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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 17 juillet 2025

Un premier trimestre sur les chapeaux de roue (5/13)

Les aventures napolitaines de Julie (5/6)
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
C’est au cours du XIXème siècle que les fonds du musée continuèrent de s’enrichir de plusieurs collections privées, parmi lesquelles celle de Caroline Murat et la bibliothèque du comte Eduardo Lucchesi Palli.
En 1860, après l’unification de l’Italie, le musée devint « Musée national de Naples », propriété de l’État et Giulio De Petra en assura un temps la direction. Après le transfert en 1925 de la bibliothèque au Palais royal, et, en 1957, de la pinacothèque au Palais de Capodimonte, le musée fut entièrement consacré à l’archéologie sous le nom de « Musée archéologique national de Naples ».
 
La richesse des collections qui rend la visite de ce musée – qui accueille aussi les jeunes élèves des écoles publiques et ceux des beaux-arts, plus quelques équipes d’archéologues qui travaillent à la restauration des œuvres exposées – incontournable est due aux fouilles des villes ensevelies de Pompéi et Herculanum ainsi qu’aux antiquités gréco-romaines de la collection Farnèse, qui constituent le noyau de la collection.
Pendant plus d’un siècle, on y vit affluer les découvertes de tout le territoire du royaume de Naples. Et différentes collections achetées ou reçues en don (Borgia de Velletri, Lovisato, Spinelli) ont également enrichi l’ensemble.
La très importante collection de mosaïques provient en grande partie des villes proches du Vésuve, notamment Pompéi, Herculanum et de Stabies. Elle abrite notamment les célèbres œuvres de la Mosaïque d’Alexandre et l’Académie de Platon.
La section des Fresques du musée représente la plus grande collection au monde de fresques d’époque romaine. Parmi les plus célèbres, le portrait de Paquius Proculus et son épouse, le portrait d’une jeune femme (dite Sappho), Couple en vol, Achille et Briséis, Pain et figues, les déesses Flora, Diana, Médée et Léda en provenance de Stabies ou encore des peintures de Boscoreale, etc.
La collection, composée lors des fouilles à Herculanum et à Pompéi, est également la plus importante au monde pour l’argenterie romaine.
La collection de gemmes comprend plus de 2.000 pièces, comprenant des camées et des pierres précieuses gravées et travaillées, dont le noyau original est constitué par la collection médicéenne de Laurent de Médicis.
Parmi elles, la célèbre « Tasse Farnèse », coupe hellénistique d’environ 20 cm de diamètre, le plus grand camée que l’on connaisse. Quant à la collection d’objets en verre, elle est riche de plus de 4.000 pièces provenant principalement des fouilles d’Herculanum et de Pompéi où on y voit notamment le fameux Vase bleu.
 
La collection égyptienne du musée est, en importance, la troisième d’Italie, après celle du Musée égyptien de Turin et celle du Musée archéologique de Florence. Elle compte près de 2.500 œuvres.
Mais le musée abrite également diverses œuvres érotiques antiques, provenant surtout de Pompéi et d’Herculanum. Longtemps censurée par les Bourbons, puis par la monarchie italienne, sa visite n’était possible sous Mussolini que sur demande expresse auprès du ministère de la Culture.
La censure a perduré par la suite jusqu’en 1967, puis le ministère a autorisé les visites en 1971, sous certaines conditions.
Complètement réaménagée il y a quelques années, la collection a finalement ouvert au public en avril 2000 sous l’appellation du « Cabinet secret ».
On y mire les « Trois grâces », le brasero tripode de bronze aux satyres ithyphalliques et des fresques érotiques.
Est exposé dans ce recoin du musée le « Priape » qui pèse son attribut masculin démesuré et on peut également s’attarder sur une statue représentant un satyre à figure humaine qui s’accouple avec une chèvre renversée sur le dos, les quatre sabots en l’air avec une expression de ravissement et d’abandon particulièrement saisissante.
 
La collection numismatique provient en grande partie des anciennes collections Farnèse et Borgia, et abrite près de 150.000 monnaies, médailles et pièces, principalement antiques.
Quant à la collection épigraphique, elle a été rouverte au public après l’achèvement de la connexion entre le musée et le métro : composée de plus de deux mille pièces écrites dans les dialectes grec, latin et italien, elle constitue également l’une des plus importantes collections paléographiques en quantité et en qualité.
Ici aussi, comme pour d’autres sections du musée, la section est le résultat de plusieurs petites collections achetées ou versées au musée au fil des ans.
Celles-ci trouvent leur point d’appui dans la collection Farnèse de Fulvio Orsini, héritée du XVIIIème siècle par Carlo di Borbone, et celle Borgia, rachetée par Gioacchino Murat en 1814 avec la collection de pièces de monnaie et autres découvertes archéologiques.
Un musée-paradis pour Julie, amoureuse-née des antiquités.
 
