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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 29 juillet 2025

Un second trimestre de rotation (4/5)

 Campagne électorale des législatives (2/3)
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Le RN qui fêtait déjà sa victoire et une marche triomphale sur Matignon et les ministères, doit rabattre son caquet et ses prétentions.
Le NFP, réunissant plusieurs partis de gauche, de LFI aux socialistes en passant par les écologistes, remporte une majorité relative de sièges, devançant EPR puis le RN, ce dernier obtenant ainsi un chiffre bien plus faible que celui attendu par les sondeurs en raison du front républicain appliqué dans l’entre-deux-tours.
La droite républicaine arrive quant à elle en quatrième position.
Et dire que les barons du RN se partageaient déjà les portefeuilles et annonçaient encore leurs premières décisions et mesures sur tous les plateaux de télévision dans la semaine qui précédait, comme si le second tour n’était plus qu’une formalité : le peuple avait parlé, une fois de plus !
 
Il faut dire que ces élections ont lieu un an après le mouvement social contre la réforme des retraites en France de 2023, mené par les huit principaux syndicats français de salariés réunis en intersyndicale nationale, avec treize journées d’action dans quelque 300 villes, et un nombre total de manifestants dépassant plusieurs fois les précédents records de 1995 et 2010.
Ce mouvement social soutenu par trois-quarts des Français a aussi dénoncé un débat raccourci et sans vote du Parlement, via un recours inattendu à l’article 49.3 de la Constitution, jusque-là limité aux questions budgétaires, qui a relancé le débat sur une crise démocratique, plus de deux ans après l’abandon d’un premier projet de réforme pour cause de crise sanitaire.
Par conséquent, les résultats de ces élections n’auraient pas dû surprendre la classe politique.
Et puis, cela faisait plusieurs semaines que cette dissolution était réclamée avant d’exiger la démission du Président.
 
Ont suivis plusieurs mois de gestion des affaires courantes par le gouvernement sortant, dans l’attente de la nomination d’un nouveau Premier ministre par le Président.
Ce dernier, qui temporise dans un premier temps cette nomination à la fin des Jeux olympiques organisés à Paris, puis refuse fin août de nommer la candidate avancée par le NFP, Lucie Castets, une fonctionnaire de la ville de Paris, chargée de la gestion catastrophique des finances de la ville, dont on dit pourtant le plus grand bien : aucun des « barons » de la gauche ne veut se mouiller et elle part déjà en campagne à ses frais et son staff de bénévoles mis en disponibilité.
 
À la suite de nombreuses consultations des différents partis, ce sera finalement Michel Barnier, l’homme fort et négociateur du Brexit, l’ex-champion de ski isérois, l’ex-commissaire européen du marché intérieur et des services financiers, le gaulliste pure-souche seconde génération de l’UDR, l’ancien ministre de pas mal de chose, celui qui aura organisé les JO d’hiver de 1992, qui sera nommé Premier ministre le 5 septembre 2024.
Pour anticiper sur la chronologie de ce récit, son gouvernement tombe cependant le 4 décembre 2024 à la suite du vote d’une motion de censure dans le cadre d’une utilisation de trop de l’article 49.3 de la constitution lors du vote du budget.
C’est la première fois depuis 1962 qu’un gouvernement français est censuré, accentuant ainsi la crise politique en cours jusqu’au 13 décembre 2024, date à laquelle Francky Bay-Roux deviendra Premier ministre alors même que le budget n’est pas encore voté.
 
On aura essayé d’imposer l’idée que c’était le seul poste auquel il pensait tous les matins en se rasant depuis 2002.
En fait Bay-Roux est certain d’avoir un avenir présidentiel au point de devoir maîtriser son bégaiement naturel en quelques années d’effort acharnés, persuadé d’être le recours de la République face à tous les dangers qui la menace.
Professeur agrégé de lettres classiques, il s’engage en politique aux côtés de Jean Lecanuet, l’agrégé de philosophie qui aura mis en ballotage de Gaulle en 1965 pour être financé par la CIA (pour être chrétien-démocrate atlantiste), et obtient son premier mandat électif en 1982 en devenant conseiller général.
Par la suite, il est élu député des Pyrénées-Atlantiques (1986), président du Conseil général (1992), député européen (1999) puis maire de Pau (2014).
 
