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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 17 janvier 2023

Le prix de l’électricité

Tenter d’expliquer une chose en principe simple
 
Parce que j’ai récemment reçu ma facture de courant électrique.
Il y a l’abonnement, le KW/h (qui d’ailleurs n’est si cher que ça en soi), qui représente un tiers, plus un autre tiers pour l’énergie dont tu as besoin et le reste, c’est le coût de « l’acheminement »… (curieux pour une livraison « franco de port »), la TURPE, dont le montant est fixé par la Commission de Régulation de l’Energie (CRE) qui couvre les coûts liés à l’exploitation des réseaux de transport et de distribution de l’électricité (RTE, ERDF, et les entreprises locales de distribution ― ELD), Les taxes comme la Contribution au service public de l’électricité (CSPE) répond à quatre objectifs (le financement des obligations d’achat pour les producteurs d’électricité renouvelable ; la péréquation tarifaire territoriale, qui permet d’assurer un tarif identique sur l’ensemble du territoire (DOM, Corse, métropole) ; le financement des obligations d’achat pour les cogénérateurs ; le financement des dispositifs sociaux (le régime de retraite des agents) sur les tarifs (comme le TPN ― Tarif de Première Nécessité) comme la TICGN, la CSPE, la TCFE, les pénalités de retard et ils avaient même envisagé de rajouter une taxes sur les « effaceurs », plus l’inénarrable TVA qui a 2 taux applicable, qui représente le troisième tiers.
Moâ, je ne sais pas, mais, hors la TVA, tout devrait être compris dans l’abonnement et le prix du compteur…
Passons, pour faire simple… on pourrait faire mieux, mais bon, passons.
 
En 1997 nous sommes entrés dans le marché européen de l’énergie via son appartenance à l’Union européenne.
Il semble désormais qu’on le regrette amèrement du fait qu’avec la crise actuelle, le système de fixation des prix de gros de l’électricité instauré par la Commission européenne conduit à des aberrations : C’est le prix du KW/H.
Pour l’électricité il y avait, avant (mais ça c’était « avant ») un système de fixation du prix aux données complètement maîtrisées. Et à présent, il existe un dispositif qui subordonne le prix de cette énergie à des éléments sur lesquels nous n’avons aucune prise, en l’occurrence les prix du gaz et du CO2.
Aussi, un expert comme l’ancien président de GDF énonce sans hésiter qu’il faudrait quitter ce marché. Et du coup, même « Pruneau-le-Mère » notre « sinistre de l’économie-de-bout-de-chandelle » s’interroge et aura enroulé son col.
D’ailleurs, sur Public Senat, en septembre dernier, il n’a pas hésité à qualifier ce système « d’aberrant, obsolète », et il en souhaite vivement la réforme.
Ah oui ?
 
En attendant de voir réformé ce marché, ou d’en sortir, les petites et moyennes entreprises souffrent. Des boulangeries, grandes consommatrices d’électricité, sont conduites à la faillite.
Peut-être qu’avant ils en reviendront aux galets d’anthracite ou aux billots de bois…
Les pizzaïolos le font bien !
Le 10 janvier la presse alerte sur le fait que la consommation électrique des industriels a diminué de 14,1 % au dernier trimestre 2022 en comparaison avec la moyenne 2018-2021.
Le gouvernement ne cesse donc pas d’intervenir pour tenter de protéger tant les consommateurs privés que les entreprises des effets de ces prix atteignant des sommets. Pourtant, dès la fin août 2022 un quotidien du soir rappelait qu’en 10 ans, les tarifs sont passés de 120 à 190 euros et que les coûts pour livraison en 2023 culminent à près de 1.100 euros le MWh, soit dix fois plus qu’il y a un an.
 
Mon pays (celui que j’aime tant et me le rend si mal…) a la particularité de disposer d’un parc très important de centrales nucléaires. Sa géographie a permis la mise en œuvre de très nombreux barrage hydro-électriques. Aussi, chaque année, sa production d’électricité est-elle supérieure à sa consommation : En 2021 elle s’est élevée à 522,9 TWh, et la consommation à 456 TWH.
Le pays est donc structurellement exportateur d’électricité. Mais dans l’année, des pointes de consommation particulièrement élevées obligent pendant quelques jours à importer l’électricité de pays voisins interconnectés par des réseaux à haute tension.
En 2021, notre pays a exporté 81,0 TWh d’électricité et en a importé 44,0. Au total, cette année-là, les importations ont représenté 9,4 % des besoins du pays.
 
