Ça ce commémore aussi en blague !
Que diable, on
est vendredi ou non ?
Et les
traditions, ça se respectent : Les semaines sont assez difficiles comme
ça, alors on a bien le droit d’en rire au bout du bout.
Même un 8 mai !
Et puis cette
année, nos bidasses ont réussi à obtenir quelques milliards de plus que prévu.
Après le
financement de la mise à niveau du Rafale, la sanctuarisation de la force de
dissuasion (malgré l’échec du tir de 2012), les sous pour le grand-carénage du
CDG, la suspension des dissolutions de régiments, la LMD, les budgets pour
mener la cyberguerre contre le terrorisme (ce qui n’a pas manqué de faire
sauter les plates-formes de TV5…) et j’en passe, ça se fête, n’est-ce pas ?
Alors allons-y :
Un soldat
américain, à la fin de la dernière guerre, sirote son coca à la terrasse d’un
café sur les champs Élysées. Passe un français qui voit une fourmi qui va se
noyer dans le verre de l’américain.
Le français
pointe le verre du doigt et dit à l’américain : « Fourmi … fourmi »
L’américain :
« Naoo fooor miiii »
Le français :
« Oui c’est ça, fourmi ! »
Et l’américain
: « No for me ! »
Excédé il se
lève et colle une châtaigne au français.
Le garçon de
café qui parle un peu l’anglais explique à l’américain ce qui s’est passé.
Celui-ci est
vraiment navré.
Le lendemain
il sirote de nouveau son coca à la terrasse du bar. Il aperçoit le français qui
repasse sur les champs Élysées.
Il veut
absolument lui payer à boire pour s’excuser.
Il appelle le
français : « HELLO, COME HERE, COME HERE !
»
Et le français
: « Comme hier ? Ça va pas non ! »
Un jeune
éphèbe, tout mignon, arrive en tortillant du cul au bureau de recrutement des
parachutistes.
« Bonzour, monsieur l'officier, ze voudrais
m'engager chez vous et avoir un zolie béret rouge. »
Le capitaine
le toise, et lui lance :
« – Dis-moi, p’tit gars, tu serais capable de
tuer un homme ?
– Oh, ze pense que oui, mais en plusieurs nuits ! »
Un militaire
aborde une prostituée.
« – Dites-moi… Est-ce que pour 100 euros vous
accepteriez ma compagnie pour la nuit ?
– Oh, eh bien oui, bien sûr, sans problème ! »
Alors le
soldat se retourne et crie :
« COMPAGNIE ! EN AVANT, MARCHE ! »
Un dictateur
passe ses troupes en revue. Tout à coup, il entend quelqu'un éternuer.
« Qui a éternué ? » demande-t-il.
Silence…
« Je répète : Qui a éternué ? »
Silence…
« Bon, tout le premier rang en prison ! Qui a
éternué ? »
Silence…
« Les cinq premiers rangs en prison ! Qui a
éternué ? »
On entend
alors une petite voix :
« – C'est moi, votre Excellence !
– À vos souhaits ! »
Le commandant
d'une compagnie de parachutistes avertit les bleus :
« Le règlement m'oblige à vous signaler
qu'ici, la proportion des accidents mortels est de un pour mille…
De toute façon cela ne vous concerne pas puisque vous
n’êtes que trente ! »
Pendant la
guerre, un allemand rentre en enfonçant la porte d'une maison, se précipite
sauvagement dans la pièce, casse tout, et aperçoit, dans le grenier, une
adolescente, très belle, et sa grand-mère apeurées.
Alors il se
rue sur la jeune fille et abuse d'elle violemment.
Puis, il se
dirige vers la porte pour sortir.
Alors, la
grand-mère lui crie :
« Eh ! Pas si vite ! C'est la guerre pour tout
le monde, non ? »
« Une petite unité de temps ? La milliseconde. »
« Une petite unité de longueur ? Le millimètre. »
« Une petite unité d'intelligence ? Le
militaire ! »
Pendant la première
guerre mondiale, il y a un type, rusé comme tout, qui a trouvé comment tuer facilement
les boches : Il suffit de gueuler : « C'est
toi, Franz ? » (parce que beaucoup d'Allemands s'appellent Franz) et à
chaque fois un Allemand se lève et fait « Ja ! » et il se fait descendre.
Alors, au bout
d'une semaine, les Allemands se réunissent et leur chef dit :
« Il faudrait arrêter de se faire avoir par
ces putains de Français ! On va jouer à leur propre jeu… »
Un soldat
allemand commence à crier : « Marcel, t'es là ? » (parce que beaucoup
de français s’appellent Marcel), et le Français lui répond : « Oui, c'est moi. Pourquoi, c'est toi Franz ? »
Alors,
l'Allemand se lève et fait : « Ja ! »
Deux
militaires à l'entraînement :
« – Pourquoi t'es-tu engagé dans l'armée…
– Parce que je suis célibataire et j'aime la guerre…
Et toi ?
– Moi, je suis marié et je voulais la paix ! »
C'est un gendarme
qui fait signe à un automobiliste de s'arrêter et qui lui dit en le saluant
réglementairement :
« Bonjour, gendarmerie nationale. »
Et Marcel
lui répond :
« T'avais
qu'à travailler à l'école ! »
Sur le front,
c'est la nuit. Les déflagrations se succèdent, les cadavres jonchent le sol.
Un obus vient
d'exploser près du soldat Mitchell, envoyant en l'air des tripes et des
morceaux de membres sanglants de ses camarades.
