Deux femmes, sur un parcours de golf…
« — Eh bien tu sais, la semaine dernière, je me suis réellement
fait piquer par une guêpe entre deux trous durant la partie…
— Je t’avais bien dit de mettre une culotte pour jouer au
golf ! »
Marie-Chantal, avec Germaine, cassant du sucre sur le dos de Marie-Françoise :
« Tu vois, le grand avantage des petits seins, c’est que 30 ans plus tard, tu es sûre qu’ils sont toujours au même endroit ! »
Les mêmes au salon de thé du quartier :
« — Tu vois, connerie est tout de même bien plus fascinante que l’intelligence…
— Ah bon ? Tu trouves, toi ?
— Oui, j’en suis convaincue…
— Et pourquoi ça ?
— Eh bien, très chère, tu vois l’intelligence a des limites… tandis que la connerie n’en a aucune ! »
Les mêmes, grignotant leur madeleine au salon de thé, mais cassant du
sucre sur le dos de Marie-Christine cette fois-ci :
« Oh celle-là, à en juger par son bagage intellectuel, tu peux en déduire qu’elle aime à voyager léger ! »
Jean-Marc et Jean-Paul, sirote une bière quand Jean-Paul informe son ami d’une
nouvelle qui l’aura fait réagir :
« — Je trouve que finalement, c’est une bonne idée !
— Laquelle donc ?
— Celle de prendre le préservatif comme le nouvel emblème de notre gouvernement.
— Le préservatif ?
— Oui, oui, la capote, quoi !
— Et pourquoi ça ?
— Eh bien parce qu’il tolère l’inflation, vide les bourses, ralentit la production, détruit la prochaine génération et surtout il protège les glands ! »
Jean-Marc en rit haut et fort !
« Et puis surtout, donne un sentiment de sécurité alors que tu te fais baiser ! »
Marie-Chantal raconte à Germaine qu’elle s’est fait draguer par un bel
homme, un soir dernier.
« — Il m’a prétendu qu’il travaillait là où les autres s’amusaient. Tu aurais pensé à quoi, toi ?
— Une boîte de nuit… Serveur, DJ ?
— Eh bien non !
— Ah ?
— Gynécologue ! »
Jean-Paul, un matin, pour lui-même :
« Je n’ai pas envie de me lever du bon pied…
Je reste au pieu ! »
Sur la porte intérieure des toilettes du « petit bar » où Jean-Marc
et Jean-Paul ont leurs habitudes, une nouvelle affiche :
Sur le mur, la pensée du jour :
Germaine saute de joie en regardant un reportage
télévisuel qui annonce que Brad Pitt serait devenu un invrogne, fumeur et
colérique !
S’adressant à Jean-Marc :
« Tu lui ressembles enfin ! »
Jean-Paul à Jean-Marc, au café du coin, où ils
sirotent chacun une bière :
« Sais-tu comment on appelle un cochon au Portugal ? »
Jean-Marc cherche…
« — Je ne sais pas moi… cerdo, non ça c’est espagnol… frango !
— Non ça c’est poulet en
portugais…
— Porco alors !
— Pas du tout :
Porc-tout-gay, tout simplement !
— C’est malin ! »
Plus tard, les mêmes :
« — Pour Noël, j’emmène Germaine faire du ski en montagne !
— Tu aimes le ski, toi, maintenant ?
— Des fois oui, des fois non pas vraiment…
— Et qu’est-ce qui fait que tu ne l’aimes que de temps en temps ?
— Bé justement, quand on met un « oui » devant…
— Comment ça ?
— Quand c’est un « oui-ski », quoi ! »
« — À propos, savais-tu que Pascal Obispo…
— Le chanteur ?
— Oui ! Eh bien c’est l’anagramme de Pablo Picasso
— Le peintre ?
— Oui…
— Bé, franchement, je ne vois pas le rapport !
— Le rapport, c’est que tout le monde s’en fout…
— Voilà qui bien navrant… »
« — Ah les plages de sable fin…
— C’est vrai que c’est mieux qu’une plage de gars laids ! »
Fiançailles bien mal engagées…
Dialogue de post-présentation de Jean-Marc chez son futur beau-père :
Lui : « Tu remercieras ta mère et ton père pour ce dîner de famille.
C’était très bien… »
Elle : « Ils n’ont pas apprécier ta façon de te comporter à
table ! »
« — Comment ça !
— Ils ont dit que tu mangeais salement en faisant du bruit avec
ta bouche !
— Bé…
— Mon père m’a même demandé si tu avais pris l’habitude de manger avec les cochons !
— Non ! Tu lui diras que c’était la première fois ce soir ! »
Jean-Marc se fait arrêter par la police nationale qui vérifie son identité.
« — Je vous préviens » dit le brigadier, « tout
ce que vous direz pourra être retenu contre vous !
— Je sais, je sais ! Je connais la chanson !
