Jean-Gérard,
chez le médecin…
« – Est-ce que je vais devenir
centenaire, docteur ?
– Est-ce que vous fumez,
prenez de la drogue ou buvez ?
– Non.
– Est-ce que vous sortez
souvent, allez en boîte, jouez au casino ?
– Ben non…
– Est-ce que vous roulez
vite, faites des sports extrêmes ?
– Bof, non.
– Est-ce que vous faites
souvent l’amour avec des partenaires différentes ?
– Non, rien de tout cela.
– Alors, dites-mois
pourquoi vous voulez vous faire chier à devenir centenaire… »
Oui, c’est une déjà vue, une « revenue »…
Selon un article publié dans un magazine féminin, on peut en apprendre
beaucoup sur la personnalité des femmes en les observant dormir.
Ainsi :
– Les femmes qui dorment couchées sur le côté ont l’esprit pratique.
– Les femmes qui dorment sur le ventre sont plus intellectuelles.
– Les femmes qui dorment sur le dos avec les chevilles derrières les
oreilles sont les plus populaires…
L’histoire se passe dans un train. Dans un des compartiments se trouvent
quatre personnes : Trois hommes et une jeune femme de toute beauté.
La discussion s’engage rapidement entre les quatre passagers, puis, très
vite prend une tournure plutôt érotique.
D’ailleurs, à un moment, la jeune femme propose :
« Si chacun de vous me donne 10
euros, je suis prête à vous montrer mes mollets… »
Les trois hommes, sous le charme de la jeune femme et déjà assez chauds,
sortent tous les 10 euros de leurs portefeuilles. Là-dessus, la jeune femme
s’exécute et leur montre ses mollets ravissants.
La discussion continue, toujours plus érotique, puis la jeune femme
relance :
« Si chacun de vous me donne 50
euros, je suis prête à vous montrer mes cuisses… »
Les hommes étant ce qu’ils sont, ils n’hésitent pas une seconde et sortent
chacun 50 euros de leurs portefeuilles. La jeune femme remonte sa robe et leur
laisse contempler le haut de ses jambes splendides.
Puis la discussion reprend, et cette fois-ci, les hommes ont tombé la
veste tant ils sont chauds.
Très vite, la jeune femme leur dit :
« Si chacun de vous me donne 100
euros de plus, je vous montre où j’ai été opérée de l’appendicite… »
Naturellement, tous les trois lui donnent 100 euros de plus, et à ce moment-là,
la jeune femme se tourne vers la fenêtre, et pointant du doigt un hôpital, elle
dit :
« C’est là… »
Jean-Marc et Jean-Paul se promènent avec leurs
chiens : Un berger allemand, et un caniche.
Après une longue marche, ils arrêtent dans un bistro pour prendre une
bière.
Le maître du caniche dit :
« – Mais on ne peut pas entrer
dans le bistro avec les chiens ?
– Mais oui, regarde-moi
aller et fait pareil ! »
Alors, Jean-Marc met ses lunettes de soleil, et entre dans le bistro avec
son berger allemand.
Il se fait arrêter par un employé qui lui dit :
« – Monsieur, vous ne pouvez
pas entrer avec votre chien !
– C’est mon chien guide ! »
L’employé le laisse aller.
Jean-Paul met alors ses lunettes de soleil et entre dans le bistro avec
son caniche. L’employé l’arrête et dit :
« – Monsieur, vous ne pouvez
pas entrer dans le bistro avec votre chien !
– C’est mon chien guide !
– Monsieur, me prenez-vous
pour un imbécile, je n’ai jamais vu de caniche comme chien-guide !
– QUOI ? Ils m’ont donné
un caniche ? »
Jean-Marc fait un horrible cauchemar.
Il hurle tellement fort qu’il réveille sa femme.
« – Que se passe-t-il mon chéri
?
– Je faisais un cauchemar
! J’étais poursuivi par des cannibales, et coincé au bord d’un précipice, je
n’avais comme solution que de sauter.
– Et alors ?
– Alors, j’ai sauté et je
suis tombé. Heureusement, au dernier moment j’ai pu me raccrocher à une touffe
d’herbe… Et tu m’as réveillé !
