Tout part de la frite
L’un est Président des USA élu pour 4 ans et se prend
d’un délire intéressé (pour ses affaires et les membres de sa famille) espérant
entrer dans l’Histoire par la grande porte pour être sorti de la cuisse de
Jupiter.
Nous, en « Gauloisie-triomphale », on sait très bien que c’est faux : Notre « Jupiter » restera stérile et personne ne sort de sa cuisse. D’autant qu’il paraît plus agir comme Chronos, le géant qui mangeait ses enfants.
Donc il a tout faux.
Quant à son compère, c’est un grand malade kétaminé qui ramène tout au fait de sauver l’humanité, en s’inspirant exclusivement de ses lectures de science-fiction.
C’est une idée fixe et il se sert de son handicap d’Asperger pour faire croire à ses fans ébahis qu’il est l’homme le plus intelligent de la planète et du moment… peut-être même de toutes les époques…
Quand les deux se sont croisés, forcément, ça aura fait des bulles.
Sauf que « Trompe » aura annoncé, par le
biais de son ministère de l’Agriculture (celui qui fixe les cours du blé et de diverses
autres matières premières agricoles), qu’il allait proposer de revenir sur
certains standards obligatoires dans toutes les cantines scolaires « ricaines ».
Car ces standards datent de l’époque « Haut-Bas-Mât » et imposent plus de fruits et de légumes dans les plats proposés aux « chères-têtes-blondes » du pays.
Cette annonce a, intentionnellement ou non, été effectuée vendredi 17 janvier, le jour de l'anniversaire de l’ex-première dame, « Miche-aile-Haut-Bas-Mât ».
Son nom est particulièrement associé à l’amélioration nutritionnelle des repas dans les cantines, puisque c’était la mesure phare de sa campagne « Let’s Move! » contre l’obésité infantile.
Depuis, les nutritionnistes sont vent debout contre
cette nouvelle modification. Pour eux, les écoles risquent, entre autres, de
reremplacer les légumes par des féculents, comme des pommes de terre. Les
standards en question définissaient aussi ce qui peut être considéré comme un «
en-cas ». Sans eux, les écoles pourront donc par exemple vendre des hamburgers
toute la journée en tant que casse-croûte.
« Les écoles continuent de nous dire qu’il y a encore trop de gaspillage alimentaire et que plus de flexibilité est nécessaire pour fournir aux élèves des plats nutritifs et appétissants », s’est justifié le secrétaire à l’Agriculture.
« Nous avons écouté, et nous nous mettons au travail. »
Pour une bonne partie de la droâte « ricaine »,
les directives pour les cantines scolaires étaient un symptôme criant d’« État-nounou
» (Nanny State), des mesures surprotectrices qui empiéteraient sur les libertés :
Intolérable (tout comme l’obligation vaccinale, voire tout simplement de se soigner).
En 2018 déjà, le département de l’Agriculture avait allégé les règles promulguées sous « Haut-Bas-Mât ». La réelle victoire cependant est pour certaines industries, notamment celle de la patate, qui mènent depuis longtemps une intense campagne de lobbying pour annuler ces règlements.
Autrement dit, alors qu’on frôle la pénurie de patate un peu partout, de Moscou à la Bretagne en passant par Minsk, les agriculteurs « ricains » ne savent plus comment vendre les leurs.
Les droits de douane gonflés aux amphétamines sur la patate canadienne est un premier pas, mais doubler les portions de frite dans les cantines « ricaines », là, ça, c’est de la bonne mesure de soutien à la filière…
Et ça ne plait probablement pas à « Must » qui reste militer pour une alimentation équilibrée et anti-woke… (Depuis qu’il a perdu un fils ayant fait une transition de genre…).
Donc, on peut dès lors supposer que le divorce entre « Trompe/Must »
est désormais définitivement consommé. D’ailleurs, comme dans toutes les
ruptures conflictuelles, la semaine dépassée, chacun s’en est donné à cœur joie
pour salir l’autre à grands coups de mesquineries, de mensonges et, dans leur
cas, de messages en lignes interposés.
Mais bien des observateurs se sont demandé, derrière les batailles d’egos hypertrophié, quelles raisons ont vraiment poussé ces anciens « alliés » politiques à s’affronter publiquement ?
Selon le magazine Vox, les chamailleries entre les
deux milliardaires auraient commencé avant que « Must » ne quitte le
gouvernement, le 28 mai dernier. Dès jeudi 5 juin après-midi, les relations s’étaient
tellement tendues entre les deux hommes que « Trompe » a même émis
des menaces sur les contrats fédéraux de « Must ».
