Même sa fièvre est tombée !
Mais pas son envie d’en rire…
C’est après sa première élection « Vlad-Poux-tine » visite un hôpital
de cinglé.
Il voit un patient qui a l’air bien et lui dit :
« Qui êtes-vous mon brave ? »
Et le gars de répondre :
« ― Je suis Napoléon Bonaparte et toi qui es-tu ?
― Moi, je suis Vladimir Poutine, Président de la fédération
de Russie éternelle ».
Et le patient de répliquer :
« Ah oui, Président hein ? Moi aussi, au début lorsque je suis arrivé ici, je présidais le triumvirat pour être premier consul ».
Sur l’autoroute, un contrôle-radar enregistre une Ferrari à 86 Km/h.
Le policier, qui effectue le constat tape à la vitre pour demander des explications.
Au volant, une femme au sourire magnifique et aux rondeurs appétissantes lui répond en souriant :
« Je respecte les limites de vitesse indiquées sur les panneaux. Il y a inscrit “A 86”, alors je vais à 86… »
Le policier répond, en souriant :
« Mais non, A 86, c’est le numéro de l’autoroute. Ce n’est pas la limite de vitesse ! »
Et, regardant la passagère, il rajoute :
« Et vous devriez vous dépêcher, car votre amie a l’air d’être malade. Elle est toute blanche… »
Et la conductrice :
« Euh… C’est parce qu’on a fait un petit bout de chemins sur l’A 340. »
C’est l’histoire d’une dame qui entre chez un concessionnaire Lexus.
Elle fait le tour de la salle d’exposition et découvre la voiture parfaite pour elle.
Elle s’approche pour l’examiner de plus près.
Comme elle se penche pour toucher le cuir des sièges, elle laisse s’échapper un pet bruyant.
Très embarrassé, elle regarde nerveusement autour d’elle si quelqu’un a remarqué son petit accident.
Comme elle se retourne, elle voit un vendeur debout à côté d’elle.
« ― !!!
― Bonjour, Madame. Comment puis-je vous aider ? »
Très inconfortablement, elle demande :
« ― Monsieur, quel est le prix de ce beau véhicule ?
― Madame, si vous avez pété au simple contact avec cette
voiture, que va-t-il se passer quand vous découvrirez le prix ? »
Jean-Marc et Jean-Paul philosophent devant une bière, assis en terrasse
chauffée :
« La sagesse, c’est d’avoir des rêves suffisamment grands pour ne
pas les perdre de vue lorsqu’on les poursuit. »
(Oscar Wilde)
« Agissez comme s’il était impossible d’échouer. »
(Winston Churchill)
« Si jamais la Terre explose dans un moment de folie, le dernier
survivant sera sans doute un expert pour vous dire que ce n’est pas possible. »
(Peter Ustinov)
« L’amour a quelque chose de sinistre et de désespérant.
Plus on aime, plus on devient injuste, quelle étrange loi ! »
(Hubert Aquin)
« ― Pourquoi un éléphant est gros, gris et plissé ?
― Parce que s’il était petit, blanc et lisse, il serait un
lapin. »
« ― Connais-tu la définition de “sentiments partagés” ?
― Aucune idée, là comme ça…
― C’est quand ta belle-mère est en train de reculer vers le ravin avec ta voiture toute neuve. »
« ― Quelle est le nouvel instrument de musique préféré de Bill
Clinton ?
― Comment veux-tu que je sache ? Je ne suis pas un
intime !
― L’harmonica, voyons ! »
« ― Connais-tu la différence entre le bridge et faire l’amour ?
― Ah, ça, je sais : Au bridge si tu n’as pas une bonne
main tu peux avoir une bonne partenaire.
En amour si t’as pas une bonne partenaire, c’est mieux d’avoir une bonne main. »
« ― Quelle est la différence entre une meuf et un trampoline ?
― Tu enlèves au moins tes chaussures avant de sauter sur un
trampoline. »
« ― Qu’est-ce qui ne fait pas de bruit en se levant, mais réveille
tout le monde ?
