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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 22 janvier 2023

Diverses découvertes scientifiques d’importance…

Je le savais !
 
(Une rubrique qui est restée en jachère quelques semaines…)
Cinq petites « news » relevées pour vous !
 
1 ― Dépenser de l’énergie à tout-va, être continuellement actif… Du point de vue de l’évolution, c’est une grave erreur ! Une étude sur des mollusques montre que les espèces qui ont un métabolisme intense risquent plus l’extinction.
Un véritable éloge de la paresse, mais ça, né Corsu, so fieru, je le savais déjà !
La fainéantise, une bonne stratégie pour survivre ? Bé tiens donc !
D’autant que l’idée qu’en faire le moins possible nous réussit a de quoi séduire.
Le mieux étant de le faire faire… tous les milliardaires vous le diront, parbleu !
 
C’est en tout cas ce que suggère cette nouvelle étude parue dans la revue Proceedings of the Royal Society B, qui s’est intéressée à des mollusques vivant dans l’océan Atlantique. 
Pour leurs travaux, les « trouveurs » ont calculé le métabolisme de base de 299 animaux, bivalves ou gastéropodes, actuels ou fossiles. Ils ont choisi de travailler sur des mollusques de l’Ouest de l’océan Atlantique car ils disposaient de beaucoup de matériel et de données de répartition de ces animaux. Et la période d’étude couvrait environ cinq millions d’années, allant du pliocène à nos jours.
 
Pour faire leur calcul sur le métabolisme, les chercheurs ont d’abord dû déterminer la température de l’océan grâce à un modèle sur le climat de la Terre. Ils ont aussi tenu compte de la taille de l’animal. C’est ainsi qu’ils ont observé une différence significative de métabolisme entre les animaux qui se sont éteints et ceux qui ont survécu : Les espèces disparues avaient tendance à avoir des métabolismes de base plus élevés que les espèces toujours vivantes.
Ces travaux pourraient avoir des implications pour prévoir quelles sont les espèces qui risquent de disparaître, notamment à cause du changement climatique.
Mais le métabolisme de base (celui qui permet de ne pas mourir de faim immédiatement) n’est probablement pas le seul paramètre à prendre en compte : L’équipe a trouvé qu’un métabolisme de base élevé était un bon indicateur de la probabilité d’extinction surtout si l’espèce vit dans un habitat restreint.
C’était moins vrai lorsqu’elle était répartie sur un large territoire de l’océan.
Luke Strotz, principal auteur de cette recherche, le confirme dans un communiqué de l’université du Kansas : « La taille de l’aire de répartition est une composante importante de la probabilité d’extinction. »
 
Cette étude chamboule un peu les préjugés que l’on peut avoir sur l’évolution et la sélection des individus : Ce n’est pas forcément l’espèce la plus capable qui survit, mais plutôt la plus apathique !
Un professeur à l’université d’Oxford, en convient : « Peut-être qu’à long terme, la meilleure stratégie évolutive pour les animaux sera d'être languissant et paresseux. »
Mais est-ce vrai pour des espèces de vertébrés et notamment l’espèce humaine ? 
Pour le savoir, il faudra élargir ces recherches à d’autres groupes d’animaux pour déterminer si le phénomène concerne uniquement les mollusques ou s’il peut être généralisé. Mais « nous voyons ces résultats comme généralisables à d’autres groupes, du moins dans le domaine marin » en présume le « trouveur ».
Car au-delà d’une incitation à la paresse, ces travaux montrent surtout que la nature sélectionne l’efficacité énergétique : Des individus qui parviennent au même résultat que les autres en s’agitant le moins possible… je peux en témoigner, c’est la panacée !
Vivement que j’aie des robots qui fassent la vaisselle et que l’IA fasse mes posts à ma place…
 
2 ― Je le savais également : Les personnes qui portent des lunettes semblent généralement plus intelligentes. Mais ne s’agit-il là que d’une idée reçue ou existe-t-il un fondement scientifique?
 
Une chemise à carreaux, un pantalon en velours. Des cheveux un peu ternes. Mais surtout, des lunettes !
C'est ainsi que l’on se représente le premier de la classe. La grosse tête d’œuf. On a beau se croire au-dessus des clichés, dans l’imaginaire collectif, celui-ci a la vie dure.
Sur les photos, on met même des lunettes aux animaux pour leur donner un côté intello…
Quant aux stars, elles sont nombreuses aujourd’hui à adopter le look lunettes de vue.
Pour coller aux tendances de la mode. Ou pour voir mieux. Et si certaines, comme Woody Allen, John Lennon ou Harry Potter, ne semblent pas avoir besoin de cet accessoire pour paraître brillantes, d’autres, plus nombreuses, y gagnent indubitablement en finesse.
 
Mais à quel point ce stéréotype repose-t-il sur des bases concrètes et solides?
Certains avanceront qu’il est évident que les gens intelligents passent plus de temps à lire. Ils fatiguent leurs yeux et, plus tôt que tard, se retrouvent à porter des lunettes pour rectifier les dommages causés par leur insatiable soif de connaissance. Un raisonnement qui reste à valider, d’autant que ce n’est pas mon cas : Je reste binoclard (une nécessité réglementaire pour pouvoir conduire un véhicule à moteur sur la voie publique) depuis ma naissance, mais pas pour pouvoir lire : J’ai des machines qui font ça mieux que moâ, comme d’autres font mes calculs mathématiques…
 
Alors les « trouveurs » poursuivent leurs efforts pour répondre à la question. Ainsi plusieurs études ― menées sur des enfants notamment ― semblent montrer une relation entre des scores élevés de QI et la myopie. Mon cas !
Peut-être le résultat d’un lien entre la longueur axiale oculaire et le développement cérébral, allez savoir…
Ou il se pourrait que les mêmes gènes influencent le QI et la myopie.
Et plus récemment, d’autres « trouveurs » ont apporté leur pierre à l’édifice. Ils ont étudié le génome de plus de 300.000 personnes.
Dans un premier temps, ils ont pu identifier 148 locus génétiques indépendants pouvant être associés à un certain niveau d’intelligence, de capacités cognitives. Puis, ils ont cherché de possibles corrélations entre le niveau d’intelligence et d’autres caractéristiques. Et c’est ainsi que de « chercheur », ils ont acquis le statut de « trouveur » !
 
Car les résultats sont là : Il y a 28 % plus de chances pour qu’une personne ayant un niveau cognitif élevé ait également besoin d’une correction de sa vision.
Mais les « trouveurs » mettent en garde : Leur étude manque d’ampleur pour conclure, de manière définitive, à un lien direct entre intelligence et mauvaise vue.
La preuve, « Jupiter » ne porte pas de binocles se rassurent-ils…
Ce qui les embarrasse !
 
3 ― Autre avancée de la « science-en-marche » que je connaissais déjà : Le cannibalisme n’est pas recommandé par les nutritionnistes !
J’adore ce genre de certitude…
 
Les « trouveurs » nous apprenne que, d’un point de vue nutritionnel, la viande humaine ne vaut pas les autres viandes.
Et qu’en plus, elle n’a pas particulièrement bon goût ! (Ce qui est vrai, mais ça dépend des tribus… parce qu’ils ont essayé, eux aussi ?)
Dans la littérature et au cinéma, les cannibales sont invariablement présentés comme des personnages abjectes et dénués de sens moral. Des personnages qui ne peuvent exister que sur les écrans.
Mais les archéologues le savent ― et des marques sur des os fossiles ne laissent aucune place au doute ―, certaines espèces de la lignée humaine avaient pour habitude de manger leurs congénères.
 
« Dans le règne animal, le cannibalisme n’est pas rare. Et la pratique peut même encore avoir cours de temps à autre chez l’espèce humaine. En période de guerre ou pour une question de survie pure.
Parfois même chez des fous comme on les voit au cinéma », raconte un archéologue à l’université de Brighton (Royaume-Uni), notre « goûteur », qui s’intéresse de près au phénomène.
En septembre 2018, il s’est même vu décerner un prix « IgNobel » pour ses travaux !
Car il espère comprendre ainsi pourquoi les Hommes de Néandertal mangeaient d’autres humains. « À l’époque, ils devaient avoir un goût de cerf, du fait de la vie active qu’ils menaient », remarque-t-il.
Mais si les Néandertaliens mangeaient leurs congénères, c’était peut-être bien pour une raison plus profonde que pour le simple apport en calories que la pratique représente.
« Pour permettre à leurs congénères de survivre à travers eux », avance-t-il.
Une façon comme une autre de leur rendre un hommage posthume…
 
À en croire ses travaux, en effet, d’un point de vue nutritionnel notamment, manger un homme ne serait pas vraiment une bonne affaire. 1.300 kcal par kilogramme seulement…
Autant que pour un poisson quelconque et bien moins que pour un oiseau (2.500 kcal par kg) ou encore un sanglier (4.000 kcal par kg). Comparé à un cheval (1.150 kcal par kg) ou à un cerf (1.240 kcal par kg), c’est sur le poids de l’animal que l’homme est perdant : En moyenne 66 kg (et moins de 25 kg de muscles) pour lui, contre 290 kg pour un cheval et 160 pour un cerf.
« C’est sans prendre en compte le fait qu’un humain est plus à même également de se défendre qu’un pauvre cheval ».
« Et n’oubliez surtout pas que si vous mangez un homme, les membres de sa famille pourraient bien, derrière, être tentés de le venger ! » Voilà donc peut-être pourquoi l'évolution n’a jamais favorisé, chez l’être humain, ceux qui s’adonnaient au cannibalisme.
 
En attendant, en « Corsica-Bella-Tchi-tchi », la viande ayant le meilleur goût, ce n’est pas celle de l’homme (ou de la femme) qui a un goût de poulet aux hormones (élevé(e) en HLM et ce quelle que soit la sauce qui l’accompagne) : C’est celle du sanglier élevé aux châtaignes, je peux vous le dire !
Quant à manger le cerveau de son ennemi pour lui ravir son intelligence, comme ça se pratique dans certaines tribus subsahéliennes, j’ai toujours trouvé ça totalement stupide puisque l’ennemi aura été assez kon pour succomber en premier à celui qui l’aura bouffé.
Je le sais bien, pour éviter de le faire…
 
4 ― Autre certitude qui m’est confirmée, d’après des « trouveurs » japonais, les chats auraient des notions sur la gravité et peuvent prévoir la présence d’un objet invisible grâce à des informations auditives. Ainsi ils comprendraient donc des lois de base de la physique.
Bien sûr, rien à voir avec le chat de Schrödinger et la physique quantique dans cette expérience.
Mais dans un article paru dans Animal Cognition, une équipe de « trouveurs » de l’université de Kyoto suggère que les chats ont conscience de certaines lois de la physique. C’est en secouant des boîtes qui contenaient ou pas des objets que les « trouveurs » sont arrivés à cette conclusion qui ne me surprend pas.
 
Certes les chats ne peuvent pas encore faire la différence entre les théories de Newton ou d’Einstein sur l’attraction gravitationnelle (quoique…), mais ils sont capables de comprendre un système de cause à effet : Par exemple que le fait qu’un bruit ou un mouvement résulte d’une action.
Pour leur expérience, les « trouveurs » ont observé 30 chats domestiques, 13 mâles et 17 femelles, âgés de 2 à 126 mois (moyenne d’âge : 2,87 ans).
Un expérimentateur se tenait devant eux et secouait une boîte qui contenait ou pas un objet. Ensuite, la boîte a été retournée et le chat observait si un objet tombait ou non.
Dans 50 % des cas, la situation allait à l’encontre des lois de la physique et les chats étaient dans une situation déconcertante : Soit il y avait un bruit et aucun objet qui ne sortait de la boîte, soit il n’y avait pas de bruit mais un objet tombait quand même de la boîte !
 
Le chat se pose alors des questions dans une situation incongrue : Placés dans des situations « bizarres », les chats restaient plus longtemps à regarder fixement la boîte. Ils se demandaient comment une telle situation était possible !
Cela signifie que les chats pouvaient bien prévoir la présence ou l’absence de l’objet d’après le bruit.
Tu fais ça à un gamin, il a la même réaction. Parfois même des adultes…
Pour les auteurs, « cette étude peut être considérée comme une preuve que les chats ont une connaissance rudimentaire de la gravité. »
Si…
J’en rigole encore, parce qu’ils ne l’auraient pas en escaladant le frigo ou en tombant d’une armoire.
Le fait que les chats soient de bons chasseurs doit être en lien avec cette capacité : Les chats ont souvent besoin de prévoir la distance à laquelle se trouve une proie dans des circonstances où ils ont peu de visibilité.
Ces félins utilisent beaucoup leurs capacités auditives, et leur ouïe est particulièrement développée.
Me voilà rassuré…
 
