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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 30 décembre 2018

Un nouveau modèle rend le voyage temporel possible

Et je m’en réjouis… !
 
Le voyage dans le temps est un thème récurrent, abordé tant dans le domaine de la science-fiction que dans la recherche scientifique académique. Aussi tentant soit le concept, de nombreux obstacles physiques se dressent pourtant contre sa réalisation effective.
Cependant, un article récent présente un nouveau modèle de voyage temporel dans lequel la principale contrainte physique – la condition faible sur l’énergie – est respectée, ne nécessitant donc pas de « matière exotique » (pour l’heure introuvable dans la nature).
Toutefois, même s’il offre une solution alternative élégante se passant de cette matière physiquement peu plausible, ce modèle requiert lui aussi des paramètres physiques pour le moins peu réalistes.
 
Je résume : La théorie de la relativité générale d’Einstein prévoit la possibilité de déformer le temps à un degré tel qu’il se replie sur lui-même, créant ainsi une boucle temporelle. Imaginez que vous voyagez dans cette boucle ; cela signifie qu’à un moment donné, vous vous retrouveriez à un moment dans le passé et que vous commenceriez à vivre les mêmes moments depuis, encore et encore.
Ces constructions sont souvent appelées « courbes fermées de genre temps » (CTC), et communément baptisées « machines temporelles ».
Les machines à remonter le temps sont un sous-produit de voyages supra-luminiques effectifs, et leur compréhension mathématiques peut améliorer notre connaissance du fonctionnement de l’univers.
 
Au cours des dernières décennies, des physiciens renommés tels que Kip Thorne et Stephen Hawking ont réalisé des travaux fondamentaux sur des modèles liés aux « machines temporelles ». La conclusion générale qui ressort des recherches précédentes, y compris celles de Thorne et de Hawking, est que la nature interdit les boucles de temps.
Ceci est peut-être mieux expliqué dans la « Conjecture de protection chronologique » de Hawking, qui dit essentiellement que la nature ne permet pas de changement de son histoire passée, nous épargnant ainsi les paradoxes qui peuvent en émerger.
Le plus célèbre de ces paradoxes est celui du grand-père, dans lequel un voyageur (imprudent) revient dans le passé et assassine son propre grand-père. Cela modifie le cours de l’histoire de manière à faire apparaître un paradoxe : Le voyageur n’est jamais né et ne peut donc pas exister !
 
Selon les détails, différents phénomènes physiques peuvent intervenir pour empêcher le développement de courbes fermées de genre temps dans les systèmes physiques. La contrainte la plus courante est l’exigence qu’un type particulier de matière exotique soit obligatoirement présent pour qu’une boucle temporelle existe.
C’est à dire une matière avec une masse négative.
Toutefois, la masse négative n’existe pas dans la nature.
Caroline Mallary, doctorante à l’Université du Massachusetts à Dartmouth, a publié récemment un nouveau modèle de machine à remonter le temps dans la revue « Classical & Quantum Gravity ».
Et ce nouveau modèle ne nécessite justement pas de matière exotique de masse négative tout en offrant un « design » très simple.
 
Le modèle de Mallary se compose de deux très longues voitures – construites dans un matériau non exotique et ayant une masse positive – garées en parallèle. Une voiture avance rapidement, laissant l’autre garée. Mallary a pu montrer que dans une telle configuration, une boucle de temps peut être trouvée dans l’espace entre les voitures.
Son modèle exige seulement que le centre de chaque voiture ait une densité infinie !
Cela signifie qu’elles devraient contenir des objets – appelés singularités – avec une densité, une température et une pression infinies. De plus, contrairement aux singularités présentes à l’intérieur des trous noirs, qui les rendent totalement inaccessibles de l’extérieur, les singularités du modèle de Mallary sont complètement nues et observables, et ont donc de véritables effets physiques.
Mais les physiciens ne s’attendent pas non plus à ce que des objets aussi particuliers puissent exister dans la nature.
D’autant plus qu’ils sont interdits par le principe de censure cosmique de Roger Penrose.
 
Au final, même si la solution apportée est élégante, elle s’appuie, elle aussi, sur des paramètres physiques peu réalistes (la densité, la température et la pression requises). Cependant, ce travail montre que les physiciens doivent peut-être affiner leurs idées sur les raisons pour lesquelles les courbes fermées de genre temps sont interdites.
 
