Paroles de « sage » ?

Jean-Marc fait de la politique…
 
« Tu vois, Jean-Paul, il y a dans le monde politique des personnes qui ont la science infuse.
Bien infusée…
Trop infusée…
Tellement infusée que leurs neurones se sont noyés ! »
 
Jean-Paul, en terrasse avec Jean-Marc, chacun devant une bière matinale, qui regardent les filles passer et les « déshabillent »…
« — Tu vois, celle-là avec le chignon et la veste blanche qui vient vers nous…
— Oui.
— Je ne dis pas que c’est une fille facile…
Mais elle a quand même connu plus de saucisses que mon barbecue ! »
 
Méditation scientifique :
« — Il est scientifiquement prouvé que plus on collectionne les anniversaires, plus on vit longtemps…
— Voilà qui est bien dit ! »
 
Marie-Chantal, en consultation chez son généraliste :
« Guérie, guérie, c’est bien joli d’être guérie, mais de quoi je vais pouvoir me plaindre maintenant, moi ? »
 
Jean-Paul et Jean-Marc, un autre jour, à une autre table, dans un autre bar, situé dans un autre quartier de la ville, mais avec toujours les mêmes demis de la même bière :
« — C’est décidé !
— Quoi ?
— Je vais changer de sexe !
— Quoi ? Tu en prends un plus gros ? »
 
Ce qui fait que Jean-Paul devient de plus en plus prudent quand il drague : Il commence toujours par la question clé :
« Et tu as toujours été une femme, toi ? »
 
Marie-Antoinette à Germaine, devant une tasse de chocolat-chaud et quelques mignardises :
« — Et alors, il fait quoi ton mari, à toi ?
— Jean-Marcel ?
— Oui, peut-être… L’actuel que tu fréquentes encore, quoi…
— Il fait psy !
— Psy quoi ? Psychiatre, psychologue ?
— Kopathe ! »
 
« Les coquilles sans Q, ça sent comme les carottes sans leur A ! »
C’est probablement une « revenue », mais je ne me souviens plus de l’époque où elle a été lancée sur le Web et les réseaux dans cette rubrique des « Histoires d’en rire » de Jean-Marc…
 
Jean-Marc à Jean-Paul, en fin de matinée, chacun devant une bière, de nouveau attablés en terrasse :
« — Tu sais, finalement ce n’est pas si facile qu’on le pense d’être un homme !
— À qui le dis-tu !
— Non mais, pas de maquillage !
Pas de perruque !
Pas de faux cils !
Pas de faux ongles !
Pas de liposuccion ni même d’injections de botox !
— Ouh lalala … Tu déprimes toi !
— Bé oui, quand tu es laid, tu restes désespérément laid… »
 
Plus tard et devant une autre chope de bière :
« — Tu connais la différence qu’il y a entre la lettre A et le clocher d’une église ?
— Bé ce n’est pas vraiment la même chose.
— Pire que ça ! La lettre A est une voyelle alors que le clocher, c’est là qu’on sonne !
— Eh bien dis donc, je ne sais pas ce que Germaine t’a fait à manger, mais tu es drôlement fatigué, toi ! »
 
Jean-Marc pose la question à Germaine :
« — Si tu devais choisir de passer la nuit avec un homme autre que moi, déjà mort ou encore en vie, tu choisirais lequel ?
— Le vivant…
— … »
C’est une « revenue », mais largement transformée, puisque dans l’originale, c’était déjà Jean-Marc qui posait la question à Jean-Paul à propos de la femme de ses rêves !  
 
Les gamins ont parfois des saillies intéressantes.
Jean-Marc en a noté quelques-unes pour que je vous les transmette :
1 – Ne jamais demander à un chien de surveiller ton repas…
2 – Si ton père est en colère et te demande « est-ce que j’ai l’air d’un gars stupide ? », ne surtout tu ne réponds pas…
3 – Ne jamais dire à sa mère que son régime n’a pas l’air de fonctionner…
4 – Quand ta mère est fâchée contre ton père, ne jamais lui demander de peigner tes cheveux !
5 – Ne jamais laisser ton petit frère de 2 ans jouer dans la même pièce que tes devoirs d’école !
6 – Un chien a toujours mauvaise haleine même après avoir mangé des tic-tac… Garde-les pour toi !
7 – Il est impossible de cacher un morceau de brocolis dans un verre de lait.
8 – Ne jamais porter de sous-vêtements à pois noirs en-dessous d’un short blanc…
9 – Si tu veux un chat, commence par demander un cheval !
10 – Les crayons feutres ne sont pas bons à utiliser comme rouge à lèvre !
11- Ne jamais mettre en colère sa sœur quand elle a une batte de baseball dans les mains…
12 – Toujours attendre que sa mère soit au téléphone pour montrer son carnet de notes quand elles sont mauvaises.
 
Jean-Paul avec sa nouvelle conquête (en phase de « conclusion »), Marie-Luce :
« — C’est délicat…
— Pourquoi ?
— Je suis un peu comme l’huile d’olive !
— Grasse ?
— Mais non ! Vierge espèce de con ! »
 
Jean-Marc déjà au lit qui note que Germaine se maquille avant de le rejoindre :
« — Mais pourquoi tu te maquilles à cette heure si tardive ?
— Parce que si je ne le fais pas, le verrouillage par reconnaissance faciale de mon téléphone ne me reconnaîtra pas demain matin ! » 
 
Affichette présentant une offre d’emploi affiché à l’entrée de l’hôpital de Jean-Marc :
Urgent :
Le centre hospitalier recrute des perles rares,
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Marie-Françoise se plaint à Marie-Chantal :
« — Mon fils a raté son examen de biologie !
— Oh quel dommage !!! Ça avait l’air de lui plaire pourtant…
— D’autant que la question qui l’a fait plonger était extrêment simple…
— C’était laquelle ?
— Que trouve-t-on dans une cellule ?
— Ah oui… simple probablement quand on est du métier, parce que moi je ne sais pas…
— Il a répondu que dans une cellule on trouve des maghrébins, des roms et des manouches…
— Et… ce n’était pas ce qu’il fallait dire ?
— … Non, pas vraiment, ma Chère amie !
— Ah… »
 
Marie-Chantal, avec Germaine, cette fois-ci, toutes les deux devant une tasse de thé et quelques mignardises :
« — Finalement, au site de Bologne, je préfère nettement les mines de Pompéi !
— Pompéi ? Là on trouve de curieuses fouilles ? »
 
Les mêmes :
« — Saviez-vous que, selon une étude très sérieuse, très chère, un français sur Sète aurait plus chaud qu’un français sur Troyes !
— Voilà qui est m’hareng… »
 
Jean-Marc est charmant quand il séduit une femme…
« — Quand je regarde le ciel, je me dis qu’on est bien peu de chose face à l’immensité de l’univers. Pourtant, on est là, tous les deux comme de petites poussières perdues au milieu de milliards de galaxies, paumées dans l’infini…
La vie est comme un astre : elle naît, brille, puis s’éteint.
Parfois, j’aimerais être une étoile filante pour…
— Oh, tu es tellement romantique, toi !
— … Pour te péter la chatte à la vitesse de la lumière et décharger ma voie lactée dans ton trou noir !
— Charmant…
— Voilà : ce qui est dit est dit ! On commence quand ? »
 
Les choses à éviter durant une partie de jambe en l’air :
« Dis, le plafond aurait besoin d’un bon coup de peinture ! Qu’en pense-tu ? »
« Oh mon dieu ! Qu’est-ce qui pend à ton nez ? »
« Comment tu as dit que tu t’appelais, déjà ? »
« Chérie, à quoi tu penses ? »
 
Germaine et Marie-Chantal, un autre jour, devisant sur le trottoir qui mène à leur salon de thé habituel :
« — Dites donc, très chère, depuis que mon docteur m’a prescrit des somnifères, je dors mes nuits entières !
— Formidable. Et vous en prenez combien, un ou deux par soir ?
— Je n’en prend aucun… Je les donne à mon mari, Jean-Marc ! »
 
Iris : « Tu te rends compte que mon prénom est l’envers de Siri !!! »
Lana : « T’arrêtes avec tes jeux à la con ? »
 
Un petit mot de Michel Colucci dit Coluche :
« Les syndicalistes ont tellement l’habitude de ne rien faire, que les jours de grève, ils appellent ça une journée d’action ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, devant une dernière bière…
« — Finalement, je préfère les motos aux femmes !
— Ah bon ? Et tu découvres cette préférence seulement maintenant ? À quoi tu attribues ça ?
— J’ai découvert qu’une moto aime toujours se faire monter : Ça la fait toujours vrombir de plaisir !
Les motos ne tombent jamais enceintes.
Une moto se fout totalement que tu regardes une autre moto…
Une moto ne t’insulte pas si tu la monte mal.
Et une moto se moque éperdument que tu sois en retard.
De plus, une moto peut te mettre facilement en transe à faire exploser ton palpitant !
— Je comprends… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul se séparent sur le pas de la porte de l’un d’entre eux.
« — Tu sais, j’ai bien réfléchi…
— À quoi ?
— Eh bien on dit qu’après la mort, l’esprit quitte le corps…
— Il paraît !
— Oui mais ça n’est pas ça !
— Ah ? Et pourquoi ?
— Chez les cons, ça se passe de leur vivant… »
 
Bon week-end (ce soir) à toutes et à tous tout de même !
 
I³
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)