Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 30 juin 2025

Tome II – La tête dans les étoiles.

Prologue
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
00.0 – Vous l’aurez deviné par divers propos antérieurs sur ces pages, je suis actuellement « en vadrouille » assez loin de mes lieux habituels de vie et de travail. Aussi, ces derniers jours j’ai eu un peu de mal à rester scotché derrière les « alertes » de ce monde infernal dans lequel chacun ose jouer sa propre partition sans rechercher ni le bien-être du plus grand nombre ni même la paix des humains de l’humanité entre eux.
À part peut-être notre nouveau pape…
Mais bon, comme le porte-la-parole de Saint Pierre n’est pas beaucoup audible, ça foisonne un peu partout et Dieu, s’il existe, laisse ainsi, dans son immense miséricorde, sa « pauvre-créature » faite à son image s’entre-étriper dans la joie et la bonne humeur générale.
Et je n’ai plus guère le temps de suivre.
 
Aussi, à pareille époque, je n’ai plus qu’une chose en tête : Clore les dossiers en cours (dont tous ceux que je ne veux pas retrouver à la rentrée, si par hasard mon destin m’autorise à revenir faire les check-up indispensables à rassurer « ma nichée »), après avoir mis en ligne les « billets » de l’été sur ce blog et me laisser libre de penser à ma caouane à exposer sous l’ombre ou d’un olivier, ou d’un figuier (même si l’ombre du figuier rand fou) ou d’un parasol, caressée par les doux zéphirs estivaux.
Dans ces moments-là, entre veille et réflexion « sur plage », je me rissole la pilule après des décennies de labeur assidu et j’imagine déjà le scénario du prochain roman : j’ai déjà la « matière à » (172 fichiers pour un total de 3,56 Mo) qu’il faut que j’organise autour d’un scénario crédible, juste pour le plaisir de le créer ex-nihilo, m’en amuser et, éventuellement vous distraire l’été prochain (2026) si je survis jusque-là.
En fait, c’est devenu plus compliqué que ça…
 
Aujourd’hui, comme affirmé précédemment, je suis déjà en vadrouille et je vous laisse une trentaine de posts d’un « roman nouveau », exploités autour de quelques 557 fichiers représentants 19,3 Mo, pour arriver à la fin du mois de juillet sans que j’aie à en rejouter tous les jours.
Et attention « m’sieurs-dames », ce n’est même pas la moitié de l’histoire que je vous raconte !
C’est vous dire si je suis très en retard sur mes prévisions prévisionnelles.
Et qu’il va me falloir consacrer pas mal de matinées à compléter pour arriver à la fin, qui vous racontera Noël 2024, « la tête dans les étoiles », pour de vrai…
 
Car là, je ne peux pas faire autrement : J’aurai été trop bousculé par la charge de travail que ça représente : Je ne suis pas un surhomme qui peut « pondre » au kilomètre sans prendre quelques repos et assumer encore les responsabilités qu’il a gardées.
Pour tout vous dire, le monde tel qu’il va me fait ch… (étroner) tellement il va de travers et je ne vois plus aucun moyen de le redresser dans sa course aux délires !
Bref, il est plus que temps que je le quitte pour des horizons inexistants tellement je reste persuadé de m’être trompé d’époque, de planète et d’espèce.
Mais bon, c’est une autre histoire, parce que si je suis encore là, c’est que j’assume, même à mon corps défendant.
 
Donc l’histoire que vous allez lire dans les jours qui suivent a été conçue il y a bien des années : C’est celle d’un type qui veut aller faire l’amour (baiser quoi) sa femme en apesanteur !
Comme d’un cadeau exceptionnel à nul autre pareil…
Je ne sais pas pourquoi, mais l’idée doit dater de 2016, quand je vous ai écrit « Ultime récit – suite ».
À l’époque je trouvais ça assez « photogénique » (au moins dans ma tête), pour en faire un roman.
Notamment à cause de toutes ces images qu’on nous rapportait de l’ISS.
Sauf que comme d’habitude, la réalité rattrape bien des rêves, même d’anticipation échevelés, et impose ces correctifs impérieux.
Donc, ce qui va suivre ne sera pas tout-à-fait ce que j’avais imaginé au démarrage pour vous (et mon plaisir de l’écrire, soyons honnête), car ça devait se passer au plus tard à Noël 2024 et que l’année 2024 aura été une année particulièrement dense en diverses surprises, pas forcément toutes anticipées.
 
Il y en a tout de même pas mal, de ces surprises, qui viennent conforter le scénario imaginé pour vous, aussi, une fois de plus, ce roman n’est pas totalement un « pur produit de l’imagination de son auteur », mais par bien des aspects une reprise des éléments d’actualité de l’année 2024 dans lesquels j’aurai dû introduire des éléments de fiction (assez peu finalement tellement mes « anticipations fictionnelles » sont plutôt bien élaborées) pour vous proposer un récit cohérent avec ce que tout le monde peut vérifier par ailleurs.
Ma spécialité de romancier…
 
Ce n’est pas que j’en sois spécialement fier (ça me ferait plutôt caguer d’ailleurs), au point que j’ai envie d’écrire autre chose avec un nouveau décor et d’autres personnages, mais il se trouve que, aussi pénible que cela puisse être, le roman de 2026, qui portera sur 2025, est déjà encadré par une actualité encore plus dense que celle de 2024 qu’on va devoir balayer ensemble, avec toutefois pas mal de choses qui n’ont jamais été reprises par la presse mainstream.
Demain, si j’ai le temps en Balagne de commencer l’écriture du volume suivant (à condition de finir celui-ci), je m’amuserai plus que pour celui-ci où beaucoup de choses ont déjà été dites et recuites pour être connues de toutes et tous et analysées sous toutes les coutures…
À quelques exceptions près que vous allez découvrir dans les prochains posts.
 
Aussi, je vous souhaite dès à présent une bonne lecture pendant que je vais rejoindre mes bases estivales balaninaises (et installer la clim dans ma demeure maquisale de « bord de montagne sur mer » !)
 
00.1 – Résumé :
 
2024, une année électorale quasi-mondiale et compliquée, une année olympique flamboyante, un monde en éruption permanente, Paul de Bréveuil toujours partiellement amnésique, invalide du sommeil, avec des projets qui n’avancent pas même sous la pression, alors que d’autres, peut-être plus menaçants, s’exécutent dans l’ombre.
Les ingénieurs du chaos sont en marche et gagnent du terrain au fil du temps.
Et pourtant, à force de ténacité et d’obstination, « Charlotte » réalise son fantasme de piloter son propre prototype en orbite sans financement extérieur.
S’il est en avance sur tout le monde quant à la technologie de vaisseau spatiaux habités réutilisables, c’est que depuis l’origine il ne demande rien à personne, ce qui lui évite d’avoir à résister aux pressions de son environnement et lui permet de déjouer les pièges de services secrets devenus plus ou moins ouvertement « hostiles ».
Il avance sans faire de bruit tout en préparant sa succession…
C’est ce que nous allons voir dans ce volume.
 
00.2 – La narratrice de ce volume :
 
On ne présente plus Alexis Dubois, née journaliste. Maîtrise de lettre moderne à Paris-Sorbonne et pigiste puis reporter, elle devient la « biographe » officielle de Paul de Bréveuil alias l’agent « Charlotte » non pas par hasard, mais comme d’une nécessité. Aussi, elle enquête et poursuit « son sujet » au cours des années récentes qui restent denses. Elle est en contact permanent et direct avec ce dernier qu’elle suit à sa demande et sous le contrôle duquel elle travaille.
« Le Gardien », alias « Flibustier 20260 » (parfois aussi « Flibustier 75006 »), directeur de publication, fait la liaison entre Alexis Dubois et l’inventeur du personnage central dans la collection des « Enquêtes de Charlotte » en libre publication. Il est chargé par les uns et les autres d’éditer les volumes successifs relatant la vie de Paul de Bréveuil.
I3 est « l’inventeur » de « Charlotte », le créateur, inspiré à la fois par ce dernier (qui prend corps) et « Le capitaine Haddock » (Jean-Charles Duboc) : des personnes « réelles » qui toutes existent ou ont existé sur la planète Terre au confluent du XXème et XXIème siècle.
Et Paul de Bréveuil est le personnage central de cette série : son rôle reste ambigu.
S’il opère bien en toutes ses qualités, de façon parfois très « discrètes » au fil du temps au moins aux yeux du public (mais pas des autorités), il est l’homme qui a besoin, pour des raisons qu’on découvre au fil du temps, d’avoir un biographe officiel. D’où « l’inspiration » téléguidée d’I3 puis, et parce que tout le monde est mortel, d’Alexis Dubois.
Une saga qui tourne sur elle-même…
 
