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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 27 avril 2018

Les foulosophiques de la semaine

Jean-Marc et Germaine…

… Se disputent.
Elle : « J’étais folle quand je me suis mariée avec toi. »
Lui : « Je sais, mais j’étais amoureux, à l’époque, je ne l’ai pas remarqué. »

Quelqu’un s’est approché et a demandé au vieil homme :
« Qu’est-ce qui vous surprend le plus chez l’être humain ? »
Le vieillard a souri, puis il a dit :
« L’être humain perd sa santé à gagner de l’argent et par la suite, il perd son argent à se refaire une santé.
Il pense au futur, au point d’oublier le présent, de sorte qu’il ne vit ni dans le présent, ni dans le futur.
Finalement, il vit comme s’il n’allait jamais mourir et il meurt comme s’il n’avait jamais vécu. »

Un gars s’endort plusieurs heures sur la plage au soleil et se réveille avec un horrible coup de soleil.
Il s’en va immédiatement à l’hôpital et est promptement admis pour brûlures au second degré.
Il commence déjà à avoir des pustules sur la peau et tombe en état de choc et quasi à l’agonie.
Le médecin prescrit immédiatement divers solutés pour sa condition, un sédatif et une pilule de Viagra aux 4 heures.
L’infirmière, surprise, demande au médecin :
« – Quel bienfait va donc lui apporter le Viagra dans son cas ?
– Ça va garder les draps éloignés des jambes… »

« En 2002, dans le monde entier, on a dépensé 5 fois plus d’argent pour les implants mammaires et du Viagra que pour la recherche contre la maladie d’Alzheimer.
On peut donc en conclure que dans 30 ans, il y aura un très grand nombre avec de gros seins et de superbes érections, mais incapables de se rappeler à quoi ça sert ! »

Un petit garçon arrive à l’école, lorsque la maîtresse remarque qu’il a une énorme bosse à la tête.
« – Qu’est-il arrivé ?
– Je me suis fait piquer par une abeille !
– Mais la blessure est bien trop grosse pour ça !
– C’est que mon frère a essayé de la tuer avec un bâton de baseball… »

Le téléphone sonne chez Germaine.
« Jean-Marc, un de tes créanciers veut absolument te parler.
– Dis-lui que je suis mort », lance-t-il nerveusement.
« – Mais voyons, tu sais bien qu’il ne voudra jamais me croire.
– Dans ce cas, donne-moi l’appareil, je le lui dirai moi-même. »

Germaine demande à son mari, Jean-Marc :
« – Mon amour… pourquoi te mets-tu toujours à la fenêtre quand je chante ?
– Mais, chérie, pour que les voisins ne croient pas que je te tape dessus, voyons ! »

Jean-Marc gars qui avance sur le trottoir, aperçoit une femme qui affiche des seins extraordinaires.
« – Hé, mademoiselle, est-ce que je pourrais mordiller vos seins pour 100 € ?
– Fous-moi la paix, pauvre cave.
– OK 1.000 € alors ?
– Pas question. Je ne suis pas une fille comme ça. »
Et elle continue son chemin.
Jean-Marc hésite et puis la rejoint en courant.
« – Bon. Je ne peux pas résister. 10.000 € pour te mordiller sensuellement les seins. Cash.
– Humm. 10.000 € ?
– Oui, 10.000 € en liquide.
– OK. Allons dans un coin sombre, dans une allée. »
Une fois à l’abri des regards, la fille remonte son pull et enlève sous soutien-gorge.
Jean-Marc s’agenouille, en transe, et caresse doucement ses seins.
Les plus beaux du monde ! Il est au septième ciel.
La fille lui dit alors :
« – Qu’est-ce que tu fais ? Tu dois les mordiller !
– Pas question. C’est trop cher ! »

« Les femmes ont la passion du calcul : Elle divise leur âge par deux, double le prix de ses robes, triple les appointements de leur mari et ajoute cinq ans à l’âge de leur meilleure amie. »

