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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 22 juillet 2025

Un premier trimestre sur les chapeaux de roue (10/13)

Le tir du troisième Starship (1/4)
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Ce que Paul, encore plus surpris, fait immédiatement sans poser de question en restant silencieux, alors que Gustave prend sur lui de mettre les moyens de « pistage & traçage » de la CISA sur cet Oscar Franceschi di Casoria : « On verra bien ! »
Julie se met alors à rosir : elle sait que ça veut dire que tout le staff aura accès à sa vie privée et à ses rencontres avec celui qui a fait tant pour elle ces derniers jours et sait aussi se montrer si délicieux et prévenant.
C’est probablement la rançon de devoir travailler pour des cinglés du renseignement, qui par ailleurs participent à sécuriser le territoire et veillent en sous-main à la fiabilité des sources de renseignements internationaux du pays en complément des moyens humains sur le terrain et ceux mis en place par les autorités, sis à Rennes, avec les mêmes outils développés par les ingénieurs de la CISA dont « le batave », le centralien à l’origine du logiciel qui vit actuellement en Islande[1]
 
Quand ils sont seuls, Paul questionne Alexis. « Qu’est-ce qui vous a pris à m’interrompre ?
Vous savez quelques détails que j’ignore… »
Et dont il ne se rappelle plus…
Oui : « Vous nous aviez affirmé que « l’œil de Moscou » de Matignon qu’est Julie, quand vous nous l’avez présentée la première fois sur Eurydice, votre voilier quand il mouillait en baie de Calvi[2] »
Il ne se rappelle plus, mais il l’a lu quelle que part…
« …avait un mari qui travaillerait pour une puissance étrangère et elle avait rougi en répliquant qu’elle n’était pas mariée… ».
Tous avaient d’ailleurs supposé qu’elle était « vieille fille », ce qui paraissait normal compte tenu de son physique assez peu avenant…
« Et vous avez même rajouté que c’était une aubaine pour enfumer nos adversaires… ou quelque chose comme ça… »
Ce qui veut peut-être dire que celui-là restera dans son orbite si c’est bien lui l’agent d’une « puissance extérieure »…
« Ah ça, je ne sais pas… C’est peut-être lui, c’est peut-être le suivant… Parce que bon, un italien, ce n’est pas vraiment un « service concurrent » comme vous avez coutume de dire, mais plutôt un allié avec qui la CISA partage du renseignement quand il est pertinent, me semble-t-il… »
Ce qui n’est pas faux. Même si la cuisine des services veut que parfois on garde pour soi des recettes pro domo.
 
Paul se tait et réfléchit…
« Maintenant que j’y pense… il doit y avoir un Isaac dans mes souvenirs récents… Attendez que je réfléchisse… »
Alexis s’assied alors derrière un ordinateur disponible, l’allume et y branche une clé USB, celle où elle garde ses notes prises au fil du temps.
« Oui, oui… Isaac Navi… le capitaine Isaac Navivoski ! J’y suis, un bonhomme insipide avec des yeux de pervers… »
« Effectivement, vous l’avez déjà mentionné lors d’une de nos conversations… Je vous laisse deviner ses fonctions…
Vous l’avez croisé à Minsk. »
C’est ça ! « C’est mon agent traitant du GRU russe[3] !
Celui qui doit me donner des instructions, rendre compte et à qui je dois faire appel si je suis découvert comme agent double par les services occidentaux… »
Compliqué comme situation se résume pour elle-même Alexis…
Elle se souvient qu’elles ne sont que quatre au monde à savoir que Paul fait semblant d’avoir été recruté par le GRU russe alors qu’il doit mener la vie d’un simple citoyen français qui travaille dans le renseignement et dans l’industrie de la défense tricolore, en principe au-dessus de tous soupçons pour être également capitaine de vaisseau de réserve de « la Royale ».
Autrement dit, il se doit de donner le change à tout le monde, y compris à l’amiral Gustave Morthe de l’Argentière, ancien patron de la DRM, le service de renseignement de la marine.
Quatre femmes qui l’aident à retrouver ses neurones : Alexis la biographe, Florence la mère de ses gosses, Mylène la vieille copine d’antan des années d’études supérieures, et Aurélie, la géante, photographe et ancienne associée des premières frasques des deux « Charlotte[4] », Paul et la femme d’Aurélie aujourd’hui décédée…
 
