Le
« F.Haine » va devenir « Rassemblement national » !
Enfin, peut-être seulement… ce n’est pas encore certain. Il faut dire que
vouloir rassembler toutes les haines « N » de chez les
« natios », c’est un sacré projet.
J’imagine la tête de mes « cousins Corsi » de « Corsica-Bella-Tchi-Tchi »
quand ils voudront « rassembler » leurs mouvements disparates et
néanmoins « nationalistes » (et leurs « faces-cachées » que
sont les FLNC, canal-historique et canal-habituel)…
Des « natios » qui ne se reconnaissent pas du tout dans le parti
de « Marinella-tchi-tchi » et ses propres dépendances ou autres
avatars…
En attendant – passé l’épisode de la révolte du fondateur et celui du gars
qui avait déposé le nom à l’INPI, qui trouveront bien une solution – le mérite
est qu’on saura de quoi qu’on cause.
En effet, il faut le rappeler que le « Rassemblement-national »
c’est d’abord le nom du groupe parlementaire de l'Assemblée-gauloisienne
rassemblant les députés du Front national (FN) et apparentés de 1986 à 1988.
Merci « Mythe-errant » qui n’avait rien trouvé de mieux que
d’introduire de la « proportionnelle » dans les mécanismes du scrutin
électif de vos « députacrouilles », histoire de faire barrage au
« Chi ».
Ça plus le développement archi-subventionné du « faux-nez » de
« touche pas à mon pote » d’« Hard-l’Aime-Des-zires » qui
finira secrétaire général du « P.Soce », la manœuvre a eu
échoué : Le « Chi » s’était retrouvé premier des sinistres à une
très courte majorité, mais avait perdu son duel des présidentielles suivantes.
Il s’était recasé à la Mairie de « Paris-sur-le-plage » pour
attendre son tour… et le « F.Haine » avait disparu de l’hémicycle.
Préalablement, c’était aussi le nom (Rassemblement national français), du parti
d’extrême droite fondé par « Jean-Louis Tixier-Vignette-en-cour » en
1953 et encore avant, (mais on remonte la filiation à 1941) celui du « Rassemblement
national populaire » (RNP) ouvertement fasciste et collaborationniste,
fondé par « Marcel Béat » en février et actif jusqu’en 1944, avec une
ligne politique néo-socialiste qui embrassait le projet d’une Europe nazie
unifiée destinée à « protéger la race » et sa pureté.
Si ! (Celle des Corsi, peut-être … ?)
Au moins là, la filiation est claire…
Quoiqu’encore précédemment, il faut signaler l’existence du Rassemblement
national lorrain (RNL), un groupement politique autonome régional, opposant au
Front populaire de juin 1936 à 1939.
Il est fondé à Nancy le 4 juillet 1936, lors d’une réunion privée dans le
contexte de panique sociale de l’été 1936 (grèves et rumeurs d’un coup de force
communiste), alors que le Front populaire est au pouvoir.
On se souvient (seulement pour ceux qui étaient nés à l’époque) qu’il avait
été annoncé le mois précédent par deux « appels
aux patriotes lorrains », deux affiches signées par des notables nancéiens,
souvent membres des Ligues et/ou de la Fédération républicaine de Louis Marin,
issus du monde militaire et universitaire, mais soutenue par une bourgeoisie
juridique locale.
Le RNL était donc une réaction à la victoire du Front populaire, et aussi
à la désunion des partis de droite ainsi qu’à l’échec des ligues d'extrême
droite, d’ailleurs dissoutes par le gouvernement de « Laie-on-Blum-Blum »
en juin, le tout à un moment où le thème du rassemblement des nationaux est
dans l’air.
La fondation du rassemblement national pour la réorganisation de la « Gauloisie-glorieuse »
à « Paris-sur-la-plage », puis en juillet d’un « Rassemblement
national » dans la Meuse autour du chanoine « Lulu-Polis-man » plus
un appel des dirigeants nationaux de l’Union nationale des combattants à un
rassemblement national anticommuniste, et encore un appel des leaders des ligues
dissoutes au rassemblement, forme le gros de la troupe.
Rattrapé par les poubelles de l’Histoire…
Sera-ce le sort de « Marinella-tchi-tchi » ? À chaque fois
qu’un parti politique aura voulu changer de nom pour se refaire une virginité,
il s’est cassé la gueule : Regardez donc l’UMP (scorie que RPR) qui de
« populaire » devient « présidentiel », puis « Les
Républicains-Démocrates » (où sont-ils aujourd’hui ?), le
« P.soce » qui liquide son siège social et va probablement lui aussi
changer de nom (c’est toujours dans l’air du temps), « Les verts »
qui sont devenus EELV, la « LCR » devenue NPA (ou le
« cousin » LO, je ne sais plus : Les effets de l’âge…) et j’en
passe probablement des dizaines d’autres.
