fraise-des-bois » à compter du 1er
janvier 2019. La mesure sera contenue dans
le projet de loi Pacte que le ministre de l’Économie et des Finances, que
« Pruneaux-Le-Mer », doit présenter en principe le mois prochain. « C’est l'une des trois ou quatre mesures
phares » de ce texte, « un geste
politique majeur ».
Le forfait social a tué le système gaullien (ça date de 1958) est une
contribution affectée à la Sécurité sociale qui s’applique aux rémunérations
extra-salariales non soumises à cotisations sociales, dont font partie l’intéressement
et la participation (des « périphériques de rémunération »). Fixé
initialement à 2 % lors de sa création en 2009, il a connu une très nette
inflation ces dernières années et atteint aujourd'hui 20 %, de quoi tuer le dispositif à peine meilleur qu’un salaire chargé.
Cette suppression, dans les entreprises de moins de 50 salariés, est
chiffrée à 200 millions d’euros.
Faites le calcul : Un petit milliard redistribué dans les PME.
Pour les entreprises de 50 et 250 salariés, seuls les accords
d'intéressement seront concernés. La participation étant obligatoire au-delà de
49 salariés, l’effet d’aubaine aurait été trop important sur un autre « petit-milliard »
qui revient aux 17 millions de salariés du privé.
Évidemment, ce sera financé en supprimant « certaines aides aux
entreprises », non encore dévoilées pour le moment.
Bon jusque-là, c’est une bonne chose : J’avais formé au fil du temps
toute une équipe d’experts restée disponible « au pays » et qui fait
autre chose depuis le « forfait social », capable, sur le seul
mécanisme de l’intéressement (l’épargne salariale, c’est le problème des
banquiers, la participation, c’est une sorte de dividende-salarial) de transformer
ce que tous les « sachants-nés-kons » prennent pour une charge « facultative »,
donc à éviter, en un outil de motivation à effet « gagnant-gagnant »
(employeurs/salariés) donc avec des effets de levier fabuleux, mais hélas
plafonné à 20 % des salaires brut.
Notez que c’est déjà pas mal.
Le principe permis par la loi, c’est d’assoir le « bidule » sur
des « performances », en principe « marginales » (sur les « bouts »,
les coûts-cachés, etc.) mesurées objectivement « par trimestre et par
équipe » dans une même entreprise (sur un site, par atelier, par fonction,
etc.).
Je ne te raconte pas : Quand tu sors 2 euros de mieux (qui sont en
caisse et que tu n’aurais pas eus autrement), tu en rends 1 aux salariés qui l’ont
généré et tu gardes le reste.
Sur 20 % des salaires bruts, évidemment, ça fait du bruit…
Mais évidemment, chez les « trisomiques », quand on réinvente
une excellente mesure, c’est tout de suite pour en scier les effets : Pour
inciter les plus petites entreprises à recourir à l’intéressement, le
gouvernement entend aussi inviter les branches professionnelles à mettre sur
pied des accords types qui pourront être transposés dans les PME.
Or, les branches-professionnelles sont là pour limiter les effets à « tout
le monde pareil » (des fois qu’il y en ait un seul qui dépasse les autres),
parfaitement inefficace, puisqu’une performance d’entreprise reste « individuelle ».
« Notre objectif est de doubler le
nombre d’entreprises de moins de 50 salariés qui distribuent de l’intéressement
ou de la participation d’ici à la fin du quinquennat. Elles sont 16 % aujourd’hui
», détaille le ministre.
Je ne te raconte pas l’étendue du marché à saisir…
Quant au Conseil d’orientation de la participation et de l’intéressement
(Copiesas), il a par ailleurs recommandé de rendre les négociations sur la mise
en place de tels accords obligatoires pour toutes les entreprises…
De « facultatif » et « adapté » à chaque centre de
profit, on passe à un « obligatoire » tous pareils.
Quand même dommage, une fois de plus…
Fabuleux d’autisme !
Alors j’ai repris mes activités habituelles, en espérant seulement que
tout de même, dimanche, l’un des deux zigotos aille quand même questionner
« Jupiter » sur sa fortune personnelle cachée à la
FirstCarribean International Bank.
Pour le reste, on verra bien si un jour je redeviens actif sur ce créneau
de la « perf’-des-meks-au-turbin »…
Pour le reste, on va y revenir, naturellement…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire