La
vérité sort toujours de la bouche des enfants…
1. Ne demandez jamais à un chien de surveiller votre repas. (Jean-Luc, 10
ans).
2. Si votre père est en colère et vous demande : « Est-ce que j’ai l’air d’un gars stupide ? », ne répondez pas !
(Marie-Jeanne, 9 ans).
3. Ne dites jamais à votre mère que sa diète ne semble pas fonctionner.
(Jean-Michel, 11 ans).
4. Quand votre mère est fâchée après votre papa, ne la laissez pas brosser
vos cheveux. (Marianne, 10 ans).
5. Ne laissez jamais votre frère de 2 ans jouer seul dans la même pièce
que vos devoirs d’école. (Jean-Christophe, 14 ans).
6. Un chien a toujours mauvaise haleine, même après avoir mangé une
Tic-Tac. (Jean-André, 8 ans).
7. C’est impossible de cacher un morceau de brocoli dans un verre de lait.
(Jean-Gabriel, 9 ans).
8. Évitez de porter des sous-vêtements à pois noirs en-dessous de shorts
blancs (Priscilla, 11 ans).
9. Si vous voulez un chat, commencez par demander un cheval. (Jean-François,
15 ans).
10. Les crayons feutres ne sont pas bons à utiliser comme rouge à lèvres.
(Charlotte, 9 ans).
11. Ne mettez jamais en colère votre sœur quand elle tient une batte de
baseball à la main. (Jean-Charles, 10 ans).
12. Montrez toujours vos mauvaises notes à votre mère lorsqu’elle est au
téléphone. (Jean-Paul,13 ans).
13. N’essayez jamais de baptiser un chat. (Françoise, 8 ans).
Terminant enfin un parcours de golf où il fit beaucoup de ratés, Jean-Marc se tourne vers son caddie et
lui dit d’un air dépité :
« J’aurai remué ciel et terre
pour passer sous les cent points sur ce parcours. »
Et le caddie lui répond :
« Il n’y a plus qu’à essayer le
ciel alors, parce que vous avez déjà remué quasiment toute la terre ici ! »
Un couple dans la cinquantaine est au lit.
En enlevant les lunettes de son mari, la femme dit chaleureusement :
« Tu sais chéri, sans tes lunettes, tu ressembles
toujours au beau jeune homme que j’ai épousé ! »
Jean-Marc voulant lui retourner le compliment
lui répond :
« Ma chérie, tu sais, sans mes lunettes, toi
aussi tu parais encore très
bien ! »
Germaine à Jean-Marc :
« – Qu’est-ce que tu aimes le
plus chez moi ? Mon esprit ou ma beauté naturelle ?
– Ton sens de l’humour… »
C’est la suite de la même discussion…
Dans le même style, une « recyclée » :
Jean-Marc, dont les mains tremblent sans
interruption, va consulter un médecin. Après l’avoir examiné, celui-ci lui
demande :
« – Vous buvez quoi d’habitude
?
– Du vin rouge, docteur.
– Quelle quantité
quotidienne ?
– Bof… 7 ou 8 litres !
– 7 ou 8 litres !
Mon pauvre ami, ne cherchez plus l’origine de vos tremblements. Vous buvez trop
!
– Oh, vous savez,
docteur, j’en renverse beaucoup… »
Dans l’originale, c’était moâ, mais avec mes bouteilles de
vodka : Maintenant, je suis passé au whisky…
Un cow-boy de la taille d’un colosse, deux rangées de revolvers autour de
la taille, pénètre dans un saloon.
Il s’approche du barman et gueule :
« UN WHISKY garçon ! »
Le garçon le lui sert et il boit cul-sec, paye puis quitte la place à pas
pesants.
Pour revenir aussi brutalement, furieux.
Incroyable ! Quelqu’un s’est permit de peindre son cheval en vert pendant
son absence !
