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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 7 juillet 2025

2024, une année qui va être difficile (7/12)

La farandole des cyborgs (7/7)
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Florence enchaîne. Elle a un coup de crayon assez sûr et trace facilement des esquisses et croquis. Elle assume ce soir-là que pour dessiner avec de bonnes proportions une personne, il faut pouvoir commencer par tracer une ligne verticale pour définir la hauteur de notre personnage.
Puis, en divisant cette ligne en deux, nous obtiendrons l’emplacement du pubis.
En divisant cette ligne en 4 parties égales, on obtient de nouveaux repères pour les proportions du corps.
Le premier quart marque les aisselles, tandis que le dernier l’emplacement du bas du genou.
Il n’y a plus qu’à marquer un repère au milieu du quart en haut pour avoir l’emplacement de la tête.
« En fait, tout est question de quarts et de milieux ! »
On divise ensuite la moitié haute en tiers pour obtenir l’emplacement des épaules et le bas des côtes.
« Et pour faciliter la vie, il faut toujours penser en tiers ou en moitié. C’est ainsi super simple de retenir les relations qu’ont les membres entre eux ! En mémorisant cette technique, il devient beaucoup plus facile de positionner nos éléments de tête. »
Elle captive son auditoire en joignant le geste et la parole, commentant une esquisse faite à mainlevée sur une feuille volante : « Une fois que nous avons nos repères en place, nous pouvons débuter en dessinant la tête et les épaules. La largeur des épaules est en effet généralement équivalente à deux fois la hauteur de la tête. Ensuite, nous pouvons créer un triangle reliant les épaules au pubis pour esquisser la forme de base du corps.
Puis, nous traçons un triangle inversé, allant du bassin jusqu’à la base du cou.
Chez les hommes, le bassin sera généralement plus étroit que les épaules, tandis que chez les femmes, ce sera l’inverse.
Enfin, nous esquissons un triangle qui descend jusqu’aux pieds pour définir la forme globale du corps.
Les mains se positionneront généralement au niveau des mi-cuisses.
La taille se situera sous le bas des côtes, et les coudes seront parfaitement alignés.
En pensant en termes de formes géométriques simples, il devient plus aisé de tracer les bases du corps de manière cohérente. »
Elle n’a pas fait École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de la rue Bonaparte à Paris pour rien et finir diplômée du bâtiment contigu à la même adresse postale, rive gauche… à savoir l’École Nationale Supérieure d’Architecture (ENSA) Paris-Malaquais – Université Paris Sciences & Lettres.
 
« À partir de nos proportions, nous pouvons casser les contours pour ajouter du détail et donner un aspect plus humain à notre personnage. Pour ça, pas besoin de nous compliquer la vie : nous ne traçons que des formes simples.
Tous les éléments du corps peuvent être simplifié en formes très basiques : triangles, hexagone, carré, etc. En traçant le moins de lignes possible, nous créons une base très rapide et complète, aux bonnes proportions. »
Et de préciser, entre deux gorgées, ce soir-là : « Le corps d’une femme suit les mêmes règles que pour le corps d’un homme. Les placements sont les mêmes, seules quelques ratios changent. Le bassin sera par exemple plus large ou équivalent à la largeur des épaules.
L’essentiel est de casser les contours en formes simples. Les genoux peuvent être simplifiés en trois traits. Les pieds et les mollets s’apparentent à des triangles. Nous allons toujours au plus simple.
Et une fois que nous comprenons comment s’établissent les relations entre les différentes parties du corps humain, le dessin devient une question de formes.
Nous pouvons jouer avec celles-ci pour créer des personnages uniques et originaux. »
Et pour illustrer son propos, elle aura saisi une feuille de papier au format A4, un stylo à pointe bille et finit de tracer des lignes entre un cadrillage de 8 carrés empilés verticalement, coupés par une ligne médiane en deux parties égales…
Bluffant.
 