Rappelez-vous : « Selon les bureaucrates experts et technocrates, les personnes nées dans les années 40, 50 et 60 n’auraient pas dû survivre. ».
La preuve, quand nous étions des enfants :
Nos chiottes n’étaient pas réglementaires et étaient peinturées de couleurs vives avec de la peinture contenant du plomb…
Il n’y avait pas de « cran de sécurité » sur les bouteilles de médicaments, sur les armoires de cuisines ou les pharmacies…
Ils roulaient à bicyclette sans casque…
En auto, nous, les enfants, ne portions ni ceinture de sécurité, ni sac gonflable…
Assis dans une boite de camion, c’était un voyage fantastique…
On buvait l’eau à même le boyau du jardin et non à la bouteille…
Et… Horreur, on mangeait des petits gâteaux, du pain et du beurre, on buvait de la liqueur qui contenait du vrai sucre…
Néanmoins, on ne parlait pas d’obésité, car on jouait dehors…
On partageait la bouteille de liqueur avec 4 amis… Personne n’en est mort.
On passait des heures à construire des voitures boîte de savon. En descendant la côte, on avait oublié de mettre des freins…
On quittait la maison le matin pour jouer à l’extérieur. Il fallait revenir avant le dîner. Personne ne pouvait nous rejoindre… Pas de téléphones cellulaires ni de bip…
Pas de Playstation, de Nintendo, de X-BOX, de télévision par câble, de vidéo, d’ordinateurs, mais uniquement des amis…
On jouait au ballon chasseur et au gendarme et au voleur…
On grimpait aux arbres, on se coupait, saignait, se brisait les os et les dents mais sans aucune poursuite judiciaire car cela était des accidents. Personne n’était coupable sauf NOUS…
Les équipes avaient des camps d’entraînement et ce n’est pas tout le monde qui était choisi. Ceux qui ne l’étaient pas devaient vivre avec la déception…
Certains étudiants n’étaient pas aussi intelligents que les autres et devaient doubler leur année. Les notes n’étaient pas  » normalisées »…
Nous étions responsables de nos actions et de leurs conséquences…
Nos parents étaient du côté de la loi et de l’autorité. Cependant, cette génération a  fait des fonceurs, des innovateurs, des inventeurs…
Nous avions la liberté, le droit à l’échec, le succès et la responsabilité et nous avons appris à les assumer.
Méditez donc…

Le  fils de Jean-Marc a dit : « Je suis né pour que tu sois ma maman. »
« – Dis m’man, papa tu l’as trouvé où ?
– J’avais mis une annonce dans le journal.
– Elle t’a coûté combien ?
– Environ 20 euros. Pourquoi ?
– C’est sûr que, pour ce prix-là, tu ne pouvais pas trouver grand-chose. »

Un homme patiente à l'hôpital en attendant que ça femme accouche. Soudain apparaît le gynécologue de son épouse.
« – Alors docteur ça c’est bien passé ?
– Désolé mais je dois vous dire qu'il y a eu des complications.
– Comment ça docteur ? Dites-moi ce qu’il se passe !
– Comment vous dire… Votre enfant n’a pas de bras… »
L’homme encaisse le choc.
« – Mon Dieu mais c’est affreux… Mais bon c’est quand même mon enfant je l’aimerai malgré son handicap.
– Humm, je dois vous dire aussi qu’il n’a pas de jambes
– Mais c’est horrible docteur ! Mais bon c’est toujours mon enfant je ne peux que l’aimer…
– En fait je dois vous dire aussi qu’il n’a pas de tête et de corps…
– Mais docteur c’est impossible comment voulez-vous que…
– En fait c’est juste une oreille… Une grosse oreille certes mais une oreille quand même… »
L'homme manque de s’effondrer.
« Écoutez docteur c’est toujours mon enfant je veux le voir. »
Le docteur conduit l’homme jusqu’au couffin de son enfant et ce dernier se penche au-dessus et lui dit :
« Même si tu es différent je t’aime quand même, mon enfant… »
Et le docteur de lui dire :
« Ça ne sert à rien de lui parler… Il est sourd… »

Après la morbide, la « folle-dingue » :
Tous les matins, en rejoignant ses compagnons, un éléphant piétine une fourmilière.
Furieuses, les fourmis décident :
« Nous sommes une centaine et il est seul…Demain, on l’attaque ! »
Le lendemain, quand l’éléphant passe, toutes les fourmis grimpent sur lui.
L’éléphant sent que quelque chose le chatouille.
Il secoue sa trompe et les fourmis tombent par terre, sauf une qui reste accrochée à son cou.
Alors, en bas, les autres lui crient :
« Allez, vas-y, vas-y ! Étrangle-le ! »

Jean-Marc à sa femme en rentrant du bureau :
« – Je suis invité à dîner dans un grand restaurant ce soir…
Met ton manteau !
– Tu m’emmènes ?
– Non ! Tu es folle ! J’éteins le chauffage ! »

Question  personnelle et indiscrète d’un internaute :
« – Pouvez-vous me dire dans laquelle de vos œuvres avez-vous montré le plus d’imagination, Ice-Cube ?
– Sans aucun doute, dans ma dernière déclaration de revenus ! »

Bonne fin de semaine à toutes et tous !

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