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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 18 avril 2025

C’est l’histoire de Jean-Luc…

Qu’il rapporte à ses potes Jean-Marc et Jean-Paul
 
« — Il m’est arrivé un « truc » incroyable l’autre soir…
— Quoi donc ? Raconte !
— Je traverse le fleuve en rentrant chez moi et sur le pont, je vois une fille qui monte sur le parapet et qui va sauter…
Je me précipite et je me jette sur la fille pour l’empêcher de sauter et lui hurle : « Je vous en prie, ne sautez pas ! »
Elle me répond, « Si je vais sauter ! »
Je la retiens et lui dis « Mais non, pensez à toutes les bonnes choses qui vous attendent, comme l’amour… »
Là elle m’annonce : « Mais je n’ai personne ! »
Que j’ai alors l’idée de lui dire : « Laissez-moi vous embrasser, peut-être que vous changerez d’avis ! »
Alors, elle hésite et finalement se laisse faire !
— Et alors ?
— Eh bien c’était superbe : Une fille qui embrasse comme ça, c’est rare… Et ça a duré au moins une bonne dizaine de minutes !
— Bé très bien…
— Oui, si on veut…
— Parce que ?
— Bé je lui dis qu’aucune femme ne m’avait jamais embrassé avec une telle fougue, que c’était merveilleux, que jamais plus je ne la laisserai sauter.
Et je lui demande pourquoi elle voulait en finir ?
Et vous savez ce qu’elle me répond ?
— Bé non ! Mais tu vas nous le dire…
— C’est parce que ses parents ne veulent pas qu’elle s’habille en fille ! »
 
Un jour, l’effet de la bière aidant, Jean-Paul raconte à Jean-Marc comment il a viré sa femme…
« — Elle faisait très mal le ménage il y avait toujours des moutons sous le lit !
— Et c’est seulement pour ça que tu l’as virée ?
— Non, mais un soir, j’ai aussi trouvé le berger ! »
 
Les deux mêmes, devant une autre chope de bière, un peu plus tard…
« C’est vrai que quand on commence une phrase par : ‘‘Ce n’est pas pour vouloir être méchant, mais…’’, ce n’est en général pas non plus pour être gentil ! »
 
Jean-Marc rapporte à Jean-Paul…
«  L’autre soir j’ai été à une réunion des alcooliques unanimes.
— C’est quoi, ça ?
— C’est comme une réunion des alcoolique anonymes,
— Ah bon ?…
— Sauf qu’on est tous d’accord pour picoler. »
 
Plus tard, les deux mêmes :
«  Mardi, j’ai appelé Jean-Étienne au téléphone.
 Oui… Comment va-t-il ?
 Je lui ai demandé ce qu’il faisait…
Et tu ne sais pas ce qu’il m’a répondu…
 Non… Il fait quoi maintenant ?
 Il m’a dit qu’il travaillait sur le traitement aqua-thermique des céramiques, du verre, de l’aluminium et de l’acier sous un environnement contraint !
 Eh bin, c’est quoi ça ?
 J’ai été comme toi, impressionné et je lui ai alors demandé des précisions.
Il m’a alors précisé qu’il faisait la vaisselle à l’eau chaude sous la surveillance de sa femme ! »  
 
Ce soir-là, pour la bière vespérale, Jean-Marc est de mauvaise humeur après une journée harrassante :
« Certains jours, on a vraiment l’impression de n’être entouré que par des cons !
Et puis d’autres jours, on se rend compte que ce n’est pas seulement certains jous ! »
 
Germaine :
«  Chéri, viens voir !
 Non, je regarde le match…
 Mais le petit vient de faire ses premiers pas !
 Super ! Dis lui qu’il m’apporte une canette de bière ! »
 
Dans une cour de lycée, dialogue surpris entre deux adolescents :
Lui : « Je ne comprends pas que tu puisses te faire tous mes amis ? »
Elle : « Je voulais te prouver que c’était pas de vrais amis et maintenant, c’est moi qui passe pour la méchante ! »
 
Jean-François se confie…
« Ma femme et moi, on était tellement timide qu’on n’osait même pas se regarder…
Maintenant, ça a bien changé : On ne peut plus se voir ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, à mâtines devant la première bière :
«  Hier soir, le videur de la boite où je suis allé draguer était allemand et m’a mis dehors en restant très calme et zen…
 Du coup tu as dit merci au videur zen ? »
 
«  Moi je ne comprends pas…
 Quoi donc ?
 Quand une femme n’a pas de poitrine, on dit d’elle que c’est une planche…
 Oui… à repasser !
 On est d’accord, mais pourquoi on dit aussi ‘‘une planche à dessin’’ ? »
 
Jean-Paul reçoit des mots d’amour d’une belle :
« Tu sais, un jour j’ai demandé à Dieu un ruisseau et il m’a donné un océan.
Je lui ai demandé une fleur et il m’a gratifiée d’une roseraie !
Je lui ai demandé un arbre et il m’a donné une forêt !
Je lui ai demandé un trou du cul et il m’a fait te rencontrer… »
 