Je suis marié, figurez-vous ! »
Marie-Chantal à Germaine :
« Ce qu’il y a de bien sur Facebook, et c’est pour ça que j’en use, c’est qu’on peut éliminer des gens sans risquer d’aller en prison ! »
Jean-Marc à Jean-Paul, à la pause méridienne, devant un boudin noir aux pommes et
une bière…
« — C’était une décision difficile à prendre…
Mais Germaine été très courageuse.
— Quelle décision ?
— Nous avons décidé que nous ne voulons pas avoir d’enfant !
— Mais… mais…
— Je sais : on leur annoncer ce soir ! »
Un autre soir, Germaine à Jean-Marc :
« — Eh tu vas où ? Il y a la table à débarrasser et la vaisselle à faire !
— Laisse-moi, femme : Je pars !
— Tu vas où ?
— Je pars réfléchir, laisser mon imagination voguer, ma créativité s’exprimer, faire rugir le poète en moi, me connecter avec les éléments cosmologiques…
— Ah ! Tu vas aux chiottes quoi ! »
Deux séniors :
« — Je t’aime !
— Moi aussi !
— Et si nous nous marions ?
— Attends ! Pas si vite : Il faut voir combien ça va me coûter en pension de réversion… »
Germaine à Jean-Marc :
« — Mon petit gars, il va falloir que tu arrêtes de crier quand nous faisons l’amour !
— Ah bon ? Mais si je crie, c’est que je prends du
plaisir…
— Peut-être mais moi, ça me réveille à chaque fois ! »
Jean-Marc à Jean-Paul, un soir, en sortant du dernier bar sur leur chemin :
« — Tu sais, ma femme vit un véritable conte de fée avec moi !
— Ah oui ? La chance…
— Bé oui, fée le ménage, fée la vaisselle, fée à manger, fée moi l’amour, fée tout et surtout fée pas chier !
— Ah oui ! Je vois … »
« — Je vais au marché acheter une belle paire de bottes de
poireaux…
— Oh tu sais, tu vas voir, ce n’est pas facile de marcher
avec ça !
— Quel con tu fais, Jean-Marc ! Avec deux patates, j’en ferai une soupe !
— Ah oui… peut-être… dans ces conditions… »
Marie-Chantal à Germaine :
« — Oh tu sais, ma chère amie, les ex, c’est un peu comme les chiottes publiques !
— …
— Mois tu as de contact physique avec eux, mieux tu te portes !
— … »
Germaine à la bibliothèque municipale s’adressant à l’accueil…
« — Je cherche un livre…
— De quel auteur ?
— Oh je ne sais pas… d’environ 20 cm ! Ça dépend du format… »
Une petite revenue pour finir :
Jean-Edouard raconte :
« L’autre jour, je passe à la bibliothèque Cujas pour faire une recherche. Je trouve mon bouquin et vais pour le consulter dans la salle de lecture… Je remarque une place libre et je demande à la fille si je ne dérange pas si je m’assieds à côté d’elle.
La fille m’a répondu avec une voix forte et très énervée : « Non
je ne veux pas passer la nuit avec toi ! »
Tous les gens de la bibliothèque ont commencé à me regarder de travers que je me sentais vraiment très gêné et je suis allé me poser ailleurs.
Mais, quelques minutes plus tard, la fille marchait tranquillement vers moi, s’est assise à côté de moi et me dit en chuchotant : « J’étudie la psychologie criminelle et je sais à quoi l’homme pense. Je suppose que vous vous êtes senti gêné tout-à-l’heure, non ? »
Alors j’ai répondu à haute voix sur un ton offusqué : « 2.000 € pour une nuit ? Mais vous n’y pensez pas ! Vous vous êtes regardée ! »
Et tous les gens de la salle de lecture ont regardé la fille comme sous le choc d’une découverte inouïe et j’ai alors murmuré à son oreille en m’éclipsant : « J’ai déjà fait du droit et je sais comment rendre quelqu’un coupable ! »
Bon week-end (ce soir) à toutes et à tous tout de même !
I3
Pour
mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ
RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE «
NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
« Tu vois, le grand avantage des petits seins, c’est que 30 ans plus tard, tu es sûre qu’ils sont toujours au même endroit ! »
« — Tu vois, connerie est tout de même bien plus fascinante que l’intelligence…
— Oui, j’en suis convaincue…
— Et pourquoi ça ?
— Eh bien, très chère, tu vois l’intelligence a des limites… tandis que la connerie n’en a aucune ! »
« Oh celle-là, à en juger par son bagage intellectuel, tu peux en déduire qu’elle aime à voyager léger ! »
— Celle de prendre le préservatif comme le nouvel emblème de notre gouvernement.
— Le préservatif ?
— Oui, oui, la capote, quoi !
— Et pourquoi ça ?