Il n’y a plus que le PCF qui pourrait devenir « Démocratique et
Populaire » pour conforter la règle, mais eux n’ont pas attendu pour aller
enfanter – dans la douleur – les « Insoumis » en les portant et
supportant…
Ceci dit, les « frontistes » se rendent-ils vraiment compte de
ce qu’ils font ?
Le « rassemblement national », c’est aussi, quand il est
« démocratique », un parti politique algérien, fondé le 21 février
1997 à la veille des élections législatives de 1997 par des proches du
général-président Liamine Zéroual. Il remporta une étonnante victoire avec 156
sièges sur les 380 que compte le parlement. Lors de sa deuxième sortie en 2002,
le RND repasse à 47 sièges.
Il est considéré alors comme étant le parti du pouvoir (avec le FLN) et
plutôt de droite. Il compte en son sein une majorité de hauts fonctionnaires de
l’État et de l’administration. Le RND est de plus lié aux grands milieux d’affaires
et partisan de privatisations dans l’économie.
Il a formé une alliance parlementaire appelée « alliance présidentielle »
en 2005 avec l’ex-Hamas (mais si, et désormais rebaptisé promptement « Mouvement
de la société pour la paix », mais si !) de Bouguerra Soltani et l’ancien
parti unique, le Front de libération nationale du président « Boute-et-flika »…
Super « cousinage », il n’y a pas à dire…
C’est aussi le Rassemblement national démocratique (RND)… sénégalais, dont
le chef est « Mad’ior-Diouf-Diouf ». Fondé dans la clandestinité par
Cheikh « Anta-Diop-Diop » en 1976 et reconnu officiellement le 18
juin 1981.
Il participe aux élections législatives de 1998 et obtient… un siège à l’Assemblée
nationale…
Mais si !
Lors des élections législatives de 2001, il emporte 13.286 voix, soit 0,7
%, et obtient encore un siège sur les 120 que compte alors l’Assemblée
nationale.
Le bel avenir que propose là « Marinella-tchi-tchi ».
En 2007 il est l’un des partis ayant choisi le boycott lors des élections
législatives du moment et du coup disparaît de la représentation…
démocratique !
Un parti qui se réclame du nationalisme africain ou panafricanisme et vise
à « rassembler les patriotes et
démocrates sénégalais et africains autour d’un projet de libération politique,
économique et culturel du pays et du continent ».
Rien de moins.
Ça te vous rappelle peut-être des choses très actuelles avec « Phi-pipeau-pot » en
tête ?
Et encore le Rassemblement national des bûcherons (RNB) gabonais fondé en
1990 et dirigé par « Paul-Mba-où-est-ta-boussole » jusqu’en 1998.
Un parti qui se divise en deux en août 1998 lorsque « Pierrot-Dédé-Kombi-la-Koumba-lala »
fonde le Rassemblement national des bûcherons – démocratique (RNB-D). La
faction d’origine, dirigée par « Paul-où-est-ta-boussole », dénommée
Rassemblement national des bûcherons – Rassemblement pour le Gabon (RNB-RPG)
réalise un bien meilleur score aux élections que le groupe de « Kombi-la-komba-lala »
et est considérée comme le parti principal.
Le RNB-RPG devient Rassemblement pour le Gabon (RPG) en octobre 2000 et emporte
6 sièges sur 120 lors des élections du 9 décembre 2001…
Lors du troisième congrès ordinaire du RNB-D, le 25 et 26 janvier 2008, le
parti se décide à rejoindre officiellement la majorité présidentielle. « Pierrot-dédé »
est élu président du parti avec « Alex-Mengué-Yéyé » qui en devient
secrétaire général.
Citons également le Rassemblement national des indépendants (RNI), parti
politique marocain de centre fondé en 1978 par « Âme-Med-Os-man », le
beau-frère de Hassan II et avec le soutien de « Dridriss-Bar-zy ».
Son secrétaire général actuel est « La-Ziza-Kanne-ouch ». Lors des
élections législatives de 2011, le parti a obtenu 52 sièges à la chambre basse
du parlement marocain, ce qui est un peu mieux que tous ses
« cousins » réunis…
Et enfin nos cousins québécois du Rassemblement pour l’indépendance
nationale (RIN) qui fut un mouvement politique créé le 10 septembre 1960.
