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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 27 juin 2025

C’est la fin de saison…

Et Jean-Marc essaye encore !
 
«  Marie-Jeanne, si tu devines quel est cet animal à fourrure, qui a quatre pattes et une queue et qui miaule, tu auras gagné une nuit torride d’amour !
— Je ne sais pas moi… Un crocodile ?
— Bravo, magnifique, tu es une veinarde : Tu as gagné ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« — Je ne sais pas si c’est drôle…
— Quoi donc ?
— Si tu suis un peu l’actualité, tu dois savoir que Musk a qualifié le projet de budgétaire « d’abomination répugnante ».
— J’ai vu ça…
— C’est tout de même marrant que le gars considéré depuis des années comme un génie par tout le monde, qui voit des années à l’avance, commence tout juste à comprendre ce que des idiots comme nous avaient pigé depuis 10 ans…
— Tu as raison, ce n’est pas forcément drôle, finalement… »
 
Plus tard, Jean-Paul philosophe :
« — L’amour, c’est probablement regarder ensemble dans la même direction…
— Et voir que ce n’est pas la bonne direction ''parce que je te l’avais bien dit que c’était pas par là qu’on devait passer, mais comme tu n’écoutes jamais, du coup nous sommes perdus : Bravo !''
— Tu crois ?
— Ce n’est pas que je crois : Je sais ! » lui répond Jean-Marc.
 
Marie-Chantal rapporte à Germaine avoir eu une conversation avec Marie-Ghislaine.
« — Je lui ai demandé comme ça allait, avec son mari… Tu sais qu’ils étaient en instance de divorce et que ça ne s’est pas fait pour des raisons obscures de partage des meubles de l’appartement…
— Oui, et alors ?
— ‘‘Ça va’’ m’a-t-elle répondu… Et côté sexe, comment ça se passe, lui ai-je demandé. Elle m’a répondu, ‘‘c’est les jeux olympiques !’
— Les jeux olympiques ?
— Toi aussi, tu es étonnée… Je lui ai dit, c’est sportif alors… vous battez des records ?
Elle m’a répondu : ‘‘Non, c’est tous les 4 ans’’ ! »
 
Germaine à Jean-Marc, à l’issue d’une dispute :
« — Mon silence ne signifie pas que je suis d’accord avec toi !
— …
— Il signifie que je reste sidérée par ton niveau de stupidité ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — Toi qui aimes les fruits de mer, tu peux me dire ce qu’on trouve dans des coquilles Saint-Jacques ?
— Oui ! De quoi se composent-elles !
— Oh, c’est malin comme réponse, ça !
— Et je ne me suis pas forcé… 
— Con, oui ! »
 
Les mêmes, un peu plus tard.
« — Est-ce que tu sais qui a inventé le football ?
— Euh… Oui, les Anglais je crois !
— Non les premiers, c’étaient les Belges… Les Anglais n’ont fait que rajouter le ballon !
— Pfff… Vraiment, la grande forme ce matin… »
 
Repéré un Tag :
« Arrêtez de tout interdire !
J’arrive plus à tout désobéir ! »
 
Jean-Marc, devant une bière, accompagnant Jean-Paul qui sirote la sienne :
« — Le monde va vraiment mal !
— Je ne te le fais pas dire : C’est de pire en pire…
— Il va surtout bientôt manquer de génie ! Einstein et mort !
— Beethoven aussi.
— Dali également…
— César Manrique et Gaudi pareil…
— Et moi, dernièrement… je ne vais pas très bien ! »
 
Marie-Chantal chez le boulanger :
« — Une baguette, s’il vous plait ?
— Pas trop cuite ?
— Si… Je suis déchirée !
— Non, je parlais de la cuisson de la baguette…
— Euh, pardon, saignante ! »
 
Ce n’est pas une « revenue », ou alors une inversée…
Germaine questionne Jean-Marc :
« — Si je meurs, tu te remarierais ?
— Bien sûr que non !
— Non ? Pourquoi, tu n’apprécies pas d’être marié ?
— Bien sûr que j’apprécie…
— Alors pourquoi tu ne te remarierais pas ?
— Bon d’accord, je me remarierais, si ça te fait plaisir !
— Tu te remarierais ?
— Bé oui, je viens de le dire…
— Et tu dormiras avec elle dans notre lit ?
— Et où veux-tu que l’on dorme ?
— Tu remplacerais mes photos par les siennes ?
— Euh… oui ! Probablement !
— Et elle se servirait de ma voiture ?
— Non !
— Pourquoi ça ?
— Parce qu’elle ne sait pas conduire…
— … »
Dans « l’originale » c’est Jean-Marc qui questionne sa femme sur ce qu’elle ferait dans le cas de son décès. Et ça se termine par l’usage des clubs de golf. Réponse négative, « parce qu’il est gaucher » !
 