« Si nous continuons avec notre exemple de vue de face, nous pouvons commencer par simplifier nos formes et les modifier. Cette approche simpliste nous permet de poser rapidement les proportions pour ensuite ajouter les détails et l’anatomie.
La méthode des 8 têtes et des triangles fonctionnent sur des personnages de face ou de dos. Dès qu’un personnage est en mouvement ou dans des poses plus complexes, il faudra s’adapter. »
Le canon à 8 têtes est un guide, et sert simplement de repère, mais ça ne va pas résoudre tous les problèmes. Pour ça, il faut changer de perception et passer d’un dessin en 2D à un dessin en 3D.
« Modifier la pose d’un corps ne change pas ses proportions dans la réalité. Les proportions semblent changer en raison de la perspective. En effet, un corps humain évolue sur un plan en 3D et, comme tout autre objet, il est soumis à la perspective.
Pour passer d’une vision 2D où nous dessinions des carrés et des triangles à une vision en 3D, il faut dessiner des cubes et des cylindres. »
Il n’y a pas de raccourcis magiques pour cela. La clé consiste à simplifier ce qu’on voit en volumes basiques.
« Un corps humain est très complexe, mais en le simplifiant, il devient plus facile à dessiner » fait elle en illustrant encore son discours avec son coup de crayon qui prend forme…
« Ensuite, il devient plus facile d’obtenir de bonnes proportions lorsqu’on va essayer de placer des muscles dans nos cylindres. »
 
« Pour les femmes, elles font 7,5 têtes de haut en moyenne. La largeur de la tête rentre deux fois dans la largeur des épaules. On peut mettre 4 têtes du sommet du crâne au pubis. Et 3,5 têtes de la plante des pieds aux hanches. Les hanches sont plus larges que les épaules. La taille est marquée. »
Et elle recommence à dessiner au stylo bille une autre silhouette sur le verso de sa feuille A4.
« Une femme, c’est plus de courbes et de contre-courbes que pour un homme qui aura une musculature plus apparente. Quant aux enfants, Paul a raison : les proportions sont différentes de celles des adultes. Plus l’enfant est jeune, plus sa tête prend une place importante.
Pour un enfant de 6 ans, on compte que la hauteur du corps est égale à 6 fois la hauteur de sa tête. Pour un enfant de 12 ans, c’est 7 fois.
Le texte est rédigé par Léonard de Vinci en vieux toscan et à l’envers, selon la technique de l’écriture spéculaire qui nécessite un miroir la déchiffrer indique que « quatre doigts font une paume, et quatre paumes font un pied, six paumes font un coude, quatre coudes font la hauteur d’un homme. Et quatre coudes font un double pas, et vingt-quatre paumes font un homme » et il a utilisé ces mesures dans toutes ses constructions. »
 
Et de préciser que Léonard de Vinci aura indiqué que « la longueur des bras étendus d’un homme est égale à sa hauteur. Depuis la racine des cheveux jusqu’au bas du menton, il y a un dixième de la hauteur d’un homme. Depuis le bas du menton jusqu’au sommet de la tête, un huitième. Depuis le haut de la poitrine jusqu’au sommet de la tête, un sixième ; depuis le haut de la poitrine jusqu’à la racine de cheveux, un septième.
Depuis les tétons jusqu’au sommet de la tête, un quart de la hauteur de l’homme. La plus grande largeur des épaules est contenue dans le quart d’un homme. Depuis le coude jusqu’au bout de la main, un quart. Depuis le coude jusqu’à l'aisselle, un huitième.
La main complète est un dixième de l’homme. La naissance du membre viril est exactement au milieu. Le pied est un septième de l’homme. Depuis la plante du pied jusqu’en dessous du genou, on a un quart de l’homme. Depuis sous le genou jusqu’au début des parties génitales, un autre quart de l’homme.
La distance du bas du menton au nez, et des racines des cheveux aux sourcils est la même, ainsi que l’oreille : un tiers du visage. »
C’est précis…
 
« Oui, mais pour Makarond, Paul a-t-il raison ? » demande alors Alexis.
Il faudrait une photo, mais a priori, là, dans son intervention télévisée, oui : il apparaît difforme.
« De toute façon, ce n’est pas un très bel homme. Il taille 1,77 cm soit 2 cm de plus que la moyenne des Français. Il a un grand nez en équerre et les yeux rapprochés » fait l’architecte des beaux-arts…
Évidemment, à côté de Paul et de son quasi double-mètre, il lui rendrait une bonne tête.
Comme les regards restent appuyés sur Paul, celui-ci retrouve des souvenirs : « Oui mais une grande taille, c’est aussi un handicap : j’étais obligé de me plier et de me tasser dans certains cockpits d’avion-école. Je ne te dis pas dans un planeur où j’ai appris à voler !!! »
On imagine…
 
