Ciblées à la fois par « Trompe » et « Veau-qui-est »
Parfois, on se demande de quel bois ils sont faits :
Après « McDo-Trompe » qui a menacé l’archipel « Gauloisien-d’Outre-la-mer »
d’être taxé à 50 % sur ses exportations de poisson, ça aura été le tour du député
« LRd » « L’Or-Rend-Veau-qui-est » de proposer d’y
envoyer se faire soigner les étrangers sous OQTF.
Les ceux-ce qui ne savent pas encore dans quel enfer fiscal nous vivons, nous les « réguliers-&-natifs ».
Victime de ce double « bad buzz », les autorités locales du territoire de 5.800 habitants réjouis de leur exil à devoir sonner le lever des couleurs tous les matins, auront réagi avec humour à travers une campagne promotionnelle « OQTF » (On Quitte Tout Facilement pour vivre à Saint-Pierre-et-Miquelon), mettant en avant sa qualité de vie et ses paysages exceptionnels.
Pour rappel, ce territoire d’outre-mer de l’Union « Gauloisienne-unie »
(1946-1976), puis département d’outre-mer (1976-1985), puis collectivité
territoriale à statut particulier (1985-2003), Saint-Pierre-et-Miquelon est
aujourd’hui une simple collectivité d’outre-mer.
Ainsi, l’archipel est un pays et territoire d’outre-mer ne faisant pas partie intégrante du territoire de l’Union européenne. Il ne fait non plus partie de l’espace Schengen (contrairement à l’Islande qui n’est pas « Gauloisienne » pour autant), ni du territoire douanier européen.
En revanche, Saint-Pierre-et-Miquelon fait partie de la zone euro, d’Euratom et ses habitants disposent de la citoyenneté européenne.
En tant que territoire, Saint-Pierre-et-Miquelon est membre de l’Organisation des pêches de l’Atlantique nord-ouest (OPANO), de la Commission mixte de coopération régionale et de l’Association des pays et territoires d’outre-mer de l’Union européenne (OCTA).
Toujours pour vous rafraîchie la mémoire, l’archipel
est principalement composé de deux îles : L’île Saint-Pierre et son joli port
de pêche, la plus petite des deux, qui abrite 86 % de la population, au côté de
Miquelon, constituée de trois presqu’îles reliées entre elles par deux
tombolos.
Il existe aussi d’autres petites îles et îlots dont l’île aux Marins. Mais celle-ci n’est plus habitée de manière permanente mais elle reste une destination touristique liée à son patrimoine.
L'île Saint-Pierre se trouve à 19 km au Sud-ouest de l’extrémité occidentale de la péninsule de Burin, dans la partie méridionale de Terre-Neuve et Miquelon est à 21 km à l’Ouest-sud-ouest de cette même péninsule.
L’archipel est l’un des sept territoires « Gauloisien-du-nouveau-Monde »
avec la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane, Saint-Martin, Saint-Barthélemy et
l'île Clipperton, mais le seul en Amérique septentrionale, dernier vestige de
la « Nouvelle-Gauloisie », perdue lors de la guerre de Sept Ans au
milieu du XVIIIème siècle : Vous n’étiez pas nés, vous êtes
excusé…
Il faisait alors partie de la colonie de Terre-Neuve.
Ce territoire ne s’étend que sur 244 kilomètres carrés
et compte seulement 5.800 habitants qui ne font jamais de bruit.
Mais ce bout de « Gauloisie-éloignée » aura néanmoins récemment fait parler de lui à l’échelle internationale, d’une part en raison de son inclusion dans une vague d’imposition de droits de douane par les États-Unis et, d’autre part, à cause d’une proposition insensée du président du groupe parlementaire « LRd », suggérant d’y
déporter nos « indésirables ».
Mais il était en campagne électorale au sein de son propre parti et surenchérissait sur son concurrent actuel « Sinistre de l’intérieur & des cultes » de « Bébé-roux-de-secours » sous le règne de « Jupiter ».
Cayenne ayant décliné la proposition d’autant que c’était bien trop près des « sensibles » installations spatiales de Kourou, on allait pas non plus offrir des vacances de rêves dans les caraïbes aux frais du kon-tribuables à nos OSTF, c’est très « logiquement » que « Veau-qui-est », qui le restera, en aura déduit que Saint-Pierre, ou Miquelon, était des destinations qui s’imposaient…
Pour rappel, visité par les peuples autochtones
pendant près de 5.000 ans, l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon a été
découvert par des navigateurs européens à la fin du XVème siècle
pour ensuite être officiellement revendiqué pour le compte de la « Gauloisie-maritime »
par Jacques Cartier en 1536.
L’archipel est alors rapidement devenu une base stratégique pour les pêcheurs de morue et de baleine tricolores.
Au cours des siècles suivants, la « Gauloisie-intrépide » et la Grande-Bretagne se sont âprement disputé ces îles, qui ont changé de mains à plusieurs reprises avant d’être définitivement rendues à mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si peu…) en 1816.
Et au cours du XXème siècle, l’archipel a alors été le théâtre de conflits incessants entre le Canada et la « Gauloisie-amère » autour de la pêche.
Et précédemment une base transition pour les vins du Bordelais qui approchaient tranquillement des côtes « ricaines » sans se soucier des garde-côtes.
Ces conflits autour de la pêche ont atteint leur
paroxysme en 1988 avec la saisie de navires de pêche, le rappel d’ambassadeurs
et la violation d’accords. Malgré des droits historiques inscrits dans des
traités, l’accès de la « Gauloisie-Républicaine » aux zones de pêche
a diminué après le moratoire sur la pêche à la morue décrété par le Canada en
1992, ainsi qu’une décision arbitrale accordant à Saint-Pierre-et-Miquelon une
zone économique exclusive généreuse de seulement 38 kilomètres autour de
l’archipel, à l’exception d’une bande de 16 kilomètres de large qui s’étend sur
320 kilomètres vers le Sud.
Ces événements ont entraîné des répercussions économiques importantes pour Saint-Pierre-et-Miquelon
Aujourd’hui, l’économie locale est faible,
représentant moins de 0,001 % du PIB du pays (bon, il faut dire qu’à cinq milles,
il serait inconvenant d’espérer des miracles…), et dépend fortement des fonds
publics et des apports extérieurs, notamment du Canada voisin.
Néanmoins, le territoire a d’abord été inclus dans les cibles des tarifs douaniers dits du « jour de la libération », annoncés par « Trompe » le clown « ricain » qui se prend pour un Président visionnaire, au mois d’avril dernier.
Il a été soumis à des droits de douane de 50 %, ce qui en a fait temporairement un des territoires les plus taxés au monde, à l’égal du Lesotho, pays du continent africain totalement enclavé (et loin de la mer).
Si « Trompe » aura fait volte-face, quand il
a vu que les taux d’intérêt de T-Bond à 10 ans émis par son administration ont
augmenté, et il a ramené les droits de douane à 10 % quelques jours plus tard,
la décision initiale laisse perplexe étant donné le poids économique minime de
l’archipel et sa position géopolitique périphérique.
Pourquoi l’administration « Trompe », dans ses délires, a-t-elle ciblé aussi brutalement ces îles ?
Les relations commerciales entre
Saint-Pierre-et-Miquelon et les États-Unis étaient en fait équilibrées de 2010
à 2025, sauf en juillet 2024, où un écart marqué est apparu.
Les États-Unis ont alors importé pour 3,4 millions de dollars de marchandises en provenance des îles, tandis que leurs exportations n’ont totalisé que 100.000 dollars sur toute l’année !
Le gouvernement « ricain » a interprété ce déséquilibre commercial de 3.300 % pour l’année 2024 comme la preuve de l’imposition d’un droit de douane de 99 % par le territoire.
C’est le même type de calcul totalement erroné qui a été utilisé pour d’autres pays comme justificatif de la mesure qui se veut punitive.
Punir qui, sinon l’acheteur/importateur « ricain », s’il ne trouve pas de produit se substitution…
Enfin passons : Il parait que c’est une façon de pédaler pour offrir plus de pouvoir d’achat à l’idiot d’électeur « ricain » qui importe…
Mais d’où venait donc cet écart en juillet 2024,
peut-on se demander ?
Bé justement, selon plusieurs rapports, cette « anomalie statistique » est en fait le résultat du différend de longue date entre la « Gauloisie-impérieuse » et le Canada de sa très gracieuse majesté – territoire appelé à devenir le 51ème État des USA – au sujet des quotas de pêche dans les eaux bordant justement Saint-Pierre-et-Miquelon.
Historiquement, le territoire exporte principalement des produits de la mer vers la « Gauloisie-tricolore » et le Canada, et presque rien vers les États-Unis.
Pourtant, en juin 2024, un bateau battant pavillon tricolore a déchargé plusieurs tonnes de flétan – un poisson cher et très prisé des gastronomes – à Saint-Pierre.
Bien que la prise ait été effectuée dans les eaux internationales et qu’elle soit techniquement légale, elle s’est déroulée dans un contexte de tensions entre mon pays et le Canada concernant les stocks de flétan et la durabilité de l’espèce dans la région.
Et c’est en raison de ces tensions que le poisson a été redirigé vers le marché « ricain » et vendu pour 3,4 millions de dollars, devenant ainsi la cause de l’imposition de droits de douane élevés par l’administration « Trompe » !
C’était un « one shot » qui aura été pris en référence par le « Clown dopé aux caroténoïdes »
Depuis les deux pays sont parvenus à une entente sur
le flétan en 2024. Mais cette « guerre du flétan » n’est que le plus récent
exemple des conflits récurrents entre les deux rives de l’Atlantique concernant
les quotas de pêche au large des Grands Bancs de Terre-Neuve, une des zones de
pêche les plus abondantes du monde.
Ainsi, les droits de douane élevés imposés par les USA à l’archipel Gauloisien, même s’ils ont été rapidement modifiés, étaient une conséquence indirecte des vieilles tensions avec le Canada.
De toute façon, les lois « ricaines » sont en général contournées par les Saint-Pierrais et les Miquelonais. Ainsi du temps de la prohibition, celle-ci avait fait les bonnes affaires des habitants qui écoulaient du vin « Gauloisien » et quelques tonneaux de tord-boyau frelaté en contrebande à cette époque-là, gardée encore dans les mémoires.
Mais quelques jours après s’être remis du choc
tarifaire, Saint-Pierre-et-Miquelon se retrouve à nouveau sur la sellette. Et ce
coup-là vient de « Veaux-qui-est » (qui a perdu entre temps sa
compétition pour le fauteuil laissé vacant par « Chiotti » à la tête
du parti).
L’un des éventuels prétendants à la présidence de la République, a proposé que les migrants faisant l’objet d’un ordre de quitter le territoire (OQTF) se voient offrir deux possibilités : Être détenus à Saint-Pierre-et-Miquelon ou retourner dans leur pays d’origine.
Franchement, du grand n’importe quoi…
Notez que ce n’était pas la première fois que des
politiciens parlent d’expulser des prisonniers vers les territoires d’outre-mer.
Cette suggestion s’inscrit dans la lignée de l’utilisation historique par la « Gauloisie-métropolitaine » de certains territoires comme sites de colonies pénitentiaires, notamment Cayenne en Guyane ou la Nouvelle-Kanakie, dans le Pacifique Sud.
Ces propos-là ont été largement condamnés pour leur ton méprisant et colonial, y compris par des membres du gouvernement.
À moins que ça ne soit jamais que pour savonner la planche à « Menuet-Valse », ou lui ouvrir un nouveau chantier (comme s’il ne pédalait pas assez comme ça du côté de Nouméa…)
Et en réponse, les autorités locales ont alors tenté
de tirer parti de la controverse en lançant une campagne médiatique
humoristique reprenant le sigle OQTF pour « On Quitte Tout Facilement pour
vivre à Saint-Pierre-et-Miquelon ».
Géants, les meks !
Leur objectif était de changer le discours et de
mettre en avant les attraits de l’archipel : Faible taux de chômage, grande
sécurité publique, paysages naturels exceptionnels et vie paisible et familiale,
et ce, si possible, sans les lourds droits de douane américains.