Et là où elle a été au comble du ravissement, c’est à Pompéi, la ville et cité antique située dans la région italienne de Campanie, célèbre pour avoir été ensevelie en août 79 lors d’une éruption du Vésuve, volcan situé à 9 km de là au Nord-ouest.
Les origines de la cité sont mal connues. On suppose qu’elle fut fondée par une communauté locale issue des groupes osques qui occupèrent la région aux côtés des Grecs et des Étrusques, à la suite du mouvement de colonisation grecque de la côte tyrrhénienne au VIIèmeVIIème siècle avant J.-C.
Les Étrusques s’en emparèrent ensuite vraisemblablement au VIème siècle avant J.-C., et y élevèrent sa première muraille en pierre de « pappamonte » vers 570 avant J.-C.
Par la suite, Pompéi est très certainement conquise par les Samnites vers 425 avant J.-C., comme l’attestent les très nombreuses inscriptions en langue osque découvertes dans les fouilles de la ville.
Elle tombe ensuite dans l’escarcelle romaine avec le reste du territoire samnite en 290 avant J.-C., sans pour autant devenir une cité romaine à proprement parler.
Pompéi demeure d’ailleurs une communauté oscophone et italique jusqu’au tournant de la Guerre sociale au cours de laquelle elle est assiégée et prise par le général romain Lucius Cornelius Sylla, qui y fonde une colonie romaine en y installant près de 2.000 vétérans.
La romanisation et surtout la latinisation de la cité s’accélèrent alors au détriment vraisemblable, dans les premiers temps, de la communauté samnite originelle.
 
Menant une vie relativement prospère au sein d’une région fertile, la Campanie, Pompéi est atteinte par plusieurs catastrophes naturelles au cours du Ier siècle de notre ère : tout d’abord, un puissant séisme en 62 qui met hors d’état de fonctionnement plusieurs édifices thermaux et une bonne partie du réseau d’eau courante. Enfin, Pompéi est détruite en même temps qu’Herculanum, Oplontis et Stabies lors de l’éruption du Vésuve survenue au cours de l’automne 79.
Enfouie sous plusieurs mètres de sédiments volcaniques, la ville est l’objet de brèves tentatives de récupération de divers matériaux et richesses au cours de l’Antiquité, notamment sous le règne de Titus. Mais la grande quantité de matériaux éruptifs rend cependant impossible un pillage systématique du site, ce qui paradoxalement va le protéger de toutes les spoliations courantes dont furent atteintes les villes antiques au cours du Moyen-Âge.
La ville sombre ensuite dans un relatif oubli durant quinze siècles. Et ce malgré quelques mentions dans les poèmes de Stace et de Martial (Ier siècle), l’oubli recouvre rapidement le plateau de Civita où la ville se situe.
Une première fois, en 1592, les vestiges sont touchés par l’activité humaine, lors de la construction du canal du Sarno. Mais Pompéi n’est réellement redécouverte qu’au XVIIème siècle. L’ancienne cité romaine s’avère dans un état de conservation absolument remarquable, au moins aussi bien que Knossos en Crète, qui est nettement moins étendue. Les fouilles entreprises à partir du XVIIIème siècle, notamment à partir de 1748, permettent d’exhumer une ville entière qui constitue un précieux témoignage de l’urbanisme et de la civilisation de la Rome antique.
Depuis 1997, le site est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, de même que ceux d’Herculanum et d’Oplontis à Torre Annunziata.
 
Le volcan, éteint depuis plusieurs siècles, n’était pas une source d’inquiétude pour les habitants de la région. Ils n’en ignoraient toutefois pas complètement la nature, comme en témoignent quelques lignes de Vitruve (Ier siècle avant J.-C.). La terre, riche comme le sont tous les sols d’origine volcanique, permettait, en particulier, la culture de la vigne et donc favorisait l’afflux de population. Le nombre d’habitants de Pompéi au moment de sa destruction se situait dans une fourchette comprise entre 7.500 et 13.500 personnes.
Pompéi est de plus située près de l’embouchure du fleuve Sarno dont la navigabilité fait de la ville, toujours selon Strabon, « un port à Nola, Nocera et Acherra », villes situées à l’intérieur des terres. La situation élevée de la ville construite sur un plateau (33 m) en fait un poste stratégique pour la surveillance du déplacement des navires dans la baie de Naples. Mais la ville n’est pas entourée de sources et c’est un inconvénient. Les Romains ont donc construit des citernes d’eau pluviale, puis un aqueduc partant du fleuve Sarno pour assurer l’approvisionnement de la ville.
Pompéi était donc une terre prospère quand elle fut entièrement dévastée par l’éruption du Vésuve. La date du 24 août 79, déduite du récit de Pline le Jeune, témoin direct de l’éruption, a été retenue par les chercheurs.
Cette fin tragique explique en partie la renommée de la ville. Quant aux fouilles archéologiques, elles ont permis de mettre au jour une cité florissante, et de faire revivre toute une société et la richesse de son histoire.
 