Il n’empêche que si la soirée se prolonge mollement à quelques encablures de l’île du chat, dans la baie de Grand Port sur la partie orientale de l’Île Maurice, ce n’est pas l’effet du hasard en cette période de vacances scolaires de Noël.
Les gamins rentrent d’ailleurs avec leur mère par le vol du lendemain, qui mettra plus de 11 heures sans escale à rejoindre la capitale française, après avoir passé quelques jours sur place, et avoir fêté Noël en famille chez leur grands-parents, dans le Vaucluse. Florence tient à ces noëls en famille et Paul y consent bien volontiers, même s’il compte prolonger son séjour dans l’océan Indien pour rejoindre ses installations dans les Chagos.
C’est aussi pour des raisons fiscales : il ne doit pas séjourner en France plus de 183 jours, ce qui rendrait le fisc tricolore compétent pour examiner sa situation fiscale personnelle.
Ce n’est pas qu’il fraude, mais il est trop tôt pour faire apparaître sa fondation Luxembourgeoise, ce que lui répète sans cesse Lady Joan, sa conseillère patrimoniale sise à London City.
 
La destination retenue de vacances de fin d’année pour les enfants à Port Louis n’est d’ailleurs pas tout-à-fait un hasard. Normalement, pour aller aux Chagos, « l’escale technique » de la compagnie aérienne de Paul, « Paradize Airways » depuis CDG – Paris, reste La Réunion. Mais ça aurait pu être l’Île Maurice qui n’est jamais distante de sa voisine que de 122 milles nautique (226 km), dans l’Est-Nord-Est.
On aurait pu y aller également depuis les Seychelles, situées plus au Nord que les îles Mascareignes, ou carrément des Îles Maldives situées dans l’hémisphère Nord sur la même longitude, Mahé n’étant jamais située qu’à 634 nautiques (1.174 km) du premier atoll chagossien le plus proche, dans l’hémisphère Sud, là où se situe l’atoll de Paul.
Mais il y a une autre raison, cette année-là.
Et ce n’est pas parce qu’ils conduisent à gauche sur les chaussées dans le sens de la circulation, comme au Royaume-Uni…
Ni parce qu’à leur arrivée à l’aéroport Sir Seewoosagur Ramgoolam, tous les voyageurs, qu’ils soient vaccinés ou non, doivent remettre aux autorités mauriciennes un formulaire d’identification passager et de santé.
 
Ni parce que c’est aussi un paradis tropical qui offre à ses visiteurs autant d’aventures que de paysages époustouflants. Car ce petit paradis insulaire sur l’océan Indien est aussi réputé pour ses plages, ses cascades, ses lagons et ses montagnes.
Port-Louis, la capitale moderne de cette île de 65 km de long et 45 km de large, est un port animé avec un élégant front de mer et un marché coloré. Bien qu’elle vaille le détour, la plupart des visiteurs gravitent autour des zones de villégiature.
Le village de Mont Choisy est le plus chic, Trou-aux-Biches le plus calme et Flic-en-Flac le plus dynamique (et le repère des plongeurs).
Les pêcheurs préféreront quant à eux le district de Rivière Noire qui offre des conditions propices à la pêche en haute mer.
Les complexes cinq étoiles ne manquent pas, mais il est également possible de choisir des options économiques avec une ambiance bohème.
Souvent comparée à une petite Singapour, Port-Louis est en effet une véritable fourmilière où vieilles demeures et anciennes bâtisses coloniales, côtoient d’imposant buildings modernes.
 
La citadelle de Port-Louis, sa vallée des prêtres, son champ de mars (plus vieil hippodrome de l’Océan Indien), le quartier chinois, l’allée des voyageurs ou encore le grand bazar font partie des sites incontournables de la ville.
D’autant que la ville possède une végétation luxuriante dont on peut profiter un peu partout, même si Le parc du « Pouce » s’impose, alors que pour se détendre le Jardin de la Compagnie est idéal.
La famille de Paul aura parcouru la ville à la recherche des dernières maisons créoles de style colonial.
Et la ville compte aussi quelques grands édifices, parmi lesquels Bank of Mauritius Tower, la Telecom Tower, la Newton Tower, la Paille en Queue Courtet laGarden Tower.
À ne pas manquer non plus la Place d’Armes, le Théâtre de Port Louis, et le Parlement, bien entendu.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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