Pourquoi nos maisons ne sont-elles plus rondes ?
1 – Car c’était le cas durant tout à l’âge de pierre et
depuis, elles sont devenues rectangulaires, ou polygonales.
Vous, ça ne vous étonne pas ?
Heureusement qu’il y a des chercheurs qui ont des talents de « trouveurs » pour justifier de vous piquer du pognon car ils découvrent toutes ces choses qui nous rendent si savants !
Ainsi, une étude (archi-subventionnée) révèle que
cette transition architecturale n’a strictement rien d’anodin.
Les premiers foyers de nos ancêtres étaient circulaires, il n’y a aucun doute.
Mais jusqu’à ce que tout change (pour que rien ne change) et que cette forme soit abandonnée au profit de logements anguleux.
Ok, mais pourquoi au juste ?
Les toutes premières agglomérations, aussi bien en
Asie qu’en Amérique, étaient composées de huttes aux formes ovales et rondes.
Et quelques milliers d’années plus tard, cette tendance était déjà passée de mode, nous assure New Scientist (le magazine de vulgarisation britannique qui devrait être votre livre de chevet). Et cette transformation ne s’est cependant pas faite du jour au lendemain : « La transition du rond au rectangulaire n’est pas aussi simple qu’on le pensait traditionnellement », confie ainsi sémillante Hadas Goldgeier, professeure spécialiste de la préhistoire au sein de l’Institut d’archéologie de l’Université hébraïque de Jérusalem (à portée de terroristes du « Ramasse » venus de Gaza).
Avec deux autres de ses collègues, du même
établissement universitaire israélien, et le pognon de quelques mécènes
argentés, elle a adopté une approche quantitative plus large, afin de mieux
comprendre les évolutions architecturales à travers l’histoire.
Et en analysant un échantillon de 118 constructions réparties sur vingt-trois sites au Proche-Orient (autour de la vallée du Jourdain), dont les plus anciennes remontent à environ 14.000 ans et les plus récentes à environ 10.000 ans, ces scientifiques ont découvert que tous les bâtiments n’étaient en fait pas ronds.
En effet, certaines habitations avaient des formes en
« D » ou étaient des pentagones aux flancs irréguliers, tandis que d’autres
comportaient déjà des angles à 90 degrés.
Pour ces « trouveurs », aucun doute : La culture dite du Natoufien (entre 12.550 et 9.550 avant J.-C.), regroupant des peuples qui ont vécu dans la région du Levant, incorporaient des angles droits dans leurs bâtiments et ce, environ 2.000 ans avant que les structures rectangulaires ne deviennent le style dominant au Proche-Orient.
Ian
Kuijt, professeur d’anthropologie à l’université de Notre-Dame, dans
l’Indiana, lui, émet des réserves quant à cette conclusion. Pour lui, il est
parfaitement logique que ces peuples aient intégré des angles dans leurs
logements, puisqu’ils vivaient dans des grottes.
La configuration de ces espaces les incitait donc naturellement à construire des structures avec des coins. « Si vous avez un coin (dans le mur de la grotte), vous allez l'utiliser », argutie-t-il.
La vraie question est donc plutôt de savoir pourquoi et comment la forme des habitations a évolué ainsi partout dans le monde, même chez les populations non troglodytiques.
Pour Ian Kuijt, ces changements sont avant tout d’ordre économique.
Les édifices rectangulaires pourraient être plus faciles et moins coûteux à construire que les bâtiments circulaires : « Dès que l’on adopte des formes rectilignes, l’organisation et la construction de l’espace deviennent en quelque sorte plus simples », confie l’archéologue.
Ce qui est probablement vrai : Mais surtout, j’avance
sans avoir les qualifications et compétences pour émettre un docte avis (non
subventionné) qui fera date dans l’Histoire de la connaissance humaine (et même
extraterrestre), qu’il me parait plus facile de mettre « hors d’eau »
des structures rectangulaires plus grandes que si elles avaient été circulaires :
Il suffit de rajouter un rang de soutènement dans le prolongement de ce qui
existe déjà, dans la direction que l’on veut.
Alors que si elles étaient rondes, il aurait fallu des perches d’une invraisemblable hauteur, difficile à produire et à manier, pour couvrir la même surface !
Par conséquent, l’ajout d’angles à 90 degrés dans les
bâtiments marquerait un premier pas vers une conception architecturale plus
efficace, qui aurait permis de construire plus facilement des habitations de
plus en plus nombreuses, au fur et à mesure que les humains se sédentarisaient.
Car en revanche, quand il s’agit de déménager régulièrement, il faut pouvoir démonter son habitat resté provisoire, et là, la tente Quechua a un incontestable avantage. Et comme par miracle, elle est toute en rondeurs !
Ainsi, c’est en souhaitant optimiser les moyens et ressources à disposition et leur organisation que les homos sapiens seraient donc naturellement passés du rond au rectangle pour leurs petits nids douillets…
Voilà un point éclairci !
2 – J’en reviens : Une fresque découverte à Pompéi
révèle un culte sauvage et l’exhumation de peintures murales encore inconnues
nous en apprend un peu plus sur les étranges rituels dionysiaques.
On y découvre des satyres jouant de la flûte, des
bacchantes (prêtresse du culte de Bacchus) en train de danser, de féroces
guerriers portant les dépouilles de jeunes chèvres… et au centre, une femme,
accompagnée d’un vieux Silène (le précepteur du dieu Dionysos, celui qui l’a
élevé) : C’est une mortelle en passe d’être initiée aux mystères de Dionysos,
et elle se trouve à Pompéi, sur les larges fresques qui viennent donc d’être
exhumées dans la Maison du Thiase.
Près de 100 ans après la découverte de la « Villa
des Mystères » située à 300 m de la porte d’Herculanum, surtout connue
pour la série de fresques sur fond rouge du triclinium interprétées comme
illustrant un culte à mystères, l’exhumation de cette fresque est capitale : Cette
peinture murale presque grandeur nature s’étend sur les trois longs murs d’une
salle de banquet et ouvre vers un quatrième mur donnant sur un jardin.
Elle vient apporter de nouveaux éclairages sur le culte de Dionysos et notamment sur les « mystères dionysiaques », des rites d’initiation secrets dont on sait finalement que peu de choses mais qui font beaucoup fantasmer.
La nouvelle mégalographie, découverte par les
archéologues du site « rital » et révélée au public, là, il y a peu,
le 26 février 2025, vient de dévoiler un aspect encore mal connu de ces rites :
La chasse !
Représentant au milieu des femmes et des satyres une ribambelle d’animaux vivants et morts, parmi lesquels des coqs, des oiseaux, un faon et un sanglier fraîchement éventré, laisse supposer que les chasseuses occupaient un rôle important lors de l’initiation.
« À l’Antiquité, la bacchante ou la ménade exprimait le côté sauvage et indomptable de la femme : la femme qui abandonne ses enfants, la maison et la ville, qui se libère de l’ordre masculin pour danser librement, chasser et manger de la viande crue dans les montagnes et les bois.
En d’autres termes, le contraire exact de la « gentille »
femme qui imite Vénus, la déesse de l’amour et du mariage, la femme qui se
regarde dans le miroir et qui « se pouponne » »,
explique le directeur du parc archéologique de Pompéi.
Pour le spécialiste, cette frise, tout comme celle de
la Villa des Mystères, a un sens religieux, bien qu’elle décore un lieu de
fête. On y montre une femme « oscillant entre ces deux extrêmes, deux formes
de l’être féminin de l’époque ».
Alors que le scandale des Bacchanales où sous le
prétexte à des orgies conduisant aux pires crimes rituels notamment des viols
et parfois des sacrifices, avait mené en 186 avant J.-C. à une répression
sévère des « associations secrètes » pratiquant le culte de Dionysos, les
fresques de Pompéi montrent que l’interdit a été volontiers ignoré un siècle
plus tard par les adeptes du dieu de l’ivresse qui ont sûrement continué à se
livrer à leurs rituels sauvages.
Et ce n’est guère une surprise : À Pompéi, manifestement, on ne se refusait rien.
Des thermes, de somptueuses villas, une agora fourmillante (même encore de nos jours, sans les boutiquiers mais avec plein de touristes) avec des temples majestueux, un cirque, un théâtre et plein de boulangeries plus de nombreux « fast-food » d’époque !
Je vais vous dire, les rues sont pavées avec des passages piétons surélevés et des points d’eau un peu partout.
Du pain, des jeux, mais surtout des thermes (de l’eau et des aqueducs) et de quoi boire et manger pour tout le monde !
Alors avec ces bacchanales mystérieuses, qui n’étaient que des fêtes religieuses liées au dieu Bacchus ou Dionysos, forcément, les romains cultivaient un sens du festif vite tourné vers l’érotisme qui en choquerait plus d’un à notre époque « libérée » !
Il suffit d’ailleurs de visiter le « Cabinet secret » du Musée archéologique national de Naples pour s’en convaincre…
3 – Enfin, à une toute autre échelle, il vous faut savoir
qu’une nouvelle recherche massive de techno-signatures extraterrestres n’a hélas
encore rien donné.
Comme vous le savez, la chasse aux civilisations
extraterrestres ne consiste pas simplement à attendre qu’elles se présentent :
Il s’agit de passer au peigne fin d’énormes volumes de données à la recherche
de signaux particuliers. La bonne nouvelle, c’est que les astronomes ont enfin mis
au point une méthode efficace pour faire cela.
La mauvaise nouvelle, c’est qu’ils n’ont rien trouvé… encore (d’où les appels à subvention auxquels « McDo-Trompe » a répondu par la négative en fermant universités et laboratoires et en rayant du budget fédéral un ministère entier : Celui de « l’Intelligence & de la Beauté », pour paraphraser « D’jack-Langue »).
En effet, il semble quelque peu raisonnable de
supposer que si d’autres civilisations sont présentes dans l’univers, elles
finiront par découvrir comment émettre de puissantes émissions de radio. Les
ondes radio sont capables de parcourir de grandes distances interstellaires et
elles constituent donc une excellente carte de visite.
C’est l’hypothèse fondamentale de la recherche d’intelligence extraterrestre (SETI). Des signaux radio étranges pourraient être le signe d’une transmission artificielle d’une espèce extraterrestre pense-t-on dans les laboratoires.
Mais notre galaxie, la Voie lactée, nage dans des émissions radio de toutes sortes, des étoiles qui explosent au bourdonnement vibratoire du champ magnétique de la galaxie.
De plus, l’humanité a développé un penchant particulier pour les transmissions radio, de sorte que toute recherche radio d’extraterrestres doit traiter d’énormes quantités de signaux causés par l’homme lui-même !
Jusque-là, les recherches SETI précédentes ont balayé
de grandes zones du ciel et signalé tout ce qui était intéressant. Ensuite, les
chercheurs ont passé au peigne fin les résultats, à la main, à la recherche de
signes de transmission artificielle tout en excluant les causes potentielles
d’interférences d’origine humaine.
Et les recherches SETI précédentes ont également été totalement vides, ce qui n’est pas une grande surprise, car cette technique semi-manuelle limite la quantité de données qu’une équipe de recherche peut traiter.
C’est là qu’intervient COSMIC, le cluster interférométrique multimode open source de Commensal !
COSMIC est un système informatique et logiciel qui s’ajoute à celui du Karl G. Jansky Very Large Array, le réseau radio emblématique situé dans le désert du Nouveau-Mexique.
COSMIC est conçu pour automatiser autant que possible
le processus de recherche SETI. En combinant un traitement rapide et une série
de filtres restrictifs, le système recherche, signal après signal, décide s’il
est susceptible d’être artificiel et, si c’est le cas, détermine s’il
correspond à la signature d’une source terrestre connue.
En particulier, COSMIC recherche des signaux radio qui sont très étroitement focalisés, ce qui suggère qu’ils proviennent d’une très petite source, comme la surface d’une planète.
Ensuite, il recherche le décalage Doppler de ce signal radio. Si le signal provient d’une planète, le mouvement de la planète décalera le signal vers le rouge ou vers le bleu, selon que la planète s’éloigne de nous ou se rapproche de nous lorsque le signal a été émis. Et si le système trouve un signal correspondant à ces propriétés, il est signalé et passe à l’étape suivante du filtrage.
Qui consiste à éliminer les émissions artificielles
non désirées que nous émettons et qui suivent des propriétés statistiques
particulières. Si le signal d’intérêt marqué correspond à ces propriétés, le
signal est rejeté. Les autres retenus…
Tous les signaux restants sont ensuite signalés pour un examen plus approfondi.
Le système COSMIC fait partie du VLA Sky Survey, qui a effectué un balayage d’environ 82 % du ciel de l’hémisphère Nord. Au total, le système COSMIC a analysé plus de 950.000 pointages individuels du télescope : Une goutte d’eau dans un océan d’émissions.
Bien que le système ait initialement signalé des milliers de signaux potentiellement intéressants, aucun n’a survécu à toutes les étapes de filtrage.
En d’autres termes, une recherche radio approfondie
d’une bonne partie de l’hémisphère Nord n’a trouvé aucun signal radio
artificiel.
Bien que cela soit décourageant au départ, ce résultat représente tout de même une avancée importante dans notre recherche de vie extraterrestre.
Nous pouvons désormais utiliser ces données pour réduire les probabilités d’apparition de la vie sur une planète donnée, et nous disposons maintenant d’un outil précieux pour collecter et traiter des données dans de futures enquêtes, ce qui pourrait révéler quelque chose de beaucoup plus intéressant dans le futur.
Ça plus l’aide des programmes d’IA spécialisés et les puissances de calcul démesurées nécessaire pour faire tourner tout ça, c’est normal que les futurs « trouveurs » aient besoin de votre pognon pour rechercher ce qui vous intéresse au premier chef tous les matins en vous brossant les dents : J’en reste persuadé !
Ce qui mérite bien quelques encouragements à travers ce « billet »…
Je vous souhaite ainsi un excellent début de semaine,
à toutes et tous, et vous dit à une prochaine fois !
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A
ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA
DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE »
!
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Heureusement qu’il y a des chercheurs qui ont des talents de « trouveurs » pour justifier de vous piquer du pognon car ils découvrent toutes ces choses qui nous rendent si savants !
Les premiers foyers de nos ancêtres étaient circulaires, il n’y a aucun doute.
Mais jusqu’à ce que tout change (pour que rien ne change) et que cette forme soit abandonnée au profit de logements anguleux.
Ok, mais pourquoi au juste ?
Et quelques milliers d’années plus tard, cette tendance était déjà passée de mode, nous assure New Scientist (le magazine de vulgarisation britannique qui devrait être votre livre de chevet). Et cette transformation ne s’est cependant pas faite du jour au lendemain : « La transition du rond au rectangulaire n’est pas aussi simple qu’on le pensait traditionnellement », confie ainsi sémillante Hadas Goldgeier, professeure spécialiste de la préhistoire au sein de l’Institut d’archéologie de l’Université hébraïque de Jérusalem (à portée de terroristes du « Ramasse » venus de Gaza).
Et en analysant un échantillon de 118 constructions réparties sur vingt-trois sites au Proche-Orient (autour de la vallée du Jourdain), dont les plus anciennes remontent à environ 14.000 ans et les plus récentes à environ 10.000 ans, ces scientifiques ont découvert que tous les bâtiments n’étaient en fait pas ronds.
Pour ces « trouveurs », aucun doute : La culture dite du Natoufien (entre 12.550 et 9.550 avant J.-C.), regroupant des peuples qui ont vécu dans la région du Levant, incorporaient des angles droits dans leurs bâtiments et ce, environ 2.000 ans avant que les structures rectangulaires ne deviennent le style dominant au Proche-Orient.
La configuration de ces espaces les incitait donc naturellement à construire des structures avec des coins. « Si vous avez un coin (dans le mur de la grotte), vous allez l'utiliser », argutie-t-il.
La vraie question est donc plutôt de savoir pourquoi et comment la forme des habitations a évolué ainsi partout dans le monde, même chez les populations non troglodytiques.
Pour Ian Kuijt, ces changements sont avant tout d’ordre économique.
Les édifices rectangulaires pourraient être plus faciles et moins coûteux à construire que les bâtiments circulaires : « Dès que l’on adopte des formes rectilignes, l’organisation et la construction de l’espace deviennent en quelque sorte plus simples », confie l’archéologue.
Alors que si elles étaient rondes, il aurait fallu des perches d’une invraisemblable hauteur, difficile à produire et à manier, pour couvrir la même surface !
Car en revanche, quand il s’agit de déménager régulièrement, il faut pouvoir démonter son habitat resté provisoire, et là, la tente Quechua a un incontestable avantage. Et comme par miracle, elle est toute en rondeurs !
Ainsi, c’est en souhaitant optimiser les moyens et ressources à disposition et leur organisation que les homos sapiens seraient donc naturellement passés du rond au rectangle pour leurs petits nids douillets…
Voilà un point éclairci !
Elle vient apporter de nouveaux éclairages sur le culte de Dionysos et notamment sur les « mystères dionysiaques », des rites d’initiation secrets dont on sait finalement que peu de choses mais qui font beaucoup fantasmer.
Représentant au milieu des femmes et des satyres une ribambelle d’animaux vivants et morts, parmi lesquels des coqs, des oiseaux, un faon et un sanglier fraîchement éventré, laisse supposer que les chasseuses occupaient un rôle important lors de l’initiation.
