Tous les
« clignotants » passent désormais subrepticement « au
rouge ».
Miracle économique en Allemagne ? Environ 2 millions d’Allemands sont
en fait forcés de cumuler au moins deux emplois…
On commence d’ailleurs à y compter les « contrats à 1 euro ».
USA ? La croissance du PIB cale à 0,2 % au premier trimestre, plombée
« par l'hiver, le dollar fort et la
chute des prix de l'énergie », selon la première estimation du
département du Commerce mercredi dernier.
On va y revenir.
USA toujours ? Des émeutes à Baltimore, une ville aux deux-tiers
« afro-américaine », pas très loin de Washington, où black contre
black s’entre-déchirent alors que la ville bat des records de pauvreté et de
chômage : Où est-il, le « rêve américain » ?
Grande-Bretagne ? Le règne du contrat de travail « 0
heures »… Il paraît que ça ne concerne que moins de 3 % de leurs « laborieux ».
Espagne ? Un taux de chômage désespérant.
Italie ? Des émeutes à Milan et chômage à plus de 13 %.
Athènes ? Au bord de la déroute faute de « consolidation »
refusée par les créanciers.
Chine ? Menaces d’éclatement de la bulle immobilière et la bulle financière
sur fond de repli de la croissance, crise de productivité.
Japon : Crise politique en perspective en rapport avec une inflation
qui frémit enfin. Mais ça ne les empêche pas trop de mettre à l’eau leur
premier porte-avions.
« Gauloisie-républicaine » ? On échappe à un repli de
l’activité, les perspectives sont néanmoins revues à la hausse et le nombre des
chômeurs persiste à croître… quant à la dette publique…
Voilà décidément une époque fantastique !
Qui pousserait à l’optimisme sans limite…
Et puis un cargo spatial russe qui va retomber … n’importe où d’ici
quelques jours : On en a vu d’autres, mais si par malheur il se désintègre
en Chine dans une région peuplée, comme semble l’indiquer quelques
« visiteurs » en « drovni » lumineux depuis quelques
semaines (les mêmes qui ont survolé la rade de Brest et quelques-unes des
installations nucléaires en Europe occidentale depuis le 4ème
trimestre 2014), on n’a pas fini de jaser…
Alors que le Bronx est justement visité par de vrais Ovnis qui pourraient
n’être que des « étoiles-filantes »… en plein jour !
Revenons au premier thème : « Environ
2 millions d’Allemands, soit 5 % de la population active, sont forcés de
cumuler au moins deux emplois pour vivre, un chiffre en nette augmentation ces
dernières années », selon des données officielles publiées mercredi dernier
aussi et annoncées par l’Office fédéral des statistiques Destatis dans un
communiqué.
« Cette proportion a augmenté
de 13 % par rapport à 2011. »
Mais l’Allemagne c’est aussi, comme il est dit, les « mini-jobs »
à 1 euro de l’heure.
Et l’Allemagne c’est aussi le taux de pauvreté le plus haut jamais
atteint…
Bref, aux USA, en Angleterre, en Allemagne, en Italie, en Espagne, au
Portugal ou en « Gauloisie-magnifique » c’est tout qui patine.
Pourquoi ?
Re-l’Allemagne : Le taux à 10 ans allemand – qui est le taux d’emprunt
sinon le plus important, est de toute façon le plus significatif – a brutalement
augmenté la semaine dernière de presque 60 %, ce qui est absolument colossal
lorsque l’on parle de la première économie de la zone euro…
Cette hausse est tout de même à relativiser car il ne s’agit que de « 10
points de base », ce qui reste pour le moins très faible.
Mais cela pourrait annoncer également l’une des plus grandes vagues
spéculatives sur le « 10 ans » allemand puisque même Bill Gross, l’un
des plus grands gourous de l’obligataire, a annoncé que vendre la dette
allemande… c’était très certainement le « coup
d’une vie » !
Deuxième thème : Aux USA, la reprise des émeutes à Baltimore, de
nouveau provoquées par la mort d’un Afro-américain abattu par un policier et
quelques autres, se surajoute à une autre nouvelle extraordinaire : L’ex-président
américain « Clipe à Pine-tonne » et la prétendante au
poste suprême, sa femme « Il-a-ri », risquent un procès pour fraude
fiscale !
