Et
scènes de ménage !
Germaine à Jean-Marc :
« Tu m’énerves avec ta façon de
toujours répondre à mes questions par une question », dit Jean-Marc à
sa femme.
« Ah oui. Comment ça ? »
Les 3 jeunes de 6, 8 et 10 ans sont assis autour du repas avec leurs
parents.
« Mange ta soupe ! »
dit Jean-Marc à l’aîné.
« J’en veux pas, elle est
dégueulasse ! Tu peux te la foutre où je pense… »
Jean-Marc lui balance 2 taloches bien senties.
« Pourquoi tu le frappes ? »
fait le cadet. « S’il n’aime pas
cette soupe, c’est son droit. T’es tout le temps en train de l’emmerder ! »
Lui aussi reçoit une paire de baffes.
Alors le petit dernier de 6 ans lève les bras et se protège le visage.
« – Et pourquoi tu fais ça, toi
? Si tu es poli et respectueux avec ton papa, je n’ai aucune raison de te
gifler.
– Je sais », répond le gamin. « Mais je me méfie, t’es tellement con. »
Germaine est au lit avec son amant, Jean-Paul, lorsque le téléphone sonne.
Elle décroche et entame une courte conversation.
Puis elle raccroche et se tourne vers le gars en lui disant :
« C’était Jean-Marc. Il m’a dit de ne pas m’inquiéter et de ne pas l’attendre
ce soir car il en train de jouer aux cartes avec toi… »
L’accusé (après avoir été condamné à 90 jours de prison) :
« Puis-je m’adresser à la Cour ? »
Le Juge :
« – Bien sûr.
– Si je vous traitais de
chien sale, qu’est-ce que ça ferait ?
– Vous seriez accusé d’outrage
au Tribunal et vous seriez condamné à purger une peine supplémentaire de
prison.
– Et si je « pensais »
que vous êtes un chien sale ?
– Ben là, je ne peux pas
faire grand-chose. Vous avez le droit de penser ce que vous voulez de moi. Y’a
pas de loi contre ça.
– Dans ce cas, je « PENSE
» que vous êtes un chien sale ! »
Deux ados, flambant nus, fument un joint assis près d’une fontaine.
La police les arrête.
Les policiers leur donnent le droit de faire un appel, sur leur
cellulaire, puis on les embarque.
Au bout d’une demi-heure, au poste de police, un gars arrive.
« – Vous êtes sans doute
l’avocat des p’tits ?
– Non, j’apporte leur
pizza toute garnie. »
Mangez 5 fruits et légumes par jour (tant pis pour les pesticides).
Or, le chocolat est un légume !
En voici la démonstration :
Le chocolat est tiré des fèves du cacaoyer.
Fève = légume.
Le sucre est tiré soit de la canne à sucre ou des betteraves sucrières.
Toutes les deux sont des plantes, dans la catégorie légumes.
Donc, le chocolat est un légume.
Les raisins, cerises, et écorces d’oranges enrobés de chocolat, sont
simplement des fruits enrobés de légume, donc mangez-en autant que vous avez
envie.
Encore mieux !
Les barres de chocolat contiennent aussi du lait. Le lait c’est bon pour
la santé », Donc les barres chocolatées sont bonnes pour la sante.
Et souvenez-vous :
« STRESSED » écrit à l’envers donne « DESSERTS »
Moralité ?
Prenez ça relaxe et dé-stressez-vous donc avec du chocolat pour dessert !
Germaine à son Jean-Marc.
« – Il me manque un peu de fric
cette semaine et je dois m’acheter un soutien-gorge, passe-moi 50 euros.
– Pourquoi faire ? Tu as
rien à y mettre dedans !
– Et alors toi, pourquoi
achètes-tu des slips ? »
« – Vous savez M. L’Accusé,
c’est un dossier assez « sale » que vous avez…
– J’en suis sûr M. Le
Juge, vous l’avez toujours entre les mains. »
Comment quitter un homme sans blesser son amour-propre ?