Quant à ce dernier, il a évoqué sur « Xxxl » la création d’un nouveau parti et accusé « Trompe » d’être impliqué personnellement dans l’affaire Epstein.
Prétention retirée depuis…
D’autres, tout aussi sérieux, en disent la « One Big,
Beautiful Bill », le grand projet de loi budgétaire qui contient de nombreuses
réductions d’impôts, des coupes dans Medicaid et d’autres programmes, ainsi que
de nouvelles dépenses, notamment pour la lutte contre l’immigration est au cœur
du problème. Le projet a déjà passé l’obstacle de la chambre des représentants
fin mai, mais « Must » s’y oppose fermement, arguant qu’il menace de
faire exploser le déficit des États-Unis.
Notez qu’il aurait pu le dire avant et que de toute façon, il n’est jamais plus qu’un « ricain-naturalisé » qui a été Ministre du DOGE, mais qui vit essentiellement des commandes fédérales et de « quelques truanderies » sur la revente des quotas-carbones attribués par les États en application des accords de Paris(sur-la-Seine) de « Fafa-l’empoisonneur » pour sauver la planète.
Du coup, encore d’autres spéculent sur les intérêts commerciaux du patron de Tesla, et le projet de loi supprimant de nombreux crédits pour les énergies propres et les véhicules électriques.
Ce qui fait plomber et les ventes et les cours de bourse…
Un premier tournant décisif entre les deux
milliardaires aurait eu lieu début mars lorsque, après plusieurs plaintes de
collaborateurs de « Must », « Trompe » aurait déclaré que
ce dernier devait collaborer davantage avec les chefs de cabinet.
Le patron de Tesla commençait alors à perdre de plus en plus de terrain dans les luttes de pouvoir internes, notamment face au secrétaire au Trésor. Et selon certaines sources, « Must » aurait aussi demandé à la Maison-Blanche si elle pouvait trouver un moyen de prolonger son mandat au-delà de la limite de 120 jours dont il bénéficiait, pour exercer ses fonctions sans faire de déclaration de patrimoine et se faire adouber par le Congrès.
Mais il se serait vu refuser cette faveur qui n’existe pas en droit « ricain ».
Selon le New York Times, « Must » avait
également promis 100 millions de dollars pour financer la politique de « Trompe »,
mais n’aurait jamais tenu parole.
De son côté, dès le départ du PDG de Tesla du gouvernement, « Trompe » a annulé la nomination de Jared Isaacman à la tête de la Nasa : Ce dernier est un proche allié et ami de « Must », ce qui suggère que cette décision était une forme de vengeance, même si « Trompe » a prétendu avoir retiré sa nomination parce que l’impétrant avait fait des dons au Parti Démocrate par le passé.
En réalité, ces dons avaient été révélés depuis très longtemps.
En bref, aucune de ces analyses n’est dirimante, hors
l’affaire des portions de frites dans les gamelles des gamins dans les cantines
d’ékole… et ça complique encore un peu avec les droits de douane supportés par
la filière.
Ce qui fait que des « psy » (chiatres) s’inquiètent désormais du déclin mental du maître de la Maison-Blanche, qui vient d’inventer une parade militaire pour le prochain 4 juillet… (l’idée lui en est venu un certain 14 juillet, lors d’une visite à « Paris-sur-la-Seine »).
Ils évoquent des discours incohérents, des troubles du langage et des signes de confusion. Et malgré un test cognitif réussi, les doutes persistent.
Les nombreux débordements du milliardaire, comme lorsqu’il a mimé une fellation en plein meeting dans l’État du Wisconsin en novembre 2024, interloquent.
Réélu quelques semaines plus tard, il est devenu le président le plus âgé au moment de son entrée à la Maison-Blanche (il soufflera ses 82 bougies à la fin de son mandat, en 2029).
Mais il faut rester prudent avec ces tentatives de discrédit : « Trompe » lui-même affirme bien que « Bail-Dan » est mort depuis des années et aurait été remplacé par un robot…
Notez que justement, on peut se poser la question : Est-ce que l’homme qui énonce une pareille konnerie a vraiment toute sa raison à lui confier le bouton nucléaire ?