En revanche, la fiscalité, n’est-ce pas… elle reste plus légère.
Mais l’offre de soins n’est pas la même que dans les grandes capitales régionales, même si elle dépasse largement certains déserts métropolitains…
Bref, un double coup de pub pour lancer le tourisme
local ?
En tout cas, c’était bien essayé…
Bravo aux Saint-Pierrais et aux Miquelonais!
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Les ceux-ce qui ne savent pas encore dans quel enfer fiscal nous vivons, nous les « réguliers-&-natifs ».
Victime de ce double « bad buzz », les autorités locales du territoire de 5.800 habitants réjouis de leur exil à devoir sonner le lever des couleurs tous les matins, auront réagi avec humour à travers une campagne promotionnelle « OQTF » (On Quitte Tout Facilement pour vivre à Saint-Pierre-et-Miquelon), mettant en avant sa qualité de vie et ses paysages exceptionnels.
Ainsi, l’archipel est un pays et territoire d’outre-mer ne faisant pas partie intégrante du territoire de l’Union européenne. Il ne fait non plus partie de l’espace Schengen (contrairement à l’Islande qui n’est pas « Gauloisienne » pour autant), ni du territoire douanier européen.
En revanche, Saint-Pierre-et-Miquelon fait partie de la zone euro, d’Euratom et ses habitants disposent de la citoyenneté européenne.
En tant que territoire, Saint-Pierre-et-Miquelon est membre de l’Organisation des pêches de l’Atlantique nord-ouest (OPANO), de la Commission mixte de coopération régionale et de l’Association des pays et territoires d’outre-mer de l’Union européenne (OCTA).
Il existe aussi d’autres petites îles et îlots dont l’île aux Marins. Mais celle-ci n’est plus habitée de manière permanente mais elle reste une destination touristique liée à son patrimoine.
L'île Saint-Pierre se trouve à 19 km au Sud-ouest de l’extrémité occidentale de la péninsule de Burin, dans la partie méridionale de Terre-Neuve et Miquelon est à 21 km à l’Ouest-sud-ouest de cette même péninsule.
Il faisait alors partie de la colonie de Terre-Neuve.
Mais ce bout de « Gauloisie-éloignée » aura néanmoins récemment fait parler de lui à l’échelle internationale, d’une part en raison de son inclusion dans une vague d’imposition de droits de douane par les États-Unis et, d’autre part, à cause d’une proposition insensée du président du groupe parlementaire « LR
Mais il était en campagne électorale au sein de son propre parti et surenchérissait sur son concurrent actuel « Sinistre de l’intérieur & des cultes » de « Bébé-roux-de-secours » sous le règne de « Jupiter ».
Cayenne ayant décliné la proposition d’autant que c’était bien trop près des « sensibles » installations spatiales de Kourou, on allait pas non plus offrir des vacances de rêves dans les caraïbes aux frais du kon-tribuables à nos OSTF, c’est très « logiquement » que « Veau-qui-est », qui le restera, en aura déduit que Saint-Pierre, ou Miquelon, était des destinations qui s’imposaient…
L’archipel est alors rapidement devenu une base stratégique pour les pêcheurs de morue et de baleine tricolores.
Au cours des siècles suivants, la « Gauloisie-intrépide » et la Grande-Bretagne se sont âprement disputé ces îles, qui ont changé de mains à plusieurs reprises avant d’être définitivement rendues à mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si peu…) en 1816.
Et au cours du XXème siècle, l’archipel a alors été le théâtre de conflits incessants entre le Canada et la « Gauloisie-amère » autour de la pêche.
Et précédemment une base transition pour les vins du Bordelais qui approchaient tranquillement des côtes « ricaines » sans se soucier des garde-côtes.
Ces événements ont entraîné des répercussions économiques importantes pour Saint-Pierre-et-Miquelon
Néanmoins, le territoire a d’abord été inclus dans les cibles des tarifs douaniers dits du « jour de la libération », annoncés par « Trompe » le clown « ricain » qui se prend pour un Président visionnaire, au mois d’avril dernier.