« Facile ! Dites-lui « Je
t’aime… Je veux t’épouser… Je veux des enfants de toi ! »
Ça marche toujours. »
Jean-Paul se plaint à Jean-Marc
que l’amour avec sa femme, c’est la routine, et qu’il s’ennuie.
Jean-Marc lui répond :
« – Sois créatif bon sang.
Essaie de rompre la monotonie. Pourquoi tu ne t’amuserais pas à jouer au
docteur avec elle pendant une heure ?
– Ouais, t’as raison, ça
à l’air pas mal ! Mais comment faire pour faire durer ça pendant une heure ?
– Ben, t’as qu’à la
laisser poireauter dans la salle d’attente pendant trois-quarts d’heure… »
Jean-Marc et Jean-Paul vont à la pêche…
Le premier apporte des vers, le second des mégots de cigarettes.
« – Eh, ducon, tu penses
attraper quoi avec tes mégots ?
– Du poisson fumé. »
Lorsque la NASA préparait le programme Apollo, les futurs astronautes
suivaient un entraînement dans un camp militaire situé sur une réserve indienne
Navajo.
Un jour, un des anciens de la tribu Navajo locale qui garde un troupeau de
moutons accompagné de son fils, s’approche des astronautes.
Le vieil homme qui ne parle que le Navajo leur pose une question et son
fils traduit :
« Que font ces gens dans leurs
vêtements si étranges ? »
Un des candidats astronautes lui répond qu’ils s’entraînent pour aller sur
la Lune.
Le vieil homme semble alors très excité, et demande si les astronautes
pouvaient emporter un message de sa part sur la Lune.
Voyant là une opportunité de faire une belle promotion, les conseillers en
communication de la NASA acceptent et ils apportent un magnétophone au vieil
homme.
Après que l’ancien ait enregistré son message, les conseillers en
communication de la NASA demandent au fils de traduire.
Il refusa.
Alors les gars de la NASA apportent la cassette jusqu’à la tribu des
Navajo.
Ils firent écouter la bande à un groupe et, aussitôt, ils éclatent tous de
rire.
Ils rient, rient, mais refusèrent de traduire.
La NASA a fait appel au traducteur officiel du gouvernement qui traduit le
message :
« Faites attention à ces gens ! Ils
sont venus pour voler votre terre. »
Un couple célèbre son 75ème anniversaire de mariage au
restaurant.
Soudainement, le vieil homme demande à sa femme :
« Chérie, ça m’a
tout le temps dérangé que notre septième enfant ne ressemble pas aux autres.
Nos années de mariage ont été vraiment géniales, mais je veux savoir… Est-ce
que cet enfant a un père différent ? »
La vieille femme détourne le regard, incapable de fixer les yeux de son
mari et elle lui dit finalement :
« Oui, je l’avoue… »
Le vieil homme se met à trembler, laisse couler une larme et demande :
« Je veux savoir qui est le
père de cet enfant. »
Finalement, sa femme lui répond :
« Toi… »
Le jeune Roi Arthur, dans une bataille, se fait capturer par le monarque
d’un royaume voisin.
« J’aurais pu te tuer, mais
comme tu es jeune, je te propose un marché. Je te laisse la vie sauve si tu
réussis à trouver la réponse à une question très difficile. »
Arthur aurait un an pour trouver la réponse. Si au bout d’un an, il
revenait avec la réponse, alors il serait libre, sinon, le monarque le tuerait.
La question ? Que veulent réellement les femmes ?
Une telle question rendrait perplexe n’importe quel homme d’expérience,
mais pour le jeune roi, la réponse paraissait impossible à trouver.
Arthur accepte malgré tout la proposition et promet de revenir dans un an
avec la réponse à cette difficile question.
Il retourne dans son royaume et interroge tous ses sujets : La princesse,
les prostituées, les prêtres, les sages, les courtisans, les soldats.
Personne ne peut lui répondre.
On lui conseille de consulter une vieille sorcière qui, seule, pourrait
connaître la réponse, mais le prix est élevé. La sorcière connaît sa valeur et
exige beaucoup d’argent qu’il n’a pas.
