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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 1 janvier 2019

Pace è salute

Paix et santé pour toutes et tous…
 
Une fois de plus, vous n’y coupez pas : Que 2019 vous soit une année douce et riche de merveilles innombrables !
Que vous souhaitez de mieux que la Paix et une excellente santé ?
 
C’est aussi le moment de faire quelques « plans sur la comète » : Si en 2017 vous aviez assumé 227 jours ouvrés (autant qu’en 2016), en 2018 vous en avez assumé 225 en comptant vos 5 semaines de congés-payés (et RTT) et hors les ponts.
Mathématiquement, la croissance aurait dû être négative de – 0,88 %, la différence avec celle constatée de 1,5 point restant dans la progression de l’inflation (réelle) de l’ordre de 2,3 %
Mais on saura ça plus tard.
 
D’autant que le mouvement des « Gilets-Jaunes » en novembre et surtout en décembre aura un impact évident : De la force des « aléas » (que je n’arrive pas totalement à maîtriser de mon côté avec autant de précision : J’ai amélioré mon score de 10 points à désormais 5 points, mais c’est encore largement supérieur à la mesure ex-post…).
Le calendrier de 2019 étant ce qu’il est (s’il se déroule tel que prévu), il n’y aura  226 jours ouvrés à fournir, soit un petit « plus » de 0,44 point, pour la même paye…
Une « année de patron ».
Parce que 2018, « une « année de salarié »… avec la saignée des prélèvements obligatoires qui est passée par là, on ne peut pas dire que vous ayez été gâtés…
Passons…
Ça, plus une inflation qu’on peut prédire être du même ordre de grandeur sans vraiment prendre le risque se tromper lourdement, « Jupiter » pourra enfin se targuer d’une « croissance-positive » supérieure à 2,5 points, alors que tout le monde ne retient que 1,9 : Il pourrait donc y avoir de « bonnes surprises » dans le courant de l’année et même « plus de marges » à la disposition du futur gouvernement venir.
 
Oui, parce que l’équipe de branques qui dirige le pays (y compris les « potes de promotion » et autres de « Jupiter » en qualité de directeurs des administrations centrales) ont tellement cafouillé depuis quelques semaines que je ne vois pas bien « Éd. Phi-Lippe » poursuivre sur sa lancée sans s’arrêter après les européennes prévue pour le 26 mai (jour de la fête des mères), vue la branlée que va prendre l’actuelle majorité.
Déjà qu’elle est nullissime au Parlement, que donc envoyer un quarteron de novices sur les 79 sièges attribués au pays, alors qu’on veut relancer le projet européen de Berlin à Paris en passant par Rome (et les autres du « Club des six », sans compter les attentes du « club-Med » des PIGS), ça sera d’un ridicule absolu pour « Jupiter ».
Il est « immortel », comme quoi même le ridicule ne peut pas le tuer…
Passons : L’actuel gouvernement pourrait même ne pas dépasser les premières semaines de 2019, si, au moins si, quelques « leaders-naturels » pouvaient prendre le relai.
Mais comme on a déjà un « Jupiter » totalement isolé à en mettre deux semaines pour un seul remaniement mineur, ce n’est pas gagné.
À part « Castagneur », il y aurait bien « Rugby » (voire « Bébé-roux » qui croit toujours à ses chances de « temporisateur-centriste », alors qu’il faudrait un « combattant »), l’un étant un « Marcheur-même-pas-en-rêve » de la première heure (il n’y en avait pas beaucoup), l’autre de la 25ème heure !
Ce n’est pas moi qui choisirai, mais ça reste à suivre.
 
Ceci dit, je ne suis pas le seul à faire des prévisions.
J’ai lu avec un intérêt soutenu celles de « Saxo Bank » : Décoiffant !
Ils prévoient un début de récession en « Teutonnie » (logique, ils y rentrent déjà).
Il pense qu’Apple rachètera Tesla (ce qui est loin d’être totalement idiot).
Que « Tromp » limogera Powell (il débarque tout le monde tour à tour) ;
Et les Travaillistes remportent une victoire retentissante. Encore faudrait-il qu’il y ait des élections anticipées en UK.
Dans cette hypothèse, « Jeremy Cor-pine » deviendrait Premier Ministre et instaurerait la parité de change entre la livre sterling et le dollar américain : Je ne sais pas comment sauf à claquer un pognon monstrueux à soutenir le… dollar !
Car ils ne le disent pas, mais le dollar pourrait aller très mal…
 
Quant à leurs « Prévisions choc », elles sont pour 2019 :
– L’Union Européenne annonce un effacement de la dette (laquelle grands-dieux, hors celle des Grecs ?) ;
– La crise du crédit aux entreprises avec la remontée des taux de la FED conduirait Netflix à connaitre le même sort que General Electric (le dépeçage sur pattes) ;
– L’Australie lancerait son propre plan Paulson après avoir nationalisé les quatre principales banques du pays…
– Une éruption solaire de classe X sème le chaos et provoque des dégâts à hauteur de 2.000 milliards de dollars…
– L’adoption d’une taxe mondiale sur le transport en raison de la multiplication des inquiétudes relatives au climat sera une évidence.
– Et le FMI et la Banque mondiale annonceront leur intention de cesser de mesurer le PIB, et de se concentrer sur la productivité. Ce qui n’est pas si kon que ça : On a déjà un historique assez complet du PIB par « heure-ouvrée » qui tient la route.
 
