Le napolitain à la manœuvre (2/3)
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci
n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du
pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son
auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
Gabriel Nissim Attal, le poulain d’André Santini, le « parrain du
neuf-deux-Sud » qui aime bien les « petits-juniors », ses
« poussins », succède dans les meubles de l’Hôtel Matignon à Babeth
Brown. Et il sera là pour festoyer à l’occasion des jeux olympiques et
accessoirement limiter les dégâts des prochaines élections européennes qui sont
prévues pour être une déculottée administrée par les « forces
réactionnaires » les plus sombres du pays contre celles « du
progrès civilisationnel »…
Lui aussi est un « transfuge » du Parti socialiste pour en avoir
été un militant convaincu et assidu durant seulement 10 ans, de 2006 à 2016, de
17 à 27 ans, avant de devenir membre du cabinet de la ministre de la Santé
Marisol Touraine à 23 ans, de 2012 à 2017, ainsi que conseiller municipal de
Vanves, dans les Hauts-de-Seine, en région parisienne, depuis 2014.
Il rejoint le parti présidentiel en 2016, avec la même conviction intacte, parti politique tout nouveau tout beau, dont il devient le porte-parole en 2018 et membre du bureau exécutif à partir de 2021 en remplacement de la vieille garde des fondateurs parfois iconoclastes (pour fréquenter aussi et entre autres des endroits peu recommandables et que la morale bourgeoise réprouvait, il y a encore peu).
Le talent n’attend donc pas le nombre des années et justement les réseaux parentaux des « forces de progrès » seront allés tenir la main et baliser les chemins en secours de ce benjamin-là qui aura tout fait en moins de 20 ans sans rien connaître à rien…
Élu député en 2017 dans la dixième circonscription des Hauts-de-Seine à l’Assemblée, il est membre de la commission des Affaires culturelles et de l’Éducation et rapporteur du projet de loi relative à l’orientation et à la réussite des étudiants.
En 2018, à 29 ans, il est nommé secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse dans le second gouvernement Philippe, devenant le plus jeune membre d’un gouvernement sous la Vème République puis porte-parole du gouvernement Casse-Tête, en 2020.
Carrière fulgurante…
Quelles ambitions pourrait-il nourrir par la suite alors que sa carrière est encore largement devant lui ?
Après la réélection de Makarond en 2022, il deviendra ministre délégué
chargé des Comptes publics dans le gouvernement de Babeth Brown et en juillet
2023 son ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse avant de remplacer
sa patronne.
Lui, il est issu de la filière de la bonne bourgeoisie rive-gauche qui envoie ses rejetons soit à l’école privée sous contrat Stanislas (6ème arrondissement de Paris), chez les « petit-gris », située derrière l’église Notre-Dame-des-Champs, soit à l’école privée Alsacienne (6ème arrondissement de Paris) rue d’Assas, ou encore à l’école privée Bossuet (6ème arrondissement de Paris), chez les « petits-noirs » de Saint-Sulpice.
Il aura pu compléter son carnet de « contacts » à l’IEP (6ème arrondissement de Paris), tout en évitant les lycées publics du 6ème et 7ème arrondissement de Paris des familles pourries par le « fric facile » et gangrénés par les trafics de drogue, mais sans avoir à passer par les lycées publics d’exception du 5ème arrondissement (de Paris, Louis le grand, Henry IV, Saint Louis…), faute de talent suffisant pour réussir un concours en se confrontant à la plèbe, de ceux qui ouvrent les grandes écoles de l’excellence, jusqu’à la rue d’Ulm ou anciennement de la rue Descartes.
Ashkénaze par son père, il est élevé dans la foi Orthodoxe-russe par sa mère descendant d’une famille de Russes blancs d’Odessa et il baptisé en la cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky de la rue Daru, rive droite de Paris… (8ème arrondissement) …
Celle de Poutine, rive gauche sur les berges de la Seine, sur l’ancien site des bâtiments de météo-France, n’existait pas encore…
Il devient le premier Premier ministre du pays à avoir été Pacsé (jusqu’en
2022) avec Stéphane Séjourné, alors conseiller politique à la présidence de la
République qu’il nomme ministre de l’Europe et des Affaires étrangères sous ses
ordres (probablement la reconnaissance du ventre…) alors que ce dernier est déjà
député européen (scrutin de liste bloquée oblige) et qu’il ne maîtrise aucune
langue étrangère !
Pas même quelques mots…
Attal, malgré son jeune âge cumule déjà les honneurs de la République : Grand-croix de l’ordre national du Mérite (en 2024), ex officio en tant que Premier ministre ayant exercé ses fonctions durant plus de six mois, Commandeur de l’ordre des Palmes académiques (en 2023), ex officio en tant que ministre de l’Éducation nationale, mais également nommé « Young Global Leader » par le Forum économique mondial (Davos 2020).
Pour rappel, le programme « Young Global Leaders » révèle chaque année les jeunes dirigeants les plus « exceptionnels ». Dans d’anciennes promotions, on retrouve Manuel Makarond, Christel Heydemann, directrice d’Orange, Marlène Schiappa, ex-ministre, etc…
D’ailleurs, le 4 avril 2024, sur les réseaux sociaux les publications qui
annonceront la nouvelle promotion des Young Global Leaders se multiplient.
Au total, 90 vingtenaires et trentenaires ont été sélectionnés dans ce programme concocté par le Forum économique mondial (autrement appelé Forum de Davos). Ils sont patrons d’entreprise, athlètes, hommes/femmes politiques, entrepreneurs sociaux, universitaires ou artistes, et issus de toutes les zones géographiques du monde.
Parmi eux, Alexander Rodnyansky, conseiller économique du président Ukrainien, Katharina Amann directrice générale d’une société d’assurance, le président de l’Équateur Daniel Noboa et une française, Camille François, directrice de l’innovation chez Graphika, une entreprise experte en analyse de l’influence sur les réseaux sociaux feront partie des lauréats.
Pour rappel, pendant trois ans, ces « jeunes leaders » ont accès
à des formations payantes dans les plus grandes universités du monde Harvard,
Stanford ou encore Wharton. Gestion d’entreprise, leadership, développement
durable, des formations qui couvrent des domaines variés.
Mais surtout et probablement le plus important, ils auront de multiples occasions de créer des liens avec des personnalités influentes du monde entier, notamment au sein des précédentes promotions, qu’ils n’auraient jamais côtoyées autrement.
En 20 ans, ce programme a vu passer des pointures du monde économique comme Elon Musk (Space X, Tesla), Mark Zuckerberg (Meta), Sergey Brin (cofondateur de Google), mais aussi l’acteur Leonardo DiCaprio ou le Premier ministre du Canada Justin Trudeau et quelques autres du même calibre.
C’est ce qui en fait le réseau social privé le plus exclusif au monde, selon certains observateurs avertis. En 20 ans d’existence, le programme compte près de 1.400 membres. Et il a tous les attributs d’un club hyper sélect. « Pour devenir Young Global Leader, il faut être parrainé par un ancien du programme ou un membre du forum économique mondial » et passer deux entretiens avec des anciens Young Leaders qui jaugent la motivation et l’intérêt de l’impétrant pour le programme proposé.
Bref, c’est un peu la crème de la crème, le jus de la cuisse de Jupiter, en quelque sorte.
Le nouveau gouvernement doit gagner les prochaines élections, les
européennes prévues les 8 et 9 juin prochain…
Un moment de bravoure…
81 députés européens à désigner. 38 listes de candidats sont présentées aux électeurs.
Au niveau européen, la Présidente la Commission européenne pendant cinq ans aura été marqué par la pandémie de Covid-19, qui a été suivi par l’achat en commun de vaccins et la mise en place d’un plan de relance européen également commun. Une première pour une construction politique interétatique…
Un mandat également marqué par l’invasion de l’Ukraine par la Russie, qui a eu pour conséquence une flambée des prix de l’énergie dans l’UE, un retour de l’inflation et une volonté de renforcer les moyens de défense de l’Europe.
De plus l’Ukraine s’est vu octroyer le statut de pays candidat à l’Union européenne, tout comme la Moldavie et la Géorgie.
Alors que les élections européennes de 2019 avaient été précédées par le mouvement des jeunes pour le climat et avaient vu un bon score des formations écologistes, le mandat d’Ursula Von der Leyen a aussi été marqué par la mise en place du pacte vert pour l’Europe (l’European Green Deal), porté par le vice-président de la Commission européenne Frans Timmermans. Or, ce pacte vert a été fortement critiqué à partir de 2023, notamment par les syndicats agricoles.
Il le sera également par les industriels, notamment des industries mécaniques et automobiles dans les années qui suivront.
À ce moment-là, les projections annoncent une montée en puissance des
partis eurosceptiques et de l’extrême droite, portées par leurs récents succès
électoraux aux Pays-Bas, en Italie, en Finlande et en Suède. L’Union européenne
est dans une situation de ralentissement économique, de mécontentement en zones
rurales, elle doit faire face au changement climatique, et les problématiques
de migrations reviennent régulièrement dans l’actualité.