― Bé, simple : Le jour ! »
« Celui qui n’a pas réussi avec les femmes, à quoi lui sert-il
d’avoir réussi ? »
Après avoir reçu le mandat de faire un sondage sur la Terre pour mieux
connaître les comportements de l’homme, St-Pierre fait son rapport à Dieu.
« ― Dites-moi St-Pierre, ce que vous avez remarqué.
― Je suis très déçu de devoir vous apprendre de telles
choses, Seigneur, mais les hommes se comportent en état de péché.
Il y a la drogue, la boisson, les meurtres, il y a de tout.
C’est tout comme Sodome et Gomorrhe !
Mais le pire de tout ça, c’est cette obsession de faire l’amour oral.
Selon mon sondage, 88 % de la population le pratique de façon régulière, même que quatre dentistes sur cinq le recommande.
J’ai bien peur que s’en soit devenue une épidémie…
― Hmmm », dit Dieu songeur. « As-tu des recommandations pour diminuer une telle perversion sexuelle ?
― Je crois que nous devrions envoyer une missive à celui ou
celle qui pratique l’amour oral. Cette missive serait une mise en garde de ce
qui pourrait leur arriver lors du jugement dernier, s’ils ne cessent pas ce
genre d’activité sexuelle.
― C’est une excellente suggestion mais plutôt que de punir ceux qui pratiquent cette activité, nous devrions récompenser ceux qui ne la pratiquent pas.
Nous enverrons une missive dans ce sens, signée de ma propre main. »
« ― Sais-tu ce que disait la missive ?
― Non ?
― Hmmm… Je crois que tu n’as pas reçu la missive non plus… hein ? »
Une « améliorée » :
Jean-Robert a décidé de se marier mais avant de faire sa demande il veut en parler à sa mère…
« ― Tu sais Maman, j’ai rencontré une fille superbe, je voudrais l’épouser mais j’aimerais quand même que tu la rencontres avant.
― Oui, si tu veux.
― Voila ce qu’on va faire… Samedi prochain, je vais venir avec trois copines. Une d’elle est la femme que j’aime.
Je ne te dis pas laquelle et on en parle après, d’accord ?
― Oui, si tu veux. »
Le samedi, Jean-Robert présente avec ses trois copines toutes belles,
intelligentes, etc.
Sa mère avait préparé un repas exceptionnel.
Tout était magnifique.
Il va les reconduire et, à son retour…
« ― Alors Maman, as-tu découvert l’élue de mon cœur ?
― Ce ne serait pas celle qui avait la robe bleue ?
― Waouh ! C’est bien elle. Comment as-tu fait ? Elles sont toutes les trois superbes, gentilles, etc.
Comment as-tu fait pour l’identifier tout de suite ?
― J’sais pas… J’l’aime pas! »
C’est l’histoire d’un jeune couple vient de s’installer dans un petit
studio, mais, comme ils sont fauchés, ils n’ont pas de meubles.
Ils invitent un copain à dîner qui s’étonne :
« ― Dis-moi Jean-Bernard, comment fais-tu pour manger, il n’y a pas de table ?
― Ma femme se met à genoux et je dîne sur son dos !
― Et comment fais-tu pour dormir, il n’y a pas de lit ?
― Oh ! C’est très simple ! Je retourne la table ! »
C’est une prostituée qui commence à prendre de l’âge. Elle patrouillait sur
le trottoir en espérant un éventuel client.
Elle était nue sous son manteau lorsqu’elle croisa un homme d’un certain âge, elle se dit, voilà ma chance !
Elle ouvre son manteau et lui demande :
« ― Combien tu me donnes ?
― 60 !
― Euros ?
― Non… 60 ans. »
Une belle-mère visite sa fille et à son gendre.
Le beau-fils vient lui ouvrir la porte et s’exclame :
« Bonjour belle-maman ! Ça fait longtemps qu’on ne vous avait vu ! Alors combien de temps allez-vous rester parmi nous ? »
La belle-mère, voulant plaisanter :
« ― Oh, eh bien, jusqu’à ce que vous soyez fatigué de me voir.
― Vraiment ? Vous ne préférez pas entrer et prendre un petit
café tout d’abord ? »
Jean-Gérard et Jean-Charles, deux copains, se rencontrent :
« ― Alors vieux, ça va ?
― Ouais, plus ou moins… Ma belle-mère est morte la semaine
passée.
― Oh, c’est terrible, qu’est-ce qu’elle avait ?
― Pfff, parle-moi z’en pas… Seulement quelques vieux meubles… »
C’est l’histoire d’une jeune femme mariée depuis deux mois qui arrive en
pleurs chez sa mère :
« ― Ma pauvre chérie, mais que t’est-il arrivé ?
― C’est affreux, maman, mon mari m’a battu !
― Comment ça ? Mais je croyais ton mari en voyage d’affaires pour trois jours encore !
― Justement, moi aussi ! »
Jean-Marc et Jean-Paul, chacun devant une bière en terrasse (chauffée) parlent des
filles qui passent dans la rue en grands connaisseurs :
« ― Elle est tarte celle-là !
― Pas étonnant, c’est la fille du pâtissier !
― Oui…
― Et si tu voyais celle du boulanger… les miches qu’elle a ! »
Deux sœurs nues sous la douche :
La petite sœur : « Ouah !!! Tu as des poils toi ? »
La grande sœur : « Eh oui je suis grande » (répond-elle d’un air supérieur)
La petite sœur : « Et ça ne te gênes pas pour baiser ? »
Le père Jean-Mathieu, un paysan est dans un troquet en train de boire au
beau milieu de la journée.
Jean-Marc le voit et lui demande :
« ― Hé ! Pourquoi tu es là en train de te saouler par une belle
journée comme aujourd’hui ?
― Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
― Qu’est-ce qui t’arrive de si grave ?
― Ben, tu vois, ce matin, j’étais dans l’étable en train de traire ma vache. À la fin, la vache a donné un coup avec sa patte gauche sur le seau et l’a renversé.
― Ça n’a pas l’air si grave que ça…
― Ouais, mais y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
― Qu’est-ce qui s’est passé d’autre ? »
Le paysan continue :
« ― Là, j’ai décidé d’attacher la patte gauche de la vache au poteau pour ne pas qu’elle recommence.
― Et puis ?
― Ben, je me suis rassis et j’ai recommencé à la traire.
Quelques minutes plus tard, elle a donné un coup sur le seau avec sa patte droite.
― Encore ?
― Ben oui… Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
― Alors, qu’est-ce que t’as fait ?
― J’ai décidé d’attacher la patte droite sur l’autre poteau pour ne pas qu’elle recommence.
Là, elle ne pouvait plus donner de coup de patte puisque les deux étaient attachées de chaque côté.
― Et ça a marché ?
― Ben, je me suis rassis et j’ai recommencé à la traire.
Tout allait bien, jusqu’à ce que la maudite vache donne un coup de queue et renverse le seau encore une fois.
― Ouais, ça n’allait pas bien !
― Non monsieur Jean-Marc. Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
― Alors qu’est-ce que t’as fait ensuite ?
― Ben là, je n’avais plus de corde proche, alors j’ai enlevé ma ceinture pour attacher sa queue sur un poteau pour ne pas qu’elle recommence.
Et comme je venais de finir d’attacher la queue, mon pantalon est tombé.
― Et alors… ?
― Ben, c’est à ce moment que ma femme est entrée dans l’étable…
Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer… »
C’est Jean-Claude qui rentre dans le bistro de Jean-Marc et de Jean-Paul.
Il est tout égratigné sur la figure, sur les bras, les jambes, bref pas mal amoché.
Ses copains l’interrogent…
« ― Je viens d’enterrer ma belle-mère !
― Quel est le rapport avec toutes ces égratignures ?
― Mais c’est qu’elle ne voulait pas ! »
Justement, entre alors Jean-Pierre : Sa belle-mère vient de mourir et
il doit s’occuper des arrangements funéraires et il raconte :
« Alors, qu’est-ce qu’on fait, m’a demandé le croque-mort. On l’embaume ? On l’enterre ou on l’incinère ?
Je lui ai répondu que mieux vaut ne pas prendre de risque. ‘‘Faites-lui
les trois’’. »
Bonne
fin de semaine à toutes et à tous !
Mais pas son envie d’en rire…
Il voit un patient qui a l’air bien et lui dit :
« Qui êtes-vous mon brave ? »
Et le gars de répondre :
« ― Je suis Napoléon Bonaparte et toi qui es-tu ?
« Ah oui, Président hein ? Moi aussi, au début lorsque je suis arrivé ici, je présidais le triumvirat pour être premier consul ».
Le policier, qui effectue le constat tape à la vitre pour demander des explications.
Au volant, une femme au sourire magnifique et aux rondeurs appétissantes lui répond en souriant :
« Je respecte les limites de vitesse indiquées sur les panneaux. Il y a inscrit “A 86”, alors je vais à 86… »
Le policier répond, en souriant :
« Mais non, A 86, c’est le numéro de l’autoroute. Ce n’est pas la limite de vitesse ! »
Et, regardant la passagère, il rajoute :
« Et vous devriez vous dépêcher, car votre amie a l’air d’être malade. Elle est toute blanche… »
Et la conductrice :
« Euh… C’est parce qu’on a fait un petit bout de chemins sur l’A 340. »
Elle fait le tour de la salle d’exposition et découvre la voiture parfaite pour elle.
Elle s’approche pour l’examiner de plus près.
Comme elle se penche pour toucher le cuir des sièges, elle laisse s’échapper un pet bruyant.
Très embarrassé, elle regarde nerveusement autour d’elle si quelqu’un a remarqué son petit accident.
Comme elle se retourne, elle voit un vendeur debout à côté d’elle.
« ― !!!
« ― Monsieur, quel est le prix de ce beau véhicule ?
(Oscar Wilde)
(Winston Churchill)
(Peter Ustinov)
― C’est quand ta belle-mère est en train de reculer vers le ravin avec ta voiture toute neuve. »
― L’harmonica, voyons ! »
En amour si t’as pas une bonne partenaire, c’est mieux d’avoir une bonne main. »
« ― Dites-moi St-Pierre, ce que vous avez remarqué.
Il y a la drogue, la boisson, les meurtres, il y a de tout.
C’est tout comme Sodome et Gomorrhe !
Mais le pire de tout ça, c’est cette obsession de faire l’amour oral.
Selon mon sondage, 88 % de la population le pratique de façon régulière, même que quatre dentistes sur cinq le recommande.
J’ai bien peur que s’en soit devenue une épidémie…
― Hmmm », dit Dieu songeur. « As-tu des recommandations pour diminuer une telle perversion sexuelle ?
― C’est une excellente suggestion mais plutôt que de punir ceux qui pratiquent cette activité, nous devrions récompenser ceux qui ne la pratiquent pas.
Nous enverrons une missive dans ce sens, signée de ma propre main. »
― Hmmm… Je crois que tu n’as pas reçu la missive non plus… hein ? »
Jean-Robert a décidé de se marier mais avant de faire sa demande il veut en parler à sa mère…
« ― Tu sais Maman, j’ai rencontré une fille superbe, je voudrais l’épouser mais j’aimerais quand même que tu la rencontres avant.
― Voila ce qu’on va faire… Samedi prochain, je vais venir avec trois copines. Une d’elle est la femme que j’aime.
Je ne te dis pas laquelle et on en parle après, d’accord ?
― Oui, si tu veux. »
Sa mère avait préparé un repas exceptionnel.
Tout était magnifique.
