Comme je vous le disais jeudi dernier, j’y reviens.
On te vous causait de l’utopie du « Groβ-Paris » qui se dessine sous vos yeux, en remplacement des utopies « socialo-coco » moribondes. Pour se faire élire, il faut avoir une « soupe-à-vendre », parfois à puiser dans la démagogie (comme par exemple les transport publics gratuits pour tous et pas seulement les seniors).
Sauf que ça reste « à suivre », parce que je
m’attends aussi à un « coup du charme » auprès de « MacRond »
dont elle a le secret : Elle a bien réussi à tournebouler « De-la-Nuée »,
avec à la clé une promotion expresse de l’urbanisme à « première-adjointe »,
puis à « dauphine-officielle », un sieur qui pourtant, tout affable
qu’il pouvait être, n’a toujours absolument aucune appétence ni pour son parfum
ni pour ses « charmes-incendiaires », c’est le moins qu’on puisse
avancer…
On te vous causait de l’utopie du « Groβ-Paris » qui se dessine sous vos yeux, en remplacement des utopies « socialo-coco » moribondes. Pour se faire élire, il faut avoir une « soupe-à-vendre », parfois à puiser dans la démagogie (comme par exemple les transport publics gratuits pour tous et pas seulement les seniors).
Vous me direz, « MacRond » n’avait rien à
vendre (pas de parti et pas de fonds à claquer), pas plus qu’aucun militant
(juste 200.000 « sympathisants », devenus depuis 400.000 mais sans aucun cador, pour l'heure) mais qu’il a réussi à placer plus
de 300 député.e.s-à-la-botte simplement en claquant dans les doigts et en
exhibant ses dents du bonheur, ses bagues aux deux mains et « Bibi », sa cougar.
Avec un avantage de poids : Pas de bilan à
défendre (ou alors si peu…)
Ce qui n’est pas le cas de « Sœur-Âne », la
maire.sse parigot.e, première dans son genre (sexué) à cette fonction élective
(elle qui n’a jamais réussi à prendre la mairie du XVème où elle se
présente systématiquement).
Je vous l’ai toujours affirmé : J’adorai quand
elle se jetait sur moâ toute fougue retenue non-retenue, comme sur du bon-pain à
pétrir, me faisant humer les délices de son parfum subtil.
Mais comme dit l’autre (« Deux-longs »),
« ça, c’était avant ».
Au fil du temps et de plus en plus qu’il passe, je
n’en reviens pas : Vous savez comment on reconnaît les kons (au moins
depuis Audiard)… Ils osent tout !
J’ai donc suivi (de loin) les histoires de rats qui
déboulent sur les chaussées chassés par les crues et attirés par les détritus
laissés par une armée d’incivils sur les « fans-zones » et
autres ; les affaires incompréhensibles (quand on n’est pas sur place) de
Grande roue et du marché de Noël ; j’ai ouïe dire les errements du
« Vélib’ » où manifestement les torts sont partagés (mais qui
paye quand même 3 M€ d’indemnités) ; les histoires de soupçons d’emplois
fictifs ; la commande d’un rapport superfétatoire sur la propreté à 224.580 euros ; j’ai
pu constater les dégâts circulatoires des piétonisations de quartiers entiers,
les embarras des services de la RATP, toujours en travaux (comme le RER A qui
va une nouvelle fois fermer cet été « pour le confort des usagers ») ou à
gérer les urgences des pannes et autres incidents.
J’ai compris que la sous-traitance des « nouveaux
financements » de l’usage de l’espace public en mode
« stationnement » avait eu quelques problèmes (escroquerie aux PV,
tarifs aberrants, agents-privés avinés, etc.), avec un détail
« astronomique » : Le « Canard-déchaîné » m’aura révélé
qu’une des deux sociétés privées chargées de verbaliser les voitures mal garées
truandait allègrement. « La moitié
des 50.000 contrôles quotidiens » auxquels il s’était engagé serait
totalement bidons. La Mairie a même annoncé avoir « rappelé à ses obligations » son prestataire : La sanction
sublime pour des escrocs !
Je suis d’encore plus loin les errements autour des
« projets-phares » d’urbanisme (la tour-Triangle, les lotissements du
13ème le long du périphérique, avec les travaux conséquents de
« déplacement-provisoire » des chaussées), etc.
Pour ma part, je me suis cassé à peu près au moment où
le tramway faisait son retour fracassant sur les boulevards (d’abord maréchaux,
puis encore ailleurs, et sans compter le déplacement des voies de bus au milieu des boulevards, créant des risques imbéciles pour les utilisateurs), rajoutant aux embarras, créant ces « barrages
naturels » entre les « îlots-de-HLM » et la ville, tout autant
devenus des « no-go-zone » encore acceptables, alors que les
« anciens » avaient tant fait pour les démonter…
Quand je pense aux années d’encombrement, porte
d’Italie par exemple, qu’on a dû subir pour atteindre la Nationale 7 (celle des
vacances vers le sud d’avant l’autoroute) pour créer un tunnel routier
fluidifiant la circulation et les mêmes pour le reboucher… je me dis que
« les élus » ont du raffinement extrême dans l’art de jeter l’argent
par les fenêtres… du moment que ce n’est pas le leur.
Ce qui au passage confirme l’en-tête de ce
blog qui n’a pas changé d’un iota depuis l’origine : Qu’elle est « la place de l’État (…) son rôle ultime ? (Tout) le reste n’est alors (plus) que dérives quotidiennes pour soi-disant, le
« bonheur des autres » avec « le pognon des autres ». »
Mais là, on vient de franchir une nouvelle étape assez
extraordinaire pour être soulignée avec un certain délice.
Je te vous le raconte (même si vous le savez
déjà) : Le tribunal administratif de Paris a annulé la décision de piétonnisation
des voies sur berges…
Ah oui ? Mais ah-que-quoi que je me mêle ?
Il faut dire que comme ânerie, elle se pose-là :
Tous ces millions de (francs à l’époque) investis pour faciliter les transferts
ouest/est (rive-droâte) et est/ouest (le reliquat rive-gôche) qui permettait
d’aller de Brest à Berlin avec un seul feu rouge (celui du quai Saint-Exupéry)
en évitant les embouteillages des divers « périphériques » qui
tournent autour du cœur de Paris-sur-la-Seine et par le chemin le plus court,
donc le moins polluant (j’en compte huit au total, mais bourrés d’obstacles),
pour finir en « piste cyclable », il y avait peut-être mieux à faire
avec vos impôts (et ceux de vos parents et de vos grands-parents)…
Enfin, comme c’est votre pognon et pas celui
« des élus », ils n’en ont rien à cirer, finalement.
Ceci dit, la trisomie-publique reste le sida de
l’action politique contemporaine et ce n’est pas nouveau : Il faudra vous
y faire.
Notez qu’ils ne le sont pas tous : À Lyon,
Angers, Valence, Budapest, Londres, Reykjavik (pour les villes que j’ai
fréquentées), mais également à Nice et sa promenade des britishs (à 2 x 3
voies), voire Toulon ou Marseille, je n’ai pas le souvenir qu’ils envisageraient
de fermer leurs « autoroutes-urbaines » sur berges.
Même au mauvais motif d’une pollution exacerbée :
De toute façon elle se reporte mécaniquement ailleurs en aggravant le problème
(durée et distance accrues des parcours).
Et sur ce point-là, « Valy-Paic-Fesse » que
j’ai du mal à assumer, elle a raison de râler, d’autant que les « plans de
circulation » sont de sa compétence légale et régionale.
Mais passons…
Ce qui reste absolument étonnant, c’est la réaction de
« sœur-Âne » : Au lieu de geler la remise aux normes exigée par
« l’autorité-judiciaire » administrative en attendant des jours
meilleurs même si une décision administrative est immédiatement applicable
(c’est la même loi pour tous, me semble-t-il, à moins que ça ait pu changer
sans qu’on ne m’en informe), quitte à faire appel d’une décision
« inique » (comme la loi pour tous le prévoit également), ce que la
maire.sse fait par ailleurs (validant ainsi le principe), elle, elle prend un
arrêté municipal réitérant sa décision et organise des rassemblements de « soutien »
à sa politique…
On appelle ça une « voie de fait par
l’autorité » constituée…
Autrement dit, un délit caractérisé par et du premier
magistrat de la ville (avec en plus pouvoir – et devoirs – de police et tout le
bastringue).
Article
L.432-1 du code pénal : « Le fait, par
une personne dépositaire de l’autorité publique, agissant dans l’exercice de
ses fonctions, de prendre des mesures destinées à faire échec à l’exécution de
la loi est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75.000 euros d’amende. »
Sidéré que j’en suis.