Il a été soumis à des droits de douane de 50 %, ce qui en a fait temporairement un des territoires les plus taxés au monde, à l’égal du Lesotho, pays du continent africain totalement enclavé (et loin de la mer).
Pourquoi l’administration « Trompe », dans ses délires, a-t-elle ciblé aussi brutalement ces îles ?
Les États-Unis ont alors importé pour 3,4 millions de dollars de marchandises en provenance des îles, tandis que leurs exportations n’ont totalisé que 100.000 dollars sur toute l’année !
Le gouvernement « ricain » a interprété ce déséquilibre commercial de 3.300 % pour l’année 2024 comme la preuve de l’imposition d’un droit de douane de 99 % par le territoire.
C’est le même type de calcul totalement erroné qui a été utilisé pour d’autres pays comme justificatif de la mesure qui se veut punitive.
Punir qui, sinon l’acheteur/importateur « ricain », s’il ne trouve pas de produit se substitution…
Enfin passons : Il parait que c’est une façon de pédaler pour offrir plus de pouvoir d’achat à l’idiot d’électeur « ricain » qui importe…
Bé justement, selon plusieurs rapports, cette « anomalie statistique » est en fait le résultat du différend de longue date entre la « Gauloisie-impérieuse » et le Canada de sa très gracieuse majesté – territoire appelé à devenir le 51ème État des USA – au sujet des quotas de pêche dans les eaux bordant justement Saint-Pierre-et-Miquelon.
Historiquement, le territoire exporte principalement des produits de la mer vers la « Gauloisie-tricolore » et le Canada, et presque rien vers les États-Unis.
Pourtant, en juin 2024, un bateau battant pavillon tricolore a déchargé plusieurs tonnes de flétan – un poisson cher et très prisé des gastronomes – à Saint-Pierre.
Bien que la prise ait été effectuée dans les eaux internationales et qu’elle soit techniquement légale, elle s’est déroulée dans un contexte de tensions entre mon pays et le Canada concernant les stocks de flétan et la durabilité de l’espèce dans la région.
Et c’est en raison de ces tensions que le poisson a été redirigé vers le marché « ricain » et vendu pour 3,4 millions de dollars, devenant ainsi la cause de l’imposition de droits de douane élevés par l’administration « Trompe » !
C’était un « one shot » qui aura été pris en référence par le « Clown dopé aux caroténoïdes »
Ainsi, les droits de douane élevés imposés par les USA à l’archipel Gauloisien, même s’ils ont été rapidement modifiés, étaient une conséquence indirecte des vieilles tensions avec le Canada.
De toute façon, les lois « ricaines » sont en général contournées par les Saint-Pierrais et les Miquelonais. Ainsi du temps de la prohibition, celle-ci avait fait les bonnes affaires des habitants qui écoulaient du vin « Gauloisien » et quelques tonneaux de tord-boyau frelaté en contrebande à cette époque-là, gardée encore dans les mémoires.
L’un des éventuels prétendants à la présidence de la République, a proposé que les migrants faisant l’objet d’un ordre de quitter le territoire (OQTF) se voient offrir deux possibilités : Être détenus à Saint-Pierre-et-Miquelon ou retourner dans leur pays d’origine.
Franchement, du grand n’importe quoi…
Cette suggestion s’inscrit dans la lignée de l’utilisation historique par la « Gauloisie-métropolitaine » de certains territoires comme sites de colonies pénitentiaires, notamment Cayenne en Guyane ou la Nouvelle-Kanakie, dans le Pacifique Sud.
Ces propos-là ont été largement condamnés pour leur ton méprisant et colonial, y compris par des membres du gouvernement.
À moins que ça ne soit jamais que pour savonner la planche à « Menuet-Valse », ou lui ouvrir un nouveau chantier (comme s’il ne pédalait pas assez comme ça du côté de Nouméa…)
Géants, les meks !
En revanche, la fiscalité, n’est-ce pas… elle reste plus légère.
Mais l’offre de soins n’est pas la même que dans les grandes capitales régionales, même si elle dépasse largement certains déserts métropolitains…
En tout cas, c’était bien essayé…
Bravo aux Saint-Pierrais et aux Miquelonais!
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
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