5 ― Plus sérieux, grâce au décryptage de génomes anciens, une équipe internationale de « trouveurs » vient de révéler des informations passionnantes, qu’ils qualifient de « complètement nouvelles », sur l’ordre social de l’âge du bronze égéen.
Durant le XIXème siècle, l’archéologue allemand Heinrich Schliemann (1822-1890) découvre des tombes à puits lors des fouilles de la cité antique de Mycènes, de l’âge de bronze, dans lesquels il déniche notamment un célèbre objet en or, le fameux masque d’Agamemnon.
Il ne pouvait alors que spéculer sur les relations qui existaient entre les différentes personnes y étant enterrées. Or et désormais, grâce à l’analyse des génomes anciens, une équipe internationale dirigés par l’Institut Max-Planck d’anthropologie évolutionniste de Leipzig (« Teutonnie ») on en a un aperçu « fascinant ».
Dans un article de la revue Nature Ecology & Evolution publié le 16 janvier 2023, les scientifiques décrivent en effet comment ils sont parvenus à reconstruire un tableau des anciennes structures familiales et des règles du mariage qui régissaient les civilisations de la Crète minoenne (de 2.700 à 1.200 av. J.-C.) et de la Grèce mycénienne (1.650 à 1.100 av. J.-C.).
 
Pour y parvenir, les « trouveurs » ont analysé les génomes retrouvés dans les restes de cent deux personnes ayant vécu en mer Égée durant l’âge du bronze. Des données génétiques qui leur ont permis de reconstituer un arbre généalogique pour toute la région méditerranéenne antique, le premier reconstitué génétiquement à ce jour, selon les auteurs de l’étude.
Pour un hameau mycénien du XVIème siècle av. J.-C., il a même été possible d’identifier les liens de parenté des habitants d’une maison.
L’analyse d’ADNs anciens révèle que certains des fils de la famille vivaient encore dans le hameau de leurs parents à l’âge adulte — leurs enfants ont été enterrés dans la tombe se cachant sous la cour du domaine.
L’épouse de l’un d’entre eux a par ailleurs intégré sa sœur au domicile familial, puisque les ossements de l’enfant de cette dernière ont également été retrouvés dans cette même sépulture.
 
C’est toutefois une autre découverte qui aurait vraiment étonné les spécialistes: Il y a 4.000 ans en Crète et dans les autres îles grecques, ainsi que sur le continent, il semblerait qu’il ait été particulièrement courant d’épouser son cousin germain.
« Plus d’un millier d’anciens génomes de différentes régions du monde ont maintenant été publiés, mais il semble qu’un système aussi strict de mariage entre parents n’existait nulle part ailleurs dans le monde antique », indique dans un communiqué l’auteure principale de l’étude et « chercheuse-trouveuse » dans le civil au département d’archéo-génétique de l’Institut Max-Planck.
« Cela a été une surprise totale pour nous tous et soulève de nombreuses questions. »
Car l’équipe de recherche ne peut en effet que spéculer sur cette tradition maritale : Peut-être s’agissait-il d'un moyen de garder les terres agricoles héritées groupées, et de garantir une certaine continuité familiale…
 
La découverte sans précédent d’une fréquence élevée de consanguinité révèle une pratique culturelle autrement non attestée dans les archives archéologiques, écrivent les auteurs dans leur étude.
Des documents historiques avaient déjà révélé aux historiens que bien plus tard, dans la loi athénienne (451 de notre ère), la proximité par le sang (αγχιστεια) ou la consanguinité (συγγένεια) ne constituaient pas des obstacles au mariage dans la Grèce antique.
Ces nouvelles analyses d’ADNs anciens témoignent donc de la réalité du mariage entre cousins, sans que les motivations derrière cette règle ne soient pour le moment identifiées : « Ce qui est certain, c’est que l’analyse des génomes anciens continuera à l’avenir à nous fournir de nouvelles informations fantastiques sur les anciennes structures familiales ».
 
Moâ je la connais, la raison : En « Corsica-Bella-Tchi-tchi », nous sommes tous « cousins » (de près ou de loin).
Donc quand deux corses copulent dans les « liens sacrés du mariage », c’est forcément de la consanguinité !
J’imagine que chez les minoens, ce devait être pareil.
C’est même l’explication de l’émigration des Corses jusque sur le continent (et jusqu’à coloniser les pinzuti en leur refilant deux empereurs aux chaudes heures de l’Histoire de la Gauloisie) : La tête des meufs sur place, franchement, sans un peu de sang-frais… non seulement elles restent « re-belles », mais ça pousse forcément à l’exil !
Pour vous dire que je savais déjà…
 
Bonne fin de week-end à toutes et à tous !
En espérant que vous êtes d’attaque pour les prochaines grèves…
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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