— Eh bien parce qu’il tolère l’inflation, vide les bourses, ralentit la production, détruit la prochaine génération et surtout il protège les glands ! »
« Et puis surtout, donne un sentiment de sécurité alors que tu te fais baiser ! »
« — Il m’a prétendu qu’il travaillait là où les autres s’amusaient. Tu aurais pensé à quoi, toi ?
— Eh bien non !
— Ah ?
— Gynécologue ! »
« Je n’ai pas envie de me lever du bon pied…
La prière des toilettes
Notre cake qui est posé
Que ton parfum soit bien discret,
Pardonne-nous nos envies de péter
Comme nous pardonnons à ceux qui n’ont
plus de papier !
Soumets-nous à la grosse commission,
Et délivre-nous de la constipation !
Amen(e)… ton PQ
Ceux qui se prennent
pour le nombril du monde
Ce sont juste trompés
de trou
S’adressant à Jean-Marc :
« Tu lui ressembles enfin ! »
« Sais-tu comment on appelle un cochon au Portugal ? »
Jean-Marc cherche…
« — Je ne sais pas moi… cerdo, non ça c’est espagnol… frango !
« — Pour Noël, j’emmène Germaine faire du ski en montagne !
— Des fois oui, des fois non pas vraiment…
— Et qu’est-ce qui fait que tu ne l’aimes que de temps en temps ?
— Bé justement, quand on met un « oui » devant…
— Comment ça ?
— Quand c’est un « oui-ski », quoi ! »
— Oui ! Eh bien c’est l’anagramme de Pablo Picasso
— Le peintre ?
— Oui…
— Bé, franchement, je ne vois pas le rapport !
— Le rapport, c’est que tout le monde s’en fout…
— Voilà qui bien navrant… »
Dialogue de post-présentation de Jean-Marc chez son futur beau-père :
Lui : « Tu remercieras ta mère et ton père pour ce dîner de famille.
« — Comment ça !
— Bé…
— Mon père m’a même demandé si tu avais pris l’habitude de manger avec les cochons !
— Non ! Tu lui diras que c’était la première fois ce soir ! »
Je suis marié, figurez-vous ! »
« Ce qu’il y a de bien sur Facebook, et c’est pour ça que j’en use, c’est qu’on peut éliminer des gens sans risquer d’aller en prison ! »
— Quelle décision ?
— Nous avons décidé que nous ne voulons pas avoir d’enfant !
— Mais… mais…
— Je sais : on leur annoncer ce soir ! »
« — Eh tu vas où ? Il y a la table à débarrasser et la vaisselle à faire !
— Tu vas où ?
— Je pars réfléchir, laisser mon imagination voguer, ma créativité s’exprimer, faire rugir le poète en moi, me connecter avec les éléments cosmologiques…
— Ah ! Tu vas aux chiottes quoi ! »
« — Je t’aime !
— Et si nous nous marions ?
— Attends ! Pas si vite : Il faut voir combien ça va me coûter en pension de réversion… »
« — Mon petit gars, il va falloir que tu arrêtes de crier quand nous faisons l’amour !
— Peut-être mais moi, ça me réveille à chaque fois ! »
— Bé oui, fée le ménage, fée la vaisselle, fée à manger, fée moi l’amour, fée tout et surtout fée pas chier !
— Ah oui ! Je vois … »
— Quel con tu fais, Jean-Marc ! Avec deux patates, j’en ferai une soupe !
— Ah oui… peut-être… dans ces conditions… »
« — Oh tu sais, ma chère amie, les ex, c’est un peu comme les chiottes publiques !
— Mois tu as de contact physique avec eux, mieux tu te portes !
— … »
« — Je cherche un livre…
— Oh je ne sais pas… d’environ 20 cm ! Ça dépend du format… »
Jean-Edouard raconte :
« L’autre jour, je passe à la bibliothèque Cujas pour faire une recherche. Je trouve mon bouquin et vais pour le consulter dans la salle de lecture… Je remarque une place libre et je demande à la fille si je ne dérange pas si je m’assieds à côté d’elle.
Tous les gens de la bibliothèque ont commencé à me regarder de travers que je me sentais vraiment très gêné et je suis allé me poser ailleurs.
Mais, quelques minutes plus tard, la fille marchait tranquillement vers moi, s’est assise à côté de moi et me dit en chuchotant : « J’étudie la psychologie criminelle et je sais à quoi l’homme pense. Je suppose que vous vous êtes senti gêné tout-à-l’heure, non ? »
Alors j’ai répondu à haute voix sur un ton offusqué : « 2.000 € pour une nuit ? Mais vous n’y pensez pas ! Vous vous êtes regardée ! »
Et tous les gens de la salle de lecture ont regardé la fille comme sous le choc d’une découverte inouïe et j’ai alors murmuré à son oreille en m’éclipsant : « J’ai déjà fait du droit et je sais comment rendre quelqu’un coupable ! »
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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