Jean-Marc
et Germaine…
… Se disputent.
Elle : « J’étais folle quand je
me suis mariée avec toi. »
Lui : « Je sais, mais j’étais
amoureux, à l’époque, je ne l’ai pas remarqué. »
Quelqu’un s’est approché et a demandé au vieil homme :
« Qu’est-ce qui vous surprend
le plus chez l’être humain ? »
Le vieillard a souri, puis il a dit :
« L’être humain perd sa santé à
gagner de l’argent et par la suite, il perd son argent à se refaire une santé.
Il pense au futur, au point
d’oublier le présent, de sorte qu’il ne vit ni dans le présent, ni dans le
futur.
Finalement, il vit comme
s’il n’allait jamais mourir et il meurt comme s’il n’avait jamais vécu. »
Un gars s’endort plusieurs heures sur la plage au soleil et se réveille
avec un horrible coup de soleil.
Il s’en va immédiatement à l’hôpital et est promptement admis pour
brûlures au second degré.
Il commence déjà à avoir des pustules sur la peau et tombe en état de choc
et quasi à l’agonie.
Le médecin prescrit immédiatement divers solutés pour sa condition, un
sédatif et une pilule de Viagra aux 4 heures.
L’infirmière, surprise, demande au médecin :
« – Quel bienfait va donc lui
apporter le Viagra dans son cas ?
– Ça va garder les draps
éloignés des jambes… »
« En 2002, dans le monde
entier, on a dépensé 5 fois plus d’argent pour les implants mammaires et du
Viagra que pour la recherche contre la maladie d’Alzheimer.
On peut donc en conclure
que dans 30 ans, il y aura un très grand nombre avec de gros seins et de
superbes érections, mais incapables de se rappeler à quoi ça sert ! »
Un petit garçon arrive à l’école, lorsque la maîtresse remarque qu’il a
une énorme bosse à la tête.
« – Qu’est-il arrivé ?
– Je me suis fait piquer
par une abeille !
– Mais la blessure est
bien trop grosse pour ça !
– C’est que mon frère a
essayé de la tuer avec un bâton de baseball… »
Le téléphone sonne chez Germaine.
« – Jean-Marc, un de tes créanciers veut absolument te parler.
– Dis-lui que je suis
mort », lance-t-il nerveusement.
« – Mais voyons, tu sais bien
qu’il ne voudra jamais me croire.
– Dans ce cas, donne-moi
l’appareil, je le lui dirai moi-même. »
Germaine demande à son mari, Jean-Marc
:
« – Mon amour… pourquoi te
mets-tu toujours à la fenêtre quand je chante ?
– Mais, chérie, pour que
les voisins ne croient pas que je te tape dessus, voyons ! »
Jean-Marc gars qui avance sur le trottoir,
aperçoit une femme qui affiche des seins extraordinaires.
« – Hé, mademoiselle, est-ce
que je pourrais mordiller vos seins pour 100 € ?
– Fous-moi la paix, pauvre
cave.
– OK 1.000 € alors ?
– Pas question. Je ne
suis pas une fille comme ça. »
Et elle continue son chemin.
Jean-Marc hésite et puis la rejoint en courant.
« – Bon. Je ne peux pas
résister. 10.000 € pour te mordiller sensuellement les seins. Cash.
– Humm. 10.000 € ?
– Oui, 10.000 € en
liquide.
– OK. Allons dans un coin
sombre, dans une allée. »
Une fois à l’abri des regards, la fille remonte son pull et enlève sous
soutien-gorge.
Jean-Marc s’agenouille, en transe, et caresse doucement ses seins.
Les plus beaux du monde ! Il est au septième ciel.
La fille lui dit alors :
« – Qu’est-ce que tu fais ?
Tu dois les mordiller !
– Pas question. C’est
trop cher ! »
« Les femmes ont la passion du
calcul : Elle divise leur âge par deux, double le prix de ses robes, triple les
appointements de leur mari et ajoute cinq ans à l’âge de leur meilleure amie. »
Rappelez-vous : « Selon
les bureaucrates experts et technocrates, les personnes nées dans les années
40, 50 et 60 n’auraient pas dû survivre. ».
La preuve, quand nous étions des enfants :
– Nos chiottes n’étaient pas
réglementaires et étaient peinturées de couleurs vives avec de la peinture
contenant du plomb…
– Il n’y avait pas de « cran de sécurité
» sur les bouteilles de médicaments, sur les armoires de cuisines ou les
pharmacies…
– Ils roulaient à bicyclette sans casque…
En auto, nous, les enfants, ne portions ni ceinture de sécurité, ni sac
gonflable…
– Assis dans une boite de camion, c’était
un voyage fantastique…
– On buvait l’eau à même le boyau du
jardin et non à la bouteille…
– Et… Horreur, on mangeait des petits
gâteaux, du pain et du beurre, on buvait de la liqueur qui contenait du vrai
sucre…
– Néanmoins, on ne parlait pas d’obésité,
car on jouait dehors…
– On partageait la bouteille de liqueur
avec 4 amis… Personne n’en est mort.
