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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 2 juin 2025

Chrestomathie pourtant lacunaire de questions passionnantes !

La semaine aura été exubérante…
 
1 – Ainsi, peut-on se demander si, en se roulant des pelles on peut se transmettre une dépression ou un syndrome de l’anxiété anxiogène ?
Question cruciale s’il en est.
Je sais qu’à titre expérimentale, qu’on peut se transmettre une MNI (mononucléose infectieuse, un virus de la salive), mais que sait-on d’autre sur le partage potentiel du microbiote buccal au sein des couples et de l’apparition de troubles de la santé mentale ?
 
Eh bien cette semaine, j’ai appris qu’à force d’embrasser votre partenaire, vous risquez de lui transmettre dépression et anxiété ou d’en hériter de sa part. Et tout passerait en fait par le microbiome buccal. Des études avaient précédemment permis de démontrer qu’il existait un lien entre ces petites bestioles et la démence, les troubles du spectre autistique, la maladie de Parkinson, la schizophrénie, l’anxiété ou encore la dépression.
Tu parles d’une angoisse…
Ce sont des chercheuses et chercheurs venus de l’Indus, de « Ritalie » et des côtes British qui ont mené une vaste étude sur le sujet, visant « à déterminer si la transmission du microbiote oral entre les couples de jeunes mariés favorise les symptômes de dépression et d’anxiété ».
La mononucléose infectieuse, qui vous rétame sévère, désormais, on s’en fout !
Merveilleux progrès de la science…
Ainsi près des mois et des mois de travail acharné, l’équipe de recherche n’a pas été déçue par les résultats obtenus : Ils sont devenus des « trouveurs » par la magie des subventions encaissées…
 
Ces scientifiques-là ont d’abord étudié le rapport à l’insomnie de 1.740 couples vivant sous le même toit, dont 268 mariés depuis moins de six mois.
Les autres, on ne sait pas : Probablement qu’ils vivaient dans le péché ou l’illégalité de relations de cocufiage réciproque ou non…
Particularité de ces couples : L’un des conjoints était identifié comme insomniaque, ce qui s’accompagnait parfois de dépression ou d’anxiété, et pas l’autre.
Sauf que l’autre devait tout de même avoir des nuits hachées…
L’équipe de recherche a pu constater qu’après six mois de mariage, le conjoint considéré comme sain présentait un score de dépression et d’anxiété plus élevé, et une moins bonne qualité de sommeil.
Tu parles, le pov’, à devoir être réveillé en permanence par son co-pulateur…
 
Mais eux (les « trouveurs ») en ont décidé qu’il ne s’agissait pas d’une transmission qui pourrait n’être que l'effet de la cohabitation, car ils se sont aussi penchés sur la composition des bactéries présentes dans la bouche de ces conjoints en bonne santé.
Ils ont pu constater qu’elle pouvait changer du tout au tout en quelques mois, pour se rapprocher de plus en plus de celle de leurs partenaires affectés.
« Le transfert du microbiote oral entre individus en contact étroit, comme les couples dans la présente étude, pourrait jouer un rôle dans la dépression et l’anxiété », déclarent donc les « trouveurs », publiés par la revue Exploratory Research and Hypothesis in Medicine.
Tu me vous direz que c’est normal : A force de se bécoter, il y a bien quelques échanges de baves, postillons et salive, mais bon, ça reste une découverte « stupéfiante » !
« Nous avons constaté que des modifications de la composition de ce microbiote sont associées à des variations de la gravité de l’insomnie, du taux de cortisol salivaire et des scores de dépression et d’anxiété. Nos résultats concordent avec ceux d’études antérieures sur le taux de cortisol salivaire ainsi que sur les scores de dépression et d’anxiété. »
Donc, donc, donc, si je comprends bien, on sait mesurer le degré d’anxiété et de dépression d’un être humain juste en analysant la composition de sa salive ?
De quoi étonner Freud, Lacan et quelques autres, n’est-ce pas…
 
Cette forme de transfert est considérée par ces « scientifiques » comme relativement logique, puisque d’autres formes de synchronie physiologique ont déjà été documentées : C’est par exemple le cas de la synchronisation des battements cardiaques et de l’alignement des cycles de sommeil.
La présente étude dévoile cependant de vraies limites, comme l’utilisation de l’autoévaluation pour mesurer l’insomnie, l’anxiété mais aussi le manque de prise en compte des facteurs liés au mode de vie commun des conjoints, comme l’alimentation.
Par conséquent, si « Trompe » ne sucre pas les subventions, les recherches vont se poursuivre de façon plus approfondie et plus complète afin de déterminer si pratiquer le « French kiss » au quotidien peut réellement avoir des conséquences sur notre santé mentale ou celle de notre partenaire.
Je vais vous dire, c’est de ne pas le pratiquer qui peut avoir des conséquences néfastes, à mon sens…
 
2 – Mais pas seulement : On a déjà trouvé la solution pour éviter la dépression par le « french kiss », figurez-vous !
Je trouve ça merveilleux, d’autant que je l’avais déjà anticipé il y a quelques années (Cf. « La croisière d’Alexis » aux éditions I3) : Vous venez lire sur ce blog un génie de « l’anticipation réaliste » (dans ce cas, seulement, 3 ans d’avance, mais j’essaye de m’améliorer…), et vous ne le l’appréciez même pas !
 
C’est pourtant tellement évident : Après les livres et les œuvres d’art (il y en a d’excellentes à Naples et Pompéi où je suis allé faire une reconnaissance in situ pour le roman de cet été), ce sont donc nos sex-toys à visage humain qui se retrouvent fourrées comme des dindes d’Intelligence Artificielle pour le plus grand bonheur de l’humanité, qui s’exempte ainsi des maladies buccales (et autres MST).
Les nouvelles « sex-dolls » ont désormais tout pour une relation sérieuse, car ce sont aussi des « beautés intérieures » à la plastique de plus en plus inégalée (et conformes aux goûts de chacun et chacune) qui compte.
Où la magie de l’IA opère.
On va nous vendre désormais, si ce n’est déjà en cours, une expérience immersive. Une fausse relation avec de fausses personnes douées de parole.
En effet, les meilleures poupées savent tailler des pipes et la bavette.
Chouette, on va enfin pouvoir parler de Proust avec nos objets sexuels… Ou se faire chier comme avec nos collègues de bureau !
Cerise sur le gâteau, ça gémit quand on les touche. Et si leur personnalité ne vous convient pas, il suffit de la changer le programme.
Hop, comme ça, d’un claquement de doigts, comme on zappe d’une émission à l’autre !
Hier, la télévision berçait nos soirées de célibataires, aujourd’hui, à la place de Karine Le Marchand, on a un orgasme avec un robot à forte poitrine qui sait dire « baise-moi » en chinois !
Formidable époque, garantie sans virus traumatisants et néfastes…
 
Quant aux écologistes, qu’ils se rassurent, certaines entreprises utilisent déjà l’élastomère thermoplastique (TPE), un matériau écologique de dernière génération. On attend sous peu la poupée sexuelle « Label bio ».
Même qu’elle devient plus écoresponsable que vous ne pouvez l’être.
Si en plus elle fait la vaisselle et le ménage mieux que mon smartphone, la dépopulation en cours de notre « transition démographique » ira en accélérant : Les « déclinistes » (et autres saints des deniers jours) vont pouvoir jubiler !
Leurs plans pour sauver la planète fonctionne déjà…
Et un jour, la même poupée pourrait même nous reprocher notre bilan carbone en pleine levrette, vous verrez, parce qu’elle sera animée par une IA qui connaîtra tout de nos goûts et travers « sensuels ».
Cest la réincarnation karmique à l’échelle de nos amours sur catalogue !
 
Et il ne s’agit pas de critiquer le progrès en marche puisque c’est thérapeutique. On fait dans l’intérêt général. On combat ainsi l’isolement social. Et d’ailleurs, il y a eu une vraie explosion des ventes en 2020, pendant les périodes de confinement.
La « love doll », c’est encore plus hygiénique qu’un masque FFP2, finalement !
Et ça permet de supporter l’incarcération à domicile… tant qu’on a à boire et à baffrer.
Et puis, avouons-le, c’est bien mieux qu’un chien qu’on s’oblige à sortir matin et soir.
D’ailleurs l’État devrait soutenir l’industrie de la poupée pour adultes, ne serait-ce que ça peut diminuer les harcèlements de rue ou les agressions sexuelles et lutter contre la prostitution.
Et c’est aussi un service à rendre à nos handicapés. On réduirait le taux suicide dans la population en général. On serait tous plus heureux.
Et comme on est en « Gauloisie-fiscale », on peut même espérer des crédits d’impôt d’ici 2030.
 
Vous vous moquez encore ?
Selon le National Geographic, c’est «un phénomène qui prend de lampleur. Plusieurs millions de personnes vivent (déjà) des relations passionnelles avec des avatars».
Les intelligences artificielles savent générer des «photos souvenirs» personnalisées. Vous pouvez même les appeler par téléphone. Elles vous accompagnent dans vos deuils et vous conseillent pour décrocher une augmentation.
Toujours dans l’article du National Geographic, on y signale qu’il y aurait même un type qui s’est créé une deuxième maîtresse virtuelle afin de se détacher de sa première maitresse virtuelle, soutenu en cela par une psy, elle aussi virtuelle, qui l’aide à réfléchir au sens de la vie !
Comment voulez-vous qu’un romancier, même aussi talentueux que moi, puisse lutter contre ça?
Cest plus fort que du Balzac.
Mais cest assez compréhensible : On naime jamais mieux que ce qui nexiste pas vraiment.
 
Grâce à nos poupées sexuelles dopées à l’intelligence artificielle, on transpose ainsi notre rêve dans une enveloppe physique. Si possible, demain, avec un peu de robotique pour que ça vous accompagne faire les courses et vous aide pour le ménage.
Les féministes seront ravies.
Elles tiendront enfin là « l’homme déconstruit ».
Il suffira de l’assembler dans une usine.
L’avenir s’annonce radieux et probablement que dans dix ou vingt ans, prendre le thé en public avec nos poupées sexuelles ne sera pas plus inconvenant que d’aller promener son chien pisser dans le caniveau.
 
En 2040, on proposera sûrement des thérapies de couple pour nous aider dans nos échanges passifs-agressifs avec nos robots. Et puis avec les progrès, ces ultimes frictions préhistoriques disparaitront doucement.
On réglera nos amours comme on règle au degré près la température de nos climatiseurs et de l’eau de nos douches.
Au stade ultime de leur évolution, les « trouveurs » d’aujourd’hui espèrent même que nos nouveaux biens de compagnie étendent leur empire jusqu’à des relations moins romantiques : On s’achètera les amis que l’on n’a jamais eus.
Des disparus avant même d’avoir existé.
Des frères et des sœurs que l’on s’est rêvé enfant, et même plus tard, lorsqu’on était seuls et tristes dans un studio d’étudiant.
La « poupée sexuelle » platonique sera enfin cet ami qui nous sauvera la vie, qui sera peut-être notre référent, en tout cas notre confident intime, doté des ressources d’une IA globale toujours plus attentive et cultivée.
Nous pourrons alors éviter totalement nos semblables, ces individus biologiques bourrés de microbes et de virus mortels qui nous feront horreur !
Je ne sais plus si c’est Asimov, probablement dans sa saga « Robot », qui l’a déjà anticipé, ou un autre…
Pourquoi vouloir plus?
 
On sera seuls sans l’être tout à fait. On pourra vivre enfermés dans des vaisseaux spatiaux voguant vers Mars ou plus loin. On aura pour compagnie des mannequins plus beaux que nous. Il faudra évidemment leur apprendre la mélancolie.
Et Jean-Marc (celui du vendredi des « Histoires d’en rire ») pourra faire semblant de partager ses bières avec Marie-Charlotte ou Marie-Christine, ses meilleures-potes-sex-friend-robotiques pour toute la vie.
C’est l’avenir que des « trouveurs » nous proposent et que j’ai déjà romancé…
C’est vous dire si le progrès avance si vite !
 
3 – Naturellement, il y en a encore plein d’autres, comme cette nouvelle théorie qui pourrait enfin faire de la « gravité quantique » une réalité ou ces découvertes sur la chimie de l’amour qui dicte nos émotions à notre cerveau…
Mais nous verrons ça une autre fois…
 
Bon début de semaine à toutes et tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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