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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 4 juin 2025

Époustouflant !

L’opération « Toile d’araignée » aura rebattu les cartes !
 
Notez qu’il était temps : La Russie « Poux-tinienne », avec son habituel « hachoir humain » grignote du terrain… sur le terrain, jours après jours.
La puissante armée en hommes et matériels qui ne parvient pas à lancer une offensive décisive et faire taire le chant des armes en asservissant le régime de Kiev par un éclatante victoire, aura même fait appel à de la chair à canon koréenne pour retrouver sa suzeraineté et souveraineté sur les territoires envahis au Sud de Koursk en août dernier par les Ukrainiens, que ça faisait tout de même bizarre… et pleinement désordre !
 
Le « Général Hiver » est passé par là une fois de plus, les pluies de drones, d’obus et de bombes restent incessantes sur l’Ukraine « pas encore libérée », la mer Noire reste interdite à la flotte Russe, et « Poux-tine » retarde encore et encore des pourparlers de cessez-le-feu, se donnant le temps d’épuiser Kiev et ses alliés pour parader en suprême vainqueur d’un conflit qui doit libérer l’occident de ses dernières scories néo-nazies : Je résume, naturellement, mais toutes les planètes sont alignées de Pékin à Washington en passant par Moscou, pour faire plier Kiev, London et Brussels.
Et pourtant…
 
Nommée « Toile d’araignée », l’Ukraine a mené dimanche dernier avec des drones une opération sans précédent contre l’aviation militaire russe !
Une opération coordonnée et clandestine qui avait la particularité d’avoir frappé en Russie à des milliers de kilomètres du front.
C’est dire si la portée symbolique de cette attaque est forte alors que l’Ukraine et la Russie devaient entamer des pourparlers de cessez-le-feu le lendemain en Turquie.
Ils se sont d’ailleurs mis d’accord pour s’échanger des prisonniers, notamment les plus abîmés et les plus jeunes…
 
Mais pas seulement : L’Ukraine revendique d’importants dégâts, impossibles, dans un premier temps, à vérifier de façon indépendante. Les attaques auraient touché 41 avions utilisés pour « bombarder les villes ukrainiennes », a assuré une source au sein des services de sécurité ukrainiens (SBU), citant notamment des bombardiers stratégiques Tu-95 et Tu-22 et des appareils radar de détection et de commandement A-50.
On va y revenir, parce que c’est une véritable claque, un vigoureux coup de tatane au séant pour la crédibilité des armes de Moscou.
Le ministère russe de la Défense, pas encore démissionnaire ou déjà exécuté, a seulement confirmé que « plusieurs appareils aériens ont pris feu » dans des aérodromes des régions de Mourmansk et d’Irkoutsk, respectivement dans l’Arctique russe et en Sibérie orientale.
Les services de sécurité ukrainiens ont de leur côté assuré avoir détruit 34 % des bombardiers stratégiques russes vecteurs de missiles de croisière, et fait des dégâts à hauteur de 7 milliards de dollars !
1 engin sur trois de la guerre nucléaire dont « Poux-tine » et ses sbires menacent leurs voisins depuis de nombreux mois… au tapis.
Encore deux week-ends comme ça et la dissuasion russe n’existe plus…
Belle démonstration de ce qu’on savait : L’immense faiblesse des Russes qui perdent leur potentiel d’agression de l’Otan avec un petit conflit mineur de voisinage…
 
Une opération pourtant « osée » qui a nécessité une logistique particulièrement complexe.
On sait ainsi les drones ukrainiens avaient été introduits clandestinement en Russie, et cachés dans des structures en bois placées sur des camions. Leurs toits ont ensuite été ouverts à distance, pour permettre aux drones FPV de s’envoler vers leurs cibles.
Et le ministère russe aura confirmé que les drones n’avaient pas été lancés depuis le territoire ukrainien, mais « à proximité immédiate des aérodromes » ciblés.
À la vue de tous, quoi…
Et l’Ukraine a pu ainsi atteindre des régions situées à des milliers de kilomètres du front, alors que ses attaques se concentrent généralement sur les zones proches de ses frontières. Il s’agit de l’opération de « la plus longue portée » jamais menée par ses services, s’est réjoui le président ukrainien. Deux des aérodromes sont respectivement situé à environ 1.900 et 4.300 kilomètres de l’Ukraine et le ministère russe affirme avoir réussi à contrer d’autres attaques, notamment dans l’Extrême-Orient russe.
 
