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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 10 avril 2025

C’est la guerre, la troisième mondiale…

Elle reste pour l’heure atypique…
 
… mais les USA déclarent la guerre au reste de la planète pour imposer sa vision impérialiste de l’univers : Panama, Canada, Groenland, Bande de Gaza touristique, Yémen, Ukraine et ses ressources minières (farfelues), détestation de l’Europe, de la Chine, etc. en quelques semaines, il y aurait eu comme une vaste accélération…
Et pour gagner cette guerre universelle là, les dirigeants des USA en rejoutent avec leurs fameux « droits-de douanes » supposés être « réciproques »…
Ce qui naturellement va perturber les économies nationales du plus grand nombre, mais tout autant l’économie mondiale dans son ensemble.
Passons : On savait avant même que les « Ricains » n’aillent voter pour leur champion, ce qu’il adviendrait s’il était élu.
Personnellement, je suis assez surpris que des « prévisionnistes » soient si peu clairvoyants (à en être surpris à en réagir de façon paniquée) et n’aient pas su anticiper la suite logique de cette élection.
 
Alors, quand on tente d’aller encore plus loin vers les perspectives qui se profilent, on se rend compte que la « troisième guerre mondiale » sera atypique.
Parce qu’elle l’est déjà…
Elle ne sera pas sanguinolente pour le genre humain comme les deux précédentes, mais elle va être tout aussi catastrophique pour le « bien vivre » auquel chacun aspire.
Pour quelle raison vous dis-je ça alors que nos dirigeants ne cessent de budgéter des montagnes de fric pour mieux s’armer, toujours plus fort, plus loin, plus rapide !
Eh bien justement, parce qu’ils ne font pas que s’armer : Ils redonnent seulement du souffle aux industriels de la mort pour que ceux-ci soient près, dans deux ou trois ans, à fournir l’effort de disposer d’assez de matériel pour soutenir un conflit à « haute intensité »…
« Si vis pacem, para bellum ». C’est ce qu’ils font, contraints et forcés pour rester en paix, faute d’avoir su tirer les « dividendes de la paix » des dernières décennies pour qu’elle se prolonge…
D’ailleurs, ils ont besoin de deux à trois ans et c’est ce qu’il faut pour les matériels…
Mais les hommes qui vont se servir de ces matériels ?
 
Ils ne sortent pas des usines, mais sont déjà nés et formés. Et c’est assez spectaculaire puisqu’il s’agit de mercenaires qui sont déjà de retour !
Via les SMP, qui se multiplient, afin d’apporter des « garanties de sécurité ».
Et elles ne sont plus uniquement occidentales : Nombreux sont les pays d’Asie à disposer de SMP.
D’ailleurs, quand on analyse le phénomène, on se rend compte qu’aujourd’hui, le périmètre d’action des SMP est particulièrement large, même si elles se définissent comme des « organismes civils, privés, impliqués dans le cadre d’opérations militaires, dans la fourniture d’aide, de conseils et d’appuis militaires, et offrant des prestations traditionnellement assurées par les forces armées nationales ».
Dans les faits, les SMP ont de nombreuses activités, dont les limites sont particulièrement floues.
Certains groupes se contentent de proposer de la protection de personnes, du gardiennage, de l’escorte de convois ou de navires ou de la formation.
D’autres ajoutent des activités de renseignement et d’intelligence économique à cette palette.
Tandis que certaines SMP offrent les services d’unités combattantes qui s’impliquent directement dans les conflits en première ligne, qui font la guerre « à l’ancienne », celle où on tue des gens de façon définitive sur ordre et commande.
Et bon nombre de groupes proposent simultanément l’ensemble de ces activités à leurs clients, même si les SMP ont tendance à rester plus que discrètes sur leurs activités combattantes.
Aujourd’hui les SMP étendent leurs actions vers d’autres domaines comme la protection des frontières ou la gestion des prisons ou même la lutte contre le braconnage.
 
D’autant qu’il vous faut savoir que les sociétés militaires privées ne sont pas des organisations indépendantes : En effet, pour créer de telles structures, l’aval des États ou du moins de personnalités influentes est nécessaire.
Et ce lien entre les États et leurs SMP s’explique d’abord par l’origine de la plupart des fondateurs de ces entreprises, ils sont généralement issus des rangs des armées de leur pays, le plus souvent des forces spéciales.
D’autres sont des anciens des services de renseignement ou des unités de police qui restent bien souvent en lien, même indirectement, avec leurs anciennes administrations.
Après il existe bien sûr des cas de figure où les SMP outrepassent les règles qui leurs ont été fixées par leurs États, mais ce type de débordement n’est jamais trop important, car sinon, les représailles peuvent être très sévères.
Elles sont avant tout des structures commerciales et cherchent à acquérir des contrats
 