En 2017 déjà, ils étaient vingt-sept à publier
collectivement un livre, The Dangerous Case of Donald Trump (Le dangereux cas
Donald Trump), alertant sur l’état de santé mentale du président. Depuis, le
sujet revient régulièrement sur la table. Et pour faire taire les rumeurs, le
président « ricain » a subi un examen médical de cinq heures le 11
avril dernier, à l’issue duquel son médecin personnel se voulait rassurant : « Le
président Trump est en excellente santé, cognitive comme physique, et est tout
à fait apte à exercer les fonctions de chef d’État ».
Je n’aurai pas dit ça comme ça, mais je ne suis pas médecin…
« Trompe », fidèle à lui-même, s’est même targué à ce moment-là d’avoir obtenu le score maximal au test cognitif : 30/30.
Forcément : Le test tient sur un page et se fait normalement en 10 minutes… À lui, il lui aura fallu 5 heures…
Les premiers signes de problèmes neurocognitifs chez « Trompe »
dateraient de 2017. Et depuis, sa santé mentale ne cesse de se dégrader.
En 2024 on énumère même quelques symptômes, à commencer par son élocution : Il utiliserait un vocabulaire encore plus simple qu’à ses débuts, et prononcerait régulièrement des phrases incomplètes et incohérentes.
Je m’inquiète : Je n’en suis pas encore là, mais je peux perdre le fil d’une conversation et ne pas entendre ce qu’on m’aura « répété 100 fois ! »
Que c’est agaçant d’énerver tout le monde qui cause dans votre dos en étant persuadé que vous étiez-là…
Trump ferait également de la paraphasie – un trouble
du langage qui consiste à remplacer, réarranger ou déformer les mots. Au cours
de la campagne présidentielle de 2024, il aurait eu des signes de démence chez
le candidat : « Il y a un déclin dans la complexité des mots qu’il utilise
et des idées qu’il formule. » Parfois il parle de manière si
incohérente que même ses partisans se sont inquiétés.
« Il a des moments de confusion évidents » pour un autre, et « souvent, il essaie de dire un mot mais n’arrive à se souvenir que de la première partie, alors pour la terminer il invente. »
Les discours de meeting en 2024 étaient presque deux fois plus longs qu’en 2016 –82 minutes en moyenne contre 45. « Trump n’a jamais été considéré comme un brillant orateur, mais ses derniers discours semblent vraiment moins cohérents. Il est devenu encore plus décousu, et il a des moments de confusion évidents » en dit un reporter du NYT.
Peu importe : « Il ne se soucie de personne d’autre que des électeurs américains. Il comprend et connaît parfaitement la classe moyenne américaine. Pour ces personnes, ce qu’il dit ne semble pas stupide ou déséquilibré ».
Par conséquent, entre les deux milliardaires à la tête
des USA, même s’il y en a un qui décline mentalement, alors que l’autre est
trop intelligent pour être compris du premier, forcément, ça ne pouvait que « clasher »
à un moment ou à un autre, le gâteau n’étant pas assez grand pour tous les deux…
Mais ça ne l’explique toujours pas, hors le problème de la frite dans les cantoches des ékoles (que je vous le serine depuis le début de ce post).
Car aux USA, les frites ne sont pas qu’un
accompagnement. C’est même l’histoire des États-Unis qui est intimement liée à
celle des frites : Accompagnement indispensable du cheeseburger, celles
que les « ricains » appellent « french fries » (tout comme nous leur
avons exporté le « french kiss ») avaient d’ailleurs un temps été
rebaptisées ironiquement « freedom fries », en réaction à l’opposition de la « Gauloisie-intrépide »
à la guerre en Irak en 2003.
Aujourd’hui encore ces allumettes de pommes de terre frites se retrouvent au cœur du débat, mais pas seulement pour des raisons diététique cette fois, mais pour cause de taxes douanières imposées par « Trompe » !
L’incohérence va jusque-là…
Les USA produisent 19 milliards de kilos de pommes de
terre et ils ne savent plus quoi en faire (d’où le doublement des rations
scolaires), mais une hausse des taxes sur les importations d’huile de colza forcément
canadienne pourrait venir mettre en péril la rentabilité de ce plat
emblématique.
Au point que certaines enseignes envisagent déjà de changer de type de graisse, en revenant à des méthodes anciennes et plus coûteuses comme la cuisson au suif de bœuf ou à la graisse de canard.
Le canard, je veux bien. Mais le bœuf ou le gras de porc, ça donne un goût désagréable à la frite.
D’autres investissent dans des systèmes de filtration pour prolonger la durée de vie de leurs huiles, mais cela ne suffira pas à compenser l’augmentation des prix.