« QUI A PEINT MON CHEVAL EN
VERT ? »
Un silence de plomb règne alors dans le saloon, un ange passe chargé de
grenades dégoupillées, quand un cow-boy haut comme une montagne, quatre rangées
de revolvers autour de la taille, s’approche en hurlant :
« C’EST MOI ! TU AS UN PROBLÈME
AVEC ÇA ? »
Alors d’une toute petite voix, le premier lui répond :
« Nnn, nnon… Non-non, c’était
pour vous prévenir que si vous voulez passer la deuxième couche… C’est sec. »
Elle est bête, n’est-ce pas ?
Et celle-là, alors ?
Au beau milieu du fleuve immense, deux énormes hippopotames ne laissent
paraître aux regards que les masses immobiles de leurs dos gris jaunâtres au
cuir craquelé de boues éparses et d’algues mortes…
L’un des deux mastodontes émerge des eaux sombres.
Ses immenses naseaux frémissent et recrachent des trombes d’eau dans un
éternuement obscène et fracassant.
Puis il baille.
Un bâillement cérémonial, lent et majestueux, qui lui déchire la gueule en
deux, aux limites de l’éclatement, en même temps qu’étincelle l’ivoire de sa
bouche béante et que monte aux nues son beuglement sauvage.
Presque aussitôt, l’autre bête sort sa tête de l’eau en s’ébrouant
frénétiquement. Puis les deux mastodontes se regardent longuement…
On a l’impression que le temps s’est arrêté.
Alors, après avoir humé longuement, en balançant la tête, l’air saturé
d’une lourde chaleur humide, le premier hippopotame dit à l’autre :
« C’est bête, j’arrive pas à me
faire à l’idée qu’on est déjà vendredi ! »
Et cette autre :
Le lion, c’est bien connu, est un animal bien vaniteux.
Un jour qu’il se promène dans la savane, il hèle une antilope :
« – Eh, l’antilope, qui est le
roi de la savane ?
– C’est toi, le lion, ça,
pour sûr », répond le frêle
animal terrorisé.
Le lion se rengorge et, bouffi d’orgueil, poursuit sa route.
Il tombe sur une girafe :
« – Ohé, là-haut, qui est le
roi de la savane ?
– Toi… toi, bien
évidemment » répond la girafe qui en
bégaye de peur.
Alors là, le lion ne se sent plus.
À tel point que, passant devant un éléphant, il lui prend l’envie de
tester son prestige :
« Et toi, le gros patapouf, tu
sais qui est le roi de la savane ? »
L’éléphant, pas très content qu’un minus s’adresse à lui sur ce ton,
attrape le lion par la queue, le fait tournoyer au-dessus de sa tête et le
projette à 30 m de là, dans une flaque de boue.
Groggy, le lion se redresse et lance à l’adresse du pachyderme :
« Ben quoi ? On peut même plus
se renseigner ? »
C’est Jean-Marc qui se rend
dans un restaurant pour déjeuner.
Arrivé sur les lieux, son smartphone capte la connexion Wi-Fi du
restaurant.
Quand la serveuse vient prendre sa commande, il lui demande :
« – S’il vous plaît,
mademoiselle, pourrais-je avoir le mot de passe du Wi-Fi ?
– Mangez d’abord,
monsieur. »
Jean-Marc s’empresse alors de commander un repas copieux.
Après avoir fini de manger, il redemande à la serveuse :
« – Ça y est, j’ai fini de
manger, pourrais-je avoir ce mot de passe maintenant ?
– Mangez d’abord. »
Jean-Marc se sentant un peu gêné, commande un volumineux dessert.
Après s’être gavé avec, il s’en va directement demander le mot de passe au
gérant :
« – Excusez-moi monsieur, mais
vos serveuses me font du chantage. Elles veulent que je commande d’abord à manger
avant de pouvoir obtenir d’elles le mot de passe Wi-Fi. Pouvez-vous me le
donner, s’il vous plaît ?