En France, ces élections européennes sont les premières élections au suffrage universel direct depuis les élections présidentielle et législatives de 2022 qui ont vu la réélection de Manuel Makarond, puis la perte de sa majorité absolue à l’Assemblée nationale, enfin l’émergence d’une union des partis de gauche et finalement l’élection d’un nombre record de députés d’extrême droite !
Une succession de déculottages électoraux !
Les deux années qui ont suivi la réélection du président de la République
se sont effectivement déroulées dans un contexte social tendu, notamment à la
suite de la réforme des retraites augmentant par étapes l’âge légal de départ
de 62 à 64 ans, promulguée sans vote par l’utilisation de l’article 49.3 de la
constitution ce qui a débouché sur un mouvement social de grande ampleur.
Par ailleurs, on se souvient que le vote à la fin de l’année 2023 d’une loi sur l’immigration, qualifiée par le Rassemblement national de « victoire idéologique », provoque des tensions jusque dans le camp présidentiel.
Et sur le plan économique, le pays est toujours confronté à un déficit budgétaire plus élevé que prévu par le gouvernement.
La coalition du président, « Ensemble », est également
confrontée à une absence de figure majeure pour mener la liste prévue pour le
scrutin européen, la plupart des membres du gouvernement se désistant les uns
après les autres.
Un temps envisagé dans les sondages, Stéphane Séjourné est finalement nommé ministre de l’Europe et des Affaires étrangères dans le gouvernement Gabriel Attal, rendant peu probable sa désignation comme tête de liste.
Alors le Président choisit finalement la députée européenne Valérie Hayer, qui ne manque ni de charisme ni d’une certaine expérience des mandats électifs, et qui est pourtant vue par certains membres de la majorité comme « un choix par défaut ».
Bref, ça s’engage assez mal pour les troupes présidentielles.
Dès l’été 2022, plusieurs cadres de la coalition des partis de gauche
Nouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES) proposent la mise en
place d’une liste commune pour ces élections européennes.
Néanmoins, à la fin de l’année 2022, Europe Écologie Les Verts, par la voix de sa secrétaire nationale exclut totalement la possibilité d’une liste commune à la NUPES.
Le porte-parole du Parti communiste français (PCF), se déclare quant à lui « sceptique » au sujet de la formation d’une liste commune réunissant des partis ayant des « divergences profondes » sur la position à tenir vis-à-vis de l’Union européenne.
D’ailleurs, le 1er juillet 2023, le secrétaire général des jeunes communistes est désigné, par le conseil national du PCF, « chef de file » des communistes pour les élections européennes de 2024, avant que Marie Toussaint soit elle-même désignée tête de liste des écologistes le 10 juillet par les militants, avec 59,5 % face à David Cormand, qui sera en deuxième position sur la liste.
De son côté, Raphaël Glucksmann déclare le 13 septembre sa candidature aux élections européennes, en principe avec le PS, qui n’a pas encore choisi sa tête de liste. Il rappelle l’existence cette fois d’« oppositions de fond » avec les communistes et les insoumis par rapport à 2019, notamment sur la question de l’Ukraine et de l’Europe de la défense.
Le 5 octobre de la même année, les militants du PS votent à plus de 90 % pour une liste socialiste autonome, actant définitivement l’absence de liste commune aux partis de la NUPES.
Et Glucksmann est finalement désigné tête de liste par le PS le 31 janvier 2024.
Quant à LFI, le parti désignera la sémillante Manon Aubry, petite-fille d’un élu bonifacien et de parents, militants et élus à Saint-Raphaël, ville d’extrême-droite, ex-membre d’Oxfam au parcours de militante « touche-à-tout », pour conduire à nouveau la tête de liste au même moment, et qui aura même croisé Attal à Sciences-Po-Paris : ils sont de la même génération, mais pas issu du même moule !
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
Il rejoint le parti présidentiel en 2016, avec la même conviction intacte, parti politique tout nouveau tout beau, dont il devient le porte-parole en 2018 et membre du bureau exécutif à partir de 2021 en remplacement de la vieille garde des fondateurs parfois iconoclastes (pour fréquenter aussi et entre autres des endroits peu recommandables et que la morale bourgeoise réprouvait, il y a encore peu).
