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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 4 avril 2025

Jean-Patrice exulte

Il rapporte à Jean-Paul sa joie de travailler…
 
« — Non mais tu ne peux pas savoir ce que ça fait du bien de bosser !!!
— Moi, ça aurait tendance à me fatiguer…
— Eh bien moi je me réjouis tous les jours !
— Tu fais quoi ? Toujours croque-mort ?
— Non, ça, c’était emmerdant à toujours devoir faire la gueule…
— Bon alors quoi ?
— ‘‘Conseiller de clientèle’’ mais pas n’importe où !
— Où ça ?
— Dans un sex-shop…
— Ah oui je vois… et tu essayes tous les gadgets de ton patron ?
— Même pas !
— Bé alors… je ne comprends pas…
— Tu ne peux pas savoir ce que ça fait du bien de pouvoir dire à un client ‘‘celui-là, vous pouvez vous le mettre dans le cul’’ ! »
 
Jean-Marc picole sa bière matinale et croise Jean-Edouard, le boute-en-train du comptoir.
« — Sais-tu comment s’appelait la fille qui aura inventé l’air climatisé ?
— Une fille, tu es sûr ?
— Oui : Fraichie Sarah !
— … Je ne percute pas, là…
— Sarah Fraichie ! Décidément, tu n’es pas drôle ! »
 
Plus tard, il est rejoint par Jean-Paul… qui commande une bière.
« — C’est dingue comme le temps passe vite !
— Tu es pressé, ce matin ?
— Non, mais cette année, je n’ai pas vu passer l’été…
— Remarque, c’est bien normal : On n’est que début avril… » fait Jean-Marc
 
Marie-Chantal essaye de trouver du réconfort auprès de Germaine : Elle vient de se faire larguer une nouvelle fois, après une première nuit…
« — Bouh… Si l’amour c’est bien, dis-moi pourquoi ça fait si mal ?
— Manque de lubrifiant, peut-être… »
 
Jean-Marc s’étonne de la richesse de la langue de Molière en ouvrant par hasard un dictionnaire à la lettre « P ».
(@l’adresse des générations « Z » et « Alpha », un dictionnaire c’est un gros bouquin contenant l’ensemble des mots d’une langue généralement présentés par ordre alphabétique et fournissant pour chacun une définition, une explication ou une correspondance [synonyme, antonyme, cooccurrence, traduction, étymologie] et l’orthographe exacte pour les quelques 120.000 mots d’usage courant de la langue « francilienne-native ». On y trouve parfois, et notamment dans l’édition Larousse en 16 volumes, des exemples d’emploi tirés de la littérature classique.).
Et il lit :
« Pénis : (n. m.) organe reproducteur masculin.
Synonyme de : zizi, chibre, queue, tuyau, canule, petit-oiseau, verge, phallus, membre, vit, pine, quéquette, saucisse, robinet, trique, bite, teub, zgeg, concombre, banane, popaul, manche, poireau, nouille, chauve à col-roulé, poutre, nœud, petit-soldat, général, dard, cigale à moustache, joystick, zézette, zigounette, zob, quille, trompe, anguille, sabre, truc, Dumbo, biroute, Jacky, anaconda, flûte, Godzilla, braquemard, gourdin, attribut, Robert, Bobby, zigouigoui, bistouquette, troisième main, chose, ouistiti… »
 
Jean-Paul se pose une question :
« Si Barbie tue Ric, alors Ken tue qui ? »
 
Toujours Jean-Paul, mais à Jean-Marc alors qu’ils parviennent tous les deux à leur seconde bière matinale…
«  … Alors qu’on faisait encore l’amour, je lui ai dit ‘‘Je crois que je t’aime’’ !
— Et qu’est-ce qu’elle a répondu à ce moment-là ?
— Elle a dit un truc du genre : ‘‘tu sais que tu dois quand même me payer’’ ! »
 
Germaine écoute Marie-Chantal se plaindre de ses déconvenues.
« — Que c’est tout de même compliqué d’être une fille.
— À qui le dis-tu…
— Non mais regarde mon cas… Je tourne la tête à 10 hommes quasiment tous les jours qui me courtisent hardiment…
— Eh bien ?
— Et tu sais que le seul qui sera intéressant sera forcément le onzième… »
 
Les deux mêmes parlant de leurs « petits travaux » de mise en valeur.
« — J’ai essayé Photoshop…
— Et alors ?
— Saleté de m… !
— Oh !
— J’ai cliqué sur l’option « effacer les imperfections ».
— Et alors ?
— Et alors ??? Mais je n’étais même plus sur la photo… »
 
Et elles continuent :
« — On devrait prévoir une minute de silence pour toutes les femmes mariées qui ont un amant…
— Pourquoi ? Tu n’es pas mariée…
— Toi si, Germaine !
— Mais je n’ai pas d’amant. Ou alors de passage !
— Oui mais les autres ? Tu ne te rends pas compte !
— De quoi ?
— Mais elles passent toujours toutes leurs vacances d’été avec leur mari et leurs mômes ! La plus belle saison des amours… »
 
« — Tu vois Germaine, parfois, le soir en allant me coucher, je me mets à t’envier et à rêver de poser ma tête sur une épaule virile et rassurante…
— Oui, bé…
— Oh ne t’en fais pas : Je la pose alors sur mon oreiller qui ne me demande jamais rien, même pas ce qu’on bouffe ce soir, qui ne ronfle pas et qui ne me fait jamais chier.
Et je l’étreins avec tendresse… »
 
« — De toute façon, si je cherche un homme, il faudra qu’il soit déjà marié !
— En voilà une idée ! Et pourquoi ?
— J’ai envie de me battre pour l’amour…
— … »
 