Et curieusement, en prolongement de mes « posts-piratés » de l’été 2008, je vous ai déjà proposé trois volumes autour du thème du voyage sur la flèche du temps.
« Mains invisibles II », où « Charlotte » découvre le phénomène in vivo et en use pour sortir Florence – la mère de ses gamins à lui – d’un mauvais pas ; « Laudato sì… » où il en use (et abuse : Il se paye même un aller et retour entre les USA et Koweït-city en Concorde) ; et « Ultime récit » où sont avancées quelques explications (qui me sont venues au fil du temps…) et à l’occasion d’un pied-de-nez de ma part pour poursuivre les posts-piratés de 2008 : Une façon pour moi de « reprendre la main » sur des « trucs » que je n’étais pas arrivé à « effacer » sur overblog en rajoutant trois chapitres qui ne sont mentionnés nulle part dans ceux de 2008, les faisant ainsi « mentir »…
(J’aime bien quand je me montre astucieux !)
 
Notez que je ne suis pas vraiment versé dans la « science-fiction » ni même dans la littérature d’anticipation qui aurait tendance à m’épuiser, même si « plus jeune » j’en ai lu quelques exemplaires (mais pas plus que « les classiques », les bouquins d’aventures maritimes et nautiques, les « beaux-voiliers » et l’aérologie, les « policiers », les livres de guerre – un état incompréhensible pour mon unique neurone : De la curiosité perverse proche de la névrose, me suggère-je… – toutes sortes de BD, l’Histoire d’une façon générale et quelques livres relatifs aux avions…) car j’aime bien « comprendre ».
Et la littérature d’anticipation me laisse en général un goût de « pas assez » ou « trop peu » pour comprendre.
Mais trois sur 9, ça fait beaucoup, alors que 6 sur 9, c’est seulement de l’Histoire contemporaine « décryptée »…
Et dans le 9ème, j’ai eu beaucoup de mal à me sortir de « ce piège-là ».
Le 10ème devrait redevenir « presque-normal ».
Bon passons : Ce n’est pas le propos.
 
Sauf que j’y propose des explications qui font entrer en jeu des « suspensions » de la flèche du temps.
Autour de quoi ? Bé autour d’un matériaux hyperdenses pour être constitué exclusivement – ou à peu près – de neutrons !
Que j’en déduis qu’elle n’est pas mal la minette doctorante « Caroline Mallary », non… ?
Ou alors, elle est comme d’autres, elle a lu mes posts « par-dessus » mon clavier et s’est ensuite plongée dans ses équations…
Je ne veux pas savoir : Grand bien lui fasse et je lui souhaite tout le triomphe nécessaire dans la poursuite de sa carrière.
 
Ceci dit, le voyage sur la flèche du temps, dans mes romans, il ne marche que dans un sens : Du présent vers le passé !
Ce qui ne veut pas dire qu’il ne vient pas de l’avenir, au contraire.
Mais « l’avenir » contrôle ainsi son passé qui doit déboucher, in fine, sur son présent à lui.
De l’autocontrôle qui évite le paradoxe du grand-père tué par inadvertance…
Belle pirouette.
Là, « Caroline-jolie », elle va devoir réfléchir un grand-coup.
J’ai essayé d’en causer à Stephen, mais il était inabordable au moment où j’étais sur place disposé à le faire : Tant pis pour l’humanité, elle doit probablement attendre encore un peu.
Mais ça va venir, parce que de plus en plus d’expériences (et d’observations) tentent à montrer que passé-présent-futur sont étroitement imbriqués : On peut inverser les signes positifs ou négatifs dans bien des équations (donc les causes et les conséquences) sans que cela ne change quoique ce soit aux égalités énoncées par les dites équations.
 
Je vous raconte tout ça en cette fin d’année pour quelle raison ?
Eh bien parce qu’il va bien falloir vous rendre compte que parfois, je touche « au génie » (parfois seulement…).
Je ne sais pas comment ni pourquoi (moi le nain intellectuel doté d’un unique-neurone en état de fonctionner correctement, celui du « nerf-honteux »), mais il est quand même des éléments troublants : Je faisais remarquer à un proche encore récemment – plus âgé que moi (il y en a de moins en moins…) et qui ne va « pas très bien » collectionnant les ennuis de santé – que moi, j’étais déjà mort au moins quatre fois !
Je ne plaisante pas en vous l’affirmant avec force.
Et pourtant, je suis encore là, comme par miracle. Sans savoir pour quelle raison.
Et même s’il n’y en a pas, forcément, ça ne me convient pas : Il doit y avoir une explication.
C’était pour le rassurer : « Tu peux y aller. Toi aussi tu as un ange-gardien qui t’a emmené jusque-là ! Diantre, fais-lui confiance… »
Bon, pour l’un et pour l’autre, la question naturelle c’est : « Pour combien de temps encore… ? »
 
Allez, je vous laisse.
Bonnes vacances, bon pont, bon réveillon à toutes et à tous.
Et si je suis encore de ce monde, à l’année prochaine (après deux petits-posts déjà programmés) !
 
I3

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