Mais si : Ils ont eux aussi leur « T’es-venu-où » et autres
« Kaka-zut-Hack ».
Décidément, la fraude est internationale et vérole même les têtes les
mieux faites…
La direction du Fonds du couple a même publié un communiqué reconnaissant
certaines erreurs d’enregistrement des dons dans leurs déclarations d’impôts.
Cependant ces excuses n’ont pas satisfait leur principal accusateur : Le
journaliste Peter Schweizer…
En annonçant officiellement son intention de se battre pour le poste
présidentiel en 2016, l’épouse « cocue-Pine-tonne »
savait parfaitement qu’elle allait entendre beaucoup de choses désagréables à
son sujet, et même certaines qu’elle ne soupçonnait pas.
Les premières informations compromettantes sont ainsi apparues très
rapidement. En plus d’être accusée de ne pas avoir empêché l’attaque contre
l’ambassade des USA à Benghazi et d’avoir utilisé une adresse mail personnelle
pour sa correspondance quand elle était secrétaire d’État au lieu de celle qui
lui était dévolue en « .gov », des accusations plus graves sont récemment
venues s’ajouter à cette liste : L’activité du « Fonds Pine-tonne », une organisation
caritative gérée par l’ex-président et son épouse, ainsi que leur fille « Shell-sea »,
est en effet pointée du doigt dans un livre à paraître demain.
Entre autres, l’accusateur accuse la famille de l’ex-président et la
direction du fonds de manipulations des dons et d’obtention de certains
privilèges pour les donateurs, notamment les organisations commerciales
étrangères et les pays étrangers. En d’autres termes, des pots-de-vin se
seraient en vérité cachés derrière ces dons.
Il s’agit de Peter Schweizer, leur « Pierre-Péan » à eux (vous
avez noté « Ami-râle » ? Un type qui devrait
lire votre bouquin, à ce que j’en dis),
doublé d’un « Plaine-aile » de chez « média-part » attire
l’attention sur la coïncidence entre les dons étrangers et les décisions
discutables des autorités américaines concernant directement les donateurs –
parmi lesquels, d’ailleurs, figure une société russe.
Sachant que ces décisions étaient prises également par le département
d’État, dont Madame était la Secrétaire à cette époque, n’est-ce pas, le
soupçon de corruption active n’est pas loin.
« Faites ce que je dis, pas ce
que je fais… » Voilà comment on perd une élection, si je ne m’abuse…
Peut-elle d’ailleurs la gagner ?
USA encore ? La croissance du PIB s’époumone donc à 0,2 % au premier
trimestre 2015.
« La croissance de l’économie des
États-Unis a sévèrement calé au premier trimestre, plombée par l’hiver, le
dollar fort et la chute des prix de l’énergie, selon la première estimation du
département du Commerce mercredi.
Le Produit Intérieur Brut
américain (PIB) n’a progressé que de 0,2 % au 1er trimestre en
rythme annualisé, contre 2,2 % au 4ème trimestre 2014. »
En soi, même s’il s’agit de la première puissance économique mondiale (ou
la seconde derrière la Chine) ce n’est pas bien grave et reste logique avec
l’explication avancée (il fait froid en hiver… voilà qui n’est pas nouveau),
sauf que « ce chiffre est bien en dessous
des attentes des analystes qui tablaient sur un ralentissement moindre avec une
expansion de 1 %… » qui avaient anticipé la froidure hivernale, comme tous
les ans, eux.
Eh oui, la croissance du PIB a ralenti aussi parce que le dollar s'est
apprécié face aux principales autres devises (même s’il aurait tendance à
dévisser plus récemment), et du fait d'une grève des ports sur la côte ouest
qui a engorgé les livraisons, alors les exportations américaines ont piqué du
nez, régressant de – 7,2 % après une hausse de + 4,5 % fin 2014.
Les exportations de biens notamment ont accusé leur plus forte chute (– 13,3
%) depuis le 1er trimestre 2009 alors en pleine récession.
Cette abrupte décélération de l'expansion économique s'est reflétée
d'abord dans les dépenses des consommateurs : La progression des dépenses
de consommation n'est plus que de + 1,9 % de janvier à mars au lieu de + 4,4 %
au dernier trimestre.
