Les
enfants sont alignés…
… dans la cafétéria d’une école primaire catholique, pour le déjeuner.
Au bout de la table, il y a un grand plateau de pommes.
La religieuse aura fait une note qu’elle a affichée sur le plateau de
pomme :
« Prenez une seule pomme. Dieu nous
regarde. »
Un peu plus loin, à l’autre bout de la table, il y a un grand plateau de
biscuits aux pépites de chocolat.
Un enfant écrit une note :
« Prenez tout ce que vous voulez.
Dieu regarde les pommes. »
Oui, je sais, elle n’est même pas drôle…
La vieille baronne Dure de Lafeuille est d’un snobisme exécrable.
Un soir, pendant le dîner, elle appelle sa cuisinière :
« – Dites-moi Marguerite,
qu’est-ce que c’est que ce plat que vous nous servez ?
– C’est de la langue de bœuf,
madame la baronne.
– Comment ? De la langue !
Mais vous n’y pensez pas. Comment osez-vous me servir quelque chose qui
provient de la bouche d’une vache ?
– Très bien, madame la
baronne. Préférez-vous des œufs ? »
Pensée du philosophe chinois Chang Ying Yue :
« Quellu chì, in u ghjornu…
hè
attivu cum’è abella,
forti
com’è un toru,
travagliu
cum’è un cavallu,
E
quale, in a sera, hè mortu cum’è un cane,
bisognu
di cunsultà u veterariu…
hè
assai prubabile chì hè un sceccu. »
C’est rapporté par
Dùmé...
Et ça veut dire :
« Celui qui, tout au long de la
journée…
est actif comme une
abeille,
fort comme un taureau,
travaille comme un
cheval,
et qui le soir venu, est
crevé comme un chien,
devrait consulter un
vétérinaire…
il est fort probable que
ce soit un âne. »
Un vieux fermier se rend à pied au village voisin, afin d’acheter quelques
fournitures.
Il s’arrête d’abord chez le quincailler et achète un seau et une enclume.
Puis il s’arrête chez un marchand de volailles et prend deux poulets et
une oie.
Comme il se demande comment il va transporter tout cela, le marchand de
volailles le conseille :
« Mettez l’enclume dans le
seau, que vous porterez d’une main. Mettez un poulet sous chaque bras, et
portez l’oie de l’autre main. »
Reprenant son chemin, le fermier rencontre une jeune fille plantureuse, à
la poitrine opulente.
Visiblement perdue, celle-ci lui demande son chemin.
Comme l’endroit où elle doit se rendre n’est pas loin de chez lui, le
vieux fermier lui fait une proposition :
« Si vous voulez, je vous
accompagne. Nous allons prendre cette petite allée. C’est un raccourci qui nous
fera gagner une demi-heure. »
La jeune fille s’inquiète alors :
« – Comment être sûre qu’une
fois dans l’allée, vous n’allez pas me sauter dessus, me déshabiller et me
violer ?
– Mais comment voulez-vous
que je fasse ? Vous avez vu comme je suis chargé ?
– C’est pourtant simple », lui dit la jeune fille. « Posez l’oie par terre, recouvrez la avec le
seau, posez l’enclume sur le seau et moi, pendant ce temps, je tiendrai les
poulets… »
C’est le club du troisième âge du Trifouilly-les-bains-de-pieds qui a proposé
un petit voyage organisé à ses membres.
Après quelques heures de trajet, le chauffeur du bus fait descendre tout
le monde pour la visite de l’abbaye de Saint-Cucufa.
Alors que tout le monde est descendu, une mamie vient faire une confidence
à l’oreille du chauffeur :
« Monsieur, je pense avoir été
victime d’une agression sexuelle tout à l’heure dans ce bus… »
Le chauffeur, sans vouloir mettre en doute ses dires, reste tout de même
dubitatif. Il lui promet néanmoins de la surveiller afin que cela ne se
reproduise pas.
À midi, alors que le bus s’était arrêté pour le déjeuner, une deuxième
vieille dame va trouver le chauffeur et lui confie :
« Je viens d’être victime d’une
agression sexuelle ! »
Cette fois, le chauffeur commence à considérer avec plus d’attention les
propos des deux vieilles.
Il inspecte les travées à la recherche du pervers.
Et il tombe sur un petit-vieux qui est là, à quatre pattes entre les
sièges.