Pris de
panique, Mitchell s'enfuit.
Il court,
court, puis soudain, dans l'obscurité la plus totale, il heurte un militaire
campé fièrement sur ses deux jambes.
« – Pardon, mon lieutenant ! » s'exclame
Mitchell.
« – Je ne suis pas lieutenant, soldat !
– Excusez-moi, mon commandant, »
bafouille Mitchell.
« – Je ne suis pas commandant, je suis général
!
– Ah ? » dit
Mitchell. « Je suis déjà si loin du
front ? »
« Qu'est-ce que deux officiers intelligents
dans la rue ?
Deux personnes qui vont au bal masqué. »
Question de
l'adjudant à ses recrues au garde-à-vous :
« Qu'est-ce qui bout à 90 degrés ? »
Silence
général.
« Ben c'est l'eau, bande de nazes ! »
Un bidasse
agrégé de physique et préposé au nettoyage des chiottes reprend alors l'adjudant
:
« Mon Adjudant, si je peux me permettre, vous
faites erreur, mon adjudant. L'eau bout à cent degrés. »
L'adjudant, se
frappant le front :
« Ah oui ! Que je suis bête ! C'est l'angle
droit qui bout à 90 degrés. »
À l'armée,
pendant les classes, le sergent fait passer aux recrues un test de lecture.
C'est au tour de
Luigi :
« – Le pe..........tit laaaaaaaaaaaapin
mar...cheux…
– Soldat, vous êtes con, plus con qu'un wagon !
– Comment ça sergent ?
– Parce qu'un wagon lit ! »
(Là, tout le régiment rit du gars).
Un peu plus
tard, à la fin des exercices, le sergent lance :
« Rompez ! »
Tout le monde
rompt, sauf Luigi.
« – Soldat ! J'ai dit rompez
– Je ne peux pas, Sergent !
– Et pourquoi
donc ?
– Parce qu'un wagon reste au rang ! »
Dans une
région ravagée par le choléra, un officier du service de santé des armées
visite une caserne.
Il interroge
un sous-officier :
« – Quelles précautions observez-vous pour
rendre l'eau potable ?
– Eh bien, d'abord nous la filtrons.
– Très bien. Et après ?
– Nous la faisons bouillir.
– Parfait. Et ensuite ?
– Pour ne courir aucun risque, nous buvons de la bière
! »
Un bataillon
de paras revient d'une mission de 6 mois en Afrique. Ils sont tous félicités,
un par un, par le général qui a un petit mot ou une question pour chacun.
« – Avez-vous eu peur ?
– Non mon général, des paras comme nous n'ont peur de
rien. »
Il poursuit :
« – Et
vous qu'auriez-vous fait si votre parachute ne s'était pas ouvert ?
– Je serais descendu en chercher un autre, mon
général, parce des paras comme nous ne vont pas se faire emmerder par un
parachute ! »
Il passe ainsi
tous les gars en revue en y allant de sa petite question.
Arrivé à
l'avant dernier para il est à cours d'idée.
Ce para mesure
2 m et est drôlement bien baraqué.
Il finit par
lui demander :
« – Faisiez-vous l'amour de temps en temps ?
– 5 à 6 fois par jour mon général. C'est normal mon
général. Des paras comme nous ont la santé ! »
Et arrivé au
denier, le petit gringalet du groupe, le général pose la même question.
Le para lui
répond :
« 5 à 6 fois sur les 6 mois mon général. »
Le général,
très surpris lui dit son étonnement.
« – Pour un para vous m'étonnez.
– Je comprends votre étonnement, mon général, pour un
para normal c'est peu. Mais pour l'aumônier, c'est pas mal. »
Et puis
quelques citations avant de se quitter :
« Pour marcher au pas d'une musique militaire,
il n'y a pas besoin de cerveau. Seule la moelle épinière suffit. »
(Albert
Einstein)
« Pourquoi les généraux sont-ils si bêtes ?
Parce qu'on les choisit parmi les colonels. »
(Anatole
France.)
« La justice militaire est à la justice ce que
la musique militaire est à la musique »
(Clémenceau)
« À tout problème il y a 2 solutions :
La bonne et celle de l'École de Guerre. »
(Foch)
Bon week-end à
toutes et à tous.
N’oubliez pas
que nous commémorons aujourd’hui la fin définitive d’une guerre mondiale – au
moins en Europe – particulièrement meurtrière !
Ça vaut bien d’essayer
d’en rire, en contre-point de la sauvagerie, l’inhumanité totale, que l’espèce
humaine est capable de générer contre elle-même.
Merci aux alliés, résistants, soldats et autres qui ont su rendre à mon pays sa dignité.
I3
Approprié !...
RépondreSupprimerJ’ai repris sur Alerte éthique :
http://euroclippers.typepad.fr/alerte_ethique/2015/05/fin-des-hostilit%C3%A9s-en-europe-il-y-a-70-ans-de-%C3%A7a.html
Arrêtez, "Ami-râle" : C'est juste "Histoire d'en rire", rien de plus !
SupprimerMoi, je peux dékonner, à mon âge et en exil, je ne risque pas grand-chose...
Mais vous, il faut rester sérieux.
Notez que justement aussi, mon "pote" Mitchell, il est en train de décoder les messages Kameulf laissés par les Ovnis du Bronx de la semaine dernière...
J'espère pouvoir vous les mettre en ligne la semaine prochaine !
Bonne journée !
I-Cube