Il existe aussi une concurrence entre SMP. Par exemple, les SMP chinoises proposent des prix beaucoup plus avantageux que leurs concurrentes mais une qualité de service moindre.
Il existe aussi aujourd’hui des oligopoles. Par exemple, le long des Nouvelles Routes de la soie, les ressortissants chinois, les infrastructures construites, les voies de commerce sont protégées presque exclusivement par des SMP chinoises qui peuvent recourir parfois à des prestataires locaux pour les épauler.
On assiste également à des fusions et des acquisitions de SMP par d’autres SMP ou encore par d’autres groupes œuvrant de façon plus large dans l’armement, l’intelligence économique, etc.
L’objectif étant alors de croitre et d’étendre leurs activités dans de nouveaux secteurs.
 
Le marché évolue actuellement très rapidement. Là où les anglo-saxons et surtout les « Ricains » avaient une position ultradominante dans les années 2000, aujourd’hui la multiplication des SMP dans le monde crée une véritable concurrence entre sociétés.
Car des pays comme la Russie, la Chine ou encore de la Turquie ont développés leurs propres SMP et de nombreux pays voient apparaitre sur leur sol des SMP qui visent d’abord à profiter du marché local pour croitre avant de s’exporter à l’international.
 
D’autant que le cadre légal dans lequel agissent les SMP est particulièrement flou et dépend du pays d’origine de chaque structure. Ce sont justement les nombreux débordements causés par des SMP comme BlackWater ou encore CACI International qui sont finalement le moteur des évolutions juridiques.
Ainsi, au niveau du droit international, en 2008 a été ratifié le Document de Montreux par 58 pays et il contient 73 recommandations pour encadrer les activités des SMP, autrement dit la façon de « faire la guerre sous contrat ».
Ce texte a été suivi par d’autres textes, comme le Code de conduite international pour les prestataires de services de sécurité privés (ICoC).
Le grand problème de ces législations tient à ce qu’elles ne sont absolument pas contraignantes ce qui laisse tout latitude aux États pour imposer leur propre juridiction en la matière.
Ainsi, chaque pays encadre et contrôle ses SMP à l’aide de sa propre législation.
Par exemple, en Chine, ces sociétés sont devenues légales en février 2011 avec la mise en place d’un système de licences décernées par les autorités.
En Russie, le mercenariat et les SMP sont considérés comme illégaux en vertu des articles 208 et 359 du code pénal russe ou encore de l’article 13 paragraphe 5 de la constitution du pays et cela alors même que le pays possède de nombreuses SMP dont le « groupe Wagner ».
D’autres pays comme le Pakistan ou le Chili ont officiellement pris des textes qui contraignent fortement l’action des SMP sur leur territoire ou encore le recrutement de leurs anciens militaires, pourtant, des sociétés contournent quand même ce cadre juridique.
En somme, l’encadrement juridique a ses limites et c’est avant tout la raison d’État qui en décide.
 
Disposer d’une ou plusieurs armées privées à côté de celle sous contrôle de la hiérarchie militaire nationale pourrait paraître absurde.
Mais en réalité, pas du tout : Si ça existe et prospère c’est qu’il y a plusieurs intérêts en jeu pour les États. Et c’est avant tout politique car les gains sont de plusieurs natures.
Tout d’abord, depuis des décennies en Occident et dans bon nombre de pays, la mort au combat de soldats est devenue un enjeu politique majeur. Les opinions publiques n’acceptent plus de voir des « cercueils rentrer au pays », les « body-bags ».
Je date le phénomène de la guerre du Koweït… Avant, au Vietnam ou en Korée, ce n’était pas un élément très contraignant parce que le souvenir des boucheries de la seconde guerre mondiale était encore vif.
Face à cette évolution, les SMP offrent une solution très simple qui se résume au fait que la mort d’un « contractor » (terme utilisé pour désigner les employés des SMP) n’intéresse pas ou peu : Pas de cérémonie officielle, pas de drapeau, pas de médaille du souvenir ni d’associations de vétérans, etc.
 
Ensuite l’emploi de « contractors » permet aux États de contourner les limites capacitaires de leurs armées ou encore les restrictions imposées par leurs institutions pour le déploiement de troupes à l’étranger.
Et en utilisant des SMP les États peuvent ainsi avoir recours à un déni plausible et vitupérant.
Ce concept est le fait « de nier avoir eu connaissance de faits potentiellement délictueux ou criminels si l’accusation ne peut apporter la preuve formelle de son implication » et permet aux États de se protéger, au moins en partie, des risques politiques induits par une intervention en dehors du cadre légal et leur offre ainsi une capacité supplémentaire en matière d’action clandestine.
 