Car les frites ne sont pas seulement populaires, elles
sont aussi parmi les produits les plus rentables de la restauration rapide.
Avec des marges bénéficiaires supérieures à celles de nombreux autres plats, l’augmentation
des coûts de production pourrait entraîner une réduction des bénéfices. De là à
les supprimer purement et simplement des menus au moment même où « Trompe »
veut rétablir des portions augmentées dans les cantines ?
Vous n’y pensez donc pas !
Et si elles risquent d’être boudées par les consommateurs, surtout aux États-Unis où l’inflation et le pouvoir d’achat sont un enjeu majeur aujourd’hui, ça va déplaire, y compris à « Must »… mais là, pas pour des raisons diététiques.
Le secteur de la restauration « ricain » ne
sera d’ailleurs pas la seule victime de ces tarifs imposés par la
Maison-Blanche. Le Canada, principal fournisseur d’huile de colza des
États-Unis, représente 96 % des importations.
Les nouvelles taxes douanières affecteront donc directement les producteurs canadiens, menaçant une industrie qui génère des milliards de dollars.
En mars 2025, « Trompe » aura mis en place des droits de douane de 25 % sur tous les produits venus du Canada, faisant fi du précédent accord commercial États-Unis-Mexique-Canada (USMCA), avant de suspendre momentanément sa mesure, face à la panique des marchés pas vraiment préparés.
Depuis, ils explosent jusqu’à créer des pénuries artificielles.
Car si elle était effectivement appliquée à la fin des 90 jours de pause, cette mesure aurait des retombées immédiates sur le commerce transfrontalier.
En plus de leur huile, les États-Unis importent chaque
année 1,7 milliard de dollars de frites surgelées du Canada (les « McCain »).
Depuis 2020, le pays achète plus de frites surgelées qu’il n’en produit, un
déséquilibre qui coïncide avec une flambée des prix.
Chez McDonald’s(« Trompe »), le prix
moyen des frites a bondi de 134 %, passant de 1,79 dollars en 2019 à 4,19
dollars en 2024.
Le président du département d’économie des ressources et de sociologie environnementale de l’université de l’Alberta, conclut très logiquement : « Le prix du colza augmentera et cette hausse sera répercutée sur tous les participants de la chaîne de valeur, des acheteurs en gros aux restaurateurs en passant par le consommateur final. »
Sommes-nous au début d’une grande crise de la frite ?
En attendant, c’est probablement la seule raison valable
pour laquelle « Must » s’est fâché tout-rouge avec « Trompe » :
Imposer double ration de frite à ses gamins scolarisés, des frites
essentiellement importées, cuites dans de l’huile de colza qui n’est pas
fournie par les « agricul’ » du pays mais par ceux du futur 51ème
État de l’Union, et le tout taxé à 25 %, un scandale d’incohérence aux yeux de
l’Asperger !
De quoi vandaliser le porte-monnaie des « ricains » !
C’en est trop pour lui et il aura claqué la porte estimant que la « BBB » est une hérésie.
Or, justement, ce que n’a pas vu « Must », c’est que c’est exactement ce que sur le vieux continent, nous appelons la « fiscalité punitive » : Finalement, ces droits de douane sur les frites, c’est une mesure de préservation de la bonne santé publique…
À moins que, et c’est ma dernière hypothèse, notre
milliardaire soit comme tout le monde : Pas décidé à payer plus cher ses
frites qu’il adore en secret…
Allez donc savoir ?
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Nous, en « Gauloisie-triomphale », on sait très bien que c’est faux : Notre « Jupiter » restera stérile et personne ne sort de sa cuisse. D’autant qu’il paraît plus agir comme Chronos, le géant qui mangeait ses enfants.
Donc il a tout faux.
Quant à son compère, c’est un grand malade kétaminé qui ramène tout au fait de sauver l’humanité, en s’inspirant exclusivement de ses lectures de science-fiction.
C’est une idée fixe et il se sert de son handicap d’Asperger pour faire croire à ses fans ébahis qu’il est l’homme le plus intelligent de la planète et du moment… peut-être même de toutes les époques…
Quand les deux se sont croisés, forcément, ça aura fait des bulles.
Car ces standards datent de l’époque « Haut-Bas-Mât » et imposent plus de fruits et de légumes dans les plats proposés aux « chères-têtes-blondes » du pays.