– Tu es sauvé maintenant !
Tu peux lâcher prise ! »
Une petite mandarine, rentrant tard le soir, s’adresse à sa maman orange :
« – Dit, maman…
– Oui ?
– Euh… Je suis sortie ave
un joli citron. Comme j’étais pressée il a eu un zeste déplacé et maintenant
j’ai peur d’avoir des pépins. »
Un vieux couple est allé se promener un dimanche au zoo.
Ils s’arrêtent devant la cage du gorille, et celui-ci ouvre aussitôt des
yeux écarquillés en voyant la dame.
Comme un fou, il se rue vers elle, écarte les barreaux, s’en empare et
l’entraîne au fond de la cage avant que le mari n’ait pu réagir.
« – Jean-Marc ! Jean-Marc ! » hurle la dame. « Qu’est-ce que je peux faire ?
– Fais comme avec moi », lui répond son mari d’un ton sinistre.
« Dis-lui que tu as mal à la tête ! »
Un inspecteur sanitaire arrive dans une école primaire.
Sa première visite est pour les toilettes des garçons et là, il se rend
compte que comme d’habitude, ce n’est pas très propre et ça ne sent pas la
rose…
Bref, de la pisse partout…
Après une petite remontrance pour le directeur de l’école qui ne fait pas
bien entretenir ses bâtiments, il se dit qu’il ferait mieux d’attaquer le mal à
sa source.
Il va donc dans la classe de Jean-Marc.
Il arrive et demande à toutes les petites filles de sortir.
Une fois seul avec les garçons, il commence la leçon :
« Bon j’ai remarqué que plusieurs
d’entre vous ne savaient pas uriner donc je vais vous apprendre d’une manière
simple ce geste de la vie quotidienne… »
Il poursuit en faisant une petite démonstration :
« 1 : On ouvre la braguette.
2 : On sort le… Euh…
Petit oiseau…
3 : On décalotte.
4 : On fait pipi.
5 : On recalotte.
6 : On la rentre.
7 : On ferme la
braguette.
Tout le monde a compris ?
Bon alors on passe aux travaux pratiques. Un volontaire ? »
Jean-Pierre, le lèche-cul, ne manque pas l’occasion de se distinguer, se
place devant l’urinoir et récite sa leçon fraîchement apprise :
« 1 : On ouvre la braguette.
2 : On sort le pénis.
3 : On décalotte.
4 : On fait pipi.
5 : On recalotte.
6 : On la rentre.
7 : On ferme la
braguette. »
L’inspecteur est ravi :
« Bien Jean-Pierre, rejoint tes
petits camarades. Bon un autre volontaire ? »
Jean-Raymond se propose et récite en s’exécutant :
« 1…2…3…4…5…6…7… »
L’inspecteur est ravi et se dit qu’il a bien fait son boulot.
Comme ces premières démonstrations ont donné une furieuse envie de pisser
à tout le reste de la classe, le chahut s’installe ce qui fait que l’inspecteur
est obligé de hausser le ton pour rétablir l’ordre.
Quand enfin il parvient à obtenir le silence, tout le monde entend Jean-Marc
au fond de la classe :
« 3…5…3…5…3…5…3…5… »
Petite histoire… d’Histoire
Avant les ordinateurs…
– Une application : C’était quand on faisait une demande d’emploi.
– Un programme : C’était à la télévision.
– Une touche de clavier : C’était pour jouer du piano.
– La mémoire : On la perdait avec l’âge.
– Un disque dur : C’était une rondelle de hockey.
– Compresser : C’était pour les vidanges.
– Une souris : C’était un petit animal désagréable. Aujourd’hui, tu lui
achètes même son propre tapis !
– Couper/coller : Ça se faisait avec des ciseaux et de la colle.
– Et un virus : C’était une bonne grippe !
Germaine va se confesser à l’église :
« – Mon père »,
dit-elle, « je m’accuse d’avoir
trompé mon mari.
– Ah bon ! Fait le curé.
Et quand ça ?
– Euh… C’était il y a trente-deux
ans…
– Trente-deux ans ? Mais
ça n’a plus beaucoup d’importance, chère madame.