Vous connaissez également l’existence de l’article
40 du Code de Procédure Pénale (modifié par Loi n° 2004-204 du 9 mars 2004 - art. 74
JORF 10 mars 2004) : « Le
procureur de la République reçoit les plaintes et les dénonciations et apprécie
la suite à leur donner conformément aux dispositions de l’article 40-1.
Toute
autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice
de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en
donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce
magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs. »
Bon, au boulot, « M’ssieur-le-proc’ »…
Des textes qui ont force de loi partout sur le
territoire gauloisien, sauf… à « Paris-sur-la-plage », la capitale de
la « Gauloisie-magnifique » !
Éberlué…
La Maire.sse délinquante, prise en flagrant-délit :
Ça fait « exemple » à la fois pour le CIO et pour les
« primo-délinquants » qu’on trainerait devant les tribunaux pour vol
à l’étalage des « oranges du marchand », y’a pas à dire.
Miss est une véritable catastrophe : Une ville
endettée comme jamais (3 milliards d’euros de plus depuis les mandats de
« De-La-Nuée » qui faisait lui aussi procès à tout le monde pour
n’importe quoi jusqu’au toit des halles – que je ne suis pas encore allé voir –
pour un budget annuel de à 9,5 milliards), des rats, des ordures collectées de
façon chaotique, une voirie souvent dans un état pitoyable, c’est devenue la
capitale la plus chère et la plus sale d’Europe. Le changement de prestataire des Vélib’ s’avère
être une catastrophe que discrètement les services lui donnent même un coup de
main sans rien en dire, plus le marché public d’affichage qui constitue une
ressource importante pour la collectivité et que le tribunal administratif a dû
retoquer pour des irrégularités grossières, les gamelles s’accumulent.
Habituellement, lorsqu’une collectivité locale voit un
de ses marchés publics annulés, elle adopte en général la solution la plus
rapide, celle qui consiste à recommencer la procédure. Pas elle : Elle
fait systématiquement appel de ces décisions pour se faire logiquement
ratatiner devant la Cour.
Et le problème en l’occurrence, c’est que pendant la
procédure, qui peut durer plus de deux ans, il n’y a plus de marché exécutoire, ce qui
représente une perte de recettes de plusieurs dizaines de millions d’euros.
Pour ce dernier point – parce que c’est révélateur jusqu’à
la caricature – ledit marché de l’affichage public a été annulé parce que
contraire au règlement d’affichage adopté deux ans avant par … la ville
elle-même !
C’est-à-dire que la mairie de Paris ne respecte même
pas les règles qu’elle a elle-même fait adopter…
Mais avec l’annulation par le tribunal administratif
de Paris de la décision de piétonnisation des voies sur berges, il semble qu’elle
ait adopté une nouvelle technique vis-à-vis des juridictions : Celle du bras
d’honneur !
Sublime de crânerie…
Alors qu’il faut savoir que cette mesure de fermeture
de ces voies sur berges s’inscrit dans une mesure d’aménagement plus globale.
Ces procédures sont minutieusement organisées par le code de l’urbanisme et
font l’objet de rapports préalables, d’études d’impact, d’enquêtes et de concertations
qui doivent permettre d’en apprécier la portée et l’utilité publique. Si celle-ci
qui a été annulée par la juridiction administrative, c’est en raison de
l’insuffisance de ces procédures, ce qui n’est pas un mince reproche.
Compte tenu des embouteillages monstres (hors quand
j’y passe encore, la nuit), la moindre des choses était donc que le tribunal
administratif soit exigeant sur la qualité des procédures menées en amont.
L’État de droit, finalement, dans tout ça ? Elle ne connaît
pas !
Évidemment, elle sait très bien qu’il ne se passera
rien, que personne ne va bouger. La seule question qui vaille, pour le
personnel politique c’est de savoir qui va s’asseoir dans son fauteuil en 2020.
L’État de droit, c’est juste pour la galerie. Et tant pis si ce qui devrait
être la capitale de tous les Gauloisiens voit sa gestion confisquée par une
petite caste d’amateurs incompétents, au profit exclusif de « sa clientèle »,
celle qui a les moyens d’y vivre, les « bobos & hypsters », les
ceux-ce qui sont 30 % à avoir 70 % du pouvoir d’achat, dont on parlait encore la semaine dernière et dépassée.
Les 70 % qui ne représentent que 30 % du
« pouvoir d’achat », ils n’ont qu’à s’exiler sans discutailler :
Vive la démocratie-soce !
Une « démocrature » de plus… Locale
celle-là.