Le temps passe, Arthur n’a plus le choix et il consulte la sorcière.
Elle accepte de répondre à sa question, à la condition qu’il lui accorde
d’épouser Galaad, fils de Lancelot du Lac, un des plus nobles des chevaliers de
la Table Ronde, et un ami parmi les plus chers.
Arthur est horrifié : La sorcière est bossue et hideuse, elle n’a plus
qu’une dent, sent l’eau croupie et émet des bruits obscènes.
C’est la créature la plus répugnante qu’il ait jamais rencontrée.
Il refuse d’imposer une telle ignominie à son ami.
Galaad, en apprenant le prix proposé par la sorcière, affirme à Arthur
qu’aucun sacrifice n’est trop grand pour préserver la vie de son roi et
l’existence de la Table Ronde.
La sorcière approche de l’oreille d’Arthur…
« Ce qu’une femme veut
réellement, c’est de pouvoir être maîtresse de sa destinée. »
Tout le monde sut alors que la sorcière venait de dévoiler une profonde
vérité et que la vie d’Arthur était sauve.
Et ainsi en fut-il.
Le monarque voisin épargna la vie d’Arthur et lui redonna sa liberté.
Au mariage, Arthur est déchiré entre le soulagement et le désespoir.
Autant Galaad est parfait, gentil et courtois, autant la vieille sorcière est dégueulasse.
La nuit de noce approche : Galaad, prêt pour une nuit d’horreur entre dans
la chambre.
Surprise !
Allongée sur le lit, c’est la plus belle femme du monde qui l’attend.
« – Qu’est-ce qui se passe ?
Qui es-tu ?
– Comme tu as été gentil
et généreux avec moi quand j’étais la vieille sorcière, je serai tantôt
répugnante, tantôt créature de rêve. À toi de choisir comment tu me veux le
jour et la nuit. »
Galaad réfléchit…
Durant le jour, une femme ravissante à montrer à ses amis mais la nuit,
dans l’intimité de sa maison, un enfer. Ou bien l’inverse, un monstre le jour
et un pétard la nuit.
Quel serait votre choix ?
Le noble Galaad répond quant à lui qu’il lui laisse le choix.
À ces mots, elle lui annonce qu’elle sera toujours une ravissante jeune
femme car il l’avait respectée et laissée prendre en main son propre destin…
Morale de cette histoire ?
Peu importe que votre femme soit jolie ou laide, à l’intérieur, c’est
toujours une sorcière !
Il y a quelques années Jean-Marc était
assis dans la salle d’attente de la maternité, alors que sa femme, la
délicieuse Germaine était en train de se prendre une perfusion d’ocytocine
administrée dans le but d’accélérer son travail.
Il attendait là, en compagnie de plusieurs autres maris, lorsque la
sage-femme est sortie.
Elle a dit à un homme assis en face de lui :
« – Félicitations monsieur,
vous êtes l’heureux papa de jumelles !
– Ça par exemple ! Je
travaille justement pour un fabriquant d’optique de précision et ma spécialité,
ce sont les jumelles ! »
Environ une heure plus tard, la sage-femme refait irruption dans la salle
d’attente et annonce que Mme Dupont vient de mettre au monde des triplets, 3
petits garçons.
« Eh, qu’est-ce que vous dites
de ça ? J’ai 3 petits mecs et je travaille chez 3M ! »
Lorsque la sage-femme apparaît la fois suivante, elle annonce à un
troisième père que sa femme vient juste de donner naissance à des quadruplés.
« Voilà quelque chose de
vraiment singulier ! » s’écrie l’heureux papa. « Il se trouve justement que je travaille à
l’hôtel du Trèfle à 4 feuilles ! »
Arrivé à ce point, le monsieur assis à côté de Jean-Marc se met à
suffoquer et à s’étrangler. Il se lève et desserre à la hâte son nœud de cravate, cherchant à reprendre sa respiration.