Le talent n’attend donc pas le nombre des années et justement les réseaux parentaux des « forces de progrès » seront allés tenir la main et baliser les chemins en secours de ce benjamin-là qui aura tout fait en moins de 20 ans sans rien connaître à rien…
Élu député en 2017 dans la dixième circonscription des Hauts-de-Seine à l’Assemblée, il est membre de la commission des Affaires culturelles et de l’Éducation et rapporteur du projet de loi relative à l’orientation et à la réussite des étudiants.
En 2018, à 29 ans, il est nommé secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse dans le second gouvernement Philippe, devenant le plus jeune membre d’un gouvernement sous la Vème République puis porte-parole du gouvernement Casse-Tête, en 2020.
Carrière fulgurante…
Quelles ambitions pourrait-il nourrir par la suite alors que sa carrière est encore largement devant lui ?
Lui, il est issu de la filière de la bonne bourgeoisie rive-gauche qui envoie ses rejetons soit à l’école privée sous contrat Stanislas (6ème arrondissement de Paris), chez les « petit-gris », située derrière l’église Notre-Dame-des-Champs, soit à l’école privée Alsacienne (6ème arrondissement de Paris) rue d’Assas, ou encore à l’école privée Bossuet (6ème arrondissement de Paris), chez les « petits-noirs » de Saint-Sulpice.
Il aura pu compléter son carnet de « contacts » à l’IEP (6ème arrondissement de Paris), tout en évitant les lycées publics du 6ème et 7ème arrondissement de Paris des familles pourries par le « fric facile » et gangrénés par les trafics de drogue, mais sans avoir à passer par les lycées publics d’exception du 5ème arrondissement (de Paris, Louis le grand, Henry IV, Saint Louis…), faute de talent suffisant pour réussir un concours en se confrontant à la plèbe, de ceux qui ouvrent les grandes écoles de l’excellence, jusqu’à la rue d’Ulm ou anciennement de la rue Descartes.
Ashkénaze par son père, il est élevé dans la foi Orthodoxe-russe par sa mère descendant d’une famille de Russes blancs d’Odessa et il baptisé en la cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky de la rue Daru, rive droite de Paris… (8ème arrondissement) …
Celle de Poutine, rive gauche sur les berges de la Seine, sur l’ancien site des bâtiments de météo-France, n’existait pas encore…
Pas même quelques mots…
Attal, malgré son jeune âge cumule déjà les honneurs de la République : Grand-croix de l’ordre national du Mérite (en 2024), ex officio en tant que Premier ministre ayant exercé ses fonctions durant plus de six mois, Commandeur de l’ordre des Palmes académiques (en 2023), ex officio en tant que ministre de l’Éducation nationale, mais également nommé « Young Global Leader » par le Forum économique mondial (Davos 2020).
Pour rappel, le programme « Young Global Leaders » révèle chaque année les jeunes dirigeants les plus « exceptionnels ». Dans d’anciennes promotions, on retrouve Manuel Makarond, Christel Heydemann, directrice d’Orange, Marlène Schiappa, ex-ministre, etc…
Au total, 90 vingtenaires et trentenaires ont été sélectionnés dans ce programme concocté par le Forum économique mondial (autrement appelé Forum de Davos). Ils sont patrons d’entreprise, athlètes, hommes/femmes politiques, entrepreneurs sociaux, universitaires ou artistes, et issus de toutes les zones géographiques du monde.
Parmi eux, Alexander Rodnyansky, conseiller économique du président Ukrainien, Katharina Amann directrice générale d’une société d’assurance, le président de l’Équateur Daniel Noboa et une française, Camille François, directrice de l’innovation chez Graphika, une entreprise experte en analyse de l’influence sur les réseaux sociaux feront partie des lauréats.
Mais surtout et probablement le plus important, ils auront de multiples occasions de créer des liens avec des personnalités influentes du monde entier, notamment au sein des précédentes promotions, qu’ils n’auraient jamais côtoyées autrement.
En 20 ans, ce programme a vu passer des pointures du monde économique comme Elon Musk (Space X, Tesla), Mark Zuckerberg (Meta), Sergey Brin (cofondateur de Google), mais aussi l’acteur Leonardo DiCaprio ou le Premier ministre du Canada Justin Trudeau et quelques autres du même calibre.
C’est ce qui en fait le réseau social privé le plus exclusif au monde, selon certains observateurs avertis. En 20 ans d’existence, le programme compte près de 1.400 membres. Et il a tous les attributs d’un club hyper sélect. « Pour devenir Young Global Leader, il faut être parrainé par un ancien du programme ou un membre du forum économique mondial » et passer deux entretiens avec des anciens Young Leaders qui jaugent la motivation et l’intérêt de l’impétrant pour le programme proposé.