Mais rien sur l’éclatement de la zone euro (ce n’est plus la préoccupation et les spéculations des milieux financiers… tant mieux !), rien sur le départ de « Mère-Quelle » (déjà plus là et remplacée par « À-ka-ka », ni sur la fronde-fiscale qui se développera dans tout l’Europe au fil du temps : Les citoyens veulent bien payer (de toute façon, ils sont bien obligés) mais à condition d’en avoir pour leur argent. Ce qui n’est pas le cas actuellement un peu partout.
Les migrations ? Même pas évoquées…
 
Et puis j’ai jeté un œil sur celles de « Bloomberg Businessweek » publiées sous le titre de « Pessimist Guide », des prévisions (noires) pour l’année à venir.
C’est toujours assez drôle.
Cette année, Bloomberg n’a pas fait 10 prévisions mais part d’un scénario unique et totalement crédible : 2019 sera une année record de température qui verra s’enchainer des phénomènes climatiques extrêmes (El Nino, sécheresses, incendies, inondations diluviennes,…).
Du coup, partout dans le monde les récoltes agricoles (blé principalement) s’écrouleront sauf dans les grandes plaines du Nord (Amérique du Nord, Russie, Ukraine), ce qui va redessiner la carte géopolitique de « la faim ».
À partir de là, ils envisagent toute une série de conséquences : Inflation, émeutes de la faim et naturellement, famines, agression de « Poux-tine » en Ukraine qui laissera les bras ballants la communauté internationale devant le « fait accompli », une fois de plus.
Mais également des agressions de la Chine sur les mers à la reconquête de sa façade maritime (à prolonger en profondeur) en ramenant les îles du littoral dans le giron de Pékin (alors que ce sont des possessions encore « nationalistes » de Taipeh).
Eux envisagent de nouvelles vagues de migrations massives, notamment sur le continent nord-américain, mais aussi en Europe.
Et alors, cerise sur le gâteau, ils voient bien « McDo-Trompe » (et même le canadien « Trou-d’eau ») en position de sauveurs potentiels de la planète…
Mais pas du tout « Jupiter » en maître de l’univers, hors le périphérique parigot-sur-le-plage (Je rappelle que ma « petite-sœur » le voit « exécuté ». Alors qu’il rentre « dans le rang » : Pas bien sûr qu’elle ait raison…)
En tout cas, Bloomberg, au moins, ça c’est très « amusant » à lire !
 
Surtout totalement crédible pour chaque conséquence identifiée, Bloomberg ne reprend finalement à chaque fois comme d’une illustration, un article de presse déjà publié qui retrace exactement les phénomènes qu’il décrit.
Comme le conclut lui-même ledit magazine, tous les scénarios envisagés ont déjà existé !
Ils ne sont simplement pas intervenus au même moment… Jusqu’à présent.
Comme chacun le sait, l’Histoire ne se répète jamais, mais parfois elle bégaye.
Alors pourquoi pas une conjonction desdits mêmes phénomènes ?
 
Notons seulement que l’édition de cette année tourne autour du thème « trop c’est trop ». Un monde qui tourne à vide devra se réveiller et commencer à créer des réformes, non pas parce qu’il le veut, mais parce qu’il le doit : Vous savez, cette idée que le « monde d’avant » s’ouvrira peu ou prou sur le « monde d’après ».
On y vient chaque fois un peu plus…
Et les signes sont partout. Les estimations sont exagérées, les changements politiques sont soudains et même des développements culturels apparemment mineurs, comme la montée en puissance de notre célèbre chef d’État, semblent indiquer que la société a atteint son apogée.
L’excellent documentaire « The Four Horsemen » l’a cité comme étant un signe d’exagération, ajoutant que « pendant les dernières décennies de leur empire respectif, les Romains, les Ottomans et les Espagnols ont chacun fait de leur chef d’État une célébrité. »
De là à en conclure que, nous aussi, nous sommes proches de la fin de notre moment impérial, il n’y a pas loin…
 
Ils en disent, lucides, que « 2019 marquera un profond bouleversement de cette mentalité alors que nous arrivons au bout du chemin en accumulant de nouvelles dettes et que l’année prochaine, nous commencerons tous à payer la note pour nos erreurs. » Le grand cycle du crédit montre déjà des signes de tension à la fin de l’année 2018 et se répandra sur les marchés des pays développés l’année prochaine, les banques centrales devant revoir totalement leur copie.
Notez que c’est déjà anticipé par « les marchés » qui mangent de la valeur en veux-tu-en voilà à chaque séance.
 
Il faut dire que l’année 2018 n’était pas une année ordinaire. Une grande partie de l’année a vu les marchés américains faire cavalier seul, mais une fois que les programmes de rachat se sont épuisés, la gravité économique de l’affaiblissement du crédit et de la hausse des prix de l’argent et de l’anti-mondialisation s’est fait sentir. « Nous sommes maintenant confrontés à une fin d’année difficile ».
Il faut dire que curieusement, les courbes de rentabilité dégringolent toutes, quel que soit l’actif considéré (sur les marchés, mais également « dans la vraie-vie ») ce qui n’est pas banal.
 
Ce que j’en dis c’est que qui vivra verra.
Vous, je vous le souhaite, bien évidemment, moi, c’est nettement plus hypothétique.
Alors, finalement, je m’en contre-cogne le coquillard (et même le reste) sauf à rester « inquiet » pour ma nichée : Mais elle a désormais les ressources pour surmonter, veux-je croire !
Seule chose qui compte c’est que mes vœux de bonne et heureuse année vous accompagnent tout au long de 2019 !
Même si la paix reste une donnée précaire, au moins autant que la santé…
 
Bien à toutes et tous !
 
I3

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