La richesse de Pompéi provenait de la terre. Les fertiles sols volcaniques étaient certes propices à la culture de la vigne comme on vient de le dire, et la mer était poissonneuse. Même les pierres de la région rapportaient de l’argent aux gens du cru : elles faisaient les meilleures meules de moulin à huile de tout le pays.
Le résultat de ce remarquable développement fut immédiat : à l’extérieur, il conduisit à un accroissement de Pompéi par rapport aux autres villes de Campanie, à l’intérieur, la conséquence fut l’augmentation générale de la qualité de vie d’une grande partie des différentes classes sociales. C’est ainsi que la classe des commerçants et des entrepreneurs, qui avaient fait la fortune de Pompéi, ne cessa de se développer, favorisée par l’exportation de l’huile, du vin et des parfums issus de fleurs (rose, giroflée, crocus), feuilles (myrte, vigne), racines (iris, valériane) ou fruits (coing, myrte, laurier).
L’économie florissante entraîna un accroissement démographique considérable, une augmentation du niveau de vie de la population ainsi que l’embellissement de la ville. Les nouveaux riches, désireux de prévaloir sur la classe aristocratique traditionnellement détentrice du pouvoir, entrèrent en compétition pour faire étalage de leur opulence par le biais de somptueuses demeures, d’objets et de bijoux précieux.
Les tremblements de terre des années précédentes ayant à plusieurs reprises endommagé les villae des riches familles patriciennes, beaucoup de ces familiae étaient parties s’installer dans des régions moins sismogènes et avaient vendu leurs propriétés à ces nouveaux riches, notamment des esclaves affranchis ayant amassé de coquettes sommes dans le négoce, l’agriculture ou d’autres activités plus ou moins louches.
L’expansion urbaine se réalisa surtout le long de la voie de l’Abondance (via dell’Abbondanza), centre symbolique de la nouvelle classe émergente.
 
En 79, Pline le Jeune, qui était à Misène, décrit l’éruption dans deux de ses Lettres à Tacite : « Un nuage d’une taille et d’un aspect inhabituel… Sa forme rappelait celle d’un arbre et, plus exactement, celle d’un pin. Il se dressait comme un tronc gigantesque et s’élargissait dans les airs en rameaux. »
Le Vésuve commence par déverser sur la ville et sur celles d’Herculanum et de Stabies, toutes proches, une énorme masse de scories volcaniques, en particulier de la pierre ponce qui recouvre les édifices sur une couche de près de 3 mètres, ce qui correspond à un dépôt de 15 cm/h. Puis la ville est ensevelie sous une épaisse couche de matériaux éruptifs, jusqu’à 2,8 mètres de scories (lapilli) et quelque 1,8 mètre de cendres volcaniques. À Herculanum, les dépôts de matériaux éruptifs atteignent plus de 20 mètres. Les habitants qui n’ont pas pris la fuite trouvent la mort à la suite de l’écroulement de leurs maisons sous le poids des pierres ponces ou par asphyxie, du fait des nuées ardentes qui déferlent ensuite à une allure plus rapide qu’un cheval lancé au galop quand le magma se répand tout autour du cratère.
 
La température des roches est telle qu’on aura retrouvé des restes humains le crâne explosé, comme si le cerveau et les autres viscères avait été portés à ébullition et même au-delà, cuits à Ultra Haute Température (UHT, comme les briques de lait contemporain).
Les corps ont naturellement disparu avec le temps, mais on aura obtenu des moulages en plâtre à partir des cavités laissées dans les laves solidifiées vingt siècles plus tard.
Beaucoup sont recroquevillés ou sont saisis allongés, les membres repliés presque en position fœtale incomplète : c’est dû à la « cuisson » instantanée des muscles et chairs encore attachés aux os de leurs membres…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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