« Ouais bé moi, si un jour Jean-Marc me quitte pour une pouffiasse, surtout si elle est plus jeune que moi, eh bien j’épouserai le père de la pétasse pour devenir sa belle-mère acariâtre et leur pourrir la vie ! »
 
« — Tu sais il faudrait inventer un TripAdvisor pour les mecs. Une notation comme le fait google pour les restaurants…
— Oui, voilà qui pourrait être une bonne idée !
— Non mais tu n’imagines pas le temps qu’on gagnerait avec des avis comme « m’a trompé avec sa secrétaire Marie-Magalie », ou « éjacule en trois minutes », « est marié », « ne se brosse jamais les dents », « lâche des caisses sans prévenir … »
 
À la pause méridienne, Jean-Marc et Jean-Paul, devant le cassoulet du menu et leur bière…
« — Tu sais quelle est la pire combinaison de maladie ?
— Euh… non, je ne vois pas !
— Alzheimer et la diarrhée…
— Ah bon ? Et pourquoi ça ?
— Bé tu cavales mais tu ne sais plus pour aller où ! »
 
« — Bon, on est à table, mais puisque tu fais dans la blague scatologique, sais-tu pourquoi un mathématicien n’urine jamais ?
— Tu es sûr ? Ça ne peut pas ne jamais uriner …
— Bé si !
— Ah bon, je ne savais pas…
— C’est parce qu’il fait ∏ ∏ ! Le nombre Pi… 3,1415296.
— … »
 
À la fin de leur repas, dégustant leur dernière bière du repas, Jean-Marc se veut optimiste pour son ami :
« — Tu sais, ne t’en fais pas. Un jour tu trouveras bien quelqu’un qui n’aura d’yeux que pour toi…
— Tu crois ?… Tu dis ça pour me faire plaisir…
— Non, non, j’en suis certain. Il est peut-être possible que ce ne soit qu’un chien, mais c’est déjà pas mal et toujours mieux que rien… »
 
Jean-Étienne passe à ce moment-là et raconte que ça femme lui a envoyé une carte postale…
« — Et elle te raconte quoi ?
— Oh, qu’il fait beau, que ça va pour elle et que décidément elle préfère faire l’amour en vacances… »
 
Germaine passe une annonce dans la presse locale :
« Jeune femme séduisante, bon parti, la cinquantaine chic, cherche l’homme de sa vie.
Le mari, je l’ai déjà ! »
 
À la sortie des bureaux et ateliers, Jean-Marc et Jean-Paul se retrouvent devant une bière bien fraîche sur le chemin du retour de leur journée de labeur…
« — Tu sais, j’ai réfléchi à ce qu’on se disait ce midi…
— On se disait quoi, au juste ?
— On parlait d’amour, de mariage, de couple et de chien…
— Oui, oui, je ne me souviens plus mais si tu le dis…
— Eh bien je me suis dit qu’un jour, tu as envie de croire en l’amour, au mariage et même en Dieu…
— Oui, oui, peut-être…
— Mais heureusement, après tu vas boire l’apéro et ça va mieux ! »
 
Un petit gars déguisé en homme sandwich distribue des tracts.
Jean-Marc en saisit un et lit :
« Votez nudistes !
Le seul parti qui ne se mettra rien dans les poches ! »
 
Jean-Marc rapporte à Jean-Paul qu’il a créé un faux compte Facebook et qu’il a recherché le profil de sa femme…
« C’est ainsi que j’ai découvert qu’elle était veuve depuis deux ans ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — Tu savais, toi, qu’un raton-laveur ça meurt après un rapport sexuel…
— Non ! C’est n’importe quoi ! Jamais entendu parler de ça ! Tu confonds avec la mante-religieuse…
— Non, non… Je t’assure : Celui que j’ai niqué n’a pas survécu ! »
 
On finit par une « revenue » et de très loin (je crois que ça date de l’ancien blog…) :
QUESTION PHILOSOPHIQUE :
Pourquoi cette poule traverse la route ?
Platon : Pour accéder à l’essence du Bien.
Marx : C’était historiquement inévitable, d’un point de vue matérialiste.
Machiavel : Pour inculquer la peur aux autres poules.
Nietzsche : Pour affirmer sa volonté de puissance.
Sartre : Parce que la poule est condamnée à être libre.
De Beauvoir : On ne naît pas poule, on le devient.
Samuel Beckett : Parce qu’elle en avait marre d’attendre.
Aristote : Parce que la poule est un animal politique.
Camus : Pour défier l’absurdité du monde.
Épicure : Pour le plaisir !
Kant : Parce qu’elle a eu le courage de se servir de son propre entendement.
Pyrrhon : Quelle route ?
Kierkegaard : Du fait de son désespoir de son état de poule.
Shakespeare : Traverser ou ne pas traverser ? Telle est la question…
Stuart Mill : Pour maximiser son plaisir !
Galilée : Et pourtant, elle a traversé…
Descartes : Je traverse donc je suis.
Hegel : Pour réaliser la raison de l’Histoire.
Spinoza : La poule pense qu’elle a librement traversé la route, mais elle ignore en réalité les causes et les mécanismes qui l’ont prédéterminé à traverser. La poule n’est pas un empire dans l’empire.
Rousseau : Parce que la poule est bonne par nature.
Pascal : Parce que la poule est un roseau pensant.
Héraclite : Le poulet a traversé parce qu’on ne traverse jamais deux fois la même route.
Hume : Le moi de la poule est une idée fictive…
Voltaire : Pour lutter contre les préjugés et l’intolérance vis-à-vis des poules.
Jean-Marc : Les asticots du champ du voisin d’en face sont bien plus gras !
Jean-Paul : C’est pour mieux se faire plumer par une voiture qui passe !
 
Bon week-end (ce soir) à toutes et à tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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