En coûts de production (par MWh), les rapports des experts citent les chiffres suivants : Énergie nucléaire 32 à 33 euros ; hydraulique 15 à 20 euros ; éolien terrestre 90 euros ; solaire 142 euros ; thermique 70 à 100 euros, ça dépend.
On en arrive ainsi à un coût moyen pondéré de production de 46 euros/MWh.
Je payais jusque-là deux fois plus, au bout du compte…
Désormais, ça va changer : « Les industriels baissent leur production : je ne vois pas ce qu’il y a de réjouissant. À cause de l’augmentation du coût de l’électricité on a des entreprises qui vont devoir payer 5 à 6 fois plus que d’habitude le prix de leur électricité… Pourquoi est-ce qu’un produit que l’on fait à 50 euros se retrouve dans l’industrie à 600 euros ? »
Autre avantage de notre système national : Le nucléaire intervenant pour près de 70 % dans le mix énergétique et les renouvelables pour 22,5 %, les émissions de CO2 sont limitées à 18,8 Mt seulement en 2021…
 
C’est qu’à partir de 1996 la destruction des monopoles publics a été menée tambour battant par la Commission européenne au nom de la politique de la concurrence de l’Union européenne.
Il a donc été mis un terme au monopole de EDF : La loi NOME (Nouvelle organisation des marchés de l’électricité) du 7 décembre 2010 contraint la grande entreprise nationale à vendre chaque année 100 TWh d’électricité à des « fournisseurs alternatifs » qui n’en produisent pas, au prix de 42 euros le MWh, 10 % moins cher que le coût de « fabrication ».
Autrement dit une « vente à perte » qu’interdit pourtant le Code de commerce.
Ce mécanisme a été baptisé ARENH (Accès régulé à l’électricité nucléaire historique). Ces nouvelles entreprises soudain apparues achètent donc à EDF de l’électricité à 42 euros pour la revendre ensuite au public ou aux entreprises en faisant concurrence à leur fournisseur, c’est-à-dire à EDF : Magnifique usine à gaz !!!
En complément elles vont s’approvisionner sur le marché de gros européen (EPEX Spot SE) à mesure qu’augmente leur clientèle.
Elles sont une trentaine actuellement une trentaine : Total Énergie, Planète Oui, ENI, Ekwateur, Happ-e, Cdiscount Energie, etc.
En 2022 le quota de 100 TWh a été revu à la hausse, passant à 120 TWh avec un prix de cession porté à 46,5 euros, parce que trop ce n’est pas assez pour ces goinfres qui se nichent dans une niche « réglementaire »…
Et ces différents fournisseurs alternatifs se sont à leur tour dotés de moyens de production, s’équipant en centrales photovoltaïques et en parcs d’éoliennes.
 
Le marché européen de l’électricité a été créé aux forceps avec pour objectif de mettre en place le même mécanisme de formation des prix de gros de l’électricité dans tous les pays européens.
On a voulu créer un prix de gros commun quels que soient les coûts de production nationaux.
Le prix de gros est ainsi donné par le coût de la dernière centrale appelée pour produire l’électricité dont le marché a besoin, une centrale qui va fonctionner principalement au gaz (puisqu’on ne construit plus de centrale nucléaire).
Ainsi le prix de gros de l’électricité se trouve déterminé par le prix du gaz, un prix considérablement variable dans le temps. Il y a eu le choc gazier de l’après « Conard-virus », puis à partir du 24 février 2022 le choc de la guerre en Ukraine.
Merci « Poux-tine »…
Et dire que celui-là était soutenu par « Marinella-tchi-tchi », « Zézé-Amour » et « Mes-Luches »…
C’est à se tordre de rire et me servira longtemps de « boussole politique »…
 
Les prix du gaz naturel ont ainsi connu des variations considérables : De 17,90 euros/MWh en janvier 2021 à 103,20 en fin d’année. Puis une pointe à 272,60 euros le 22 août 2022, pour revenir ensuite à des prix plus normaux : 134,70 euros en fin d’année.
Actuellement, les niveaux sont plus raisonnables, soit par exemple 74,30 euros le 9 janvier 2023. Et vient s’ajouter dans le coût de fonctionnement d’une centrale alimentée au gaz le prix du CO2 émis qui va régulièrement en croissant.
J’en ai visité une récemment (pour documenter un peu ma « narratrice » pour le prochain roman [Menaces de chaos®]) où j’ai retenu que les « agents » sont très fiers de montrer leurs ruches, car ils restent des « écololos » dans l’âme !
Si…
 
On a ainsi vu le prix de gros de l’électricité varier considérablement et atteindre des sommets astronomiques. Mais depuis, les niveaux d’avant crise n’ont donc pas été touchés.
Ce qui explique que les entreprises ont vu ainsi les prix de l’électricité multipliés par 7 ou 8 et parfois davantage encore.
En fait, le prix de l’énergie représente près de la moitié de leur facture, les autres charges étant constituées par le coût de l’acheminement et la fiscalité, c’est-à-dire des taxes diverses et la TVA.
Les contrats sont passés pour des périodes annuelles voire biannuelles et les fournisseurs ne manquent pas de prendre leurs précautions au moment où leurs clients doivent renouveler leur contrat.
Car du fait de ces variations de prix à partir du nucléaire ou des énergies renouvelables les producteurs réalisent à certains moments des profits importants et les États interviennent alors pour les taxer à partir d’un cours convenu, fixé à 180 euros.
Ces « superprofits » sont reversés ensuite aux particuliers et aux entreprises mais viennent implémenter les budgets de l’État.
Autrement dit, ce n’est pas le fournisseur-producteur qui te fait une ristourne, mais l’impôt et la taxe qui te sont reversées si… tu n’es pas un particulier.
Ce qui ne change pas grand-chose : Tout impôt et toute taxe n’est jamais payé que par l’utilisateur final, à savoir le consommateur (même si ce sont d’autres qui collectent sur leurs factures).
La fiscalité indirecte et sur les entreprises n’est jamais qu’une façon de « dériver », voire « d’insensibiliser », d’anesthésier l’arnaque, puisque c’est sans valeur ajoutée probante pour le cochon de payeur au bout de la chaîne…
 
L’Europe a donc créé un marché unique de l’électricité au niveau européen pour faire baisser les prix et orienter les mix énergétiques des États membres vers les énergies renouvelables.
Pour ce faire, elle a mis fin aux monopoles : EDF en « Gauloisie », ENEC en « Ritalie », EnBW en « Teutonnie », etc.
Parallèlement, trois bourses de marché de gros ont été créées : Nord Pool pour les pays du nord, European Energy Exchange (EEX) en « Teutonnie » et Power Next en « Gauloisie ». En 2008 les bourses « teutonne » et « gauloisienne » ont fusionné pour donner EPEX Spot. Et aujourd’hui, il y a une zone de prix unique constituée par ces deux pays, plus « l’empire de l’Est », celui de Vienne.
Et la CRE (Commission de régulation de l’énergie : Encore un « machin » de « sachants ») veille au bon fonctionnement de ces marchés en cohérence avec les objectifs de la politique énergétique de l’Union européenne.
Sur ces marchés de gros les prix sont fixés pour des livraisons instantanées ou à terme. Le système actuel se fonde donc sur le coût de production de la dernière centrale appelée à être mise en marche pour satisfaire les besoins du marché.
Il s’agit du coût marginal, le coût de production de la centrale venant en dernier sur la liste des centrales classées par ordre croissant de coût : En plaçant les prix de gros de l’électricité à ce niveau la Commission européenne a estimé que tous les producteurs d’électricité seraient satisfaits.
J’avais déjà dit que c’était une konnerie : En bonne gestion rationnelle, le coût marginal ne sert qu’à déterminer si on fait ou si on ne fait pas par rapport à un prix-marché.
Mais toujours on vend au prix moyen, sauf commande spéciale.
Là, c’est l’inverse.
Et pourquoi ? Bé parce qu’une économie kapitaliste ne vit (et ne profite, et ne se développe) qu’en cas de pénurie. S’il y a abondance, les prix s’effondrent et les activités aussi, tout comme les investissements. Le prix étant l’arbitre ultime d’un marché libre.
Or, pour l’énergie, les « sachants » et autres eurocrates ont décidé en votre nom qu’il ne pouvait, qu’il ne devait pas y avoir de pénurie d’énergie !
C’est vrai que c’est comme pour le manque de pain : Ça provoque des révolutions s’il n’y a pas assez de brioche, c’est bien connu…
Sauf en Ukraine.
D’où l’économie « administrée » du marché de l’énergie qui tente de singer un marché libre et en bonne santé…
 
On m’a alors expliqué que du fait des inconvénients résultant du fonctionnement de ce marché de gros on s’interroge, aujourd’hui sur la validité de ce système de fixation des prix de l’électricité, et on réfléchit à la façon de le réformer : Il était temps !
En « Gauloisie » plusieurs experts sont partisans d’en sortir.
Dans un communiqué du Groupement des Industries sans Frontières en date du 9 janvier 2023 l’ex-de « Gaz de Gauloisie » nous dit : « Il faut casser cette spirale infernale qui va tuer l’essentiel de notre tissu d’entreprises : il nous faut revenir aux relations directes entre les producteurs et les clients avec une politique tarifaire tenant compte de l’offre et de la demande et pour cela affirmer notre position à l’égard des instances européennes. Les entreprises n’ont pas besoin d’aides, de subventions, de rustines aléatoires », même si les « sachants » ne sont réactifs qu’à ça, puisqu’ils ne savent faire que ça plutôt que de reconnaître ouvertement qu’ils se sont plantés.
En effet, la « Gauloisie-électrique » n’est pas dans la situation des autres pays européens pour lesquels le gaz et le charbon interviennent à 28 % dans la production d’électricité, le mix ne faisant intervenir le gaz que pour 2,25 % seulement et le charbon pour 0,9 %, tout au plus.
Un professeur-directeur du CREDEN à Montpellier, propose de ne plus respecter les directives européennes : « On pourrait faire un marché national où le prix dépendrait de notre propre mix énergétique, et limiter le marché de gros aux interconnexions ». Ce qui n’est pas si kon que ça… pour ne pas demander beaucoup d’effort intellectuel.
Il propose aussi et éventuellement une autre solution : Se baser sur une moyenne pondérée des coûts marginaux. Ce qui est encore moins kon, sauf que ça devient une équation qui va mobiliser des « X », des « Pistons » et des « Mineux » plus qu’à son tour.
Et eux parfois s’emmêlent souvent les doigts sur le clavier de leurs calculettes…
 
Un autre expert, du cabinet Colombus Consulting avance l’idée qu’il faudrait imposer aux fournisseurs d’électricité des règles prudentielles pour qu’ils se couvrent à long terme et soient ainsi moins sujets aux soubresauts du marché.
De leur côté les européanistes plaident pour que la « Gauloisie-éternelle » demeure dans le système européen mais en le réformant : « Si on remet en cause le marché de l’électricité, on remet en cause tous les marchés européens ».
Sous la pression de notre gouvernement au bord du « Borgne-out », « Ursule-Des-Lyres » a finalement annoncé début avril 2022 que l’Union européenne allait plancher sur une réforme structurelle de ce marché : Ils y sont toujours…
Un colloque intitulé « Beyond the crisis : rethinking the design of power-markets » (dans le texte) a été organisé par la présidente de la CRE le 15 décembre dernier à « Paris-sur-la-plage » à la maison de la Chimie pour tenter de trouver une solution.
Mais si elle devait se faire, cette réforme demanderait beaucoup de temps, tant les processus de décision européens sont lourds et complexes.
 
Mon pays a la chance (et on a assez payé d’impôts et de taxes superfétatoires pour ça depuis au moins deux générations avant d’arnaquer la troisième) de disposer d’un mix énergétique exceptionnel permettant de produire de l’électricité à 50 euros le MWh avec une production extrêmement basse en émissions de CO2.
Pourquoi devrait-elle donc entrer dans un système de fixation des prix fondé sur le cours mondial du gaz naturel alors qu’elle-même n’en utilise pratiquement pas pour produire de l’électricité, telle est la question ?
Je peux vous dire, il y moins d’une demi-douzaine de tranches qui fonctionnent encore au gaz en « Hexagonie », que j’ai eu du mal à pouvoir en visiter une…
 
Mais il est peu probable que nos « sachants » aient vraiment la volonté de cesser de nous soumettre aux hautes autorités de Bruxelles en faisant bande à part : Ce n’est pas dans le tropisme européen de notre « Jupiter » national.
Mais la nécessité de réindustrialiser le pays aujourd’hui le plus désindustrialisé de tous les pays européens, la Grèce mise à part, devrait nous permettre de quitter le système kafkaïen de fixation du prix de cette énergie dans lequel nous sommes enfermés sans que Bruxelles s’en émeuve : Il s’agit d’une énergie vitale dont on est capable de maitriser le coût pour le bien-être des consommateurs et le bon fonctionnement des entreprises.
L’Espagne a bien trouvé une solution pour échapper au système européen, et il est à espérer que nos dirigeants soient assez rusés pour trouver la nôtre.
 
Bref, l’avenir énergétique est encore « en pointillé » et c’est qui qui paye sa baguette plus chère que le raisonnable ?
Pas moâ : Je ne mange plus de pain depuis quelques années. En revanche mon croissant dominical (c’est la fête de la glycémie ce jour-là), il est nettement plus coûtatif depuis quelques temps !
C’est bien tout ce que j’ai pu comprendre, finalement.
D’autant que le prix d’un produit « élaborer » ne diminue jamais (sauf la Tesla : Une erreur marketing classique qui fait se demander à tous, « pourquoi j’ai acheté si cher, kon que je suis devenu ? »), mais bénéficie, pour le même prix, des innovations techniques du moment…
Sur le croissant, je ne vois pas bien comment.

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