Les investissements des entreprises sont aussi tombés dans le rouge à – 3,4
% alors qu'ils étaient en hausse de + 4,7 % au trimestre précédent.
C'est le secteur des industries extractives, touché de plein fouet par
l'impact de la chute des prix des hydrocarbures, qui a tiré cette baisse, a
indiqué une statisticienne précisant que l'activité du secteur de l'exploration
minière s'était écroulée de – 48,7 %.
Les investissements dans l'immobilier ont également été freinés, ne
progressant plus que de + 1,3 % contre + 3,8 % au dernier trimestre 2014.
Sur le front des dépenses publiques, les investissements sont aussi en
retrait, marquant un recul de – 0,8 %.
Les dépenses fédérales sont restées dans le vert, progressant de + 0,3 %
mais les dépenses au niveau des États fédérés et des collectivités locales sont
repassées en territoire négatif (– 1,5 %) pour la première fois depuis l'hiver
2014.
Ah oui : La croissance US devait être géniale avec tout le pognon qui
a été déversé dessus depuis quelques années !
Pour mémoire, avec la baisse du pétrole qui redonnait du pouvoir d’achat
aux Américains, la reprise en Europe, la croissance chinoise, vous deviez voir
ce que vous alliez voir : La croissance US allait repartir de plus belle…
Eh bien pas du tout ! Comme les Américains n’ont plus de chômage mais
qu’ils n’ont plus non plus de consommateurs solvables vu que la population
active baisse, les chômeurs ne chômant plus officiellement mais disparaissant
dans un trou noir statistique, eh bien il n’y a plus de croissance.
Tous les chiffres sont mauvais :
Les investissements, qui sont les emplois de demain, sont en baisse.
La consommation des ménages… est en baisse.
Les exportations US sont en baisse.
Et quand on regarde de plus près les chiffres de ce PIB US, on se rend
même compte que sans les stocks (à qui l’on fait dire ce que l’on veut), il
serait même en baisse de – 2,1 % !
Bref, tout est mauvais et il n’y a pas eu de reprise.
Mais il y a partout la formation de bulles financières multiples basées
sur des taux d’intérêt à zéro ou négatifs.
Bulle immobilière, bulle boursière, bulle de l’endettement, bulle du gaz
de schiste, bulle des dettes étudiantes, bulle obligataire, bref, partout les
bulles enflent, aux USA comme ailleurs dans le monde, sans que la croissance
future soit de nature à atténuer les effets dévastateurs des explosions qui
arrivent.
Et puis nous avions noté dans le secret du cabinet de mon « Boss-à-moi »,
qu’au trimestre dernier on pouvait observer une chute drastique des volumes de
« crédit-revolving » aux USA…
Plus forte qu’en 2008 !
Tout d’un coup, les « banquiers-prêteurs » se seraient rendus
compte de l’insolvabilité croissante de leurs clients…
Et malgré les milliers de milliards de fausse-monnaie déversés par la FED
pour l’avenir et l’investissement – les emplois et la croissance de demain, n’est-ce
pas – eh bien il semble que les robinets de « l’argent-facile » (et
surtout indispensable sur le moment) se soient refermés tout d’un coup pour les
« ricains ».
Normal qu’ils commencent à « émeuter » salement !
Du coup, on commence à nous expliquer que la FED risque de ne pas pouvoir
augmenter ses taux d’intérêt aussi vite que prévu…
Effectivement, il est impossible que l’on augmente les taux dans une
économie mondiale sans croissance et totalement surendettée sans créer toutes
les conditions d’un effondrement cataclysmique !
C’est comme ça.
Et alors ? Alors que vaut l’argent sur le moyen terme dans ce cas-là
?
Il ne vaut plus rien puisqu’il n’y a pas d’intérêt à en espérer.
Et pas question de prêter si l’insolvabilité est généralisée par l’effondrement
monétaire de la perte de valeur de la monnaie (et de l’épargne) faute d’intérêt
à espérer.
Dans tous les cas, il n’y a plus aucune solution sans douleur.
Et les marchés financiers commencent à tousser… Le CAC40 retrouve ses
niveaux de fin 2014 et les bourses de valeurs – là où sont recyclés les
excédents monétaires divagants – hésitent.