« J’y suis maintenant… Mais je ne comprends pas pourquoi ce gars-là m’envoie par l’intermédiaire de Julie son numéro de téléphone… Il aurait pu le faire de façon bien plus discrète… Non, là, je ne comprends pas… »
Il doit vouloir essayer de dire quelque chose…
« Naturellement, mais quoi ? »
« Qu’il vous tient à l’œil ? »
« Il aurait pu le faire en me croisant dans la rue à Paris, dans un restaurant, dans un aéroport, au pied de chez moi quand je vais chercher les croissants… »
Mais non ! « Vous êtes toujours sous surveillance… La DCRI, la DCRE, la DRM et je ne sais qui encore… »
Ce n’est pas faux non plus… Des services nationaux auxquels il faut probablement rajouter la CIA, la NSA, des Américains toujours sourcilleux, le Mossad de Tel Aviv, le SIV du Vatican, et le MI6 des Britanniques pour lesquels il avait déjà œuvré par le passé et probablement quelques autres plus discrets : tout le monde espionne tout le monde de nos jours !
« Ce que je veux dire, c’est qu’en utilisant ce napolitain, forcément, il le grille et par la même occasion Julie devient suspecte… Il devrait le savoir… »
Pas du tout pour Alexis !
« En quoi les grille-t-il, puisque vous êtes un de leurs agents pour lui et son service ?
Au contraire, il vous fait savoir qu’il veille sur vous sans prendre le risque de se dévoiler lui-même… »
Pas idiot, effectivement, si on veut bien y réfléchir…
Et la vie aura repris son cours jusqu’à la mi-mars.
 
Là, le troisième vol d’essai du 14 mars 2024 du Starship de SpaceX est tout particulier et aura marqué « plusieurs premières importantes » sur la longue route vers l’atterrissage d’astronautes sur la Lune, selon des responsables de la NASA, même s’il reste encore beaucoup de travail à fournir.
La fusée a en effet volé avec succès dans l’espace depuis le site Starbase de SpaceX dans le Sud du Texas et a atteint la vitesse orbitale, entre autres des réalisations prévues à son programme.
La NASA aura tout particulièrement rendu hommage à la démonstration de transfert de propergol de Starship dans l’espace, qui sera importante pour les futures missions lunaires du programme Artemis de la NASA.
Cela dit, les ingénieurs doivent désormais examiner les données dans les semaines qui suivent pour voir exactement comment le vol d’essai se serait bien déroulé et ce qui aura foiré.
 
En réalité, le second étage de la fusée n’était pas destiné à revenir à son point de départ comme on l’aura fait croire et comme l’a fait spectaculairement le premier étage, au moins après avoir été placé en orbite et largué sa charge utile, parce que c’était lui, le second étage, la « charge utile ».
Il n’a fait que basculer du carburant d’un réservoir à un autre, en apesanteur, alors que les pompes brassent du vide…
« À chaque essai en vol, SpaceX tente des objectifs de plus en plus ambitieux pour Starship afin d’en apprendre le plus possible pour le développement de futurs systèmes de mission », a déclaré à cette occasion Lisa Watson-Morgan, la responsable du programme des systèmes d’atterrissage humain (HLS) au Marshall Space Flight Center de la NASA en Alabama, dans un communiqué de l’agence le jour même du tir.
C’est le mode « itératif » d’amélioration des engins spatiaux d’Elon Musk… Aucun ne sont des réussites totales, mais tous participent à améliorer les tirs suivants !
« La capacité de tester des systèmes et des processus clés... permet à la NASA et à SpaceX de recueillir des données cruciales nécessaires au développement continu de Starship HLS », a-t-elle ajouté.
Effectivement, Starship est l’un des fournisseurs officiels d’HLS, le programme chargé par la NASA de faire atterrir des astronautes sur la Lune du programme Artemis III, dont le lancement est maintenant prévu au plus tôt en septembre 2026.
 
