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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 1 juillet 2025

2024, une année qui va être difficile (1/12)

La farandole des cyborgs (1/7)
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
On le savait avant même que ne débute cette année bissextile, promise à de nombreuses élections prévues tout au long des mois qui viennent. Une année qui plus est à caractère olympique : toute la planète-sport a rendez-vous à Paris-Ville-Lumières, ce qui est de toute façon exceptionnel !
Et cette vaste campagne électorale, transcontinentale, pourrait-on dire, aura commencé dès le 14 décembre 2023, lors de la conférence de presse annuelle de Vladimir Poutine qui promet officiellement à ses électeurs une Russie victorieuse dans les prochains mois en Ukraine !
Un an plus tard, il y sera encore…
On a raison de dire que les promesses n’engagent que ceux qui y croient…
Et tout le monde aura noté qu’il a affiché une confiance sans limite, lors de cette « grande conférence de presse annuelle » à Moscou.
Mais il n’aura pas fait que ça.
 
En ouverture, le président russe a affirmé que le pays était suffisamment solide pour « aller de l’avant » malgré les sanctions économiques, la guerre en Ukraine et la confrontation avec les Occidentaux.
« Au moins tenir ainsi encore quelques mois… » aura traduit Gustave Morthe-de-l’Argentière, lui aussi quelque peu optimiste, lors du Codir suivant dans les locaux de la Cisa, en présence des responsables de service et notamment, d’Alexis Dubois, la narratrice de ce recueil qui n’est responsable de rien, alors que Paul de Bréveuil, l’actionnaire de la société, reste en « visio » probablement depuis son repère des Chagos… 
 
Selon Vladimir Poutine, interrogé sur la résistance de l’économie aux sanctions, la Russie dispose d’une « marge de sécurité suffisante » du fait de la « forte consolidation de la société », la « stabilité du système financier et économique du pays » et de « l’augmentation des capacités militaires » de Moscou.
Cette marge est « suffisante non seulement pour se sentir en confiance, mais aussi pour aller de l'avant », aura assuré le président russe, qui avait récemment annoncé son intention de briguer un nouveau mandat en mars 2024, mandat qui pourrait le faire rester au Kremlin au moins jusqu’en 2030.
Il a malgré tout reconnu que l’inflation restait forte en Russie, attendue entre 7,5 et 8 % à la fin de l’année, source d’inquiétude au sein de la population, et il a promis que la Banque centrale prendrait les mesures appropriées pour la juguler.
Le dirigeant russe a dit s’attendre également à une croissance du PIB de 3,5 % cette année : « Cela signifie que nous avons rattrapé notre retard et que nous avons fait un grand pas en avant », a-t-il soutenu.
Forcément, l’effort de guerre, même non financé, affole un peu les compteurs économiques.
Et puis la « Sainte-Russie » continue de vendre assez de ses hydrocarbures pour financer encore un peu cet effort de guerre. Et l’industrie a pu être réorientée sur les commandes d’État d’armements et de munitions au détriment des biens de consommations et d’équipements courants.
L’économie de guerre russe semble ainsi avoir absorbé le choc immédiat des sanctions même si leurs effets à plus long terme peuvent être dévastateurs, le pays étant coupé de certaines technologies de pointe et de pans entiers du système bancaire international.
 
Sur le plan diplomatique, Moscou peut aussi se satisfaire, à ce moment-là, de voir les soutiens occidentaux de l’Ukraine se quereller sur la poursuite de leur aide militaire et sur les perspectives d’adhésion de l’Ukraine à l’UE.
Concernant justement la guerre en Ukraine, Vladimir Poutine a une nouvelle fois répété l’objectif affiché de Moscou, à savoir la « dénazification » et la « démilitarisation » de son voisin, sans quoi la paix ne sera pas possible, selon lui. « Je vous rappelle ce dont nous avons parlé : la dénazification et la démilitarisation de l’Ukraine, son statut de neutralité », a-t-il déclaré lors cet événement télévisé – c’est toujours plus facile de soumettre un pays démilitarisé qu’armé jusqu’aux dents – événement télévisuel qui, cette année, combinait deux traditionnels rendez-vous médiatiques, la conférence de presse du président et sa « ligne directe » avec la population russe.
Vladimir Poutine a ainsi martelé que la solution « sera négociée ou obtenue par la force ».
« Il y aura la paix lorsque nous aurons atteint nos objectifs », a insisté le président russe. « La victoire sera à nous », a-t-il clamé sûr de lui, promettant de se rendre, à une date indéterminée, dans les régions d’Ukraine dont Moscou a revendiqué l’annexion en septembre 2022.
 