Jean-Marc se réveille en plein milieu de la nuit avec une trique pas possible.
Il s’adresse à Germaine :
«  Chérie, j’ai une grosse envie, soudainement, là !
 Bé vas-y ! » lui répond-elle pas contente d’être réveillée : « Tu sais où sont les toilettes ! »
 
À table…
« Chérie, tu peux m’envoyer la sauce, s’il te plait ! » demande Germaine à Jean-Marc.
« Pas au restaurant devant tout le monde ! »
 
Avec Jean-Paul, au coin d’une table, Jean-Marc se remémore sa nuit passée :
« Quand on pense que Christophe Colomb se croyait en Inde alors qu’il s’était trompé de plus de 10.000 km et qu’il est rentré comme d’un héros,
toi tu te trompes de 3 centimètres entre deux trous, et tu te fais engueuler… »
 
«  On bé ça » lui répond Jean-Paul, « les femmes c’est comme les boomerangs !
 C’est-à-dire.
 En principe, quand tu tires bien, elles reviennent toujours ! Dans le cas contraire, évidemment, c’est toi qui lui cours après…
 Et tu en sais quelque chose !
  »
 
« Moi, dans mon immeuble, le matin je sonne aux portes qui ont un paillasson où il est marqué « Bienvenue »…
Eh bien je peux te dire, que les gens mentent parce que ce n’est pas toujours le cas ! »
 
Jean-Marc se fend d’une « astuce » à l’adresse de Jean-Paul :
« Moi, quand je vais chez ma maîtresse, je gare toujours ma voiture sur l’emplacement réservé à celle de son mari et je laisse bien en évidence mon numéro de téléphone sous mon parebrise.
Comme ça, s’il rentre à l’improviste plus tôt que prévu, il a la gentillesse de m’appeler pour me prévenir qu’il attend que je libère sa place…
Ce que je fais bien volontiers… »
 
Jean-Paul raconte :
« Elle m’a dit que mon odeur lui manquait…
Alors je lui ai envoyé une paire de chaussette.
Depuis, on ne se voit plus ! »
 
Petit message d’un contre-maître intercepté par Jean-Marc sur l’écran de téléphone de sa secrétaire :
« Ma bite est si grande qu’elle va de A à Z… »
« Félicitations : regarde sur ton clavier ! »
 
Germaine se confesse à Marie-Chantal :
«  En fait je ne vais plus courir en forêt…
 Et pourquoi ça ? Il faut pratiquer du sport pour se maintenir en bonne santé…
 Bien sûr, mais je crains que de chasseurs ne me tirent dessus.
 Allons donc !
 Et le pire, c’est qu’après coup ils déclarent m’avoir prise pour une vache ! »  

Marie-Sophie : « J’aime bien qu’on me dise des mots un peu cochons quand je fais l’amour… »
Jean-Marc : « La couenne de tes tendres jambons est aussi délicieuse que le groin d’un marcassin ! »
Marie-Sophie : « Ça va, laisse tomber ! »
 
Marie-Chantal à Germaine devant leurs tasses de thé, accompagnées de madeleines encore tièdes :
«  Mais bien sûr que les hommes peuvent faire plusieurs choses à la fois…
 Comme quoi ?
 Eh bien ils sont capables de se laver les dents et de mouiller le sol et le miroir en même temps ! »
 
Jean-Marc, avec Jean-Paul, devant leur dernière bière de la journée :
«  Non mais tu te rends compte, c’est infernal !
 Quoi donc ?
 Le prix de l’essence !
 Ne m’en parle pas !
 Non mais nous, encore, avec nos bagnoles toutes pourries, mais un mec qui se paye une tire à 100.000 euros prix catalogue sans les options qui vient se plaindre du prix du carburant…
C’est comme épouser une pute et s’étonner d’être cocu !
 Exactement ! Scandaleux… »
 
Germaine à Marie-Chantal, une après-midi, avant de se séparer…
«  Tu sais, pour mes photomatons pour refaire mon passeport, j’ai fait des grimaces.
 Mais quelle idée !!! Ils ne vont pas te reconnaître.
 Pas du tout ! C’est mieux de paraître moche en le faisant exprès que sans le vouloir ! »
 
Petit défi lancé à Jean-Paul :
«  Demande-moi de sortir avec toi sans utiliser les mots sortir, coucher, baiser ou toi !
 Pas de problème : Go ! c’est parti ! On y va ! à poils ! »
 
Le même, un peu plus tard, un peu en difficulté :
« Mais je m’en balance de ta beauté intérieure, moi !
Tu crois vraiment que j’ai une Gopro accrochée au bout du sexe ? »
 
Le même, encore plus tard :
« Sexuellement, tu es une vraie pointure ! »
Flatté, Jean-Paul sourit à sa partenaire du moment…
«  C’est vrai ?
 Oui ! Tu t’y prends comme un pied ! »
 
Il n’empêche, il lui textote :
«  Merci pour cette inoubliable soirée…
 Mais de rien…
 Tout le plaisir était pour moi !
 Oui, ça, j’ai bien vu ! »
 
Pendant ce temps-là, Jean-Marc, au réveil :
« Réveille-toi Germaine !
C’est l’heure de casser les couilles de tout le monde ! »
 
Bon week-end (ce soir) à toutes et à tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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