Cette annonce a, intentionnellement ou non, été effectuée vendredi 17 janvier, le jour de l'anniversaire de l’ex-première dame, « Miche-aile-Haut-Bas-Mât ».
Son nom est particulièrement associé à l’amélioration nutritionnelle des repas dans les cantines, puisque c’était la mesure phare de sa campagne « Let’s Move! » contre l’obésité infantile.
« Les écoles continuent de nous dire qu’il y a encore trop de gaspillage alimentaire et que plus de flexibilité est nécessaire pour fournir aux élèves des plats nutritifs et appétissants », s’est justifié le secrétaire à l’Agriculture.
« Nous avons écouté, et nous nous mettons au travail. »
En 2018 déjà, le département de l’Agriculture avait allégé les règles promulguées sous « Haut-Bas-Mât ». La réelle victoire cependant est pour certaines industries, notamment celle de la patate, qui mènent depuis longtemps une intense campagne de lobbying pour annuler ces règlements.
Autrement dit, alors qu’on frôle la pénurie de patate un peu partout, de Moscou à la Bretagne en passant par Minsk, les agriculteurs « ricains » ne savent plus comment vendre les leurs.
Les droits de douane gonflés aux amphétamines sur la patate canadienne est un premier pas, mais doubler les portions de frite dans les cantines « ricaines », là, ça, c’est de la bonne mesure de soutien à la filière…
Et ça ne plait probablement pas à « Must » qui reste militer pour une alimentation équilibrée et anti-woke… (Depuis qu’il a perdu un fils ayant fait une transition de genre…).
Mais bien des observateurs se sont demandé, derrière les batailles d’egos hypertrophié, quelles raisons ont vraiment poussé ces anciens « alliés » politiques à s’affronter publiquement ?
Quant à ce dernier, il a évoqué sur « Xxxl » la création d’un nouveau parti et accusé « Trompe » d’être impliqué personnellement dans l’affaire Epstein.
Prétention retirée depuis…
Notez qu’il aurait pu le dire avant et que de toute façon, il n’est jamais plus qu’un « ricain-naturalisé » qui a été Ministre du DOGE, mais qui vit essentiellement des commandes fédérales et de « quelques truanderies » sur la revente des quotas-carbones attribués par les États en application des accords de Paris(sur-la-Seine) de « Fafa-l’empoisonneur » pour sauver la planète.
Du coup, encore d’autres spéculent sur les intérêts commerciaux du patron de Tesla, et le projet de loi supprimant de nombreux crédits pour les énergies propres et les véhicules électriques.
Ce qui fait plomber et les ventes et les cours de bourse…
Le patron de Tesla commençait alors à perdre de plus en plus de terrain dans les luttes de pouvoir internes, notamment face au secrétaire au Trésor. Et selon certaines sources, « Must » aurait aussi demandé à la Maison-Blanche si elle pouvait trouver un moyen de prolonger son mandat au-delà de la limite de 120 jours dont il bénéficiait, pour exercer ses fonctions sans faire de déclaration de patrimoine et se faire adouber par le Congrès.
Mais il se serait vu refuser cette faveur qui n’existe pas en droit « ricain ».
De son côté, dès le départ du PDG de Tesla du gouvernement, « Trompe » a annulé la nomination de Jared Isaacman à la tête de la Nasa : Ce dernier est un proche allié et ami de « Must », ce qui suggère que cette décision était une forme de vengeance, même si « Trompe » a prétendu avoir retiré sa nomination parce que l’impétrant avait fait des dons au Parti Démocrate par le passé.
En réalité, ces dons avaient été révélés depuis très longtemps.
Ce qui fait que des « psy » (chiatres) s’inquiètent désormais du déclin mental du maître de la Maison-Blanche, qui vient d’inventer une parade militaire pour le prochain 4 juillet… (l’idée lui en est venu un certain 14 juillet, lors d’une visite à « Paris-sur-la-Seine »).
Ils évoquent des discours incohérents, des troubles du langage et des signes de confusion. Et malgré un test cognitif réussi, les doutes persistent.
Les nombreux débordements du milliardaire, comme lorsqu’il a mimé une fellation en plein meeting dans l’État du Wisconsin en novembre 2024, interloquent.
Réélu quelques semaines plus tard, il est devenu le président le plus âgé au moment de son entrée à la Maison-Blanche (il soufflera ses 82 bougies à la fin de son mandat, en 2029).