Il l’empoigne par la veste et lui demande :
« Bonjour monsieur, est-ce que
je peux vous aider ? »
Le vieux le regarde et il lui répond :
« Pour sûr que tu peux m’aider
fiston ! J’ai perdu ma moumoute et j’essaie de la retrouver. Par deux fois, je
pensais avoir mis la main dessus, mais les 2 avaient la raie au milieu, alors
que la mienne a la raie sur le côté… »
Dans son bain le petit Jean-Marc,
trois ans, examine ses testicules.
« – Maman »
demande-t-il, « c’est mon cerveau ?
– Pas encore », répond-elle.
Le petit Jean-Marc – même âge –
est juchée en équilibre sur la tête de sa copine, tous les deux tout nus :
« – Bon, j’ai grimpé sur toi.
Mais dis-moi quand on arrive au 7ème ciel ?
– Aucune idée, » répond la gamine… « Mais je commence à comprendre pourquoi maman
a si souvent mal à la tête »
Excédée par les parents d’élève d’une école publique qui voulaient que les
notes de passage de leurs enfants (qui n’avaient pas réussi leur session)
soient changées même si les enfants absents 15-30 fois pendant le semestre
n’avaient pas complété assez de travail scolaire pour passer, la concierge a
changé la bande son du répondeur.
Désormais, on peut entendre le message suivant :
« Bonjour, vous êtes en
relation avec le service de messagerie téléphonique de l’école élémentaire de la
commune de « Trifouillis-les-Oies ».
Pour mieux vous aider à
joindre le membre du personnel que vous désirez contacter, choisissez une des options
suivantes :
Pour mentir sur la raison
de l’absence de votre enfant – Appuyez sur 1 ;
Pour expliquer pourquoi
votre enfant n’a pas fait ses devoirs – Appuyez sur 2 ;
Pour vous plaindre de
notre travail – Appuyez sur 3 ;
Pour injurier les
professeurs – Appuyez sur 4 ;
Pour nous demander
pourquoi vous n’avez pas reçu l’information qui était incluse dans nos lettres
d’invitation ainsi que dans les multiples dépliants que nous vous avons
envoyées – Appuyez sur 5 ;
Si vous désirez que nous
élevions votre enfant – Appuyez sur 6 ;
Si vous désirez joindre,
toucher ou frapper quelqu’un – Appuyez sur 7 ;
Pour demander qu’on
change le professeur de votre enfant pour la troisième fois cette année –
Appuyez sur 8 ;
Pour vous plaindre sur le
transport en autobus scolaire – Appuyez sur 9 ;
Pour vous plaindre au
sujet des repas offerts à l’école – Appuyez sur 0.
Si vous avez réalisé que
nous vivons dans un monde réel et que votre enfant doit être tenu responsable
de son comportement, travail en classe et devoirs et que ce n’est pas la faute
du professeur si votre enfant ne fait pas d’efforts, raccrochez et passez une
belle journée. »
Plébiscite du personnel de l’école…
L’instituteur : « Nous venons
d’étudier les homonymes et pour voir si vous avez bien compris la leçon, vous
allez m’inventer chacun une phrase avec le mot « somme » au féminin, et une
autre phrase avec le mot « somme », mais cette fois-ci au masculin. »
Réponses de Nathalie :
« – Dans le problème, nous
calculons la somme des dépenses. Après le déjeuner, mon grand-papa fait tous
les jours un petit somme.
– C’est très bien ! À
toi, Jean-Marc, quelles sont tes
phrases ?
– Phrase au féminin : Nous
sommes des filles, et phrase au masculin : Nous sommes des garçons. »
La directrice de l’école primaire, aperçoit Jean-Marc et d’autres enfants qui se font des grimaces pendant la
récréation.
Elle s’approche d’eux, et sur son ton habituel très autoritaire, elle leur
dit :
« Tu vois Jean-Marc, quand
j’étais petite, on me disait toujours que si continuais à faire des grimaces,
je resterais comme ça ! »
Alors Jean-Marc lui répond, très poliment :
« Eh bien vous ne pourrez pas
dire que vous n’avez pas été prévenue, Madame… »
Dans le bus qui mène à l’école, Jean-Marc
ne cesse de renifler.
Une dame, agacée, lui demande :
« – Dis-moi, mon petit, tu n’as
pas un mouchoir ?
– Si, mais maman m’a
recommandé de bien le garder dans ma poche et de ne pas le prêter ! »
Jean-Marc, devenu enfin adulte (enfin…) vient
tout juste de terminer la lecture du CORAN et le rôle de la femme selon la loi
coranique.