Le Président Vladimir Poutine a aussi affirmé que l’armée russe « améliore » ses positions sur quasiment toute la ligne de front en Ukraine : « Pratiquement sur toute la longueur de la ligne de contact, nos forces armées améliorent leurs positions. Presque toutes sont en phase active ».
Par ailleurs, une nouvelle mobilisation militaire n’est pas prévue pour le moment, a-t-il fait savoir pour rassurer : « Aujourd'hui, cela n’est pas nécessaire », a-t-il jugé, soulignant que 486.000 soldats avaient été recrutés volontairement cette année.
Les pertes de son armée n’ont, en revanche, pas été révélées. Les États-Unis avancent l’estimation de 315.000 militaires blessés ou tués : une boucherie.
 
Selon la télévision russe, plus de 2,8 millions de questions ont été envoyées à Vladimir Poutine pour l’émission de ce jeudi-là, couvrant l’Ukraine mais aussi des problèmes de la vie quotidienne.
Ce rendez-vous médiatique a été l’occasion pour les citoyens russes d’exposer leurs doléances à leur président. Certaines d’entre elles ont été réglées quasiment en direct. Des enfants ont notamment obtenu la rénovation d’une salle de sport en Crimée, un territoire ukrainien annexé.
Mais les messages critiques envoyés par SMS, qui apparaissaient sur un écran géant dans le studio, n’ont pas été préalablement soumis au président, veut-on laisser croire. Ainsi on aura pu lire les messages suivants en bas d’écran : « Pas besoin d’être candidat à un nouveau mandat. Laissez la place aux jeunes », a notamment fait savoir un spectateur. Un autre écrit : « Pourquoi votre réalité est-elle différente de la nôtre ? ».
Ou encore : « Vladimir Vladimirovitch, dîtes-nous s’il vous plaît, quand allons-nous mieux vivre ? » auront également interrogé deux internautes.
 
Ce marathon de questions-réponses est en effet l’occasion pour Vladimir Poutine de faire campagne, une semaine après avoir fait part de son ambition de rester au Kremlin – au moins jusqu’en 2030, l’année de ses 78 ans.
L’opposition a été méthodiquement éradiquée par le Kremlin, si bien que le scrutin de mars 2024 apparaît déjà en cette fin d’année 2023 comme une simple formalité.
À ce moment-là, son principal détracteur, le militant anticorruption emprisonné Alexeï Navalny, est d’ailleurs introuvable depuis plus d’une semaine. Cela pourrait signifier son transfert vers une colonie pénitentiaire aux conditions de détention encore plus rudes, où il devra purger sa peine de 19 ans de prison pour « extrémisme ».
Il ne sera annoncé comme décédé que trois mois plus tard, le 16 février 2024, incarcéré dans la colonie pénitentiaire n° 3, à Kharp, en Iamalie. Probablement mort d’épuisement ou sous les coups de ses geôliers…
Quant à ses concurrents, ils appellent eux-mêmes, plus ou moins directement, à soutenir le Président sortant.
 
Mais lors de cette émission fleuve ayant duré 4 heures, le plus intéressant aux yeux du petit monde du renseignement, « l’intelligence » comme en disent les anglo-saxons, n’est pas dans le propos qui reste de la pure propagande à usage interne.
Il tient dans une séance de quelques minutes où le Président russe est interrogé sur l’intelligence artificielle par son propre sosie sur une question portant justement sur les doubles de Vladimir Poutine, référence aux rumeurs persistantes sur l’état de santé du président depuis des années et son éventuel recours à des doublures.
Une touche d’humour russe inattendue !
Le Président de toutes les Russies s’est retrouvé face à lui-même, ou plutôt face à son double virtuel probablement généré grâce à la technologie « deep-fake » en en ont dit les analystes occidentaux, opinion reprise par les médias mainstream.
Sur le coup, Gustave Morthe de l’Argentière, interrogé par ses collaborateurs de la Cisa en aura dit que c’était assez facile : « Il n’y a pas d’interaction directe entre les deux sujets. C’est donc lui qui aura joué les deux rôles, l’étudiant en informatique qui est son portrait craché situé soi-disant à Saint Pétersbourg, là comme ça à l’improviste avec toute une équipe de télé russe, ingénieurs du son, de la lumière, caméraman, éclairagiste, maquilleuse, habilleuse et tout le saint frusquin des retransmissions, et on aura repassé l’enregistrement en direct au moment de l’émission.
Et lui n’aura plus qu’à jouer la comédie du président surpris et débiter sa réponse déjà préparée à l’avance… »
 
