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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 20 juin 2025

Jean-Marc suit un cours de secourisme…

Il a rapidement été recalé…
 
« Et pourquoi tu t’es fait virer ? » lui demande Jean-Paul.
« — La pétasse m’a demandé ce que je devais faire si je la voyais s’étouffer…
— Et alors ? Tu as répondu quoi ?
— Bé que je me retire de quelques centimètres, comme toujours ! »
 
Germaine fait la tournée des bars et interroge les tenanciers, un flingue à la main.
« — Vous n’auriez pas vu mon mari ?
— Ne vous énervez pas Madame… comment est-il habillé, votre mari ?
— Probablement avec un gilet pare-balles… »
 
C’est l’histoire de Jean-Marcel, qu’on croise encore dans les ateliers, mais plus dans son bar depuis qu’il s’est marié, il y a 15 jours de ça :
Il dit à sa femme :
« — Chérie, ne t’inquiète pas, je reviens tout de suite, mon cœur.
— Tu vas où comme ça, chéri ?
— Je vais retrouver les copains au bar du coin pour boire une bière, ma beauté !
— Tu veux une bière mon amour ? Le frigo est rempli de 25 sortes de bières fraîches. 
— Mais chérie, au bistrot ils ont des verres gelés…
— Tu veux un verre gelé mon amour ? J’en ai plein dans le congélateur !
— Mais, ma chérie, mais… au bistrot ils ont des petits biscuits à apéritif délicieux… Je ne serais pas long !
— Amour de ma vie, le frigo est plein d’ailes de poulet, de crevettes, de jambon cru et de charcuterie. Et tu trouveras quantité de paquets de chips dans le placard !
— Mais chérie… Tu sais, au bar on dit des gros-mots, on jure…
— Tu veux entendre des gros-mots, mon chéri ? Eh bien bois ta putain de bière dans ta chope de naze et bouffes tes foutus snacks vautré dans ton canapé pourri, parce que tu vas nulle part !
Tu as compris espèce de connard ? »
 
La barmaid de Jean-Marc :
« — Qu’est-ce que vous sers, ce soir…
— Le zizi, mais pas trop fort, si possible ! »
 
Jean-Paul l’aura rejoint et commente devant sa bière vespérale :
« — Finalement, les cougars n’ont pas besoin du secours de la religion pour pratiquer le jeune…
… »
 
Marie-Chantal, à Germaine, devant une tasse de thé :
« Finalement, les femmes ne sont pas si compliquées que ça…
Ce sont les hommes qui ne comprennent rien ! »
 
Marie-Chantal au téléphone :
«  Mais arrête de m’appeler sans cesse ! J’essaye de t’oublier !
— Mais c’est toi qui m’appelles.
— Alors ne réponds pas ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — Finalement, le sexe, ce n’est pas compliqué…
— Euh non…
— C’est un peu comme le hachis parmentier !
— Ah ?
— Oui, tu t’occupes d’abord de la viande et ensuite tu mets la purée !
— … »
 
Plus tard, Jean-Paul et son début de cafard :
« — Mais après tout, Jean-Marc, qui sommes-nous pour juger des opinions de merde des autres ?
— … Bon, il est l’heure d’aller se coucher, pour toi ! »
 
Jean-Marc avec son fiston :
«  Dis papa…
— Quoi ?
— Est-ce que je peux avoir un peu de ton whisky, s’il te plait ?
— Est-ce que tu peux toucher ton trou du cul avec ta bite ?
— Non !
— Bé tu as la réponse… »
Plus tard :
« — Papa !
— Quoi ?
— Est-ce que je peux fumer une de tes clopes, s’il te plait ?
— Fiston, est-ce que tu peux toucher ton trou du cul avec ta bite ?
— Non !
— Bé tu connais la réponse… »
Encore plus tard :
« — Papa !
— Quoi encore ?
— Est-ce que je peux acheter un jeu de grattage, s’il te plait ?
— Oui… Si tu veux… »
Ce que le gamin fait et il revient tout heureux :
« — Papa, papa !
— Quoi donc ?
— Je viens de gagner 100.000 euros avec un seul ticket !
— Oh putain ! On va partager ça !
— Ah désolé : est-ce que tu peux toucher ton trou du cul avec ta bite ?
— Oui !
— Eh bien tu peux te la mettre bien profond ! »
 
Dans le Middle West, les explications embarrassées d’un honnête fermier (qui vote Républicain) :
« Votre honneur, c’est seulement après avoir buté le troisième zombie que j’ai commencé à me demander pourquoi ils portaient des sacs de bonbons et qu’ils sonnaient à ma porte… »
 
Le chef du service de Jean-Paul, un petit teigneux désagréable :
« Franchement, je n’aimerai pas être dans votre tête !
Pourquoi vous dites ça, chef ?
Parce que je suis vraiment effrayé par le vide… »
 