Jean-Marc lui demande si tout va bien, et il répond :
« Je pense que j’ai besoin
d’aller prendre l’air ! Vous comprenez, je suis directeur de casting pour la
revue Ali Baba et les 40 voleurs… »
Un couple entre dans une pharmacie et le Monsieur demande :
« Hum, voilà… J’aimerais savoir
combien coûte (baissant la voix) une
pilule de Viagra… »
Le pharmacien :
« C’est 60 euros, monsieur. »
L’homme :
« Quoi ! Mais c’est bien trop
cher ! »
Alors la femme du type ajoute :
« Comment ça trop cher ? 120
euros par an, c’est quand même pas la mer à boire ! »
Jean-Marc et Jean-Paul se font surprendre averse
intense alors qu’ils sont dans un bois, pêchant le long des berges du lac.
Ils courent jusqu’à leur voiture.
Une fois sur place, la pluie cesse.
Ils décident quand même de quitter l’endroit, de peur que l’averse ne
reprenne.
Ils boivent quelques bières pour se réchauffer et le chauffeur a le pied solide sur les gaz.
Soudain, le visage d’un vieux paysan ravagé par l’âge apparaît dans la
vitre du passager.
Il cogne doucement au carreau de la voiture.
Jean-Paul, assis du côté passager pousse un cri !
« AAAhhh ! Regarde ma fenêtre !
Y a la face d’un sorcier dans ma vitre ! »
Le vieil homme continue à cogner.
Les deux gars roulent toujours !
Est-ce que ce serait un fantôme ?
« Baisse la vitre et
demande-lui ce qu’il veut ! » crie Jean-Marc.
« – Qu’est-ce que vous voulez ?
– Vous n’auriez pas une
cigarette ?
– Il veut une cigarette !
– Dépêche-toi ! Donne-lui
en une ! »
Jean-Paul fouille nerveusement dans le paquet, les mains tremblantes, sort
une cigarette et la tend au vieil homme.
« Vite ! Accélère ! »
crie le passager en remontant sa vitre et en tremblant de peur.
Jean-Marc écrase le champignon.
Puis, une bonne dizaine de minutes plus tard, les deux copains se calment
et recommencent à rire.
« – Qu’est-ce que tu penses de
ça ?
– J’en sais rien… Je ne
comprends pas comment il pouvait être là, à côté de l’auto pendant qu’on
roulait… en tout cas, il est loin derrière. Allez ! On prend une autre bière. »
Soudain, encore une fois, « toc-toc-toc » dans la vitre… le vieil homme est
encore là, souriant.
« AAAAAAHHHHHH ! C’est encore
lui ! » crie Jean-Paul.
« Demande-lui ce qu’il veut
maintenant ! »
Jean-Paul baisse un peu sa vitre et demande au vieil homme ce qu’il veut.
« Auriez-vous du feu ? »
Jean-Paul sort son briquet et le donne au vieux.
« Allez ! ACCÉLÈRE ! »
éructe-t-il.
Le moteur hurle, la boue vole de partout, couvre le pare-brise.
Et la bière coule encore pour se remonter des émotions.
On s’amuse mais il y a beaucoup de nervosité dans l’air.
De l’inquiétude même.
Soudain… « toc toc toc » dans la vitre !
« Oh mon Dieu ! IL EST REVENU !
C’EST ENCORE LUI ! » s’écrie Jean-Paul affolé, livide.
« – Que voulez-vous ?
– Ben, peut-être bien que
je pourrais vous aider à sortir de ce trou de boue ? »
Ah oui, la
petite devinette de la semaine.
Dans une ville
comme Calvi (Balagne-Corsica-Bella-Tchi-Tchi) il y a quelques 3.000 habitants
(en comptant les légionnaires du 2ème REP) et 15.000 l’été (en
comptant tous les campeurs).
Toutefois, il
n’y a pas plus de 1.000 abonnés téléphoniques (en comptant seulement les lignes
« fixes ») et la moitié environ sont sur liste-rouge.
Si vous
appelez 100 de ces numéros au hasard, combien de personne aurez-vous en ligne ?
Bonne fin de
semaine à toutes et à tous !
I3
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire