L’Empire du milieu espionnerait la « Sainte-Russie »…
Notez que c’est un peu normal : Dans notre monde
infernal, tout le monde espionne tout le monde !
Même « Gogol » m’espionne et je soupçonne certaines centrales de renseignement de venir gonfler les statistiques de ce modeste « piti-blog » en explorant tous les posts qu’il y a dessus : Ça fait même des journées à plus de 4.000 visites/jour, ce qui reste hallucinant…
C’est un site totalement francophone, n’est-ce pas, mais savez-vous que 56 % de bientôt plus de 950.000 visiteurs viennent de pays étrangers et pour la plupart non-francophones ?
Étonnant…
Alors une erreur de la nature de plus ou de moins, pas de quoi être très surpris, somme toute.
Et je ne m’étonne guère quand on me fait savoir depuis
les USA des « ricains » qu’un document secret des services russes a
pu circuler jusque dans la rédaction du New-York Times.
Manipulation ou intox, Moscou fait ainsi savoir que les services de « Poux-tine » s’inquiètent de l’espionnage de la Chine, mais pire, de sa vassalisation !
Parce qu’espionnage militaire, guerre informationnelle en Sibérie, la Russie apparaitrait comme de plus en plus soumise à la Chine.
Et dire qu’ils ne parviennent même pas à soumettre leur voisin ukrainien…
Enfin… passons.
Le document daterait vraisemblablement de fin 2023,
début 2024. Le New-York Times a pu se le procurer et le faire authentifier par
plusieurs services occidentaux.
Les services russes s’inquiètent ainsi de l’infiltration chinoise, de l’espionnage en cours sur leur sol, du recrutement d’agents et de projets de contrôle de la Sibérie et de l’Arctique.
Car empêtrée en Ukraine, la Russie est de plus en plus affaiblie et se laisserait soumettre à la mainmise chinoise faute de moyen et d’attention.
En tout cas, dans les couloirs de la Loubianka, le
quartier général de l’agence de sécurité intérieure russe, connue sous le nom
de FSB (ex-KBG), une unité de renseignement secrète qualifie les Chinois d’«
ennemis ».
Cette unité, qui n’avait jamais été révélée auparavant, a averti que la Chine constituait une menace sérieuse pour la sécurité russe. Ses agents affirment même que Beijing tente de plus en plus de recruter des espions russes et de mettre la main sur des technologies militaires sensibles, parfois en attirant des scientifiques russes mécontents.
Qui sont de plus en plus nombreux.
Ils craignent en plus que des universitaires chinois ne préparent le terrain pour revendiquer des territoires russes.
Ils ont également averti que des agents secrets chinois menaient des activités d’espionnage dans l’Arctique sous le couvert de sociétés minières et de centres de recherche universitaires.
Rien de plus naturel, surtout quand on est un brin paranoïaque.
Et toutes ces menaces sont exposées dans un document interne de huit pages du FSB, obtenu par le New-York Times, qui définit les priorités pour lutter contre l’espionnage chinois.
Ce document n’est pas daté, ce qui laisse penser qu’il s’agit d’un projet, même si le contexte semble indiquer qu’il a été rédigé fin 2023 ou début 2024.
Le groupe de cybercriminalité Ares Leaks s’est procuré
ce document, sans toutefois préciser comment. Il est donc impossible de
l’authentifier de manière définitive, mais le Times l’a transmis à six agences
de renseignement occidentales, qui l’ont toutes jugé authentique.
Ce document offre l’aperçu le plus détaillé à ce jour des coulisses du contre-espionnage russe à l’égard de la Chine.
Ainsi, « Poux-tine », le russe, et « Xi-ping-pong » le dirigeant chinois, poursuivent avec acharnement ce qu’ils appellent un partenariat « sans limites ». Mais la note top secrète du FSB montre qu’il existe en réalité des limites.
« Vous avez les dirigeants politiques, qui sont tous favorables à un rapprochement avec la Chine », a déclaré un transfuge expert des services de renseignement russes vivant en exil (politique) en Grande-Bretagne (moâ, j’en suis revenu…), qui a examiné le document à la demande du Times. « Vous avez les services de renseignement et de sécurité, qui sont très méfiants. »
Ainsi, trois jours avant l’invasion de l’Ukraine en 2022, le FSB a approuvé un nouveau programme de contre-espionnage appelé « Entente-4 », révèle ce document.
Le nom de code, qui fait apparemment référence avec ironie à l’amitié croissante entre Moscou et Pékin, cache la véritable intention de l’initiative : Empêcher les espions chinois de nuire aux intérêts russes.
Et les agents des services de renseignement chinois ont intensifié leurs efforts pour recruter des responsables russes, des experts, des journalistes et des hommes d’affaires proches du pouvoir à Moscou, indique le document.
« Poutine pense qu’il peut s’engager beaucoup plus
profondément dans cette alliance avec la Chine, et même si cela comporte des
risques, cela en vaut la peine », avait déclaré le directeur du Carnegie
Russia Eurasia Center, qui a examiné le document à la demande du Times. « Mais
nous voyons également que certains membres du système sont sceptiques quant à
cette approche. »
L’inquiétude quant à la vulnérabilité de la Russie face à une Chine de plus en plus puissante domine cette note. Mais on ne sait pas dans quelle mesure ces inquiétudes sont répandues au sein de l’establishment russe, au-delà de cette unité de contre-espionnage-là.
Car, comme je le précise d’entrée, même les nations alliées s’espionnent régulièrement : On se souvient de la NSA qui interceptait les messages d’« En-Gèle-là-Mère-Quelle » et de nos propres « grandes-oreilles » qui tracent jusqu’aux pièces de 2 euros qui tombent de la Tour Eiffel depuis la rade de Brest sans parler des programmes de « Pas-mentir » qui anticipent désormais les actions terroristes contre les JO de Paris : Plusieurs dizaines d’attentats ont ainsi été déjoués très en amont, par simple « mise en sécurité », « en région » des éléments « les plus motivés »…
Ce n’est un secret pour personnes, mais la Chine
dispose de scientifiques de classe mondiale et son armée n’a pas connu de
conflit armé depuis la guerre d’un mois avec le Vietnam en 1979.
Il en résulte une inquiétude en Chine quant à la capacité de son armée à faire face aux armes occidentales dans un conflit autour de Taïwan ou de la mer de Chine méridionale.
Or, les responsables des services de renseignement chinois sont impatients de comprendre la lutte de la Russie contre une armée soutenue par l’Occident.
Par conséquent, « Pékin s’intéresse particulièrement aux informations sur les méthodes de combat utilisant des drones, la modernisation de leurs logiciels et les méthodes de lutte contre les nouveaux types d’armes occidentales », indique le document du FSB.
C’est que la Chine est depuis longtemps à la traîne
derrière la Russie en matière d’expertise aéronautique, et le document indique
que Pékin en a fait une priorité.
La Chine cible les pilotes militaires et les chercheurs en aérodynamique, en systèmes de contrôle et en aéroélasticité. Selon le document, les spécialistes russes qui ont travaillé sur l’ekranoplan, un navire de guerre de type aéroglisseur mis au point par l’Union soviétique, sont également recherchés.
Je veux bien pour cette recherche particulière, même si tout est déjà disponible en « information ouverte » du moment que vous savez vous servir d’une règle à calcul et d’un moteur de recherche internetique.
Mais je reste persuadé que les ingénieurs chinois savent faire au moins autant de choses que les ingénieurs russes dans le domaine maritime et aérien. Peut-être même mieux sur tel ou tel point.
Or et de plus, Moscou craint que Pékin ne tente
d’empiéter sur son propre territoire, au moins en Sibérie. La Russie craint
depuis longtemps l’empiètement de la Chine le long de leur frontière commune de
4.200 km. Car les nationalistes chinois (ils ont aussi leur propres « nationaux-populistes »)
contestent depuis des années les traités du XIXème siècle par
lesquels la Russie a annexé de vastes portions de territoire, dont l’actuelle
Vladivostok.
Cette question est désormais au cœur des
préoccupations, la Russie étant affaiblie par la guerre et les sanctions
économiques et devient moins capable que jamais de repousser Pékin.
D’où les liens d’amitié éternelle…
Le rapport du FSB soulève d’ailleurs des inquiétudes quant au fait que certains universitaires chinois encouragent des revendications territoriales à l’encontre de la Russie.
Et la Chine aime à rechercher des traces d’« anciens peuples chinois » dans l’Extrême-Orient russe, peut-être pour influencer l’opinion locale favorable aux revendications chinoises, selon le document.
Une tactique aux inépuisables ressources dans l’Histoire, depuis les Sudètes par Hitler, jusqu’à l’Ukraine toute-entière en passant par les minorités russophones dans le Donbass et en Crimée… Mais en écrasant au passage les minorités tartares de Crimée, notamment et les cinglés Tchétchènes…
Or, en 2023, la Chine a publié une carte officielle qui incluait les noms historiques chinois de villes et de régions situées en Russie.
Et ces inquiétudes concernant l’expansion de
l’influence chinoise ne se limitent pas aux régions frontalières de
l’Extrême-Orient russe.
Les pays d’Asie centrale répondaient à Moscou à l’époque soviétique. Aujourd’hui, selon le FSB, Beijing a développé une « nouvelle stratégie » pour promouvoir le soft power chinois dans la région.
Selon le document, la Chine a commencé à déployer cette stratégie en Ouzbékistan. Toutefois, les détails de cette stratégie ne sont pas précisés dans le document, si ce n’est qu’elle implique des échanges humanitaires.
Or, l’Ouzbékistan et les pays voisins sont importants pour « Poux-tine », qui considère le rétablissement de la sphère d’influence soviétique comme une partie de son héritage.
Ainsi le rapport souligne également l’intérêt de la
Chine pour le vaste territoire russe dans l’Arctique et la route maritime du
Nord, qui longe la côte Nord de la Russie. Historiquement, ces eaux ont
toujours été trop glacées pour permettre une navigation fiable, mais elles
devraient devenir de plus en plus fréquentées en raison du changement
climatique.
Et la Russie a toujours cherché à contrôler strictement les activités chinoises dans l’Arctique. Mais Beijing estime que les sanctions occidentales obligeront la Russie à se tourner vers la Chine pour entretenir ses « infrastructures arctiques vieillissantes », selon le document du FSB.
Ainsi le géant gazier russe Novatek a déjà fait appel à la Chine pour sauver son projet de gaz naturel liquéfié dans l’Arctique, après avoir précédemment fait appel à la société « ricaine » de services pétroliers Baker Hughes.
Toutefois, le plus intéressant est surtout que les
services russes s’inquiètent de tout cela, preuve d’une prise de conscience.
Le fuitage du rapport dans les colonnes du Times doit lui aussi être pris avec circonspection : Nous sommes, là aussi, dans le cadre de la guerre informationnelle.
Gouvernement « ricain » ou services peuvent avoir intérêt à diffuser ce type de rapport afin de justifier le changement de politique à l’égard de la Russie et de la Chine.
Bref, ça reste décidément très drôle dès qu’on prend
un peu de recul…
Des gamins qui jouent dans une cour d’ékole et qui se prennent au sérieux…
Mais c’est intéressant à savoir et c’est toujours bon de s’en amuser.
Ce qui restait donc à signaler pour mieux le partager…
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Même « Gogol » m’espionne et je soupçonne certaines centrales de renseignement de venir gonfler les statistiques de ce modeste « piti-blog » en explorant tous les posts qu’il y a dessus : Ça fait même des journées à plus de 4.000 visites/jour, ce qui reste hallucinant…
C’est un site totalement francophone, n’est-ce pas, mais savez-vous que 56 % de bientôt plus de 950.000 visiteurs viennent de pays étrangers et pour la plupart non-francophones ?
Étonnant…
Alors une erreur de la nature de plus ou de moins, pas de quoi être très surpris, somme toute.
Manipulation ou intox, Moscou fait ainsi savoir que les services de « Poux-tine » s’inquiètent de l’espionnage de la Chine, mais pire, de sa vassalisation !
Parce qu’espionnage militaire, guerre informationnelle en Sibérie, la Russie apparaitrait comme de plus en plus soumise à la Chine.
Et dire qu’ils ne parviennent même pas à soumettre leur voisin ukrainien…
Enfin… passons.
Les services russes s’inquiètent ainsi de l’infiltration chinoise, de l’espionnage en cours sur leur sol, du recrutement d’agents et de projets de contrôle de la Sibérie et de l’Arctique.
Car empêtrée en Ukraine, la Russie est de plus en plus affaiblie et se laisserait soumettre à la mainmise chinoise faute de moyen et d’attention.
Cette unité, qui n’avait jamais été révélée auparavant, a averti que la Chine constituait une menace sérieuse pour la sécurité russe. Ses agents affirment même que Beijing tente de plus en plus de recruter des espions russes et de mettre la main sur des technologies militaires sensibles, parfois en attirant des scientifiques russes mécontents.
Qui sont de plus en plus nombreux.
Ils craignent en plus que des universitaires chinois ne préparent le terrain pour revendiquer des territoires russes.
Ils ont également averti que des agents secrets chinois menaient des activités d’espionnage dans l’Arctique sous le couvert de sociétés minières et de centres de recherche universitaires.
Rien de plus naturel, surtout quand on est un brin paranoïaque.
Et toutes ces menaces sont exposées dans un document interne de huit pages du FSB, obtenu par le New-York Times, qui définit les priorités pour lutter contre l’espionnage chinois.
Ce document n’est pas daté, ce qui laisse penser qu’il s’agit d’un projet, même si le contexte semble indiquer qu’il a été rédigé fin 2023 ou début 2024.
Ce document offre l’aperçu le plus détaillé à ce jour des coulisses du contre-espionnage russe à l’égard de la Chine.
Ainsi, « Poux-tine », le russe, et « Xi-ping-pong » le dirigeant chinois, poursuivent avec acharnement ce qu’ils appellent un partenariat « sans limites ». Mais la note top secrète du FSB montre qu’il existe en réalité des limites.
« Vous avez les dirigeants politiques, qui sont tous favorables à un rapprochement avec la Chine », a déclaré un transfuge expert des services de renseignement russes vivant en exil (politique) en Grande-Bretagne (moâ, j’en suis revenu…), qui a examiné le document à la demande du Times. « Vous avez les services de renseignement et de sécurité, qui sont très méfiants. »
Ainsi, trois jours avant l’invasion de l’Ukraine en 2022, le FSB a approuvé un nouveau programme de contre-espionnage appelé « Entente-4 », révèle ce document.
Le nom de code, qui fait apparemment référence avec ironie à l’amitié croissante entre Moscou et Pékin, cache la véritable intention de l’initiative : Empêcher les espions chinois de nuire aux intérêts russes.
Et les agents des services de renseignement chinois ont intensifié leurs efforts pour recruter des responsables russes, des experts, des journalistes et des hommes d’affaires proches du pouvoir à Moscou, indique le document.
L’inquiétude quant à la vulnérabilité de la Russie face à une Chine de plus en plus puissante domine cette note. Mais on ne sait pas dans quelle mesure ces inquiétudes sont répandues au sein de l’establishment russe, au-delà de cette unité de contre-espionnage-là.