Oui, pourquoi pas : un « étudiant » de Saint-Pétersbourg l’a effectivement interrogé sur la montée en puissance de l’intelligence artificielle, apparu à l’image sous les traits et avec la voix de Vladimir Poutine.
À moins que ce soit un trucage numérique plus élaboré[1].
L’étudiant demande s’il est vrai que le président russe a recours à de « nombreux sosies », déclenchant quelques éclats de rire, en direct, dans le studio de retransmission. Ne donnant pas sa véritable identité, le jeune homme fait référence aux rumeurs récurrentes et déjà démenties par le Kremlin selon lesquelles Vladimir Poutine serait malade et aurait recours à des remplaçants pour certaines de ses apparitions publiques.
« Je vois que vous pouvez me ressembler et parler comme moi », lui répond Vladimir Poutine.
Et c’est l’occasion de remettre une piqûre : « Mais j’y ai réfléchi et j’ai décidé qu’une seule personne devait me ressembler et utiliser ma voix, et il s’agit de moi-même (...) d’ailleurs, c’est mon premier sosie », a-t-il poursuivi, donnant ainsi involontairement une piste indécodable dudit « trucage » télévisuel.
Car l’assertion est bien mystérieuse : parlait-il de lui-même comme suggéré par Gustave, ou parlait-il de son correspondant Saint-Pétersbourgeois, qui aurait alors une réalité incarnée ?
 
Et il a ensuite exposé son point de vue sur les évolutions probables sur l’Intelligence artificielle.
Paul de Bréveuil, « l’actionnaire » (de la Cisa et autres) a un autre point de vue…
« Non Amiral », fait-il en s’adressant à Gustave, son CEO sis à Paris. « Vous demanderez à nos ingénieurs parisiens de la Cisa et à ceux de l’usine d’Aubenas (là où sont fabriqués les cyborgs exploités par la société de croisière de Paul de Bréveuil, alias « Charlotte », « Paradise-Cruise »[2] ainsi que quelques répliques, des avatars, de personnages publics[3]). Ils peuvent tracer et récupérer les données de la machine que vous lui avez vendu pour me sortir des hôpitaux militaires du Bélarus[4] »
Et ils découvriront quoi ?
« Si j’avais récupéré tout de mon cerveau de son bon fonctionnement, je vous le dirais.
Mais on peut également avoir une idée par simple déduction… »
« Ah, enfin ! » se dit pour lui-même Gustave : « On va pouvoir vérifier s’il a récupéré ou non le prodigieux fonctionnement de son cerveau ! »
« Nous vous écoutons, commandant ! »
L’auditoire est suspendu aux images de Paul renvoyées par sa webcam depuis l’océan Indien où le jour commencerait à décliner…
Mais le son arrive avec un léger décalage avant l’image…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. https://www.youtube.com/watch?v=uFmm3PDGUJw ou https://www.dailymotion.com/video/x8qlc3q et encore https://www.bfmtv.com/international/asie/russie/vladimir-poutine-repond-a-son-sosie-genere_VN-202312150589.html
[2] Cf. « La croisière d’Alexis », dans la série « Les enquêtes de Charlotte », aux éditions I3.
[3] Dont, Kim Jong-un, sa sœur, Kim Yo-jong, surnommée « Princesse Yoyo » par son propre père ; le Président français Makarond depuis qu’il s’est fait gifler en juin 2021 en marge de la visite d’un lycée hôtelier ; et plus récemment Vladimir Poutine : Cf. « La tête dans les étoiles », dans la série « Les enquêtes de Charlotte », publication à venir aux éditions I3
[4] Cf. « La tête dans les étoiles », dans la série « Les enquêtes de Charlotte », publication à venir aux éditions I3