Il va les reconduire et, à son retour…
« ― Alors Maman, as-tu découvert l’élue de mon cœur ?
― Waouh ! C’est bien elle. Comment as-tu fait ? Elles sont toutes les trois superbes, gentilles, etc.
Comment as-tu fait pour l’identifier tout de suite ?
― J’sais pas… J’l’aime pas! »
Ils invitent un copain à dîner qui s’étonne :
« ― Dis-moi Jean-Bernard, comment fais-tu pour manger, il n’y a pas de table ?
― Et comment fais-tu pour dormir, il n’y a pas de lit ?
― Oh ! C’est très simple ! Je retourne la table ! »
Elle était nue sous son manteau lorsqu’elle croisa un homme d’un certain âge, elle se dit, voilà ma chance !
Elle ouvre son manteau et lui demande :
« ― Combien tu me donnes ?
― Euros ?
― Non… 60 ans. »
Le beau-fils vient lui ouvrir la porte et s’exclame :
« Bonjour belle-maman ! Ça fait longtemps qu’on ne vous avait vu ! Alors combien de temps allez-vous rester parmi nous ? »
La belle-mère, voulant plaisanter :
« ― Oh, eh bien, jusqu’à ce que vous soyez fatigué de me voir.
« ― Alors vieux, ça va ?
― Oh, c’est terrible, qu’est-ce qu’elle avait ?
― Pfff, parle-moi z’en pas… Seulement quelques vieux meubles… »
« ― Ma pauvre chérie, mais que t’est-il arrivé ?
― Comment ça ? Mais je croyais ton mari en voyage d’affaires pour trois jours encore !
― Justement, moi aussi ! »
― Oui…
― Et si tu voyais celle du boulanger… les miches qu’elle a ! »
La grande sœur : « Eh oui je suis grande » (répond-elle d’un air supérieur)
Jean-Marc le voit et lui demande :
― Qu’est-ce qui t’arrive de si grave ?
― Ben, tu vois, ce matin, j’étais dans l’étable en train de traire ma vache. À la fin, la vache a donné un coup avec sa patte gauche sur le seau et l’a renversé.
― Ça n’a pas l’air si grave que ça…
― Ouais, mais y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
― Qu’est-ce qui s’est passé d’autre ? »
« ― Là, j’ai décidé d’attacher la patte gauche de la vache au poteau pour ne pas qu’elle recommence.
― Ben, je me suis rassis et j’ai recommencé à la traire.
Quelques minutes plus tard, elle a donné un coup sur le seau avec sa patte droite.
― Encore ?
― Ben oui… Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
― Alors, qu’est-ce que t’as fait ?
― J’ai décidé d’attacher la patte droite sur l’autre poteau pour ne pas qu’elle recommence.
Là, elle ne pouvait plus donner de coup de patte puisque les deux étaient attachées de chaque côté.
― Et ça a marché ?
― Ben, je me suis rassis et j’ai recommencé à la traire.
Tout allait bien, jusqu’à ce que la maudite vache donne un coup de queue et renverse le seau encore une fois.
― Ouais, ça n’allait pas bien !
― Non monsieur Jean-Marc. Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
― Alors qu’est-ce que t’as fait ensuite ?
― Ben là, je n’avais plus de corde proche, alors j’ai enlevé ma ceinture pour attacher sa queue sur un poteau pour ne pas qu’elle recommence.
Et comme je venais de finir d’attacher la queue, mon pantalon est tombé.
― Et alors… ?
― Ben, c’est à ce moment que ma femme est entrée dans l’étable…
Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer… »
Il est tout égratigné sur la figure, sur les bras, les jambes, bref pas mal amoché.
Ses copains l’interrogent…
« ― Je viens d’enterrer ma belle-mère !
― Mais c’est qu’elle ne voulait pas ! »
« Alors, qu’est-ce qu’on fait, m’a demandé le croque-mort. On l’embaume ? On l’enterre ou on l’incinère ?
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