En mars 1963, le RIN devient un parti politique québécois voué à la
promotion de l’indépendance du Québec. En 1968, le président du RIN, « Pierre-Bourg-Haut »,
décide de proposer la dissolution du parti à la suite de l’annonce de la
création du Parti québécois. Au congrès national du parti, le 26 octobre 1968,
il propose alors, pour faire l’unité des forces indépendantistes et devant l’échec
des négociations, de dissoudre le RIN pour que ses membres intègrent un à un le
parti nouvellement créé par « Renié-l’Archi-évêque ».
Lui seul, aura eu un destin régional…
En bref, le mot « national » accolé à celui de « Rassemblement »
semble avoir un destin limité depuis le « national-socialisme »
(Nazi), une autre paire de mot qui veut tout dire et surtout ce qu’il n’est
pas.
Mais il y en a encore qui pense exactement le contraire : Alors
laissons les faire, je n’y vois pas de contre-indication.
Ceci dit, « Marinella-tchi-tchi » aura fait très fort à
l’occasion du récent congrès de Lille : Non seulement elle propose un
nouveau nom désuet, mais elle vire définitivement son père-fondateur (du parti
et de la dynastie) qui va enfin pouvoir reprendre sa liberté (et le nom de sa
création), mais elle aura invité « Bas-Non », l’ex-conseiller
« ultra » de « Mac-Do-Trompe ».
Un type qui s’est fait virer, parce que décidément, il en faisait trop.
C’est là que je trouve ça très drôle : Lui, il ne trouve rien de
mieux que de faire l’éloge non pas de la « puissance invitante »,
mais de sa « nièce-dissidente », « Mare-rions » !
Il n’a pas dû relire ses fiches avant d’entrer en scène…
Fabuleux pied-de-nez…
Il faut dire que la gamine, avec sa coquetterie dans l’œil, sa blonditude,
son « jeune-âge » et son charisme naturel, elle aura emballé la convention
nationale annuelle des « conservateurs » aux USA, entourée d’un
essaim de « journaleux », pire qu’une star internationale venant
présenter son dernier film au festival de Cannes !
Ça aussi, c’est fabuleux.
Elle disait ne plus vouloir faire de politique après avoir abandonné ses
études de droit-Pue-blique (à la fac d’Assas) pour faire correctement son
mandat de « députacrouille » pendant 5 ans de socialisme-niais (et
social-traite) sous la mandature de « Tagada-à-la-fraise-des-bois », observant
de loin la décomposition avancée de tous les fats qui s’y étaient régalés entre
« frondeurs » et « refondateurs », finalement, on
apprend qu’avec un patronyme pareil, elle est condamnée à faire « femme au
foyer » d’un mek qui a encore quelques « usines à cash », ou à y
retourner…
Une expérience renouvelée depuis 2011 : Personne n’en veut aux effectifs
et quand elle décroche un poste dans l’anonymat, elle se fait licencier sitôt
son identité révélée !
Quant au père de sa gamine – un type qui fait 4 M€ de CA avec ses 4
salariés dans l’événementiel dans le XVIIIème arrondissement-parigot,
comme « industriel », on repassera – il s’est cassé en 2016.
Il faut dire qu’elle l’aurait « traité de tous les noms » après
qu’il se soit présenté – « sans étiquette » aux législatives – et que
ça ne lui a pas plu…
On peut comprendre : Moi-même, je ne suis pas né pour me faire
engueuler…
Ma « Môman-à-moi-même » y suffit largement.
Bref, une « divorcée » avec charge de famille, non-recasable qui
va devoir aller plus loin… en politique si elle veut assurer ses fins de mois.
Et quand elle déclare que « l’État a fait
la France, l’étatisme l’a tuée. Ma génération critique fortement l’assistanat.
Il faut remettre le goût du travail, réformer la protection sociale » ou lors
d’un bureau politique du « F.Haine » où elle a notamment contesté la
priorité donnée, selon elle, à l’économique et au social plutôt plus qu’à la
sécurité et à l’immigration au sein de son parti « sinon on fait du sous-Chevènement ou du sous-Mélenchon », à mon
sens elle a sa place du côté de « Veau-Qui-Est »…
Mais bon, c’est compliqué : Lui n’a déjà pas sa place chez les
« Gaullistes », alors hein, et elle, c’est « à suivre » en
comptant sur un délitement « lent mais certain » et déjà largement
entamé du « F.Haine » avec les initiatives récentes de
« Marinella-tchi-tchi ».
Fabuleux vous dis-je.
En attendant, j’ai bien rigolé en découvrant tout ça.
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