00.3 – Biographie simplifiée de « Charlotte »
 
1975 : Naissance (présumée)
1991 : Brevet de pilote amateur ― Vice-champion national de vol à voile
1992 : Brevet navigation ― Baccalauréat scientifique
1993 : Licence moteur ― Permis de conduire ― 1ère année de prépa d’école d’ingénieur
1994 : 2ème année de préparation école d’ingénieur
1995 : Élève officier pilote de l’aéronautique navale (EOPAN) ― École Polytechnique
1996 : Élève officier pilote de l’aéronautique navale (EOPAN) ― École Polytechnique
1997 : Stage US à Nelly-base ― École Polytechnique
1998 : Stage US à la Naval Air Station Pensacola ― École Polytechnique
1999 : Brevet de pilote de chasse ― Sup-aéro ― Lieutenant de Vaisseau
2000 : Embarquement sur le PAN Charles de Gaulle ― Sup-aéro
2001 : Patrouilles sur le PAN Charles de Gaulle
2002 : Missions de guerre sur le PAN Charles de Gaulle ― Campagne Afghane
2003 : Capitaine de Corvette ― Direction du renseignement militaire
2004 : DRM ― Opérations spéciales ― Médaille du Congrès américain
2005 : Délégué général de la Guilde des joailliers ― Cf. « Le feu »
2006 : Chargé de missions chez EADS ― Cf. « Ardéchoise cœur fidèle »
2007 : Directeur technique de la MAPEA ― Cf « Le juge Feyard »
2008 : Directeur général de la MAPEA ― Cf. « Le crime était parfait »
2009 : Directeur général de la MAPEA ― Cf. « Opération Juliette-siéra » (réédition sur Amazon)
2010 : Directeur général de la MAPEA ― Cf. « Au nom du Père »
2011 : Assistant chez Dassault aviation ― Cf. « Au nom du Père ― tome II »
2012 : Secrétaire général de la MAPEA ― Cf. « Parcours Olympiques » (sur Amazon), Médaille de la liberté, Pair d’Angleterre, Ordre de Jésus-Christ…
2013 : MAPEA – Naissance d’Annabelle ― Cf. « Mains invisibles » (sur Amazon)
2014 : MAPEA – Naissance de Louis ― Cf. « Mains invisibles ― tome II » (sur Amazon)
2015 : MAPEA ― Cf. « Laudato sì… » (prochainement sur Amazon)
2016 : Cf. « Ultime récit » (sur Amazon)
2017 : Cf. « Ultime récit ― suite » (sur Amazon)
2018 : Cf. « Alex cherche Charlotte » (sur Amazon)
2019 : Cf. « À la poursuite de Charlotte » (sur Amazon)
2020 : Cf. « L’année Covid de Charlotte » (sur Amazon)
2021 : Cf. « La croisière d’Alexis » (sur Amazon)
2022 : Cf. « 2022, année électorale de Charlotte » (prochainement sur Amazon)
2023 : Cf. « Menaces de chaos » (sur Amazon)
2024 : Cf. « La tête dans les étoiles » (prochainement sur Amazon)
2025 : Cf. « Tome II – La tête dans les étoiles » (prochainement sur Amazon)
2026 : Cf : « La suite – 2025 » (à l’écriture).
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire