Un effort budgétaire « considérable » pour l’armée !
Ne rigolez pas, SVP ! Simplement, tentez de vous
souvenir des injonctions, à l’occasion des débats des primaires et de la
campagne pour l’élection de mai 2012, où il était question des effectifs des
fonctions publiques de mon pays (celui que j’aime tant…).
Après le « non remplacement d’un fonctionnaire
sur deux partant à la retraite » cher à notre « ex-Ô combien vénéré
Président » en la personne de « Bling-bling » qui n’a d’ailleurs
pas pu contenir les effectifs visés durant 5 ans (et puis quoi ? Le
service des pensions de ces retraités-là était pris en charge par l’impôt,
qu’ils fonctionnent « bossent » ou non), on en était venu à un
gel des effectifs avec « François III » déguisé en « moi, président, je » à la fraise
des bois.
Promis, craché, juré !
Et puis dans la foulée, le « capitaine de
pédalo » nous a annoncé la création de 60.000 postes pour « les
Ducs-à-Sion » nationale, sur la mandature, et encore une sucée
supplémentaire pour les juges et les flics : 7.000.
Alors on avait fait tourné Excel et la calculette
Windows, pour en conclure qu’on allait passer de « un sur deux » à
presque « deux sur trois » dans toutes les autres missions que l’État
s’arroge d’autorité.
Et en premier lieu, les armées dont le
« format » aura à être réduit de 34.000 biffins, et puis on a songé à
quelques centaines ici et là, en commençant par la diplomatie, « les
agences » inutiles, etc.
Las, les effectifs de la fonction publique ont
augmenté dès 2013. Et pas qu’un peu : Rien que 87.000 cette
année-là !
À la fin de l'année 2013 (on n’a pas encore fini de
compter pour 2014), 5,6 millions de salariés travaillaient dans la fonction
publique, dont 23 % étaient à temps partiel. Et après, on s’étonne des 6,5 millions de
chômeurs dans le pays…
Un fonctionnaire de plus, c’est 1,16 chômeur de plus,
désormais…
Tant qu’on n’aura pas compris que le chômeur coûte et
ne rapporte rien, tout comme le fonctionnaire (3,5 millions d'euro durant toute sa carrière),
on n’aura jamais compris que ce n’est pas avec les salaires et cotisations des
fonctionnaires qu’on pourra payer leur salaire net !
Et on continuera à plonger les comptes publics dans le
rouge…
Sur un an, la progression du nombre de fonctionnaires
aura atteint 1,5 % !
Quoique cette hausse s'expliquerait pour moitié par
l'explosion du nombre de contrats aidés (justement avec du bon impôt racketté
aux « force vives »), créés par le gouvernement pour lutter contre la
hausse du chômage.
Le cercle infernal.
Et si l'on excepte les 185.000 bénéficiaires de
contrats aidés que comptait le pays à la fin 2013, alors les effectifs de la
fonction publique n'ont grimpé « que » de 0,7 %, mais ont grimpé quand même
malgré « le gel » promis.
Et de noter que la hausse est supérieure dans la
fonction publique hospitalière, dont les effectifs se sont accrus de 1,4 % en
2013, alors que l’emploi aurait malgré tout diminué dans les ministères.
Effectivement, celui de la Défense a perdu 7.000
militaires en 2013. Seul le ministère de « les Ducs-à-Sion »
nationale a vu ses effectifs progresser fortement : 11.000 postes
supplémentaires ont été créés en 2013.
En revanche, si l'on s'intéresse à l'évolution du
nombre de fonctionnaires sur le long terme, alors c'est dans la fonction « pue-blique »
territoriale que les effectifs ont le plus progressé : Depuis 2000, ils
ont augmenté de 550.000 environ, soit une croissance moyenne des effectifs de
2,9 % par an !
Ceci étant, malgré les pressions de Bruxelles et de
« l’Eurogroupe » sommant mon pays (celui que j’aime tant…) et son
gouvernement d’autistes de faire enfin des réformes structurelles afin de
réduire les déficits, là, la semaine dernière, le chef de l’État a conforté le
budget 2015 de la défense et décidé une rallonge de 3,8 milliards jusqu’à la
fin de la loi de programmation militaire en 2019 : L’armée a ainsi obtenu
de sauver 18.500 postes sur les 25.800 restant à supprimer.
Un effort « considérable », donc, pour tirer
tous les enseignements des attentats de janvier et du très haut niveau
de déploiement des forces en opération extérieure, nous
en dit-on, doigt sur la couture de la « pensée unique ».