Et il a une conviction ferme de son rôle futur en étant persuadé que le pays se gouverne au centre et que son heure viendra comme l’homme providentiel qui, tel « le Général », sort le pays des heures sombres du chaos dans lequel il est plongé par un classe politique indécente et irresponsable.
Alors il se positionne au centre-droit pour participer et devenir incontournable sur l’échiquier politique, tel qu’entre 1993 et 1997, sous trois gouvernements de droite (Bas-La-dur, Jupé I et Jupé II), il est ministre de l’Éducation nationale pour assurer l’indépendance des écoles privées sous contrat.
Il préside aussi le Centre des démocrates sociaux (CDS) de 1994 à 1995, Force démocrate (FD) de 1995 à 1998, l’Union pour la démocratie française (UDF), le parti du Président Giclard-des-Stains de 1998 à 2007 et le Mouvement démocrate (MoDem) – dont il est le fondateur – depuis 2007.
Il s’ancre tout aussi régulièrement au centre-droit attendant sagement son heure.
 
À trois reprises, il se présente également à une élection présidentielle. Il arrive en quatrième position en 2002 avec 6,8 % des suffrages exprimés, troisième en 2007 avec 18,6 % et cinquième en 2012 avec 9,1 % des voix.
En 2017, il renonce à se présenter au profit d’un soutien à Makarond dont il espère le meilleur pour sa carrière au-delà de la mairie de Pau.
Et effectivement, devenu président de la République, ce dernier le nomme d’abord ministre de la Justice dans le premier gouvernement d’Édouard Philippe.
Mais, cité dans l’affaire des assistants parlementaires du MoDem au Parlement européen, dont il ressortira blanchi, alors que dans une affaire similaire, le FN devenu RN sera décapité, il n’est pas reconduit un mois plus tard.
Manuel Makarond le nomme alors haut-commissaire au plan en 2020 histoire qu’il suive les dossiers, même de loin et ne rende pas la tâche de Philippe, puis de Babeth Brown et d’Attal plus difficile qu’elle n’est à entrer dans l’opposition. Avant de devenir Premier ministre quatre ans plus tard dans un contexte de crise politique où, comme son prédécesseur, il forme un gouvernement minoritaire (EPR-LR).
 
Mais ce n’est pas le destin dont il rêvait et il aura longtemps résisté aux pressions car s’il sait qu’un passage par Matignon est un boulevard quasi-incontournable pour franchir la Seine jusqu’au Palais de l’Élysée, mais c’est toujours après une traversée du désert préalable…
Et là, les délais sont trop courts pour 2027.
Aussi, il aura souvent refusé cette fonction malgré les pressions du Président et de ses équipes, jusqu’au perchoir du Sénat, après cette « dissolution ratée » et qui aura déjà usé deux premiers ministres…
 
On analyse également et en général que l’élection européenne a donné lieu à une intense propagande prorusse, deux ans après l’invasion de l’Ukraine, sur les réseaux sociaux du groupe Meta (WhatsApp, Instagram, Facebook), TikTok et autre.
Comme il est dit ci-avant, les faux contenus de « l’opération Matriochka », active en France aussi depuis au moins septembre 2023, avec notamment des slogans antisémites tagués sur les murs de la capitale, puis des cercueils déposés à proximité de la tour Eiffel, continuent pendant la campagne des législatives.
 
Mais la courte allocution du Président en pleine soirée électorale annonçant la dissolution prend de court la plupart des médias, partis et personnalités politiques, ainsi que les trolls russes.
Le soir du vote, dans un tweet et à la télévision, LFI lance un appel aux dirigeants des quatre partis de gauche à s’unir dans un Nouveau Front populaire.
Le lendemain matin est lancé un site web pour récolter les signatures des électeurs désireux de l’union des formations de gauche.
Dans la soirée débutent des discussions entre les numéros un des principaux partis de gauche afin de former une coalition qui s’appellerait le Front populaire et proposerait un programme de gouvernement jusqu’à l’élection présidentielle de 2027.
Réunis au siège du parti Les Écologistes, les quatre partis précisent la création d’une structure différente de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES).
 