– C’est « mangezdabord »,
sans majuscules, sans espace et sans apostrophe. »
Il y a quelque temps Germaine entre chez son médecin, le visage tout enflé
et des bleus partout.
Le médecin :
« – Que vous est-il arrivé ?
– Docteur, chaque
fois que mon mari arrive à la maison après avoir bu, il me frappe et je ne sais
plus quoi faire.
– J’ai un bon remède pour
ça. La prochaine fois que votre mari arrive totalement beurré, prenez une
tisane à la camomille et gargarisez-vous.
Gargarisez-vous le plus
longtemps possible et surtout … n’arrêtez pas ! »
Deux semaines plus tard elle retourne chez le médecin.
Elle a l’air très calme et parfaitement heureuse.
« – Docteur, c’est brillant
comme idée ! Dès que mon mari arrive éméché, je me précipite sur ma tisane et
je me gargarise comme vous me l’avez indiqué. Du coup, plus de violences !
– Ben vous voyez, quand
on la ferme, ça peut aider… »
Encore une revenue :
Jean-Marc rentre de voyage d’affaires, un jour
plus tôt que prévu.
Il est tard et il prend un taxi.
Près de la maison, il demande au chauffeur s’il veut être témoin parce qu’il
pense que sa femme le trompe et qu’elle est en ce moment avec son amant.
Ce dernier accepte, contre 150 €.
Ils entrent sans bruit, ouvrent doucement la porte de la chambre, Jean-Marc
allume la lumière et enlève la couverture du lit.
Et il découvre effectivement sa femme nue avec son amant.
Hors de lui, il sort le pistolet du fond du tiroir de la commode et le
braque contre la tête de l’amant.
Germaine hurle :
« Ne tire pas, ne tire pas ! Je t’ai
menti ! Je n’ai pas hérité l’argent de ma tante… C’est LUI qui a acheté la
Ferrari que je t’ai offerte, notre yacht aussi, la maison au bord du lac et
tous les billets des grands matchs auxquels tu assistes ! Il paye même nos
impôts ! »
Jean-Marc, désemparé, baisse le pistolet et se tourne vers le chauffeur de
taxi.
« – Tu ferais quoi, toi, à ma
place ?
– Moi ? Je remettrais la
couverture pour qu’il ne prenne pas froid… »
Jean-Marc est le seul survivant du crash d’un petit
avion de tourisme dans les Andes.
Appuyé sur un arbre, il lance vers un grand tas d’os, le dernier os qu’il
vient de finir de décortiquer.
Soudain, il voit une colonne d’hommes qui s’approchent.
Fou de joie, il bondit et se met à crier.
« Je suis ici ! Je suis ici !
C’est moi ! Merci mon Dieu. Je suis sauvé. »
Les hommes s’approchent et découvrent, horrifiés, qu’il a mangé tous ses petits
camarades.
« – Quoi ! Vous n’allez pas me
juger ni me blâmer d’avoir voulu survivre ?
– Non », dit le chef d’équipe, « sauf que l’avion ne s’est écrasé
qu’avant-hier ! »
« – Quelle est la différence
entre un gars et une grenouille ?
– Il n’y en a pas, les
deux ne pensent qu’à sauter ! »
Ça se passe dans un club de danseuses nues.
Entre deux danses, la blonde dit à la brune :
« – Moi, je ne ferais pas
confiance aux deux gars qui sont à la table 22.
– Ah bon ! Et pourquoi
?
– Ben, ils sont ici
depuis trois danses, au moins, et pas une seule fois ils m’ont regardée dans
les yeux. »
Une petite devinette idiote pour finir :
C’est l’histoire de trois personnes qui sont dans un ascenseur.
Un gars intelligent, une femme blonde et le Père-Noël !
Qui va pousser sur le bouton pour monter à l’étage ?
La femme blonde, voyons !
Parce que tout le monde sait qu’un homme intelligent, ça n’existe pas et
que le père Noël non plus !
Allez, sans rancune : Bon week-end à toutes et à tous quand
même !
I3
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