Mais il faut rester prudent avec ces tentatives de discrédit : « Trompe » lui-même affirme bien que « Bail-Dan » est mort depuis des années et aurait été remplacé par un robot…
Notez que justement, on peut se poser la question : Est-ce que l’homme qui énonce une pareille konnerie a vraiment toute sa raison à lui confier le bouton nucléaire ?
Je n’aurai pas dit ça comme ça, mais je ne suis pas médecin…
« Trompe », fidèle à lui-même, s’est même targué à ce moment-là d’avoir obtenu le score maximal au test cognitif : 30/30.
Forcément : Le test tient sur un page et se fait normalement en 10 minutes… À lui, il lui aura fallu 5 heures…
En 2024 on énumère même quelques symptômes, à commencer par son élocution : Il utiliserait un vocabulaire encore plus simple qu’à ses débuts, et prononcerait régulièrement des phrases incomplètes et incohérentes.
Je m’inquiète : Je n’en suis pas encore là, mais je peux perdre le fil d’une conversation et ne pas entendre ce qu’on m’aura « répété 100 fois ! »
Que c’est agaçant d’énerver tout le monde qui cause dans votre dos en étant persuadé que vous étiez-là…
« Il a des moments de confusion évidents » pour un autre, et « souvent, il essaie de dire un mot mais n’arrive à se souvenir que de la première partie, alors pour la terminer il invente. »
Les discours de meeting en 2024 étaient presque deux fois plus longs qu’en 2016 –82 minutes en moyenne contre 45. « Trump n’a jamais été considéré comme un brillant orateur, mais ses derniers discours semblent vraiment moins cohérents. Il est devenu encore plus décousu, et il a des moments de confusion évidents » en dit un reporter du NYT.
Peu importe : « Il ne se soucie de personne d’autre que des électeurs américains. Il comprend et connaît parfaitement la classe moyenne américaine. Pour ces personnes, ce qu’il dit ne semble pas stupide ou déséquilibré ».
Mais ça ne l’explique toujours pas, hors le problème de la frite dans les cantoches des ékoles (que je vous le serine depuis le début de ce post).
Aujourd’hui encore ces allumettes de pommes de terre frites se retrouvent au cœur du débat, mais pas seulement pour des raisons diététique cette fois, mais pour cause de taxes douanières imposées par « Trompe » !
L’incohérence va jusque-là…
Au point que certaines enseignes envisagent déjà de changer de type de graisse, en revenant à des méthodes anciennes et plus coûteuses comme la cuisson au suif de bœuf ou à la graisse de canard.
Le canard, je veux bien. Mais le bœuf ou le gras de porc, ça donne un goût désagréable à la frite.
D’autres investissent dans des systèmes de filtration pour prolonger la durée de vie de leurs huiles, mais cela ne suffira pas à compenser l’augmentation des prix.
Vous n’y pensez donc pas !
Et si elles risquent d’être boudées par les consommateurs, surtout aux États-Unis où l’inflation et le pouvoir d’achat sont un enjeu majeur aujourd’hui, ça va déplaire, y compris à « Must »… mais là, pas pour des raisons diététiques.
Les nouvelles taxes douanières affecteront donc directement les producteurs canadiens, menaçant une industrie qui génère des milliards de dollars.
En mars 2025, « Trompe » aura mis en place des droits de douane de 25 % sur tous les produits venus du Canada, faisant fi du précédent accord commercial États-Unis-Mexique-Canada (USMCA), avant de suspendre momentanément sa mesure, face à la panique des marchés pas vraiment préparés.
Depuis, ils explosent jusqu’à créer des pénuries artificielles.
Car si elle était effectivement appliquée à la fin des 90 jours de pause, cette mesure aurait des retombées immédiates sur le commerce transfrontalier.
Chez McDonald’s
Le président du département d’économie des ressources et de sociologie environnementale de l’université de l’Alberta, conclut très logiquement : « Le prix du colza augmentera et cette hausse sera répercutée sur tous les participants de la chaîne de valeur, des acheteurs en gros aux restaurateurs en passant par le consommateur final. »
Sommes-nous au début d’une grande crise de la frite ?
De quoi vandaliser le porte-monnaie des « ricains » !
C’en est trop pour lui et il aura claqué la porte estimant que la « BBB » est une hérésie.
Or, justement, ce que n’a pas vu « Must », c’est que c’est exactement ce que sur le vieux continent, nous appelons la « fiscalité punitive » : Finalement, ces droits de douane sur les frites, c’est une mesure de préservation de la bonne santé publique…
Allez donc savoir ?
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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