Elle aura annoncé sa candidature en 2020 dimanche
également dépassé et on sait que les « Marcheurs-même-pas-en-rêve » sont en pleine organisation des municipales via
notamment l’application cryptée Telegram et ne lui feront pas de cadeau : Z’ont des « trucs » à
cacher.
L’édile indique qu’elle veut porter une « candidature de coalition » mais qu’elle
n’adhèrera pas à la « République en marche-même-pas-en-rêve ». Elle
estime être avec le gouvernement « dans
une démarche de co-construction ». Pas sûr…
« Ma
responsabilité n’est pas d’être une opposante politique mais d’être la maire de
Paris ».
Que c’est probablement mal barré : Pour le moment
chez les « LREM-même-pas-en-rêve » ils en sont au stade de
l’organisation. Prochainement, quinze groupes de travail vont se former autour
de quatre grandes thématiques parisiennes : Emploi, vivre-ensemble,
jeunesse-culture, « smart-city » (eux aussi !). Et pour l’heure :
« Pas d’opération démolition en direction
d’Hidalgo ».
Évidemment, le nom de « Ben-Jasmin-Gris-veaux »,
député de la 5ème circonscription et porte-la-parole du
gouvernement, circule régulièrement mais rien n’est arrêté à ce stade.
Dans le camp de la maire.sse, on observe à distance. «
Quand on regarde les résultats parisiens
(de MacRond) lors de l’élection
présidentielle, ça ne peut que faire peur. Anne Hidalgo est consciente que ça
va être difficile ».
Pour sûr…
Parce qu’il y a eu aussi les législatives, et là, il
faut bien dire que « Paris-la-Groβ » a déjà basculé massivement…
« Floflo-Perd-tout », la sucesseuse du « cousin-Jean »
dans le Vème, présidente du groupe LRD au Conseil de Paris
depuis la retraite en rase-campagne de « Haine-qu’a-Aime », souhaite
surtout que ce soit un candidat LRD qui la vire, ou un candidat qui
appartient à sa famille élargie, « y
compris du côté des constructifs ».
À surveiller également la montée en puissance des « Mes-Lu-chiens »
dans l’est parisien, un parti arrivé en tête dans les XIXème et XXème
arrondissements à la présidentielle, et dont « Danièle Eau-Bono-Bono »
a été élue députée dans la 17ème circonscription. Les candidats « Insoumis »
étaient au second tour lors des législatives. « Il n’y a pas de victoire à Paris en 2020 sans les arrondissements du
Nord-Est », estiment mes potes PCF (que j’en ai été obligé de leur rappeler
que le « Chi » et le « cousin Tiberi » s’en étaient bien passés).
Pour moâ, c’est le XIIème qui est le point
de bascule.
Quant aux sondages, ils sont en berne.
En fait, on va rentrer dans le vif du sujet cet été.
D’autant que courent des rumeurs sur « Hugh-Rançon », député de Paris
et sur « Stan-Gai-Rit-Nie », lui aussi député parisien passé par l’Élysée
sous le « Chi » qui ambitionnent tous les deux d’être candidats « REM-même-pas-en-rêve ».
Mais d’après d’autres, le nom du Premier-sinistre est
évoqué pour mener une candidature commune « LREM-même-pas-en-rêve/LRD »
face à « Sœur-Âne ».
Ce sont eux qui pourraient bien faire l’union désirée
par « Sœur-Âne »…
Quoique RTL assure que l’hypothèse a été avancée par « Cloclo-Go-as-Gaine »,
ancien maire du XVIème arrondissement, partisan d’une candidature
commune en 2020 et qui ne reste qu’un missile essentiellement destiné « à semer la zizanie ».
Il faut dire que pour l’heure, « Ed. Phil-Lippe »
reste bien accroché à Matignon, et son destin pourrait aussi être européen pour
être tête de liste aux élections européennes de 2019, avec comme possible prise
de guerre la présidence de la Commission européenne ou celle du Parlement.
« Si j'étais
Macron, je n’hésiterais pas une seconde », assure un proche du
premier-sinistre : « Il est
plus facile de trouver un Premier ministre qu’un leader européen. » Le
ministre de l’Éducation « ferait
très bien l’affaire à Matignon. Et pour l’Europe, un ex-Premier ministre
français, de la jeune génération, poussé par Macron, ça aurait de la gueule.
»
Eh bien moâ, je le vois bien faire l’union nécessaire
à « Paris-sur-la-plage » pour virer la catastrophique « Sœur-Âne »,
figurez-vous.
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