Tout va très vite puisqu’il s’agit de prendre de court les trolls étrangers : le surlendemain du vote, le président du parti Les Républicains, dévoile au journal télévisé son projet d’alliance avec le Rassemblement national (RN), en promettant que plusieurs dizaines de députés LR la rejoindront, ce qui déclenche immédiatement une crise interne, la quasi-totalité de la soixantaine de députés LR refusant cette alliance.
Au cours de la même semaine, l’ex-président de la République Nicolas Krasosky, pas encore définitivement condamné pour malversations diverses, voit dans la dissolution « un risque majeur pour le pays ».
Parmi les réactions, deux pétitions de personnalités appellent à voter et s’unir pour empêcher l’extrême droite d’arriver au pouvoir, l’une de 60 sportifs incluant les médaillés olympiques et l’autre de 350 personnalités du monde intellectuel ou artistique, parmi lesquelles le prix Nobel d’économie, et celui de littérature (« à qui on ne demandait pourtant rien »… soulignera Gustave Morthe de l’Argentière).
 
Aux États-Unis, le Washington Post s’étonne d’« un champ de bataille épique entre le centre et l’extrême droite », à l’approche des Jeux olympiques et sous la menace d’attaques terroristes, dans un contexte de tensions avec la Russie, un « duel capital pour la France et pour l’Europe », selon le quotidien conservateur espagnol ABC.
En majorité, les médias internationaux voient la dissolution comme un pari très risqué, en évoquant pour la plupart « l’hypothèse d’une cohabitation », qui pourrait aider Gabriel Attal pour la présidentielle 2027, selon le quotidien turinois libéral La Stampa, quitte à se retrouver trois ans « les mains liées », pointe le quotidien britannique conservateur, The Times.
Analyse partagée par le quotidien libéral suisse Le Temps, pour qui ce « stratagème cynique » est « extrêmement dommageable » car la pratique du pouvoir par l’extrême droite ne garantit en rien de futurs échecs électoraux.
L’espagnol El País et l’anglais The Guardian, deux quotidiens de référence de centre gauche, décrivent tous deux une humiliation électorale du président qui « joue avec le feu politique », selon le second.
Makarond, un « animal politique blessé », titre même La Libre Belgique.
L’hebdomadaire centriste allemand de référence Die Zeit s’inquiète aussi du « jeu dangereux », d’un président français pouvant avoir « perdu son sang-froid » jusqu’à livrer « désormais son pays » à Marina Lapeine.
Politico Europe, média en ligne positionné à droite, estime au contraire qu’il espère couper court à la montée du RN en ne lui donnant que peu de temps pour s’organiser et juge « presque certain que (la future répartition des sièges à l’Assemblée) » y « marquera un coup d’arrêt ». Mais il « mise aussi sur les divisions de la gauche », selon le quotidien belge de centre droit Le Soir, qui rappelle que Makarond avait « assuré avant le scrutin, qu’il ne tirerait aucune leçon nationale ».
« Il ne pouvait pas faire autrement… » lâchera un soir Paul de Bréveuil.
 
Autre conséquence, du 9 juin au 7 juillet 2024, tous les travaux parlementaires en cours sont donc suspendus. Les textes en cours d’examen sont abandonnés avec le terme anticipé de la XVIème législature.
Les commissions d’enquête parlementaire sur les violences sexuelles et sexistes dans le cinéma français, sur la protection de l’enfance et l’autoroute A69 prennent fin ainsi que la discussion du projet de loi sur la fin de vie, ce qui provoque bien des mécontentements : selon la présidente sortante de l’Assemblée nationale (qui sera renouvelée après quelques manœuvres douteuses à l’occasion de sa réélection « au perchoir ») « tout ce que l’on avait jusqu’à présent comme chemin parlementaire est anéanti, tous les débats qui ont eu lieu en commission spéciale et dans l’hémicycle n’existent plus ».
Ils sont à reprendre avec de nouveaux membres de commissions de travail.
Gustave Morthe de l’Argentière, le CEO de la CISA peste également de son côté.
« Et que prédit votre BBR 3.0 ? »
Il ne prédit rien, parce qu’il n’est pas encore au point...
« En revanche, les sondages vous avaient bien prévu un raz-de-marée du RN aux européennes… »
Espérons qu’ils se trompent pour les législatives…
« Et pour quelles raisons se tromperaient-ils ? »
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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