SpaceX a ainsi, une fois en orbite, transféré du carburant dans l’espace d’un réservoir à un autre, et SpaceX et la NASA examineront les données de vol dans les semaines à venir pour vérifier si cela s’est bien passé.
Le carburant est cryogénique (surfondu), et les ingénieurs veulent s’assurer que la stabilité de Starship dans l’espace n’est pas indûment affectée par l’opération, ont écrit des responsables de la NASA.
Les ingénieurs chercheront également à rendre le transfert aussi efficace que possible en examinant « le mouvement du fluide dans les réservoirs », a ajouté l’agence, dans le but de « s’assurer que les moteurs Raptor (de Starship) reçoivent les conditions de propergol nécessaires pour soutenir le redémarrage en orbite ».
Mais, au cours de ce vol d’essai là, probablement provoqué par un déséquilibre dans ce transfert de carburant, les taux de roulis des véhicules pendant cette phase ont forcé les ingénieurs à abandonner un « rallumage en orbite prévu d’un seul moteur Raptor », a par la suite expliqué et écrit SpaceX dans un résumé de la mission.
La seule difficulté qui sera survenue au cours de cet exercice.
En réalité, l’énorme réservoir mis en orbite l’aura été sur une orbite assez excentrée et il semble que le roulis, sur trois axes (tangage, lacet, roulis), reste non contrôlé, ce qui ne va pas faciliter l’arrimage prévu du « 003 » de Paul dans les semaines à venir.
 
SpaceX s’engage à bientôt effectuer des vols rapides avec Starship avec quatre autres véhicules de 400 pieds de haut (122 mètres) déjà construits en prévision de vols d’essai dans les mois à venir. Siva Bharadvaj avec qui Paul avait négocié « son tir » par l’intermédiaire de Lady Joan accompagné d’un rabais important pour être un premier tir et qui est l’ingénieur des opérations spatiales chez SpaceX, a déclaré de son côté lors de la diffusion des commentaires de ce lancement du mois mars que l’un de ces vaisseaux spatiaux avait déjà subi un test de tir statique qui s’est parfaitement déroulé.
La NASA, quant à elle, aura déclaré qu’elle voulait des succès répétés avant de mettre des astronautes à bord de Starship. Donc, plus l’engin vol, plus on avance vers la continuation du programme… et le versement des budgets.
En juin 2023 un des responsables de l’agence, Jim Free, déclarera que SpaceX devra terminer « un nombre important de lancements » avant les activités du programme Artemis.
Car la NASA avait aussi soulevé des inquiétudes quant au rythme de développement de Starship, à plusieurs reprises au cours des derniers mois.
 
De fait, Artemis III a été retardé en janvier dernier pour un lancement désormais prévu en septembre 2026, soit environ un an au-delà de son objectif premier, en partie à cause du rythme de développement plus lent que prévu de Starship et en partie à cause de divers problèmes techniques avec le vaisseau spatial Orion de la NASA.
Sans parler des problèmes rencontrés dans la mise au point des combinaisons spatiales fournies par l’industrie privée et encore sur d’autres éléments critiques.
Le mois précédent, la NASA aura tout de même souligné le succès des tests du système d’amarrage Starship et avait assuré que SpaceX avait terminé « plus de 30 étapes spécifiques HLS » sur diverses pièces matérielles.
Et on se rappelle que SpaceX n’est pas le seul fournisseur de HLS. Blue Origin a également obtenu un contrat de la NASA pour des services d’alunissage habités.
 
Car SpaceX avait été initialement, et de manière assez inattendue, choisie comme l’unique gagnant en 2021 pour les contrats HLS, après que la NASA se soit engagée à sélectionner plusieurs fournisseurs.
En réponse aux protestations des concurrents, le Government Accountability Office n’a trouvé aucun « préjudice concurrentiel » dans la décision de la NASA. Mais en octobre 2021, le Sénat américain a demandé à la NASA de sélectionner une deuxième entreprise, et l’agence a finalement choisi Blue Origin pour son système d’atterrisseur Blue Moon.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. l’épisode « Ultime récit - suite » des « Enquêtes de Charlotte ». 
[2] Cf. l’épisode « Menaces de chaos » des « Enquêtes de Charlotte ». 
[3] Cf. l’épisode « La tête dans les étoiles » des « Enquêtes de Charlotte ».
[4] Cf. notamment, l’épisode « La croisière d’Alexis » des « Enquêtes de Charlotte ».

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