Il arrive en toute hâte dans la cuisine, marche vers Germaine, sa femme
et, tout en lui pointant le doigt à la figure, lui dit :
« – À partir de maintenant, je
veux que tu saches que JE suis l’homme de la maison et ma parole est LOI.
Je veux que tu me
prépares un repas gourmet et quand j’aurai terminé de manger mon repas, je
m’attends à un somptueux dessert.
Ensuite, après le souper,
tu vas me faire couler un bon bain afin que je puisse relaxer et quand j’en
aurai terminé avec mon bain, devine qui va me peigner et m’habiller ?
– L’EMBAUMEUR ! »
Ce matin-là, Jean-Marc est
opéré pour un acte de chirurgie mineure.
L’après-midi, il reçoit la visite Jean-Paul, son meilleur copain.
Ce dernier est étourdi par le nombre d’infirmières qui entrent et sortent
sans cesse pour remettre l’oreiller en forme, refaire le lit, prendre la
température, apporter un verre d’eau, faire un massage ou une friction.
« – C’est incroyable tout ce
remue-ménage autour de ta petite personne ?
– Ah ça… Ben, les filles
ont créé une sorte de fan club quand elles ont appris qu’il avait fallu 36
points de suture pour me faire une circoncision ! »
Jean-Gérard a eu un accident terrible et son «membre viril », bien qu’encore
à peu près fonctionnel, a été mutilé et déchiré.
Son médecin lui assure qu’un bon chirurgien pourrait lui redonner une
apparence à peu près normale.
Cependant, comme il s’agit d’une intervention esthétique, l’assurance-santé
ne couvrira pas les frais de la chirurgie : Tout sera à sa charge.
Le chirurgien consulté, après avoir examiné la « petite-chose »
meurtrie lui annonce le tarif envisageable :
« 3.500 € pour le « petit
format », 6.500 € pour le «format moyen » et 14.000 € pour le « grand format ». »
Jean-Gérard penche naturellement pour un « grand format » mais décide d’en
parler avec son épouse avant de prendre une décision.
Il lui parle donc au téléphone et lui explique les options.
Le médecin revient dans la salle d’examen et trouve son patient bien
déprimé.
« Alors, vous avez téléphoné à votre
épouse ? De quel format avez-vous décidé ? » demande le chirurgien.
« Aucun, elle préfère rénover la
cuisine ».
Ça se passe dans un jet. L’avion a des problèmes de moteur et il est clair
qu’il va falloir procéder à un atterrissage d’urgence.
Après avoir trouvé un aéroport de dégagement et manœuvré pour s’aligner
sur l’axe de la piste, le commandant de bord prévient les passagers en leur
demandant de rester bien calés sur leur siège, ceintures attachées et la tête
calée entre les genoux.
Deux minutes après ce message, le pilote demande à l’hôtesse si ses
consignes sont respectées, et elle lui répond :
« Oui tout le monde est prêt
pour l’atterrissage… Il y a juste cet avocat qui est en train de passer dans
les rangs en distribuant des cartes de visite. »
Le fils de Jean-Marc garçon
pose la question suivante à son père :
« – Dis-moi papa. Pour qu’elle
raison as-tu épousé maman ?
– Ah, toi aussi tu te le
demandes ! »
Le même gamin, à la messe du Vendredi-saint, où il accompagne Germaine, sa
mère, une petite prière marmonnée entre ses dents :
« Seigneur,
Faites en sorte que cette
année nous ayons des vêtements pour habiller les pauvres dames qui sont dans
l’ordinateur de papa.
Ainsi soit-il ! »
Une petite dernière, un peu « vacharde » :
Jean-Marc et Jean-Paul sont assis sur la
Promenade des Anglais (Nice – Alpes-Maritimes) au soleil du printemps, pendant
que leurs épouses sont à la messe des rameaux…
Ils matent les touristes en connaisseurs-experts, tout en vidant
consciencieusement leurs canettes de bière à petites-lampées.
« – Tiens ! Tu vois cette femme
là-bas ?
– Oui, oui, elle est pas
mal !
– Oh ! Attention ! Elle
s’habille comme si elle avait 16 ans. Elle parle comme si elle avait 17 ans et
elle se maquille comme si elle avait 20 ans.
– Et alors ?
– Alors ? Il faut
faire le total ! »
Bon week-end Pascal à toutes et à tous…
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