Au total, ce sont 6 milliards d’euros de crédits supplémentaires que
le chef de l’État a décidé d’allouer à la
grande muette !
Rappelons que les 31,4 milliards prévus en 2015
seraient bien au rendez-vous.
Mais, et l’inflexion est notable, tout proviendrait de
crédits budgétaires en bonne et due forme : « Le ministère de la Défense est sûr de pouvoir
disposer de ces crédits ».
Autrement dit, adieu – au moins pour cette année – au très controversé projet de
location de matériel à l’étude depuis plus de six mois.
Défendu par la Défense, faute de mieux, mais combattu
par « Michou-Pas-Sain », pour ses effets nocifs sur l’endettement, ce
projet devait permettre de récupérer 2,2 milliards initialement attendus de la
cession des fréquences de la TNT, la télévision numérique terrestre qui ne sera
pas pour tout de suite.
Puis l’idée est devenue de créer une ou deux sociétés
spéciales (« SPV » en anglais),
capitalisées grâce à la cession par l’État de
quelques participations publiques, et qui auraient acheté à l’armée des matériels pour les
lui relouer aussitôt, avion de transport A 400M ou frégate multi-missions.
D’où une rentrée d’argent frais immédiate.
Le retour au « classicisme » ne concerne d’ailleurs pas
que 2015, puisque toutes les recettes à caractère
exceptionnel prévues par la suite de la loi de programmation, soit 3,7
milliards environ, vont aussi être transformées en crédits budgétaires, sachant
de toutes les façons leur origine n’était pas connue…
Notez que moi je sais : Je vous
l’ai même écrit l’été. Tout un roman, long et complexe, à lire et surtout
à écrire, pour vous expliquer de quoi il retournait.
Ce que je n’avais pas précisé à l’époque (parce que ce
n’était pas encore voté), c’est que la loi rectificative de finances prévoyait
d’autoriser une rallonge de 13 milliards du « Grand-emprunt » de
« Bling-bling » (de 35 Md€ en 2010), alors même qu’à peine le tiers
seulement du premier avait pu être utilisé dans des « investissements
d’avenir »…
Vous vous souvenez de ça aussi ? Le duo de la
commission « Jupette/Roro-Card », qui devait gérer le premier
« pactole », s’est évanoui dans la nature et le silence des maladies
honteuses, tellement ça ne sentait « pas-bon » !
Deuxième annonce majeure : Pour financer la
prolongation dans la durée de l’opération Sentinelle – c’est-à-dire pouvoir
déployer 7.000 hommes affectés à la surveillance des points sensibles du
territoire – autant que pour poursuivre le haut niveau de déploiement des
troupes à l’extérieur (Sahel, Irak, Centrafrique…), ce sont 3,8 milliards
supplémentaires qui vont être alloués sur la période 2016 à 2019, en tenant
compte des économies dégagées sur l’inflation ou le prix du pétrole : 600
millions en 2016, 700 millions en 2017, 1 milliard en 2018 et 1,5 milliard en
2019, selon l’agence Reuters.
Et personne n’est une fois de plus rentré dans les détails,
se contentant de la déclaration que ces sommes recouvrent « pour beaucoup
des crédits de personnes et d’équipements ».
L’armée a fait ses comptes : Elle estime qu’il fait sauver
18.500 postes sur les 34.000 promis à la suppression dans la loi de
programmation militaire originelle pour mener à bien toutes les missions qu’on lui
assigne. Compte tenu de ce qui a déjà été fait, les effectifs de la grande
muette ne diminueront donc « que » de 7.300 postes d’ici à 2019.
D’ailleurs, « ils » embauchent, puisqu’ils
ont perdu 7.000 postes l’année dernière.
C’est un allégement majeur
de son plan social que paieront les « Gaulois-frénétiques ».
Les 3,8 milliards de crédits supplémentaires serviront
aussi à financer la maintenance des matériels, qui sont très éprouvés par les
Opex, mais aussi à en acquérir de nouveaux.
Là encore pas de détail, le chef de l’État évoquant
juste l’aéronautique, la cyberdéfense ou encore le renseignement. Les choses ne
vont pas traîner puisque la loi de programmation actualisée sera présentée au Conseil
des ministres du 20 mai : On en saura plus … plus tard !
Je rappelle à l’occasion que la grande muette avait
réussi le tour de force de « sanctuariser » les financements de la
dissuasion nucléaire (bé oui, malgré l’échec retentissant du tir d’un missile sous-marin
à tête nucléaire à la mi-2012), le grand carénage de Charles de Gaulle, la
remise à niveau de la flotte des Rafale, partiellement vendue à l’Égypte grâce
à deux prêts de mon pays et de l’Arabie-Saoudite (parce que bon, Morsi, il n’a
pas trop les moyens financiers), l’achat de nouveaux matériels, le
développement des effectifs (800 « spécialistes ») et matériels de la
cyberguerre, auxquels il faudra rajouter le rachat des Mistral des russes.
Notez également les lois de 2013, qui renforcent les
moyens d’espionnage de tous les citoyens, ce qui n’a pas empêché les attentats
de janvier 2015, et la toute nouvelle « loi renseignement » qui
légalise les pratiques illicites des services, vous rendant tous suspects.
Personnellement, j’en reste sur le kul.
Vous, naturellement, traumatisés par les attentats de
janvier dernier, par tous ces djihadistes qui foutent le camp en Syrie ou en
Irak, par tous ces fous de dieu qui auraient voulu faire sauter des églises à
« Ville-juif » (tout un programme, n’est-ce pas !) qui ne
doivent absolument aucunement d’avoir été déjoués grâce à ces nouveaux moyens,
vous applaudirez !
Même que, à droite, les réactions critiques n’ont pas
tardé.
Pour le député UMP de Paris « J’y-elfe-l’Amour »,
« le compte n’y est toujours
pas ». Ces 3,8
milliards d’euros de crédits
budgétaires supplémentaires, estime-t-il, « permettent de
financer soit la moindre déflation des effectifs, soit la poursuite des
programmes d’armement (...) mais
certainement pas les deux, ce qui aurait nécessité environ 4
milliards d’euros de plus sur la période. »
Il en veut encore : Il les aura, je n’en doute
pas.
Le député UMP de la Meuse met de son côté en avant le
caractère « plus évasif » quand il s’agit d’expliquer d’où va provenir l’argent promis.
Qualifiée de « sanctuarisation
de papier », la garantie
apportée au budget 2015 ne tient pas car, justifie-t-il, « les dépenses ont considérablement
augmenté par rapport aux prévisions à la suite des
attentats de janvier. Les armées devront se serrer la ceinture et sans doute
reporter l’acquisition d’équipements militaires. »
Tu
parles : Cause toujours, tiens donc.
Parce que
jusque-là, rien ne vous étonne de cette clique, plutôt antimilitariste de
naissance, parce que de « gôche-bien-pensante et pacifiste », qui en
va jusqu’à retirer son soutien aux alliés encore engagés en Afghanistan, qui
« va-t’en-guerre » partout où ça saigne, qui s’apprêtait à faire le
coup de feu en Syrie, contrainte à des efforts de restrictions budgétaires comme
jamais vu, et qui finalement claque du pognon à tout va pour nos « militareux » ?
Pas trop
schizophrénique à votre goût, là ?
N’y aurait-il
pas comme une contradiction effarante, existentielle et essentialiste, à un moment où
le pays aurait besoin de se ressourcer, de mobiliser tout le monde et exclusivement
en interne pour assumer les chocs de l’avenir-prochain, les moyens de la
croissance et de la lutte contre le chômage, élevée au rang de « priorité
des priorités » ?
En bref, ce n’est pas « normal ».
Et je dois vous dire que sans adhérer pour autant à un
quelconque complot de généraux ou de colonels qui resserrent toujours un peu
plus leur emprise sur le peuple de la Nation, mais tout autant sur « la
clique à François III », parvenant à lui faire boire jusqu’à la lie toutes
ses promesses électorales, me sidère.
Le « capitaine de pédalo », il est incapable
de dire « non » voire seulement de s’en tenir à ses
convictions-premières.
De la guimauve … à la « fraise des bois »,
rien de plus.
Absolument désolant !
Et il faut tendre l’oreille vers les propos de
« l’Ami-râle » et de quelques autres.
Je synthétise (je sais faire mieux que « l’homme
de la synthèse ») leurs pensées : « Ils sont tenus par les kouilles ».
Et s’ils tentent de desserrer l’étau autour des
« bijoux de famille », « ils » savent qu’ils vont se
prendre des Scuds atomiques en travers de la tronche…
Ils en auront été prévenus depuis la « Manif’
pour tous »… époque qui a été très chaude.
Les mêmes missiles d’ailleurs, promis à
« Déesse-khâ » par « Bling-bling » s’il s’engageait dans la
course à l’Élysée, dès 2011, souvenez-vous de ces propos-là aussi !