« Zèle-en-ski » a jugé que ces actions devaient pousser la Russie à « ressentir la nécessité d’arrêter la guerre ». Même l’ancien président Petro Porochenko, figure de l’opposition, a estimé qu’il n’existait « pas de meilleurs arguments » à présenter à la veille de pourparlers avec Moscou à Istanbul.
 
Cette opération a donc été préparée pendant plus d’un an et demi et supervisée par le président « Zèle-en-ski » soi-même en personne, selon la source ukrainienne de l’AFP. Elle précise que Kiev a fait passer clandestinement en Russie des drones et de petites constructions en bois et elle aura mobilisé 117 drones.
Et les personnes impliquées dans la préparation de l’attaque ont été « extraites du territoire russe à temps ».
Il aura ainsi salué des résultats « absolument brillants » et dignes des « livres d’Histoire », tout comme d’autres responsables ukrainiens.
 
Alors que, dans la nuit de samedi à dimanche, à l’orée de l’attaque, la Russie a aussi été marquée par l’effondrement de deux ponts, ayant causé des accidents de train meurtriers en Russie.
Moscou en a dit enquêter sur des « actes de terrorisme » sur ces faits qui se sont produits dans les régions de Koursk et de Briansk.
Celles-ci sont frontalières de l’Ukraine, mais rien ne prouve pour l’heure que les autorités ukrainiennes sont liées aux effondrements, qu’elles n’ont d’ailleurs pas officiellement commentés.
 
Des blogueurs militaires russes ont déploré eux, un « jour noir pour l’aviation » de leur pays.
La chaîne Telegram Rybar, proche de l’armée russe, a estimé qu’« il s’agit sans exagération d’un coup très dur », dénonçant de « graves erreurs » des services spéciaux russes.
Effectivement, si les conséquences de cette attaque sur les capacités militaires de la Russie sont difficiles à prédire, sa portée symbolique est importante dans le contexte des négociations qui ont du mal à démarrer sérieusement, dès le lendemain en Turquie.
Où « Zèle-en-ski » a notamment appelé à un « cessez-le-feu complet et inconditionnel », que Moscou refusait toujours à ce moment-là.
Les délégations russe et ukrainienne ont déjà tenu des pourparlers peu fructueux à Istanbul le 16 mai. Malgré les efforts diplomatiques, leurs positions restent inconciliables.
 
Si les résultats sur le champ de bataille restent limités (en tout cas non décisifs), pour certains, l’opération coordonnée donne un avantage politique et médiatique à Kiev. L’Ukraine claironne, la Russie ignore.
L’opération est une réussite éclatante et Kiev en avait bien besoin.
En revanche, les dégâts confirmés par les sources ouvertes font état d’une dizaine de bombardiers (six Tupolev Tu-95 et quatre Tupolev Tu-22M) qui auraient été complètement détruits, et deux autres endommagés.
« Le bilan est restreint », estime un « stratégiste » occidental.
En effet, même si la dizaine d’avions détruits représente 10 % de la force de bombardements stratégiques russe disponible, dans tous les cas ces résultats restent significatifs.
Le total pourrait d’ailleurs monter jusqu’à 40 % si les informations ukrainiennes se confirment.
Et d’autre part, il s’agit surtout d’appareils qui ne sont plus en production et donc irremplaçables sur le court terme : « C’est un coup dur et d’autant plus humiliant que ces forces de bombardements stratégiques sont un peu les joyaux de la couronne », souligne un consultant en risques internationaux.
La force de frappe ressort donc diminuée.
 