– On passait des heures à construire des
voitures boîte de savon. En descendant la côte, on avait oublié de mettre des
freins…
– On quittait la maison le matin pour
jouer à l’extérieur. Il fallait revenir avant le dîner. Personne ne pouvait
nous rejoindre… Pas de téléphones cellulaires ni de bip…
– Pas de Playstation, de Nintendo, de
X-BOX, de télévision par câble, de vidéo, d’ordinateurs, mais uniquement des
amis…
– On jouait au ballon chasseur et au gendarme
et au voleur…
– On grimpait aux arbres, on se coupait,
saignait, se brisait les os et les dents mais sans aucune poursuite judiciaire
car cela était des accidents. Personne n’était coupable sauf NOUS…
– Les équipes avaient des camps
d’entraînement et ce n’est pas tout le monde qui était choisi. Ceux qui ne
l’étaient pas devaient vivre avec la déception…
– Certains étudiants n’étaient pas aussi
intelligents que les autres et devaient doubler leur année. Les notes n’étaient
pas » normalisées »…
– Nous étions responsables de nos actions
et de leurs conséquences…
– Nos parents étaient du côté de la loi
et de l’autorité. Cependant, cette génération a fait des fonceurs, des innovateurs, des
inventeurs…
– Nous avions la liberté, le droit à
l’échec, le succès et la responsabilité et nous avons appris à les assumer.
Méditez donc…
Le fils de Jean-Marc a dit : « Je suis
né pour que tu sois ma maman. »
« – Dis m’man, papa tu l’as
trouvé où ?
– J’avais mis une annonce
dans le journal.
– Elle t’a coûté combien
?
– Environ 20 euros.
Pourquoi ?
– C’est sûr que, pour ce prix-là,
tu ne pouvais pas trouver grand-chose. »
Un homme patiente à l'hôpital en attendant que ça femme accouche. Soudain
apparaît le gynécologue de son épouse.
« – Alors docteur ça c’est bien
passé ?
– Désolé mais je dois
vous dire qu'il y a eu des complications.
– Comment ça docteur ?
Dites-moi ce qu’il se passe !
– Comment vous dire…
Votre enfant n’a pas de bras… »
L’homme encaisse le choc.
« – Mon Dieu mais c’est affreux…
Mais bon c’est quand même mon enfant je l’aimerai malgré son handicap.
– Humm, je dois vous dire
aussi qu’il n’a pas de jambes…
– Mais c’est horrible
docteur ! Mais bon c’est toujours mon enfant je ne peux que l’aimer…
– En fait je dois vous
dire aussi qu’il n’a pas de tête et de corps…
– Mais docteur c’est
impossible comment voulez-vous que…
– En fait c’est juste une
oreille… Une grosse oreille certes mais une oreille quand même… »
L'homme manque de s’effondrer.
« Écoutez docteur c’est
toujours mon enfant je veux le voir. »
Le docteur conduit l’homme jusqu’au couffin de son enfant et ce dernier se
penche au-dessus et lui dit :
« Même si tu es différent je t’aime
quand même, mon enfant… »
Et le docteur de lui dire :
« Ça ne sert à rien de lui
parler… Il est sourd… »
Après la morbide, la « folle-dingue » :
Tous les matins, en rejoignant ses compagnons, un éléphant piétine une
fourmilière.
Furieuses, les fourmis décident :
« Nous sommes une centaine et
il est seul…Demain, on l’attaque ! »
Le lendemain, quand l’éléphant passe, toutes les fourmis grimpent sur lui.
L’éléphant sent que quelque chose le chatouille.
Il secoue sa trompe et les fourmis tombent par terre, sauf une qui reste
accrochée à son cou.
Alors, en bas, les autres lui crient :
« Allez, vas-y, vas-y ! Étrangle-le
! »
Jean-Marc à sa femme en rentrant du bureau :
« – Je suis invité à dîner dans
un grand restaurant ce soir…
Met ton manteau !
– Tu m’emmènes ?
– Non ! Tu es folle ! J’éteins le
chauffage ! »
Question personnelle et indiscrète
d’un internaute :
« – Pouvez-vous me dire dans
laquelle de vos œuvres avez-vous montré le plus d’imagination, Ice-Cube ?
– Sans aucun doute, dans
ma dernière déclaration de revenus ! »
Bonne fin de semaine à toutes et tous !
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