« Déesse-khâ » s’est « flambé »
tout seul à New-York : Les missiles sont restés dans leurs étuis.
Prêts à servir à n’importe quel moment…
Notez tout autant le rythme des « affaires » qui tend à s'accélérer, à peu près à l'encontre de toute le monde, hors les « kaka-zut-hack » et autre « phobiques-administratifs », toujours député et un « Bling-bling » qui se revoit déjà remettre le couvert malgré ses casseroles : Il sait de quoi il retourne, lui !
Indécent.
Maintenant, si vous avez d’autres explications, je
suis preneur, à condition que vous ne me resserviez-pas les sempiternels
discours sécuritaires abêtissant de la « presse aux ordres » et
complice des « grands commis de l’État », qu’ils portent ou non un
uniforme.
Parce que pour l’heure, pour tout vous dire, je n’en
vois pas d’autres.
Une belle synthèse reprise dans une note intitulée « Nos généraux sont géniaux » :
RépondreSupprimerhttp://www.alerte-ethique.fr/news/nos-generaux-sont-geniaux/
Avec le commentaire suivant :
Les généraux "aux manettes"…
Une situation effectivement invraisemblable…
L’effort budgétaire en faveur des armées va se traduire, comme l’a annoncé Michel Sapin, par "des économies sur le logement et la santé" !...
Une situation irréaliste et totalement en contradiction avec la philosophie socialiste et les aspirations du peuple de « gôche ».
Hollande a été élu sur un programme du « toujours plus de social » et voilà que le gouvernement fait passer la défense devant tous les autres ministères !...
Que se passe-t-il donc ?...
J’ai expliqué cette situation incohérente sur ce blog. C’est synthétisé dans l’expression : « Ils sont tenus par les kouilles » !...
Car « François III » et ses ministres sont directement confrontés à un gigantesque détournement de fonds publics (7 milliards d’euros) réalisé en 1991/92 au détriment de la défense et toujours soigneusement caché au public.
Une description du dossier est disponible dans plusieurs courriers dont celui du 16 janvier 2015 intitulé « Guerre du Golfe 1991 : lettre au Président de la République (VI) ».
Je reprends un extrait : « Par un courrier à Michel SAPIN du 15 décembre dernier, vous avez pris connaissance du fait que j’accuse François MITTERRAND, ancien président de la République, d’avoir dérobé, avec quelques complices, les fonds virés à la France par le Koweït, l’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes-Unis au titre des frais de guerre engagés lors de l’Opération « Tempête du Désert ».
Le montant détourné serait, en valeur actuelle, de 7 milliards d’euros, et même du double, d’après une source récente de la défense.
Vous trouverez, avec la présente, un exemplaire du livre « LES MILLIARDS DISPARUS DE LA DIVISION DAGUET », disponible sur Amazon, et qui détaille ce dossier ».
Voilà, tout est dit !...
J’ACCUSE DANS UN COURRIER A L’ELYSÉE UN PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE D’AVOIR DETOURNER DES MILLIARDS D’EUROS !...
ET RIEN NE SE PASSE !...
Zola, revient !...
Ils sont devenus fous, cinglés, corrompus, castrés !...
L’affaire Dreyfus est une petite rigolade à côté de ce qui se passe…
Avec ce type de courrier, et d’autres rédigés par Vincent et Atama, plus différentes autres actions, le président et le gouvernement sont "tenus".
Il suffit d’une fuite organisée par les militaires dans la presse et les médias pour porter un coup terriblement destructeur aux Soces, au PS, mais aussi aux institutions.
Et c’est là où le bât blesse.
Parce qu’il n’y a vraiment rien de prévu dans les partis politiques pour refonder la République et redonner le pouvoir aux citoyens.
SUITE
SupprimerSi le dossier sort dans le grand public c’est la « Chienlit » comme dirait le général de Gaulle !...
« La réforme, oui !... ; la chienlit, non !...» est la phrase que de Gaulle a prononcée, d'après le Premier ministre Georges Pompidou, répondant aux journalistes à la sortie d'un Conseil des ministres.
Dans le contexte des événements de Mai 1968, ce terme se voulait un propos fleuri pour qualifier la profusion débridée des événements et désordres, la montée du chaos.
Presque 50 ans après, l’Histoire se répète !...
Mais à l’envers…
Je me souviens bien.
En 1968, j’étais en Première C (Math et physique) au lycée de Dieppe et je n’oublierai jamais les cortèges dans les rues du port scandant « CRS SS » !...