Quant à l’atout psychologique de l’opération, il est indéniable. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles les autorités ukrainiennes ont autant communiqué dessus.
Avoir réussi à introduire clandestinement des drones dans des camions pour les faire entrer en Russie jusqu’à 5.000 km dans le territoire et les lancer sous le nez de l’ennemi, « c’est une opération spectaculaire, impressionnante de planification, un coup d’éclat qui pourra avoir de vraies retombées diplomatiques ».
De plus, l’opinion publique « a besoin de récits de victoires » : On les lui fournit !
Tout comme les alliés occidentaux et en particulier « McDo-Trompe ».
 
C’est donc un coup politique et médiatique où l’Ukraine « montre ainsi qu’elle est toujours capable de monter des opérations militaires importantes » et « que la Russie n’est pas invulnérable ».
En revanche, ça ne changera pas grand-chose sur le front. Les avions détruits ne sont pas utilisés sur le champ de bataille et leur destruction ne permettra pas de mettre en difficulté la progression russe dans la région de Donetsk, selon les données fournies par l’Institut américain pour l’étude de la guerre (ISW). « Ça ne changera pas le rapport de force tactique ».
Néanmoins, la Russie va devoir apprendre de ses erreurs.
 
Première leçon : Mieux protéger les engins qui leur restent en les plaçant dans des hangars ou encore mettre des brouilleurs pour éviter les drones.
De plus, les services de renseignements (FSB) en charge des frontières devront également réviser impérativement leur copie et tenter de boucher les trous de la passoire qui a laissé passer en territoire russe des drones ennemis !
Finalement, l’opération « même si elle a demandé beaucoup d’énergie, a été peu coûteuse en termes de munitions, d’hommes et de budget, est plutôt rentable ». Le rapport bénéfice/coût est plutôt très « favorable ».
 
Du coup, après ce raid historique de drones contre sa flotte de bombardiers stratégiques, le Kremlin est arrivé en mauvaise posture aux négociations à Istanbul.
Le Kremlin pensait pourtant arriver en position de force, en raison de son grignotage des positions ukrainiennes dans le Donbass, de ses raids massifs sur Kiev et, surtout, du fait que « Trompe » ne s’est toujours pas décidé à sanctionner le pays, la Maison-Blanche répétant qu’elle saura « dans deux semaines si Vladimir Poutine veut sérieusement la paix »…
Comme tous les quinze jours depuis début avril.
 
Sous le choc de l’opération mais aussi pour amadouer le président « ricain » qui attend des progrès de ces échanges, la Russie a proposé lundi à l’Ukraine un cessez-le-feu partiel, après avoir refusé la proposition ukrainienne d’un arrêt des combats de trente jours.
« Nous avons fait une proposition assez générale. Un cessez-le-feu concret pendant deux ou trois jours dans certaines zones du front », a déclaré le négociateur en chef russe, lors d’une conférence de presse à l’issue des discussions du lundi.
De la poudre aux yeux…
Lors d’un sommet réunissant des dirigeants des pays d’Europe centrale et orientale, ainsi que de Scandinavie et de l’Otan, le président ukrainien à accusé Moscou de ne chercher qu’une « courte pause » dans les affrontements, le temps de refaire les pleins dans les bidons.
 
Plus tard, il a été confirmé par photo satellite qu’avaient été détruits 8 des 55 Tupolev 95 dont dispose la Russie sur la base de Belaya, en Sibérie orientale, à 4.300 km du front, et sur celle d’Olenya, à 1.800 km de la frontière ukrainienne.
Un nombre indéterminé d’avions a été frappé sur la base d’Ivanovo, à 1.000 km du front (où un avion de transport Antonov 12 a aussi été frappé), ainsi que sur celle de Dyagilevo, à 500 km du front.
La Russie a aussi perdu un rare avion d’observation Antonov 50, crucial pour coordonner son aviation et repérer les missiles et avions ennemis.
Aucun de tous ces avions, sauf les Tupolev 160, ne pourra être remplacé, leur production étant suspendue depuis 1991 !
Les seuls bombardiers russes capables de lancer des missiles nucléaires, les Tupolev 95 sont désormais au nombre de 47 et les Tupolev 22 sont désormais 65 à rester opérationnels.
 