Dans ce grand foutoir d’hommes armés, la « Gauloisie-clandestine » entretient une position iconoclaste : En effet, on n’y utilise pas le terme de SMP mais celui de ESSD (entreprises de services de sécurité et de défense). Ce choix de ne pas utiliser le terme de SMP est avant tout un choix de communication politique pour ne pas être associé à des entreprises comme Blackwater.
Et le droit positif tricolore encadre les activités liées à la privatisation des activités de sécurité et de défense et réprime les activités combattantes. Par exemple la loi du 14 avril 2003 relative à la répression de l’activité de mercenaire, laquelle introduit dans le droit les articles 436 et suivants du code pénal qui « punit de cinq ans d’emprisonnement et de 75.000 euros d’amende toute personne spécialement recrutée pour combattre dans un conflit armé et qui n’est ni ressortissante d’un État partie au dit conflit armé, ni membre des forces armées de cet État ».
Ainsi, les frasques d’un Bob Denard et de ses « affreux » auront laissé une marque profonde dans les esprits et ce texte de loi particulièrement strict empêche clairement le développement de SMP à l’image de Blackwater.
De plus, la Loi de programmation militaire 202430, a créé une obligation pour les « militaires exerçant des fonctions présentant une sensibilité particulière () qui souhaitent exercer une activité () dans le domaine de la défense ou de la sécurité au bénéfice, direct ou indirect, dun État étranger () sont tenus d’en faire la déclaration au ministre de la Défense ».
 
Et on apprend qu’aujourd’hui, les ESSD Gauloisiennes qui procurent des services sont utiles et nécessaires notamment dans le cadre de la sécurisation des activités des entreprises tricolores à l’étranger.
De façon général les acteurs privés de la sécurité et de la défense sont également devenus indispensables pour bon nombre d’entreprises, d’institutions internationales et d’ONG de par le monde.
D’autant que ces sociétés offrent également des débouchés professionnels aux militaires, policiers ou encore aux agents de renseignement après leur service, limitant ainsi le risque que le recrutement et l’utilisation de « contractors » gauloisiens par des SMP étrangères, dans le cadre d’opérations clandestines ou encore d’exactions, puissent valoir à mon pays (celui que j’aime tant et qui a du mal à me le restituer…) d’être accusée de complicité.
Il est donc possible de capitaliser sur ses ESSD en les poussant à investir des « segments utiles » pour nos forces armées.
De plus, la prise de participation de l’État dans les ESSD nationale ou encore des évolutions législatives en matière de prévention des conflits d’intérêts, pourraient offrir aux autorités un droit de regard encore plus important sur les activités de ces entreprises et pourraient prévenir de possibles débordements.
Même si la récente privatisation du groupe DCI (Défense Conseil International qui n’est pas une ESSD mais un établissement public de caractère industriel et commercial) par l’État ne semble pas aller dans ce sens.
 
Au total, tous les pays possédants de formidables moyens militaires sur tous les continents de l’hémisphère Nord, possèdent également des SMP actives.
C’est donc déjà la guerre, sous « faux-drapeaux » peut-être, mais c’est celle-là qui va être en première ligne !
Ce qui n’empêche pas que, entre la guerre commerciale, la cyberguerre, et la guerre sous faux-nez des SMP, tout cela peut faire d’immenses dégâts et ruiner bien des populations : Pourquoi croyez-vous que le niveau du « Plan Vigipirate » est toujours et actuellement au niveau « Urgence attentat » ?
Pourquoi croyez-vous qu’on vous rappelle de temps en temps que la vigilance de des pandores de la DGSI permet encore de déjouer quelques attentats de fêlés du ciboulot ?
Parce que la Troisième guerre mondiale est déjà en cours…
 
Et avec la guerre commerciale déclenchée unilatéralement par « Trompe », elle prend désormais une dimension mondiale, incapable qu’il est de tenir ses objectifs de « paix en 24 heures » en Ukraine (ou de construire sa station balnéaire sur la bande de Gaza) !
On leur avait dit, à nos « amis-ricains », qu’ils allaient faire une konnerie en l’élisant : Eh bien on retiendra que parfois, dans l’Histoire, la Raison disparaît pour laisser place à la folie qui ira percuter le mur du bon sens.
C’est probablement ce qu’on appellera plus tard « une épuration »… celle des « cerveaux-fêlés », des « faibles d’esprit », celle des démagogues « nationaux-populistes »…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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