« À l’Antiquité, la bacchante ou la ménade exprimait le côté sauvage et indomptable de la femme : la femme qui abandonne ses enfants, la maison et la ville, qui se libère de l’ordre masculin pour danser librement, chasser et manger de la viande crue dans les montagnes et les bois.
Et ce n’est guère une surprise : À Pompéi, manifestement, on ne se refusait rien.
Des thermes, de somptueuses villas, une agora fourmillante (même encore de nos jours, sans les boutiquiers mais avec plein de touristes) avec des temples majestueux, un cirque, un théâtre et plein de boulangeries plus de nombreux « fast-food » d’époque !
Je vais vous dire, les rues sont pavées avec des passages piétons surélevés et des points d’eau un peu partout.
Du pain, des jeux, mais surtout des thermes (de l’eau et des aqueducs) et de quoi boire et manger pour tout le monde !
Alors avec ces bacchanales mystérieuses, qui n’étaient que des fêtes religieuses liées au dieu Bacchus ou Dionysos, forcément, les romains cultivaient un sens du festif vite tourné vers l’érotisme qui en choquerait plus d’un à notre époque « libérée » !
Il suffit d’ailleurs de visiter le « Cabinet secret » du Musée archéologique national de Naples pour s’en convaincre…
La mauvaise nouvelle, c’est qu’ils n’ont rien trouvé… encore (d’où les appels à subvention auxquels « McDo-Trompe » a répondu par la négative en fermant universités et laboratoires et en rayant du budget fédéral un ministère entier : Celui de « l’Intelligence & de la Beauté », pour paraphraser « D’jack-Langue »).
C’est l’hypothèse fondamentale de la recherche d’intelligence extraterrestre (SETI). Des signaux radio étranges pourraient être le signe d’une transmission artificielle d’une espèce extraterrestre pense-t-on dans les laboratoires.
Mais notre galaxie, la Voie lactée, nage dans des émissions radio de toutes sortes, des étoiles qui explosent au bourdonnement vibratoire du champ magnétique de la galaxie.
De plus, l’humanité a développé un penchant particulier pour les transmissions radio, de sorte que toute recherche radio d’extraterrestres doit traiter d’énormes quantités de signaux causés par l’homme lui-même !
Et les recherches SETI précédentes ont également été totalement vides, ce qui n’est pas une grande surprise, car cette technique semi-manuelle limite la quantité de données qu’une équipe de recherche peut traiter.
C’est là qu’intervient COSMIC, le cluster interférométrique multimode open source de Commensal !
COSMIC est un système informatique et logiciel qui s’ajoute à celui du Karl G. Jansky Very Large Array, le réseau radio emblématique situé dans le désert du Nouveau-Mexique.
En particulier, COSMIC recherche des signaux radio qui sont très étroitement focalisés, ce qui suggère qu’ils proviennent d’une très petite source, comme la surface d’une planète.
Ensuite, il recherche le décalage Doppler de ce signal radio. Si le signal provient d’une planète, le mouvement de la planète décalera le signal vers le rouge ou vers le bleu, selon que la planète s’éloigne de nous ou se rapproche de nous lorsque le signal a été émis. Et si le système trouve un signal correspondant à ces propriétés, il est signalé et passe à l’étape suivante du filtrage.
Tous les signaux restants sont ensuite signalés pour un examen plus approfondi.
Le système COSMIC fait partie du VLA Sky Survey, qui a effectué un balayage d’environ 82 % du ciel de l’hémisphère Nord. Au total, le système COSMIC a analysé plus de 950.000 pointages individuels du télescope : Une goutte d’eau dans un océan d’émissions.
Bien que le système ait initialement signalé des milliers de signaux potentiellement intéressants, aucun n’a survécu à toutes les étapes de filtrage.
Bien que cela soit décourageant au départ, ce résultat représente tout de même une avancée importante dans notre recherche de vie extraterrestre.
Nous pouvons désormais utiliser ces données pour réduire les probabilités d’apparition de la vie sur une planète donnée, et nous disposons maintenant d’un outil précieux pour collecter et traiter des données dans de futures enquêtes, ce qui pourrait révéler quelque chose de beaucoup plus intéressant dans le futur.
Ça plus l’aide des programmes d’IA spécialisés et les puissances de calcul démesurées nécessaire pour faire tourner tout ça, c’est normal que les futurs « trouveurs » aient besoin de votre pognon pour rechercher ce qui vous intéresse au premier chef tous les matins en vous brossant les dents : J’en reste persuadé !
Ce qui mérite bien quelques encouragements à travers ce « billet »…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
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