Après l’ouverture hier, les indices hésitaient en « Gauloisie-richissime »,
en Italie, en Espagne, au Royaume-Uni, et sur l’euro-Stoxx 50.
Là, sous nos yeux, il se pourrait bien que l’agonie du « monde
d’avant » soit en train d’accélérer.
Bien sûr, ce mois de mai avec ses nombreuses journées de carences, passera
ou cassera.
Juin et juillet pourraient se reprendre formant une « embellie ».
En revanche, la période suivante, d’août/septembre pourrait alors
basculer.
Parce qu’on se bat toujours dans le Donbass, en Syrie, en Irak, au Yémen,
on achète des avions de combat polyvalents jusqu’au Qatar !
Et même sous la statue de Jeanne-d’Arc où
« Marinella-tchi-tchi » a pu se faire bousculer par une Femen.
Alors que trois autres se faisaient molester par un « service d’ordre
anonyme », « viril et inconnu » à l’occasion du dernier 1er
mai.
Là encore, quelle image !
Mais pourquoi tant de provocation face à des brutes ?
Pourtant et curieusement, en prenant un peu de recul, le consensus est que
la croissance mondiale va progressivement accélérer, et que la croissance va se
normaliser progressivement, après la succession des crises : La crise des
subprimes de 2008-2009, la crise de la zone euro en 2011-2012, la « mini
crise » des émergents depuis 2013. Cette normalisation anticipée des
économies conduit aussi à une normalisation anticipée des marchés financiers :
On attend la sortie des politiques monétaires expansionnistes, la remontée des
taux d'intérêt à long terme. On attend aussi le redressement des prix des
matières premières.
Ce qui n’est pas si sûr puisque c’est mécaniquement peu probable faute de
demande solvable.
L’inquiétude est que de nombreuses régions du monde donnent au contraire
des signes de faiblesse, ce qui pourrait conduire à une dégradation de la
situation économique du monde et pas du tout à une reprise progressive et
linéaire.
Il s'agit d'abord des difficultés des grands pays émergents.
La Chine souffre de la détérioration de sa compétitivité-coût, d'où la
stagnation de nombreux secteurs industriels, l'affaiblissement de
l'investissement des entreprises, les sorties de capitaux.
La Russie est pénalisée par les difficultés politiques, les sanctions, le
recul des prix de l'énergie, la fuite des capitaux et le recul de
l'investissement.
Beaucoup d'autres grands pays émergents (Brésil, Turquie, Inde, Afrique du
Sud) voient leur croissance entravée par la stagnation de l'industrie due à la
présence de multiples goulots d'étranglement (sur le marché du travail,
concernant la production d'électricité, la disponibilité des infrastructures de
transport).
Il s'agit ensuite des pays exportateurs de pétrole dont la situation est
évidemment dégradée par la baisse du prix du pétrole : Recul de l'excédent
extérieur et du revenu, dégradation des finances publiques.
Le Japon est en récession, en raison de l'effet très négatif sur la
demande intérieure de la hausse du prix des importations dû à la dépréciation
du yen.
Avec la poursuite de la déformation du partage des revenus au détriment
des salariés, l'économie japonaise n'a toujours pas de moteur.
Non seulement la reprise économique de la zone euro n'est pas très forte
(de 1,5 % à 2 % de croissance en 2015-2016 et se fera sans création d’emploi),
mais elle est surtout liée à des chocs extérieurs favorables (baisse du prix du
pétrole, appréciation du dollar).
Où l'absence pour l'instant de redressement de l'investissement des
entreprises compromet la permanence de cette reprise.
Nous pourrions alors assister à une correction forte à la baisse de l'investissement
des entreprises dont les signes sont déjà présents.
La plupart des grandes régions du monde sont donc simultanément, plus ou moins
sévèrement, en difficulté.
Or, un vrai ralentissement de l'économie mondiale serait catastrophique :
Les politiques monétaires sont encore très expansionnistes, les taux d'intérêt
très faibles, les déficits publics sont encore très importants, les taux d'endettement
publics très élevés : La capacité de réaction des politiques économiques contra-cycliques
à un ralentissement de la croissance est quasiment nulle en disent de plus en
plus nombreux.
Vous êtes prévenus…
Personnellement, pendant ce temps-là, je badinais en mer Adriatique :
Même chez les « ex-Titistes », ça râle également…
Moi aussi, d’ailleurs : J’ai eu froid.
La situation mondiale est vraiment inquiétante…
RépondreSupprimerPas moyen de sorti d’une façon classique (par la baisse des taux) en cas de crise économique sévère.
Des montagnes de pognon ont été créées et elles ne demanderont qu’à s’effondrer les unes après les autres si l’une d’elles défaille.
Pour l’instant une création monétaire importante permet de maintenir une illusion sur la solidité du système économique, financier et politique actuel.
Pour combien de temps ?...
Et ce n’est pas une crise sur les 700.000 milliards de dollars des produits dérivés qui améliora l’affaire.
C’est juste 10 fois le PIB de la planète !...
A cela s’ajoute la fâcheuse tendance des êtres humains à suivre en masse le premier des leaders surtout s’il est particulièrement cinglé !...
Et on peut compter sur les lobbies militaro-industriels pour développer des armements toujours plus performants… comme on peut le voir avec les programmes nucléaires de la DGA, le missile M51, etc…
Des programmes qui vont absorber 35% à 40% des investissements de la Défense dans les années 2020, c’est-à-dire beaucoup trop alors que nous avons besoin de moyens d’intervention classiques.
Parce qu’il va falloir se protéger des tarés islamistes ou autres…
Les démocraties doivent être prêtes à défendre leurs valeurs, encore faudrait-il qu’elles ne les foulent pas au pied comme on peut le voir chez nous !...
Une planète où il y a beaucoup de cinglés belliqueux et on comprend l’inquiétude de nos « Visiteurs » !...
Il y a quand même pas mal de « Drovnis » et autres « OVNIS » actuellement…
Même au-dessus du Bronx !...
C’est dire l’urgence de la situation…
Les grandes vagues d’OVNI ont toujours été corrélées avec le développement des armes nucléaires et le risque d’un embrasement atomique de la planète.
Voir le livre de Jean-Jacques VELASCO « Troubles dans le ciel ».
Comment éviter à notre planète le sort qu’on subit des millions de planètes fantômes de notre Galaxie dont les espèces « pensantes » n’ont jamais pu dépasser leur animalité et se sont autodétruites ?...
Pas évident pour une civilisation ET, même très avancée…
Fort heureusement en manipulant la « flèche du temps » il y a une liberté d’action tellement élevée et stupéfiante que cela simplifie un peu le problème.
Il me restait un exemplaire de mon bouquin « Les milliards disparus de la Division Daguet ».
Je viens de l’envoyer à Pierre Péan via les éditions Fayard.
J’espère qu’il saura en faire quelque chose.
Bonne idée !...
Merci à vous !...
« L’Ami-râle »
Justement, avec la "manipulation de la flèche du temps", la seule certitude à avoir, c'est que le "futur" existe.
RépondreSupprimerPour le reste, à savoir le chemin à parcourir pour en arriver à développer la technologie, jusqu'au futur, qui permettrait ces "manipulations", nous n'en saurons jamais rien !
Ca passe forcément par des épisodes de guerres mondiales - la première, la seconde et peut-être d'autres encore - tels que personne n'y changera jamais rien, sans ça le futur en serait différent et n'aboutirait pas à cette technologie-là.
Logique, non ?
Nous ne pouvons que compter sur nous mêmes et nos "visiteurs" n'ont pas non plus intérêt à venir interférer avec notre présent sous peine de changer le cours du futur.
C'est sans doute pour cette raison qu'ils n'interviennent pas, mais font juste des "visites" pour vérifier que les choses se passent comme il est dit dans leurs bouquins d'Histoire.
Logique aussi !
Mais ça peut aussi être autre chose, comme une étude "in vivo" et "in situ", une sorte de laboratoire d'essai.
Dans ce cas on peut même imaginer que l'espèce humaine est telle un "rat de laboratoire"...
Pourquoi pas, après tout, puisque même les messages divins de la genèse nous explique qu'on est "fait à l'image" du créateur...
C'est dire qu'il y a un bug quelle que part, n'est-ce pas !
Mais une belle légende quand même.
Passons, pour l'heure, il faut aller au bout de ce qui a été commencé : Là encore, c'est un comportement logique, "intelligent" même.
Bien à vous !
I-Cube