Bref, c’est un peu la crème de la crème, le jus de la cuisse de Jupiter, en quelque sorte.
Un moment de bravoure…
81 députés européens à désigner. 38 listes de candidats sont présentées aux électeurs.
Au niveau européen, la Présidente la Commission européenne pendant cinq ans aura été marqué par la pandémie de Covid-19, qui a été suivi par l’achat en commun de vaccins et la mise en place d’un plan de relance européen également commun. Une première pour une construction politique interétatique…
Un mandat également marqué par l’invasion de l’Ukraine par la Russie, qui a eu pour conséquence une flambée des prix de l’énergie dans l’UE, un retour de l’inflation et une volonté de renforcer les moyens de défense de l’Europe.
De plus l’Ukraine s’est vu octroyer le statut de pays candidat à l’Union européenne, tout comme la Moldavie et la Géorgie.
Alors que les élections européennes de 2019 avaient été précédées par le mouvement des jeunes pour le climat et avaient vu un bon score des formations écologistes, le mandat d’Ursula Von der Leyen a aussi été marqué par la mise en place du pacte vert pour l’Europe (l’European Green Deal), porté par le vice-président de la Commission européenne Frans Timmermans. Or, ce pacte vert a été fortement critiqué à partir de 2023, notamment par les syndicats agricoles.
Il le sera également par les industriels, notamment des industries mécaniques et automobiles dans les années qui suivront.
En France, ces élections européennes sont les premières élections au suffrage universel direct depuis les élections présidentielle et législatives de 2022 qui ont vu la réélection de Manuel Makarond, puis la perte de sa majorité absolue à l’Assemblée nationale, enfin l’émergence d’une union des partis de gauche et finalement l’élection d’un nombre record de députés d’extrême droite !
Une succession de déculottages électoraux !
Par ailleurs, on se souvient que le vote à la fin de l’année 2023 d’une loi sur l’immigration, qualifiée par le Rassemblement national de « victoire idéologique », provoque des tensions jusque dans le camp présidentiel.
Et sur le plan économique, le pays est toujours confronté à un déficit budgétaire plus élevé que prévu par le gouvernement.
Un temps envisagé dans les sondages, Stéphane Séjourné est finalement nommé ministre de l’Europe et des Affaires étrangères dans le gouvernement Gabriel Attal, rendant peu probable sa désignation comme tête de liste.
Alors le Président choisit finalement la députée européenne Valérie Hayer, qui ne manque ni de charisme ni d’une certaine expérience des mandats électifs, et qui est pourtant vue par certains membres de la majorité comme « un choix par défaut ».
Bref, ça s’engage assez mal pour les troupes présidentielles.
Néanmoins, à la fin de l’année 2022, Europe Écologie Les Verts, par la voix de sa secrétaire nationale exclut totalement la possibilité d’une liste commune à la NUPES.
Le porte-parole du Parti communiste français (PCF), se déclare quant à lui « sceptique » au sujet de la formation d’une liste commune réunissant des partis ayant des « divergences profondes » sur la position à tenir vis-à-vis de l’Union européenne.
D’ailleurs, le 1er juillet 2023, le secrétaire général des jeunes communistes est désigné, par le conseil national du PCF, « chef de file » des communistes pour les élections européennes de 2024, avant que Marie Toussaint soit elle-même désignée tête de liste des écologistes le 10 juillet par les militants, avec 59,5 % face à David Cormand, qui sera en deuxième position sur la liste.
De son côté, Raphaël Glucksmann déclare le 13 septembre sa candidature aux élections européennes, en principe avec le PS, qui n’a pas encore choisi sa tête de liste. Il rappelle l’existence cette fois d’« oppositions de fond » avec les communistes et les insoumis par rapport à 2019, notamment sur la question de l’Ukraine et de l’Europe de la défense.
Le 5 octobre de la même année, les militants du PS votent à plus de 90 % pour une liste socialiste autonome, actant définitivement l’absence de liste commune aux partis de la NUPES.
Et Glucksmann est finalement désigné tête de liste par le PS le 31 janvier 2024.
Quant à LFI, le parti désignera la sémillante Manon Aubry, petite-fille d’un élu bonifacien et de parents, militants et élus à Saint-Raphaël, ville d’extrême-droite, ex-membre d’Oxfam au parcours de militante « touche-à-tout », pour conduire à nouveau la tête de liste au même moment, et qui aura même croisé Attal à Sciences-Po-Paris : ils sont de la même génération, mais pas issu du même moule !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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