C’est amusant, parce que maintenant, quand les CRS et les gendarmes arrivent, comme pour les attentats contre Charlie Hebdo, ils sont applaudis par la foule.
En fait, si on a droit à un Mai 2015, ou plus vraisemblablement à un Mai 2016, aussi violent, sinon plus, que celui de 1968, ce sera avec des aspirations à l’opposé de celles du peuple de gôche qui manifestait pour virer le Général…
Plus curieusement, ces mêmes soixante-huitards, qui sont au pouvoir maintenant, montrent toutes leurs capacités destructrices et de nuisances, d’installation du désordre, d’atteintes aux institutions, dans un niveau de corruption qui dépasse l’imagination !...
Ils ont montré ce qu’ils savent faire avec une telle impudence, un tel manquement à l’éthique, un tel mépris du peuple, qu’ils en sont « tenus par les Kouilles » par les généraux et les amiraux.
J’en rigole, j’en rigole…
Enfin je ne me réjouis pas tant que cela, même pas du tout, car notre totalitarisme mafieux est en train de se transformer en une véritable dictature comme je l’ai décrit dans plusieurs notes intitulées « Durcissement de notre totalitarisme mafieux ».
L’Etat-major des Armées est "aux manettes" et notre « capitaine de pédalo » reçoit des ordres pour lui donner le cap à prendre.
Les « étoilés » sont aux commandes pour au moins deux ou trois ans encore, le temps que le prix à payer devienne insupportable pour les uns et les autres…
Et puis, il faudra bien "tenir" le pays si toute la classe politique est déconsidérée.
A moins que « Bling-bling », ou un autre, n’arrive à gérer la situation…
Pas évident…
Et ils sont tous responsables : Les élus de tous bords qui tiennent à leurs "avantages politiques acquis" ou ne veulent pas subir le sort de Pierre Bérégovoy et François de Grossouvre, les hauts fonctionnaires qui tiennent à leur carrière, les journalistes qui sont aux ordres…
Triste et inquiétante époque…
Merci pour ces deux commentaires "Ami-râle" qui précise nettement la situation actuelle que personne ne veut voir !
RépondreSupprimerAvec le "loi renseignement" passée hier après-midi, "ils" ont désormais tous les outils pour vous interdire de telles appréciations : Ce ne sera pas trop difficile de vous faire passer pour un dangereux comploteur contre les institutions !
Mais, mais, mais...
Ca ne sert à rien pour eux de réécrire l'Histoire, surtout quand elle est bâtie sur un mensonge : La Vérité finit toujours par s'imposer.
Les "dangereux complotistes contre les institutions", ce sont ceux-là qui "tiennent par les kouilles" le pouvoir civil.
Même honni et détesté par les 4 citoyens sur 5...
Pour l'heure, je suis en exil, à l'abri (quoique...) et je deviens de plus en plus nombreux à l'être.
(Mais on aura les chiffres l'année prochaine pour constater et se désoler du phénomène).
2016 sera bien "le" tournant tant les pressions contradictoires deviendront insupportables.
(Notez que c'est prévu comme ça : C'est le 100ème anniversaire de la naissance de "Mythe-errant". Et c'est lui qui a dicté le calendrier...)
En attendant, malgré les mensonges économiques et sociaux, la situation va se dégrader considérablement. Rien ne pourra s'y opposer utilement : Déjà, depuis une semaine, le CAC40 qu'il faut prendre comme d'un "indicateur avancé" des tendances s'offre un repli inattendu... sur les actions et non plus seulement sur les obligations !
Pas bon signe pour une reprise qui était espérée malgré tout et aurait pu effacer les souffrances des "sans-dents" et de quelques autres...
Je ne suis guère optimiste, même en laissant du temps au temps : Une dictature arrive sûrement sur nos institutions et ils sont 488 à voter "pour" au Parlement (enfin l'AN : Il faut attendre le Sénat), et sans "article 49-3" (le vote bloqué).
Ce sera l'acte fondateur pour les historiens alors que vous savez qu'il remonte à 1991/1992.
Fabuleuse tranche d'histoire qui s'écrit sous nos yeux ébahis et terrorisés.
Bien à vous !
I-Cube
Lien vers "réseau international" :
Supprimerhttp://reseauinternational.net/decidement-il-se-passe-des-choses-curieuses-en-france/
Bonne lecture à toutes et tous !
I-Cube
Très bien!...
SupprimerJ'ai remis mon commentaire !...
Je vais aller voir !
SupprimerMerci !
I-Cube