Un résultat « très désagréable pour le Kremlin mais qui va devoir encaisser sans broncher. Personne ne peut croire que cela peut susciter une riposte nucléaire ».
Cet épisode « élève une nouvelle fois le seuil définissant les intérêts vitaux de la Russie et dégonfle encore le bluff nucléaire du Kremlin ».
Illustration, précisément, de l’embarras des autorités, la presse russe n’aura presque pas évoqué l’attaque, conformément à la pratique dictée par le Kremlin.
Seul « Mevdvedevdev », vice-secrétaire du conseil national de sécurité, a qualifié ces raids d’acte terroriste.
Le Kremlin a reconnu laconiquement que « des avions ont pris feu ».
Les blogueurs militaires déjà évoqués parlaient, eux, d’un « Pearl Harbor ».
 
À Istanbul, les discussions n’ont donc duré qu’une heure. Seul résultat, les deux parties ont convenu d’échanger de nouveaux des prisonniers de guerre, ceux grièvement blessés ou âgés de moins de 25 ans, sur le format « tous contre tous ».
La délégation ukrainienne a également transmis une liste d’enfants kidnappés à libérer et a proposé une nouvelle rencontre « entre le 20 et le 30 juin ».
Car la menace d’une « vaste offensive » russe début juillet existe toujours d’après le « renseignement ricain » relayé depuis les satellites par London. Le plan du Kremlin était d’intensifier encore ses raids aériens.
D’ailleurs, la veille, Moscou avait tiré la salve la plus massive, numériquement, depuis le début de la guerre, avec près de 500 drones Shahed iraniens. Elle s’apprêtait à tirer des centaines de missiles de croisière supersoniques Kh32, Kh59, ou encore des Kalibr, ainsi que des missiles balistiques Iskander, pour obliger Kiev à mettre genou à terre.
Dans ce contexte, l’opération « Toile d’araignée » « confirme l’agilité et l’inventivité des services spéciaux ukrainiens, elle ne change pas substantiellement les rapports de force militaires sur le terrain ».
 
Pourtant, on assiste à ce que l’Histoire nous a déjà montré, tant au Vietnam qu’en Afghanistan : Quand l’adversaire est trop fort il n’y a qu’une seule façon de gagner une guerre contre lui. C’est de ne pas la perdre, et quand on est le plus faible, pour ne pas perdre il faut rendre le prix de l’attaque tel pour l’adversaire qu’il va cesser son agression. C’est un principe vieux comme le monde et comme la guerre.
L’Ukraine est en guerre que nous le voulions ou pas. Et l’Ukraine ne veut pas d’une paix au rabais aidée en cela par l’Union Européenne. Alors ses autorités font monter les enchères : Des milliards de dégâts contre quelques bricoles à poignée de dollars.
Tout le monde sait, sauf lui, que « Trompe » ne ramènera pas la paix en 48 heures car cette guerre est allée tellement loin, les pertes de chaque côté sont telles, les enjeux immenses que c’est devenu une guerre existentielle aussi bien pour l’Ukraine que pour la Russie.
 
C’est pour cette raison qu’il y a toutes les raisons de nourrir les pires des inquiétudes : Il y avait mille occasions de mettre fin à cette hérésie militaire et sanguinolente, mais l’obstination d’un « égo superlatif » empêche de retrouver la voie de la sagesse. Et il doit être entouré par encore plus cinglés que lui…
Les dégâts causés par cette « opération spéciale » seront irréparables durant des années et des années et des générations vont vivre avec le cancer de leurs souvenirs pendant des siècles : À mon âge avancé, on se souvient encore des trainées de sang de la première guerre mondiale qui vous saisissent toujours autour de l’invraisemblable ossuaire de Douaumont, mais beaucoup moins de la bataille de Sedan…
Il en sera de même longtemps après que « Poux-tine » aura été décomposé en compost depuis des lustres.
Et son souvenir sera celui d’un homme qui a choisi de détruire et faire périr pour mieux soumettre et asservir alors qu’il était attendu à bras ouvert dans l’UE…
Dommage pour mes « amis-russes » (je n’ai pas d’ami ukrainien, juste une « cousine » mariée à un « cousin » en Balagne), mais on aura l’occasion d’y revenir : Parce que « les choses » vont encore bouger d’ici la fin du mois !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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