– C’est possible, mais ça
me fait plaisir de temps en temps de le dire à quelqu’un… »
Jean-Marc avec le marchand Salomon :
« – Dites-moi, pourquoi les
juifs sont-ils tellement plus intelligent que les autres ?
– C’est parce qu’on mange
du hareng », répond le juif
après réflexion.
Il sort du hareng de son sac de voyage et se met à le déguster.
Jean-Marc hume l’odeur forte, il se sent déjà plus intelligent.
« – Combien de harengs
avez-vous là ?
– Une bonne douzaine.
– Combien en voulez-vous,
si je vous les achète ?
– Vingt-cinq euros.
– Fichtre ! C’est
beaucoup, mais les voici. »
Jean-Marc paie la somme demandée.
Salomon, le vieux juif lui donne les harengs et Jean-Marc commence à les
manger. Tout à coup, il cesse de mâcher :
« – C’est stupide ! »
s’exclame-t-il. « Au marché aux
fleurs j’aurais pu en acheter 100 kg pour la même somme !
– Vous voyez », rétorque le vieux juif malicieusement,
« ça commence à faire son effet ! »
Je crois que c’est une vieille, très vieille « revenue »,
qui se passait à Moscou (ou en Pologne), au moment où Jacques Heurtault m’a supplié
de raconter des « histoires juives » (avant que ce ne soit définitivement
interdit). Mais je ne me souviens plus : Les effets de l’âge !
Un marin embarqué à bord de la Jeanne-d’Arc depuis plusieurs mois envoie
le message suivant à sa petite amie restée à terre :
« Nous serons de retour au port dans
25 jours, le 06 juillet. Ma chérie, tu m’as tellement manqué… Je veux que tu me
retrouves sur le quai avec le break Nevada de Bernard et surtout, n’oublie pas
de poser un matelas à l’arrière, parce que je veux qu’on le fasse dès que
j’aurai mis le pied sur le sol. Il est temps qu’on arrive, j’ai les couilles
qui vont exploser.
À bientôt ma poupée, Ton
loulou. »
La fiancée qui n’en pouvait plus, elle non plus d’attendre, lui envoya
cette réponse :
« Bernard est d’accord pour
prêter son break Nevada le 06 juillet, et j’ai aussi trouvé un matelas. Je vais
me garer au plus près du bateau, mais je te préviens, tu as intérêt à être le
premier à toucher le sol, parce que je ne demanderai pas les cartes d’identité
à l’entrée ! »
Après le naufrage de leur navire deux rescapés sont à la dérive dans un
petit canot pneumatique. Ils n’ont pas mangé depuis cinq jours, ni bu depuis
deux jours. Soudain, ils voient une lampe à huile flotter sur l’eau.
L’un des hommes s’en empare, et en frottant la lampe, un génie en sort,
aussi sec !
Le génie, très vieux, leur dit :
« Écoutez les gars, vous m’avez
permis de sortir de cette lampe, d’accord, mais moi, j’en ai un peu marre
d’accorder trois vœux à chaque fois parce que je suis fainéant
et fatigué. Alors vous allez bien réfléchir et formuler un vœu que j’exaucerai. Ensuite je me casse ! »
Le premier, Jean-Paul, sans réfléchir une seule seconde vocifère :
« Je veux qu’on ait assez de
bière à boire pour le reste de notre vie ! »
Et aussitôt, le génie transforme la mer en un océan de bière !
Alors Jean-Marc lui file une énorme
claque derrière la tête :
« Bravo Einstein, maintenant on
va être obligé de pisser dans le bateau ! »
La maitresse donne un cours d’éducation sexuelle…
Elle dessine un sein sur
le tableau et demande à la classe ce que c’est.
Jean-Marc lève la main et dit :
« – Ça c’est un nichon et ma
mère en a 2…
– Bien dit Jean-Marc ».
Et elle dessine un pénis.
Jean-Marc lève la main et s’exclame
:
« Ça c’est une bite… Mon papa
il en a 2 aussi. Une de 5 cm pour pisser et une autre de 20 cm pour brosser les
dents de maman ! »
Je savais que vous alliez apprécier…
Bon week-end à toutes et tous !
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