Scène de ménage habituelle chez Jean-Marc :
« — Chérie, met ton manteau !
— Ooooh ! Jean-Marc… On sort dîner au restaurant, ce soir, chéri ?
— Non, j’ai coupé le chauffage pour faire des économies… »
 
Dans une école de la région marseillaise, le jour de la rentrée, le professeur demande à ses élèves d’indiquer leur prénom et la profession de leur père.
Le premier :
« Je m’appelle Jean-Marcel et mon papa est pompier ! »
Le second :
« Je m’appelle Jean-Jacques et mon papa est cuisinier ! »
Le troisième :
« Je m’appelle Jean-Nicolas est mon papa est danseur nu dans une discothèque gay ! »
Silence de mort dans la classe.
Le professeur fait poursuivre les présentations et passe à un autre sujet avant la récréation.
Au moment de celle-ci, il retient le petit Jean-Nicolas…
« — Dis-moi, c’est vrai que ton papa est danseur nu dans une discothèque d’homosexuels ? Si tu veux, on peut en parler…
— En fait… non Monsieur… Mon papa joue dans l’équipe de l’OM, mais j’avais trop la honte… »
Blague de parigot ou de lyonnais ?
 
Jean-Claude à Jean-Marc :
« Ça y est, j’ai vendu ma voiture et j’ai divorcé !
Ouh là ! Que de changements abrupts dans ta vie… Et pourquoi ces décisions si soudaines ?
Parce que l’une suçait trop et l’autre pas assez ! »
 
Jean-Éric se confie à Jean-Marc :
« C’est décidé, je vais changer de sexe…
Une transition ? Mais il faut que tu en parles à ta femme, avant…
C’est fait.
Et alors ? Elle en dit quoi ?
D’en prendre un plus gros ! »
 
La maîtresse demande à la petite Faridha de conjuguer le verbe courir à tous les temps…
« Je cours quand il pleut,
Je cours quand il fait beau,
Je cours quand il fait chaud,
Je cours quand il neige… »
 
«  Papy, tu aimerais quoi pour Noël ?
— Des CD !
— Nous aussi, mais l’euthanasie est interdite, tu sais bien… »
 
Germaine à Marie-Chantal, au salon de thé :
« — J’ai fait comme tu m’as dit : Un masque, une nuisette noire, des bas résilles, des cuissardes, sexy quoi !
— Et alors ?
— Il dit ‘‘Alors Zorro, on mange quoi ?’’ »
 
Questions métaphysiques du moment :
« Si mon fils devient prête, dois-je l’appeler mon père ou mon fils ? »
« Si la police arrête un muet, a-t-il le droit de garder les silence ? »
« Quand un aveugle dort, il voit quoi dans ses rêves ? »
« Si la femme a toujours raison, qui a tort dans une dispute de lesbiennes ? »
 
Jean-Marc croise Marie-Chantal :
« — Ça va toi ?
— Bof… Il pleut, il fait froid, j’ai faim et je me suis disputé avec Germaine.
— Oui, elle m’a dit.
— Et là, il ne me manquait plus que toi…
— Oh, c’est mignon comme tout… Je te manquais ?
— Pas vraiment, mais comme ça cette journée de merde est complète ! »
 
Une classique qui nous revient enfin :
Le gamin de Jean-Marc lui demande : « Explique-moi ce qu’est la politique ».
Jean-Marc répond : 
« — C’est très simple.
Je vais te donner un exemple : Notre famille.
C’est moi qui rapporte de l’argent, je suis donc « le capitaliste ».
Ta maman gère cet argent, elle est donc « le gouvernement ».
Grand père vérifie si tout se passe bien : Il est donc « le parlement ».
La femme de ménage est « la classe ouvrière ».
Nous n’avons tous qu’un seul but : Ton bien être, tu es donc « le peuple ».
Ta petite sœur est encore dans le berceau, nous dirons qu’elle est « l’avenir ».
Tu as compris ?
— Oui. Merci papa ! »
La nuit tombe et chacun s’en va au lit.
Toutefois, dans son sommeil, le fiston entend sa petite sœur qui pleure.
Il se lève et va voir.
En fait, elle a fait caca dans sa couche.
Que faire ??
Il va dans la chambre de ses parents et s’aperçoit que la maman est seule dans le lit et dort.
Ne voulant pas la réveiller, il va dans la chambre de la femme de ménage et là il trouve son père dans le lit de celle-ci.
Mais trop occupé à profiter de la jeune fille, Jean-Marc ne voit pas son fils.
En sortant de cette chambre, le gamin croise le grand père qui lui chuchote de ne rien dire.
Troublé par les évènements, il va se recoucher en laissant le bébé dans sa merde.
Le lendemain Jean-Marc qui ne se doute de rien demande :
« Alors mon fils, tu as réfléchi et compris ce qu’est la politique ? »
Le gamin répond : « Oh oui papa ! Ta définition était claire.
Le capitalisme profite de la classe ouvrière, pendant que le gouvernement dort et que le parlement regarde sans rien dire.
Et tout le monde se fout de ce que pense le peuple et l’avenir est dans la merde… ! »
 
Germaine à Marie-Chantal :
« Je crois que ce soir, je vais dormir du côté du lit de mon mari…
Apparemment, de ce côté-là, on n’entend pas le bébé quand il pleure la nuit… »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, un soir devant une bière, mirant une rousse qui passe devant eux :
« — Bé tu vois, moi, les rousses, ça me fait fantasmer.
— Ah bon… Et pourquoi ?
— Ben tu ne connais pas le proverbe ?
— Lequel ?
— Quand le toit est rouillé, la cave est humide !
— C’est malin… »
 
Marie-Chantal chez le charcutier :
« — Je vais vous prendre ce saucisson là…
— Je vous le découpe en tranches ?
— Pourquoi ça ? Vous trouvez que je ressemble à une tirelire ? »
 
On retrouve Jean-Marc après les estives…
Sans rancune aucune,
Et bon week-end à toutes et à tous…
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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