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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 11 avril 2025

Conversation volée

Deux femmes, sur un parcours de golf…
 
« — Eh bien tu sais, la semaine dernière, je me suis réellement fait piquer par une guêpe entre deux trous durant la partie…
— Je t’avais bien dit de mettre une culotte pour jouer au golf ! »
 
Marie-Chantal, avec Germaine, cassant du sucre sur le dos de Marie-Françoise :
« Tu vois, le grand avantage des petits seins, c’est que 30 ans plus tard, tu es sûre qu’ils sont toujours au même endroit ! »
 
Les mêmes au salon de thé du quartier :
« — Tu vois, connerie est tout de même bien plus fascinante que l’intelligence…
— Ah bon ? Tu trouves, toi ?
— Oui, j’en suis convaincue…
— Et pourquoi ça ?
— Eh bien, très chère, tu vois l’intelligence a des limites… tandis que la connerie n’en a aucune ! »
 
Les mêmes, grignotant leur madeleine au salon de thé, mais cassant du sucre sur le dos de Marie-Christine cette fois-ci :
« Oh celle-là, à en juger par son bagage intellectuel, tu peux en déduire qu’elle aime à voyager léger ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, sirote une bière quand Jean-Paul informe son ami d’une nouvelle qui l’aura fait réagir :
« — Je trouve que finalement, c’est une bonne idée !
— Laquelle donc ?
— Celle de prendre le préservatif comme le nouvel emblème de notre gouvernement.
— Le préservatif ?
— Oui, oui, la capote, quoi !
— Et pourquoi ça ?
— Eh bien parce qu’il tolère l’inflation, vide les bourses, ralentit la production, détruit la prochaine génération et surtout il protège les glands ! »
Jean-Marc en rit haut et fort !
« Et puis surtout, donne un sentiment de sécurité alors que tu te fais baiser ! »
 
Marie-Chantal raconte à Germaine qu’elle s’est fait draguer par un bel homme, un soir dernier.
« — Il m’a prétendu qu’il travaillait là où les autres s’amusaient. Tu aurais pensé à quoi, toi ?
— Une boîte de nuit… Serveur, DJ ?
— Eh bien non !
— Ah ?
— Gynécologue ! »
 
Jean-Paul, un matin, pour lui-même :
« Je n’ai pas envie de me lever du bon pied…
Je reste au pieu ! »
 
Sur la porte intérieure des toilettes du « petit bar » où Jean-Marc et Jean-Paul ont leurs habitudes, une nouvelle affiche :
La prière des toilettes
Notre cake qui est posé
Que ton parfum soit bien discret,
Pardonne-nous nos envies de péter
Comme nous pardonnons à ceux qui n’ont plus de papier !
Soumets-nous à la grosse commission,
Et délivre-nous de la constipation !
Amen(e)… ton PQ
 
Sur le mur, la pensée du jour :
Ceux qui se prennent pour le nombril du monde
Ce sont juste trompés de trou
 
Germaine saute de joie en regardant un reportage télévisuel qui annonce que Brad Pitt serait devenu un invrogne, fumeur et colérique !
S’adressant à Jean-Marc :
« Tu lui ressembles enfin ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, au café du coin, où ils sirotent chacun une bière :
« Sais-tu comment on appelle un cochon au Portugal ? »
Jean-Marc cherche…
« Je ne sais pas moi… cerdo, non ça c’est espagnol… frango !
Non ça c’est poulet en portugais…
Porco alors !
Pas du tout : Porc-tout-gay, tout simplement !
C’est malin ! »
 
Plus tard, les mêmes :
« — Pour Noël, j’emmène Germaine faire du ski en montagne !
— Tu aimes le ski, toi, maintenant ?
— Des fois oui, des fois non pas vraiment…
— Et qu’est-ce qui fait que tu ne l’aimes que de temps en temps ?
— Bé justement, quand on met un « oui » devant…
— Comment ça ?
— Quand c’est un « oui-ski », quoi ! »
 
« — À propos, savais-tu que Pascal Obispo…
— Le chanteur ?
— Oui ! Eh bien c’est l’anagramme de Pablo Picasso
— Le peintre ?
— Oui…
— Bé, franchement, je ne vois pas le rapport !
— Le rapport, c’est que tout le monde s’en fout…
— Voilà qui bien navrant… »
 
« — Ah les plages de sable fin…
— C’est vrai que c’est mieux qu’une plage de gars laids ! »
 
Fiançailles bien mal engagées…
Dialogue de post-présentation de Jean-Marc chez son futur beau-père :
Lui : « Tu remercieras ta mère et ton père pour ce dîner de famille.
C’était très bien… »
Elle : « Ils n’ont pas apprécier ta façon de te comporter à table ! »
« — Comment ça !
— Ils ont dit que tu mangeais salement en faisant du bruit avec ta bouche !
— Bé…
— Mon père m’a même demandé si tu avais pris l’habitude de manger avec les cochons !
— Non ! Tu lui diras que c’était la première fois ce soir ! »
 
Jean-Marc se fait arrêter par la police nationale qui vérifie son identité.
« — Je vous préviens » dit le brigadier, « tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous !
— Je sais, je sais ! Je connais la chanson !
Je suis marié, figurez-vous ! »
 
Marie-Chantal à Germaine :
« Ce qu’il y a de bien sur Facebook, et c’est pour ça que j’en use, c’est qu’on peut éliminer des gens sans risquer d’aller en prison ! »
 
Jean-Marc à Jean-Paul, à la pause méridienne, devant un boudin noir aux pommes et une bière…
« — C’était une décision difficile à prendre…
Mais Germaine été très courageuse.
— Quelle décision ?
— Nous avons décidé que nous ne voulons pas avoir d’enfant !
— Mais… mais…
— Je sais : on leur annoncer ce soir ! »
 
Un autre soir, Germaine à Jean-Marc :
«  Eh tu vas où ? Il y a la table à débarrasser et la vaisselle à faire !
— Laisse-moi, femme : Je pars !
— Tu vas où ?
— Je pars réfléchir, laisser mon imagination voguer, ma créativité s’exprimer, faire rugir le poète en moi, me connecter avec les éléments cosmologiques…
— Ah ! Tu vas aux chiottes quoi ! »
 
Deux séniors :
« — Je t’aime !
— Moi aussi !
— Et si nous nous marions ?
— Attends ! Pas si vite : Il faut voir combien ça va me coûter en pension de réversion… »
 
Germaine à Jean-Marc :
« — Mon petit gars, il va falloir que tu arrêtes de crier quand nous faisons l’amour !
— Ah bon ? Mais si je crie, c’est que je prends du plaisir…
— Peut-être mais moi, ça me réveille à chaque fois ! »
 
Jean-Marc à Jean-Paul, un soir, en sortant du dernier bar sur leur chemin :
« — Tu sais, ma femme vit un véritable conte de fée avec moi !
— Ah oui ? La chance…
— Bé oui, fée le ménage, fée la vaisselle, fée à manger, fée moi l’amour, fée tout et surtout fée pas chier !
— Ah oui ! Je vois … »
 
« — Je vais au marché acheter une belle paire de bottes de poireaux…
— Oh tu sais, tu vas voir, ce n’est pas facile de marcher avec ça !
— Quel con tu fais, Jean-Marc ! Avec deux patates, j’en ferai une soupe !
— Ah oui… peut-être… dans ces conditions… »
 
Marie-Chantal à Germaine :
« — Oh tu sais, ma chère amie, les ex, c’est un peu comme les chiottes publiques !
— …
— Mois tu as de contact physique avec eux, mieux tu te portes !
— … »
 
Germaine à la bibliothèque municipale s’adressant à l’accueil…
« — Je cherche un livre…
— De quel auteur ?
— Oh je ne sais pas… d’environ 20 cm ! Ça dépend du format… »
 
Une petite revenue pour finir :
Jean-Edouard raconte :
« L’autre jour, je passe à la bibliothèque Cujas pour faire une recherche. Je trouve mon bouquin et vais pour le consulter dans la salle de lecture… Je remarque une place libre et je demande à la fille si je ne dérange pas si je m’assieds à côté d’elle.
La fille m’a répondu avec une voix forte et très énervée : « Non je ne veux pas passer la nuit avec toi ! »
Tous les gens de la bibliothèque ont commencé à me regarder de travers que je me sentais vraiment très gêné et je suis allé me poser ailleurs.
Mais, quelques minutes plus tard, la fille marchait tranquillement vers moi, s’est assise à côté de moi et me dit en chuchotant : « J’étudie la psychologie criminelle et je sais à quoi l’homme pense. Je suppose que vous vous êtes senti gêné tout-à-l’heure, non ? »
Alors j’ai répondu à haute voix sur un ton offusqué : « 2.000 € pour une nuit ? Mais vous n’y pensez pas ! Vous vous êtes regardée ! »
Et tous les gens de la salle de lecture ont regardé la fille comme sous le choc d’une découverte inouïe et j’ai alors murmuré à son oreille en m’éclipsant : « J’ai déjà fait du droit et je sais comment rendre quelqu’un coupable ! »
 
Bon week-end (ce soir) à toutes et à tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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