Car, comme je le précise d’entrée, même les nations alliées s’espionnent régulièrement : On se souvient de la NSA qui interceptait les messages d’« En-Gèle-là-Mère-Quelle » et de nos propres « grandes-oreilles » qui tracent jusqu’aux pièces de 2 euros qui tombent de la Tour Eiffel depuis la rade de Brest sans parler des programmes de « Pas-mentir » qui anticipent désormais les actions terroristes contre les JO de Paris : Plusieurs dizaines d’attentats ont ainsi été déjoués très en amont, par simple « mise en sécurité », « en région » des éléments « les plus motivés »…
Il en résulte une inquiétude en Chine quant à la capacité de son armée à faire face aux armes occidentales dans un conflit autour de Taïwan ou de la mer de Chine méridionale.
Or, les responsables des services de renseignement chinois sont impatients de comprendre la lutte de la Russie contre une armée soutenue par l’Occident.
Par conséquent, « Pékin s’intéresse particulièrement aux informations sur les méthodes de combat utilisant des drones, la modernisation de leurs logiciels et les méthodes de lutte contre les nouveaux types d’armes occidentales », indique le document du FSB.
La Chine cible les pilotes militaires et les chercheurs en aérodynamique, en systèmes de contrôle et en aéroélasticité. Selon le document, les spécialistes russes qui ont travaillé sur l’ekranoplan, un navire de guerre de type aéroglisseur mis au point par l’Union soviétique, sont également recherchés.
Je veux bien pour cette recherche particulière, même si tout est déjà disponible en « information ouverte » du moment que vous savez vous servir d’une règle à calcul et d’un moteur de recherche internetique.
Mais je reste persuadé que les ingénieurs chinois savent faire au moins autant de choses que les ingénieurs russes dans le domaine maritime et aérien. Peut-être même mieux sur tel ou tel point.
D’où les liens d’amitié éternelle…
Le rapport du FSB soulève d’ailleurs des inquiétudes quant au fait que certains universitaires chinois encouragent des revendications territoriales à l’encontre de la Russie.
Et la Chine aime à rechercher des traces d’« anciens peuples chinois » dans l’Extrême-Orient russe, peut-être pour influencer l’opinion locale favorable aux revendications chinoises, selon le document.
Une tactique aux inépuisables ressources dans l’Histoire, depuis les Sudètes par Hitler, jusqu’à l’Ukraine toute-entière en passant par les minorités russophones dans le Donbass et en Crimée… Mais en écrasant au passage les minorités tartares de Crimée, notamment et les cinglés Tchétchènes…
Or, en 2023, la Chine a publié une carte officielle qui incluait les noms historiques chinois de villes et de régions situées en Russie.
Les pays d’Asie centrale répondaient à Moscou à l’époque soviétique. Aujourd’hui, selon le FSB, Beijing a développé une « nouvelle stratégie » pour promouvoir le soft power chinois dans la région.
Selon le document, la Chine a commencé à déployer cette stratégie en Ouzbékistan. Toutefois, les détails de cette stratégie ne sont pas précisés dans le document, si ce n’est qu’elle implique des échanges humanitaires.
Or, l’Ouzbékistan et les pays voisins sont importants pour « Poux-tine », qui considère le rétablissement de la sphère d’influence soviétique comme une partie de son héritage.
Et la Russie a toujours cherché à contrôler strictement les activités chinoises dans l’Arctique. Mais Beijing estime que les sanctions occidentales obligeront la Russie à se tourner vers la Chine pour entretenir ses « infrastructures arctiques vieillissantes », selon le document du FSB.
Ainsi le géant gazier russe Novatek a déjà fait appel à la Chine pour sauver son projet de gaz naturel liquéfié dans l’Arctique, après avoir précédemment fait appel à la société « ricaine » de services pétroliers Baker Hughes.
Le fuitage du rapport dans les colonnes du Times doit lui aussi être pris avec circonspection : Nous sommes, là aussi, dans le cadre de la guerre informationnelle.
Gouvernement « ricain » ou services peuvent avoir intérêt à diffuser ce type de rapport afin de justifier le changement de politique à l’égard de la Russie et de la Chine.
Des gamins qui jouent dans une cour d’ékole et qui se prennent au sérieux…
Mais c’est intéressant à savoir et c’est toujours bon de s’en amuser.
Ce qui restait donc à signaler pour mieux le partager…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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