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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 27 janvier 2023

Le « Conard-virus » l’aurait-il rendu philosophe ?

À vous de me dire votre sentiment…
 
Jean-Marc rapporte l’histoire suivante :
Il était une fois un vieil homme, assis à la porte d’une ville.
Jean-Richard s’approche de lui :
« Je ne suis pas d’ici, je viens de loin. Dis-moi, vieil homme, comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? »
Au lieu de lui répondre, le vieillard lui renvoie la question :
« Et dans la ville d’où tu viens, comment les gens étaient-ils donc ? »
Jean-Richard aussitôt, plein de hargne :
« Égoïstes et méchants, au point qu’il m’était impossible de les supporter plus longtemps ! C’est pourquoi j’ai préféré partir ! »
Le vieillard lui dit alors :
« Mon pauvre ami, je te conseille de passer ton chemin, les gens d’ici sont tout aussi méchants et tout aussi égoïstes ! »
Un peu plus tard, Jean-Paul s’approche du même vieillard :
« ― Salut, Ô toi qui es couronné d’ans ! Je débarque en ces lieux. Dis-moi, comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?
― Dis-moi d’abord, là d’où tu viens, comment les gens étaient-ils ? »
Jean-Paul dans un grand élan :
« ― Honnêtes, bons et accueillants ! Je n’avais que des amis. Oh que j’ai eu de peine à les quitter !
― Eh bien, ici également, tu ne trouveras que des gens honnêtes, accueillants et pleins de bonté. »
C’est comme ça que Jean-Paul a pu rencontrer Jean-Marc
Un marchand qui faisait le plein d’essence, non loin de là avait tout entendu :
« ― Comment t’est-il possible, Ô vieil homme que je prenais pour un sage, de donner, à la même question, deux réponses aussi diamétralement opposées ? Serait-ce un poisson d’avril ?
― Mon fils, chacun porte en son cœur son propre univers et le retrouvera en tous lieux.
Ouvre ton cœur et ton regard sur les autres et le monde sera changé… »
 
Un gars se présente chez le médecin.
Son organe est très amoché par la maladie.
Le médecin le fait monter sur un banc pour l’examiner.
« ― Docteur, je n’aurai pas à me la faire couper hein ?
― Mais non ! D’ici 15 jours, elle tombera d’elle-même ! »
 
Jean-Paul et Jean-Marc ne perdent pas l’habitude de se poser des colles, attablés à une table, devant une bière (au lieu d’aller faire la vaisselle)
« ― Quelle est la meilleure méthode pour s’assurer que sa femme est vierge la nuit de noces ?
― Soit tu la perce, soit tu te peins une couille en bleu et une couille en rouge, et si lors de ta nuit de noces ta femme te dit : “Ah-ah-ah, c’est la paire de couilles la plus drôle que j’ai jamais vue” eh bien… »
 
« ― À ton avis, quels sont les premiers symptômes du SIDA ?
― Je ne l’ai jamais attrapé ! Je ne sais pas…
― Un souffle chaud dans le cou et une forte douleur anale.
― Tu l’as eu pour savoir ça ?
― Imbécile : Je l’ai évité ! »
 
« ― Sais-tu pourquoi on repêche très peu de survivants dans les crashs d’avion en mer ?
― À cause des quotas de pêche, je suppose ! »
 
C’est l’histoire de Jean-Claude qui aime bien prendre un pot à la brasserie du coin, avec ou sans Jean-Marc et son acolyte, Jean-Paul.
Ce soir-là, il a un peu insisté, et il souhaite que sa vielle dorme, pour lui éviter des ennuis.
Il se lève et tombe en pleine face par terre.
« Ouais, bé je ne suis pas rendu.
Je vais ramper jusqu’à la porte et un peu d’air frais me fera du bien. »
Dehors il s’appuie sur une automobile prend une ou deux bonnes bouffées d’air et se sent d’attaque pour poursuivre sa route.
Et vlan ! Il retombe encore !
« Ouais, ça va pas bien du tout. »
En se trainant, il finit par arriver chez lui.
Il prend la résolution d’être plus prudent pour ne pas réveiller sa femme.
En se tenant après la poignée, il réussit à entrer dans la maison mais, et encore une fois, il se ramasse par terre.
Fort heureusement elle dort malgré le bruit de la chute.
Il rampe jusqu’au lit pour finalement se coucher.
Le lendemain, vers 11 heures du matin, elle le réveille en lui disant qu’il a dû prendre un coup solide.
« ― Comment t’as fait pour rentrer ?
― Pourquoi ? », demande-t-il avec un air innocent ? « Ça très bien été.
― Parce que le propriétaire de la brasserie vient de téléphoner pour dire que tu as oublié ton fauteuil roulant… »
 
Un jeune enfant et son grand-père se promènent dans la rue lorsqu’ils aperçoivent deux chiens dans une position compromettante.
Le garçon interroge :
« Qu’est-ce qu’ils font les deux chiens ? »
Le grand père, plutôt pris de cours, explique :
« Le chien du dessus est blessé aux pattes avant et l’autre l’aide à rentrer chez lui… »
Et le petit-fils de rétorquer :
« Et c’est pour le remercier qu’il le sodomise ? »
 
« Quelle est la différence entre un polytechnicien, un centralien et un ingénieur des arts et métiers ?
Le polytechnicien construit un pont, le pont s’écroule, le polytechnicien sait pourquoi.
Le centralien construit son pont le pont s’écroule, mais le centralien ne sait pas pourquoi.
L’ingénieur des arts et métiers construit son pont, le pont tient mais l’ingénieur ne sait pas pourquoi. »
Une « blagounette » qui aura fait le tour de toutes les ékoles d’ingénieur du monde depuis des décennies…
 
« Ma femme est tellement grosse que lorsqu’elle met des talons aiguilles, elle trouve du pétrole ! »
 
C’est l’histoire de l’homme qui est au 17ème trou sur un terrain de golf.
En s’approchant de sa balle, pour la frapper, soudain il aperçoit une grenouille. Et elle lui adresse la parole !
« ― Prend un fer numéro 2 !
― Un fer numéro 2 ? Mais jamais je ne pourrai réussir ce trou avec un fer 2 !
― Crois-moi ! »
L’homme hésite, mais il écoute le batracien magique.
Il frappe… la balle tombe sur le vert, et roule, roule, roule jusqu’à quelques centimètres du trou.
L’homme n’a plus qu’à putter pour conclure en deux coups alors que c’est un par 4…
Le golfeur retourne sur ses pas pour aller chercher la grenouille qui parle (une grenouille qui parle, c’est trop cool) et il l’emmène au 18ème trou.
La grenouille lui dit alors :
« Prends un fer numéro 7. »
Le gars trouve ça un peu débile, mais il s’exécute.
Et paf ! Il fait un ace !
Après le golf, le gars ne dit rien à personne, il glisse la grenouille dans sa poche et file vers le Casino.
Il se poste à la Roulette, et là, la grenouille lui dit :
« Mets tout ce que tu as sur le 17. »
Le gars met 1.000 € sur le 17… et le 17 sort !
Il récolte 35 fois sa mise !!!
À ce moment-là, il se dit qu’il ne veut plus avoir d’émotions pour cette journée et il rentre à l’hôtel (naturellement en emmenant sa grenouille).
Dans la chambre, il place la grenouille sur le lit et dit :
« ― Je vais appeler le roomservice et demander des mouches pour toi. Quel genre de mouches veux-tu ? Je veux exaucer tous tes désirs.
― Dans ce cas, avant de me commander des mouches, il faut que tu me donnes un baiser…
― Un baiser ? » dit le gars, un peu étonné et dégoûté à la fois.
« Bon d’accord, c’est bien le moins que je puisse faire pour toi ! »
Alors le gars se lève et embrasse la grenouille… et d’un seul coup, la grenouille se transforme en une magnifique jeune-fille d’à peine 13 ans !
« Monsieur le procureur, je vous jure que c’est de cette façon que cette fille a atterri dans ma chambre ! »
 
C’est l’histoire d’une grand-mère et de sa petite-fille de 4 ans.
La petite fille se met à tousser, mais elle ne met pas sa main devant sa bouche.
Sa grand-mère la réprimande et lui dit qu’elle doit toujours mettre sa main devant sa bouche avant de tousser.
Et la petite de répondre :
« Je n’ai pas besoin de faire ça, moi, Mamy ! »
Et la grand-mère de demander :
« Ah non ? Et pourquoi ? »
Et la petite :
« Parce que, contrairement à toi, moi je n’ai pas de dentier qui pourrait tomber. »
 
C’est l’histoire d’un homme qui habitait le sous-sol d’une maison à deux étages.
Juste au-dessus de lui, habite un homme qui travaille de soir et qui arrive vers les 23 heures.
Et tous les soirs, lorsqu’il arrive, il lance ses grosses bottes de travail provoquant un vacarme qui réveille le gars du dessous.
Après plusieurs mois, le voisine du dessous se décide finalement à monter et demande au travailleur d’arrêter de lancer ses satanées bottes en arrivant à la maison le soir.
Le lendemain, le gars du haut arrive à la maison, et, par habitude, lance sa première botte contre le mur provoquant ainsi le vacarme habituel.
Prenant soudainement conscience de la conversation de la veille, il enlève la deuxième sans faire de bruit.
Deux heures plus tard, le gars d’en bas monte, cogne et crie :
« Quand donc, enlèves-tu ta deuxième botte que je puisse me coucher ? »
 
Jean-Marc affirme tout de go à Jean-Paul :
« Si un homme ouvre la portière de sa voiture à sa femme, on peut être sûr d’une chose : Ou bien c’est la voiture qui est neuve, ou bien c’est la femme. »
 
Marie-Chantal à Marie-Germaine, devant une tasse de thé :
« ― Sais-tu quelle est la ressemblance entre les hommes et du pop-corn fait au micro-onde ?
― Dis-moi !
― Les deux viennent en 30 secondes. »
 
Un jour, un bon vieux médecin de campagne, se rend loin, mais très loin dans la campagne pour assister à un accouchement.
C’était tellement loin qu’il n’y avait pas d’électricité.
Lorsqu’il y arrive, nul autre à la maison que la mère et un enfant de 5 ans.
Alors le médecin demande à l’enfant de tenir le fanal assez haut pour l’éclairer et qu’il puisse assister la mère à son accouchement.
Après l’arrivée du nouveau-né, le médecin lui donne une tape sur les fesses pour lui aider à prendre sa première respiration, puis il demande à l’enfant de 5 ans ce qu’il pensait du nouveau-né.
Et l’enfant répond :
« Vous pouvez le taper encore une autre fois, il n’aurait pas dû se traîner jusque-là, de toute façon. »
 
Marie-Chantal avec sa comparse, devant leurs madeleines :
« ― Depuis quelque temps je vois des points noirs.
― As-tu vu un médecin ?
― Non juste des points noirs… »
 
« ― Mon cher ami, nous avons dans notre famille un homme de lettres.
― Ah oui ? Un auteur ?
― Non, mon neveu, un facteur ! »
 
Qui de l’homme ou de la femme fait le plus de cholestérol ?
L’homme pour quatre raisons :
― Il a deux boulettes de steaks,
― Une saucisse de porc,
― Deux oreilles de cochon.
― Et une tête de veau.
 
« Quand un homme parle sexe à une femme, c’est du harcèlement.
Quand une femme parle sexe à un homme…
C’est 3,95 € la minute ! »
 
« ― Hey ! Jean-Jacques ! Es-tu venue chez-moi hier soir ? »
Le gars répond :
« ― Bien sûr que non. Je serai venu te saluer !
― Alors, comment se fait-il, qu’il y a des traces de chien autour de la maison ? »
 
C’est la maîtresse d’école qui demande à un élève :
« ― Nommes-moi un continent.
― Mon grand-père est incontinent… »
 
Dans un bar, Jean-Marc regarde constamment sa montre.
Une fille sexy, assise à ses côtés, lui demande :
« ― Vous attendez quelqu’un ?
― Non. Pourquoi ?
― Vous regardez souvent votre montre.
― Ah… c’est parce que c’est une montre spéciale. Elle me révèle des choses sur les gens.
― Ah oui ? Comme quoi, par exemple ?
― Ben justement… Sur vous, ma montre me dit que vous ne portez pas de petites culottes.
― Ah ! Faux… je porte des petites culottes.
― Étrange… Oh, je comprends ! Ma montre a une heure d’avance… »
 
Bonne fin de semaine à toutes et à tous !

I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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