Marie-Chantal à Germaine, sirotant une tasse de thé.
« C’est fou !
Quoi donc très chère ? Elles sont délicieuses ces madeleines…
Non ce n’est pas ça qui est fou.
C’est quoi alors ?
C’est le fait que mon ophtalmo et mon gynéco ont le même humour !
Ah bon ? Ils ont peut-être fait l’école de médecine ensemble.
Ça je ne sais pas, mais ils m’ont sorti tous les deux la même blague !
Ah bon ? Laquelle ?
À votre avis, combien de doigts ! »
 
Histoire d’un couple :
Elle : « Tu es complétement obsédé par Disney ! Il va falloir te soigner. Même les enfants sont victimes de ton obsession maladive ! »
Lui : « Ah non ! Je t’interdis de mêler Mulan et Pocahontas à cette discussion ! »
 
Un autre couple :
Elle : « Je veux vivre à tes côtés ! »
Lui : « Ça tombe bien : Mon voisin a mis sa maison en vente ! »
 
Aveu de Jean-Paul à Jean-Marc :
« Mon voisin m’a conseillé le crottin de cheval pour mes fraises…
Mais je crois que je vais continuer au sucre : Je n’ai pas aimé le goût ! »
 
Plus tard, les mêmes devant une énième bière :
« Tu sais quoi ?
Non, pas encore…
Eh bien aux îles Canaries, j’en reviens, il n’y a pas de canari !
Normal… C’est comme dans les îles Vierges, c’est exactement pareil…
Il n’y a pas non plus de canari ?
Exactement… »
 
Encore plus tard, après une nouvelle tournée de bière :
« Ce soir, je suis complètement vidé…
Si fatigué que sur une échelle de 1 à 10…
Eh bien je ne monte même pas sur l’échelle. »
 
Jean-Marc à Germaine…
« — Finalement, j’espère qu’un jour je pourrai aller sur la Lune…
— Et moi au 7ème ciel ! »
 
Une « revenue », plus récente que d’autres :
Germaine et Marie-Chantal :
« — Tous les matins, depuis quelques jours, il y a un mec qui sonne à la porte.
— Oui… Et qu’est-ce qu’il veut ?
— Eh bien il me demande si mon mari est là.
— Et alors ?
— Je lui réponds que non et il se jette sur moi et me fait l’amour pendant plus d’une heure…
— Nan sérieux ! Et tu te laisses faire ?
— Je proteste pour la forme, mais il est si bien gaulé que c’est un vrai délice.
Non, le plus curieux, c’est que je ne sais toujours pas ce qu’il veut à Jean-Marc ! »
 
Germaine à Jean-Marc :
« — Chéri, pourquoi tu es toujours en train de jouer à des jeux vidéo ?
— Mais pour la même raison que tu te maquilles tous les jours, ma douce !
— Ah bon ? Et je me maquille pour quelle raison à ton avis ?
— Mais pour fuir la réalité ! »
 
Alcooltest pratiqué sur Jean-Marc :
« — Soufflez là-dedans s’il vous plait…
— Pffffff !
— Ouh là ! Mais arrêtez, vous êtes largement positif, là !
— Mais non ?
— Mais si ! Et vous savez ce que ça veut dire ?
— Oui ! Que j’attends un bébé ! »
 
Germaine et Jean-Marc :
« — Chéri ! j’ai vu un bijou fantastique ! il est magnifique. Est-ce qu’on peut l’acheter ?
— Combien !
— 8.000 euros ! Mais tu verras il est magnifique !
— Je te crois ! Achète-le si ça te fait plaisir !
— Tu es un amour !
— Je vais mettre la voiture en vente. Comme ça tu iras au boulot en bijou ! »
 
Les mêmes :
« — Franchement, tu te souviens comme nous étions heureux ensemble, il y a 25 ans…
— Oui je me souviens… On ne se connaissait pas à ce moment-là !
— C’est exactement ce que je dis ! »
 
Jean-Marc à Jean-Paul, un matin, devant une bière :
« — Tu le savais toi, que la majorité des archéologues sont des femmes…
— Ah non, je ne savais pas ! Et pourquoi ?
— C’est grâce à leur immense et fabuleuse capacité à creuser le passé ! »
 
Jean-Grégoire à Jean-Paul, devant une bière en attente de Jean-Marc
« — J’ai perdu deux kilos !
— Ah oui, cool ! C’est bien pour toi…
— Pas sûr… Maintenant j’ai des colombiens qui me cherchent ! »
 
C’est le professeur de classe qui demande à sa classe de rendre les devoirs-maisons qu’il a donné la veille.
Tout le monde remet sa copie sauf le petit Jean-Marc.
« — Pourquoi tu ne me rends rien ?
— Parce que je ne l’ai pas fait !
— Et pourquoi tu ne l’as pas fait ?
— Parce que vous avez dit que c’était un devoir-maison…
— Et alors ?
— J’habite un appartement moi, pas une maison, désolé ! »
 
Jean-Paul, un matin, en arrivant au bar où l’attend Jean-Marc pour partager une bière avant d’aller bosser :
« — Ce matin, j’ai décidé d’être heureux !
— Ah c’est très bien, ça !
— Non seulement c’est bon pour la santé, mais en plus ça fait chier tous les cons !
Un pur bonheur ! »
 
Sans rancune aucune,
Bon week-end à toutes et à tous…
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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